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Théorie sur l’investissement direct étranger et lacroissance économique.
L’investissement est l’un des variables macro-économiques constituant une source de croissance économique. L’investissement peut être onstituéc dans le territoire national par l’Etat et les investisseurs locaux, ou à défaut de capitaux, l’Etat peut faire appel aux investisseurs étrangers. Dans cette section, la lecture des revues de littératures concernant l’investissement direct étranger et la croissance économique ainsi que ses caractéristiques sera abordée.
La croissance économique
« La croissance économique est une augmentation soutenue, pendant une période prolongée, de la qualité des biens et des servicesmatériels que produit en économie .»
(Greenwald D., 1988, p.206). La croissance est donc une augmentation sur une longue période des grandeurs économiques à savoir le produit intérieur brut (PIB), le revenu national, l’investissement… L’indicateur pour la mesurer est le PIB, unitairement évalué en volume ou à prix constants. Le taux de croissance d u PIB par habitant est utilisé comme indicateur de l’amélioration du niveau de vie, mais également comme élément d’évaluation de la pauvreté.
La croissance économique est aussi le rapport entre le produit intérieur brut et le prix à la consommation. A cet effet, la croissance peut être positive ou négatives après le calcul de la variation du prix à la consommation.
L’équipement et le bien de production (capital) ainsi que le travail sont les deux principaux facteurs de la croissance. Chaque pays a son propre politique de substitution entre ces deux facteurs principaux de la croissance ; soit, augmenter le capital pour diminuer le travail, soit le cas contraire : c’est la théorie néoclassique. En agissant sur le capital, il faut un autofinancement ou recouvrir à l’épargne national ou encore demander des capitaux étrangers. Le problème de la croissance économique des pays envoie de développement représente en effet une complication de l’augmentation de la production. Ce problème ne peut être résolu que par le transfert des facteurs de production venant de l’extérieur (Bognar J., Kemanses E., 1968).
La croissance démographique, la formation de capital et le progrès technique sont considérés comme trois facteurs déterminant de laroissance (Greenwald D., 1988).
On peut s’attendre à un niveau de croissance élevée en agissant sur les variables explicatifs de celle-ci. L’investissement est l’un des facteurs de la croissance économique qui a été expliqué plus haut. Quels sont les moyens pour l’acquérir.
Notion sur l’investissement
« L’investissement est constitué par toutes les opérations qui ont pour résultat d’accroitre le capital, c’est-à-dire le revenu au c ours d’une période ultérieure »(Maury R., 1984).
L’investissement est marqué par l’emploi de fonds dans un domaine bien déterminé pour en tirer profit après son exploitation. Il existe une interdépendance entre le revenu et l’investissement. D’une part, le revenu détermine l’investissement. Si le revenu est très bas, il sera consommé selon le modèle Keynésien. Par contre, si le revenu est élevé, l’investissement a une tendance à la hausse. D’autre part, l’investi ssement détermine le niveau de revenu dans le cas où le volume de capital disponible est plus grand que le revenu collectif qui en découle. Dans ce cas précis, celui-ci peut lui-même croitre.
La théorie Keynésienne explique que l’investissement est conditionné par l’épargne. Or, l’épargne est évaluée à partir du niveau de revenu : c’est la propension marginale à épargner.
Il y a une corrélation entre la propension marginale à épargner et l’investissement. La démonstration de Boem Bawerk montre que :
• L’investissement se réalise grâce à une épargne en nature : il faut donc sacrifier la consommation pour que l’épargne augmente (le revenu c’est la somme de la consommation et l’épargne). Cette épargne doit être utilisée pour réaliser ou suppléer l’investissement. En effet, l’investissement accroi t le revenu.
• L’épargne constitue l’investissement pour créer unemploi, et l’emploi à son tour crée de la monnaie. (Maury R., Guin J., 1984).
