CONTEXTE DE L’ETUDE
Par rapport à la population malgache et du point de vue de la pauvreté, les épargnants sont au départ formés par des catégories de ménage et de population relativement aisées si nous tenons compte de la moyenne nationale. Et effet, nombreuses personnes avaient toujours l’impression que ce secteur est spécialisé pour des gens qui ont assez d’argent ou assez de reliquat en matière pécuniaire.
Mais aujourd’hui, le secteur de l’épargne à Madagascar a enregistré un grand essor et de développement grâce à l’émergence de certaines offres et services favorisant l’accès à l’épargne. De même, le secteur de l’épargne a toujours son grand rôle d’acteur en matière de financement de l’économie nationale.
Une concurrence rude est réticente et anime une grande rivalité entre les institutions qui œuvrent dans ce secteur. Ce fait nous a menés vers un choix d’une institution régissante dans le secteur épargne qui est le Caisse d’épargne de Madagascar. Elle est une institution financière qui pratique le volet épargne depuis sonexistence.
C’est une société caractérisée par des diverses évolutions que ce soit au niveau de son statut juridique, de son réseau, et de ses relations internationales. La présentation de cette entreprise va se faire en deux temps, en premier temps l’exposé de son historique et en second temps la description de ses activités.
HISTORIQUE DE LA CEM OU LA CAISSE D’EPARGNE DEMADAGASCAR
A Madagascar la Caisse d’Epargne fut créée le 03 Novembre 1918 au même moment que les créations de plusieurs Caisses d’Epargne dans la première moitié du 19ème siècle comme à la Grande Bretagne en 1861, au Japon en 1881, au Nigeria en 1886, au Ghana en 1888, à Afrique de l’Est et aux Etats-Unis en 1910.Elle a été crée durant le Régime colonial sous l’appellation « Caisse National d’Epargne » ou CNE.
A cette période, elle appartenait à l’Etablissement Public et Administratif ou EPA et n’avait aucune autonomie budgétaire c’est à dire qu’il n’existait aucune autonomie au niveau du budget et aucune politique financière bien définie .Alors elle était présentée comme une organisation à but non lucratif.
Chez nous, comme dans plusieurs pays, la Caisse d’Épargne a toujours fonctionné en tant que section au sein de l’administration postale à l’époque.
C’est donc la plus ancienne Institution Financière qui pratique le volet épargne orientée vers la population qui ayant des bas revenus car la plupart de ses clients appartiennent à une catégorie de la population qui a du mal à faire recours aux crédits bancaires. Ses clients privilégient au moment des retraits, le nominal de leurs dépôts majorés d’un intérêt.
Le 6 mars 1985, la CNE est devenue Caisse d’Epargne de Madagascar ou CEM avec l’apparition du décret 85 – 061 définissant l’organisation comme étant un Etablissement Public à caractère Industriel et Commercial (EPIC) suite à une séparation de l’administration et de la communication. Elle devenait alors sous tutelle du Ministère des Postes et
Télécommunications sur le plan administratif et le Ministère des Finances sur le plan financier. Malgré cela, la CEM devenait une institution à but lucratif avec une autonomie de gestion car son budget ne dépendait pas de ces ministères. En 1993, il y avait un accord de coopération bilatérale entre la Banque centrale et le gouvernement américain représenté par l’USAID dont l’objectif est de faire une relance sur le développement du service financier et de renforcer le CEM de manière qu’elle soit apte de maîtriser son évolution et de faire face aux défis de son secteur d’activité. Cet accord vise àdonner une assistance technique d’une part et un appui financier d’autre part.
L’EVOLUTION INSTITUTIONNELLE DE LA CEM
L’évolution institutionnelle de la Caisse d’Epargne de Madagascar se présente ainsi :La CEM a été déclarée comme étant une société Anonyme suivant la loi 95 – 019 le 18 septembre 1995, ce changement la privilégie comme étant un établissement de crédit et qui requiert une nouvelle mode de Gestion. Elle est devenue membre la CEM de l’«Institut Mondial de la Caisse d’Epargne » (IMCE) en 1996. Un accord a été signé le 20 Novembre 1997 avec Western Union qui est l’une des grandes institutions financières des Etats-Unis quis’occupe du transfert d’argent. Une année plus tard, la ville d’Antananarivo a reçula quatrième réunion du groupe de l’Afrique de l’IMCE et la CEM est devenue le représentant de Western Union le 02 août 1998.
Depuis l’année 1999 , la CEM a pu faire des placements appelé Bon de Trésor par Adjudication ou BTA, auprès de la banque centrale pour restituer ses ressources. En Juin 2001, une Abrogation de la loi 95-019 est apparue suite à une promulgation de la loi N°2001-001 portant sur sa mise en place de la Caisse d’Epargne en tant que Société Anonyme (Caisse d’Epargne SA) , et comme toute société anonyme le nombre des actionnaires doit être inférieur à sept (7) .Cette loi indique aussi que l’état Malagasy est actionnaire majoritaire.
Un mois plus tard, à vrai dire le mois de Juillet 2001 la Poste n’est plus la représentation commerciale du CEM et elle est devenue sous tutelle d’un seul ministère qui est le ministère des Finances.
Le Décret d’application n° 2002- 1553 de la loi 2001-001 était sorti le 03 Décembre 2002.
Le 05 Septembre 2003 la nomination d’un nouveau Directeur Général et la validation du Conseil d’Administration (CA) a été effectuée lors d’une Assemblé générale. Un nouvel organigramme a été instauré en Février 2004 ainsi que toutes les procédures de transformation en Société anonyme ont eu lieu en Mai 2006.
IDENTIFICATION ET STATUT JURIDIQUE DE LA CEM
La CEM a son siège social au 21, Rue Karija Tsaralalàna Antananarivo. Elle le Capital social de Ar 5.460.000.000, enregistrée sous le numéro statistique 65123 11 2006 010 338 et a le Numéro d’Identification Fiscal (NIF) 105013328.Ellea été inscrite au registre du commerce 30 Mai 2006 sous le numéro 2006/80049.Son adage c’est : « Caisse d’Epargne de Madagascar, tokinao hatrizay, mampandroso anao hatrany ».
MISSIONS ET OBJECTIFS DE LA CAISSE D’EPARGNE DE MADAGASCAR
La CEM a pour mission principale de collecter des épargnes c’est a dire, elle offre a la population le moyen de placer en sécurité ses revenus, de veiller à ce que chaque personne puisse accéder a la sécurité maximale de ses revenus, de faire bénéficier a tout individu un moyen plus facile d’épargner au plus grand nombre de la population dans tout Madagascar, sans distinction d’âge, ni de catégorie sociale .
Elle permet donc un accès facile aux services financier pour pousser la population à bas revenu à prendre part dans le développement économique de leur vie ainsi que pour son pays.
Également mentionné auparavant, le