En général, l’investissement peut être classé en vestissementin public ou privé, et puise ses origines sur le plan national ou au niveau étranger. L’investissement privé national se fait par l’autofinancement des entreprises ou, à défaut des capitaux, par l’emprunt bancaire. L’investissement peut provenir de l’État ou du sect eur privé. L’investissement de l’État finance l’infrastructure et les services de base (santé, éducation), alors que celui du secteur privé assure la mise en place des usines et des commerces. L’Etat assure le financement des routes et les écoles ainsi que l’assurance de l’environnement économique pour attirer les investisseurs privés. L’insuffisance de capitaux dans un pays nécessite un recours extérieur. Ces pays font appel à l’investissement étranger pour assurer la croissance. L’investissement privé étranger se caractérise par l’investissement de portefeuille (IP) et l’Investissement Direct Etranger (IDE).
L’investissement étranger
Cette sous section examine les types des investissements étrangers ainsi que ses caractéristiques en particulier l’IDE. Ces types d’investissement se différencient par la participation de son porteur.
L’investissement de portefeuille
L’IP c’est l’achat de titre privé ou d’Etat sans intention d’exercer un contrôle. Il est réalisé par des entités non résidentes« .Sont considérés comme investissement de portefeuille, les investissements réalisés par une entité résidtend’une autre économie dans une entreprise locale et qui ne dépassent pas de 10% des ses actions ou droits de vote ». (Ramalahy M.I.Z., Rajaomarison L., 2008, p.3). L’I.P n’est donc qu’un titre de participation et d’emprunt. Il est considéré comme un placement international mais nedonne aucun droit de contrôle et de décision de son possesseur. Le dividende est le seul but de son utilisateur.
L’IP peut se faire de deux manières :
• Les prises de participation au capital par le biais d’achat d’actions. La prise de participation est le principe de différenciation entre IP et IDE.
• Le titre de créance comme les obligations étrangères, les bons de trésors étrangers, etc.
L’investissement direct étranger
Notion sur l’IDE
L’IDE fait partie de la stratégie de développement .Pour le FMI, l’investissement effectué par une entreprise ou entité résidente d’une économie dans une entreprise résidente d’une autre économie. Il y a une relation d’investissemen direct lorsque l’investisseur direct détient au moins 10 pour cent du capital ou 10 pour cent des droits de vote.
« Un investissement extérieur direct correspond à la prise de contrôle de la gestion d’une société d’un pays d’accueil par un citoyen, c’est-à-dire une société de la nation d’origine » . (Greenwald D., 1988, p.536).
L’entrée d’IDE dans un pays nécessite un libéralisme économique ainsi que la présence d’une politique de privatisation dans ce pays. Ces conditions doivent être prévues dans la politique d’investissement de chaque pays. Le libéralisme économique s’explique par la conception de l’économie privilégiant les libertésindividuelles et économiques (liberté d’entreprise, liberté des contrats). Les libéraux onts partisans du « laisser-faire, laisser-aller » d’Adam Smith. La privatisation est liée à ce concept de libéralisme et marquée par le désengagement de l’Etat dans l’activité de production en la donnant aux privées.
L’IDE, est le moteur du développement dans le monde. L’IDE amène des usines, des outils, des compétences, des nouveaux produits,l’accès aux marchés, et la compétitivité. Il crée de la valeur et améliore le niveau de vie ed la population. L’investisseur étranger ne s’empare pas de la richesse nationale, mais au contraire investit son propre argent dans le pays. Avec cet argent il crée de l’emploi et génèrede la richesse qui n’existait pas auparavant. L’IDE partage avec le pays sous forme d’impôts et autres transferts.
L’existence de l’IDE exige un capital via l’extérieur et provenant des agents économiques concernés (investisseurs). L’investissement réalisé par ces derniers a pour but d’acquérir un intérêt«Sont. considérées comme IDE la transaction initiale(participation : au capital social de l’entreprise ou action) et aussi toutes les transactions ultérieures entre les deux parties (bénéfice réinvestie). »(Ramalahy M.I.Z., Rajamarison L., 2008, p.2).
L’INSTAT et la BCM (2002) définirent comme transactions des capitaux d’investissements directs, les capitaux enregistrées en fonction de leur destination, se décomposent-en :
• Capital social : participation au capital des succursales, toutes les actions des filiales et des entreprises affiliées, sauf les actions privilégiées non participantes qui sont considérées comme des titresde créance,
• Bénéfices réinvestis : correspondent à la part quirevient à l’investisseur direct (au prorata de sa participation directe au capital) sur les bénéfices qui ne sont pas distribués sous forme de dividendes par les filiales ou par les entreprises affiliées, ainsi que les bénéfices des succursalesqui ne sont pas versés à l’investisseur direct,
• Autres transactions d’investissements directs ou encore transactions liées aux dettes interentreprises (entre les entreprises d’un même groupe). Elles couvrent les emprunts et les prêts de ressources financières, y compris les titres d’emprunt, et les crédits fournisseurs entre des investisseurs directs et les filiales, succursales et entreprises apparentées, tels qu’ils ressortent des créances et des engagements interentreprises (compte à recevoir et à payer), respectivement. Cela inclut aussi bien les prêts des investisseurs directs aux filiales que les prêts des filiales aux investisseurs directs. Aucune distinction n’est établie ici, entre les investissements à court et à long terme.
Avant d’investir dans un pays, les investisseurs se réfèrentaux résultats des différentes questions comme : Comment se compare le niveau des impôts ? Est-ce qu’il est facile d’importer des équipements et des matières premières? Quel est le niveau de formation de la population active? La qualité des routes ? L’accueil des fonctionnaires? L’honnêteté du système judiciaire? La prévisibilité de la politique économique et la stabilité politique?
Détermination d’IDE
L’existence de ressources naturelles exploitables est la base du déterminant de l’IDE dans un pays donné. L’OCDE (2002) explique les exemples les plus manifestes de l’effet positif qu’exerce l’IDE sur les exportations sont c eux que l’on observe lorsque les apports d’investissements aident les pays d’accueil qui con naissent des difficultés financières à utiliser soit leur dotation en ressources (par exemple investissements étrangers dans l’extraction de minerais) soit leur situation géographique (par exemple les investissements dans certaines économies en transition).
La théorie d’avantage comparatif de Ricardo ainsi que la théorie d’Hecksher-Ohlin expliquent une spécialisation dans le bien où l’on a une dotation factorielle. Le pays exporte le facteur de production abondant chez lui et importe ce qui est rare. Les théories d’échange international inspirées par Adam Smith (1776) et Ricardo (1819) paraissent essentielles. Ces deux économistes ont considérés la concurrence et a l libre entreprise comme les caractéristiques de leurs théories. Adam Smith propose une spécialisation d’un pays dans la production de produits où leur coût de production mesuré par « le travail » est inferieur, en échangeant ces produits sur les marchés mondiaux (produits mobiles) dont ce pays en a l’avantage absolu. La technique de production s’est différenciée d’un pays à l’autre. Par contre, pour Ricardo, même si un pays n’as pas d’avantage absolu il pourrait s’échanger en tenant compte de deux produits, à l’instar du vin et des draps avec son avantage comparatif (Teulon F., 2002).
Dans ce contexte, il y a la mobilité de facteur deproduction (travail) et la mobilité des produits. Cela signifie que les deux pays qui s’échangent, peuvent bénéficier en obtenant chacun les deux produits. Les théories classiques d’échanges internationales agissent également sur la mobilité des produits en fonctiondu coût de production à travers les avantages absolus ou les avantages comparatifs par rapport au « travail ». Elles ne connaissent pas l’existence du « capital » (investissement). Mais, l’IDE peut être masqué par la vente lors d’échange international, c’est-à-dire que pour obtenir la richesse d’un autre pays, on lui vend les produits d’un pays dont il y a des avantages.
Hecksher, Ohlin et Samuelson, ont inspirés des théories classiques d’échange international. Selon Hecksher-Ohlin, l’échange international est un échange de facteurs abondantes contre de facteurs rares (Teulon F., 2002), malgré les techniques de production sont identiques et l’immobilité de facteur de production.
L’économiste américain Paul Samuelson a soutenu ces idées en ajoutant que, dans le cas d’homogénéité des facteurs de production, d’identité de techniques, de parfaite mobilité des produits, l’échange international égalise le prix des facteurs d’une nation à un autre (théorie d’égalisation des revenus factoriels). Ainsi, selon Samuelson, dans un contexte d’ouverture de l’économie vers l’extérieur, tous les travailleurs devraient être rémunérés au même taux de salaire (à qualification identique), outes les unités de terre homogène devrait rapporter la même rente foncière dans tous les pays(Teulon, 2002).
La dotation des pays en développement comprend une abondance de ressources minérales, une main d’œuvre peu qualifiée et nombreuse et un faible capital technique. La dotation des pays développés comprend une main d’œuvre qualifiée, beaucoup de capital technique et peu de ressources minérales. Le théorème Hecksher, Ohlin et Samuelson s’énonce ainsi : chaque pays a un avantage comparatif dans l’activité qui utilise intensément le facteur de production dont il est le mieux pourvu. Pour les libéraux, la théorie du libre-échange, démontrée par Smith et Ricardo, est favorable à la croissance économique mondiale et tous les pays y gagnent quel que soit leur niveau de développement.
Le déterminant de l’IDE peut s’inspirer de ces anciennes théories dans la détermination des dotations factorielles. Le pays peut exporter les facteurs abondants chez lui et en important ce qui est rares.
Selon Robert Lacroix (1970):
Ee : efficacité marginale du capital (K) à l’étranger
En : efficacité marginale du K dans les pays exportateurs
Ie : taux d’intérêt à l’étranger
In : taux d’intérêt du pays exportateur
La condition d’un investissement d’un pays N (pays exportateurs) vers un autre pays E (pays étrangers) se résume dans ces 4 inégalités fondamentales :
Ee≥Ie
Ee≥En
In≤Ie
Et par suite Ee/In≥ En/Ie
Ainsi, il peut y avoir un mouvement de capital dès l’instant où le taux d’intérêt et l’efficacité marginale du capital sont tous les deux inférieurs dans le pays d’origine par rapport à ceux de l’étranger. Le taux d’intérêt setrouve alors inférieur à l’efficacité marginale du capital à l’extérieur.
A partir de cette théorie, on sait que l’efficacitémarginale est décroissante avec l’augmentation de sa quantité, donc, les capitaux passent des pays à une abondance de capital vers les pays demandeurs. Le rendement de ce dernier est plus élevé.
Dans la stratégie de firme, on constate aussi une abondance en capital au niveau national. C’est pour cela que les firmes multinationales cherchent d’autres débouchés à l’extérieur de son pays. La minimisation de coût se réalise par l’installation d’une entreprise dans le pays où il y a une forte demande de son produit. L’objectif de cette stratégie est de retirer le droit de douane, profité de la main d’œu vre à bon marché, etc.
Le mouvement de capital est fait d’un pays où le taux d’intérêt est faible vers un pays où le taux d’intérêt est élevé (Lacroix R., 1970).
Dans le pays d’accueil, de son côté, malgré la déficience de l’épargne (l’épargne est inférieur à l’investissement) et l’insuffisance de devise dans le territoire, le gouvernement est obligé de faire appel aux investisseurs étrangersL’IDE. est l’une des solutions pour ce double déficit (épargne et devise). L’exigence des conditions imposées par les entrepreneurs étrangers par contre doit être respectée par le yspa d’accueil à savoir :
• La stabilité politique : bonne gouvernance ;
• La stabilité économique : l’inflation, taux de change, etc.
• La règle juridique : code de travail, droit de propriété…
Les conditions inéluctables à l’investissement étranger ne sont pas seulement la situation économique entre les pays mais il est important de déterminer le rendement attendu. (Lacroix R. ; 1970)
Avant d’investir dans un pays, les investisseurs estiment diverses variables économiques. Ramalahy M.I.Z., Rajamarison L. (2008)citent quelques variables déterminants qui attirent l’IDE dans les pays récepteurs :
• Le PNB/hab : c’est un indicateur de mesure de revenu net de l’économie ainsi que le débouché pour la production des FMN.
• Le taux de croissance du PIB au service de la dette extérieure totale : les FMN peuvent refléter l’environnement économique du payssurtout l’environnement d’investissement. Ils peuvent estimer la crédibilité du pays et son profit envisagé.
• La FBCF privée : c’est un indicateur de la réussitedes politiques pour la promotion des investissements privés et par conséquent traduit la facilité des opérations privées.
• Le taux d’inflation : c’est un indicateur de la sta bilité macro-économique du pays.
• Taux de pression fiscale : le principal objet de l’IDE est les opérations d’importation et d’exportation.
• Le crédit local fourni par le système bancaire : cet instrument détermine la disponibilité des crédits et de l’intermédiation nancièrefi.
• Le taux de change effectif réel : c’est l’indicateur de compétitivité à l’importation et l’exportation.
• L’indice de l’ouverture de l’économie vers l’extérieur : cet indicateur détermine la relation et les opérations du pays avec le reste du monde.
• Le taux d’intérêt international : détermine le coûtd’opportunité de la décision d’investissement, c’est-à-dire le gain.
Condition d’intégrité d’IDE
Chaque pays a sa propre règle (code d’investissement). Ces règles déterminent le droit et l’obligation des investissements étrangers. L’investisseur est obliger de suivre et appliquer ces règles qui sont applicables d’un pays à un aut re, comme :
Insertion de l’investissement dans le plan de développement du pays,
Contribution à l’amélioration de la balance commerciale et de la balance des paiements,
Utilisation des matières premières locales,
Obligation d’avoir un siège social sur place,
Obligation de tenir une comptabilité locale selon un plan comptable agrée,
Construction d’un capital minimal,
Contrôle par l’Etat du financement et du fonctionn ement,
Fixation de délais pour la réalisation de l’investissement,
Présentation et application d’un plan de production comportant fréquemment des classes d’extension graduelle de l’investissement,
Fixation ou contrôle des prix par l’Etat, etc.…
Les pays d’accueil engagent les investisseurs à sat isfaire les besoins du marché intérieur. Dans ce cas, le pays minimise la demande d’importation. A vrai dire, les investisseurs doivent faire une substitution à l’im portation. L’IDE est à cette effet doit satisfaire les demandes à l’intérieur du pays d’accueil.
L’IDE peut être considéré comme une transaction internationale. Son enregistrement dans la balance des paiements est obligatoire et le flux ayant relié les divers secteurs de l’économie nationale au secteur extérieur pendant une période donnée. (Lacroix R.1970).
Le principe du contrôle des prix dépend de régime économique et politique d’un pays (Libéralisme, Etat interventionniste…). Certain pay s demande un réinvestissement dans le pays d’accueil pour une création d’emploi. (Durand-Reville L., 1970).
L’IDE existe à partir de l’initiative des investiss eurs. Ces investisseurs cherchent la meilleure opportunité pour maximiser son profit. Pourtant, l’IDE peut favorise aussi la croissance économique du pays d’accueil parce que l’IDE améliore les variables explicatives de la croissance.
Table des matières
INTRODUCTION GENERALE
Section I : Elément contextuel
Section II : Problématique
Section IV : Plan du mémoire
Chapitre I L’INVESTISSEMENT DIRECT A L’ETRANGER : Revues de littérature
Section I : Théorie sur l’investissement direct étranger et la croissance économique.
I- La croissance économique
II- Notion sur l’investissement
III- L’investissement étranger
1- L’investissement de portefeuille
2- L’investissement direct étranger
Notion sur l’IDE
Détermination d’IDE
Condition d’intégrité d’IDE
Section II : L’investissement direct étranger et les variables de la croissance économique.
I- L’IDE vis-à-vis du pays d’accueil
1- L’IDE et l’emploi
2- L’IDE et le facteur de production
3- L’IDE et le transfert de technologies
4- IDE et le capital humain
5- IDE et les investissements domestiques
6- IDE et le commerce extérieur
II- L’IDE vis-à-vis de l’investisseur et son pays d’origine
Chapitre II L’INVESTISSEMENT DIRECT ETRANGER ET LA CROISSANCE ECONOMIQUE A MADAGASCAR
Section I : Situation de l’investissement direct étranger à Madagascar.
I- Vue général de l’IDE à Madagascar
II- Système de l’IDE à Madagascar.
III- L’évolution de l’IDE à Madagascar
IV- Origine des capitaux d’IDE
V- La situation économique de Madagascar
VI- Politique d’IDE à Madagascar
Section II : Impact de l’investissement direct à l’étranger à l’économie malgache.
I- Effets sur l’emploi
II- Effets sur la production
III- Effets sur le transfert de technologies
IV- Effets sur le capital humain
V- Effets sur les investissements domestiques
VI- Effets sur le commerce extérieur
1- Les importations
2- Les exportations
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE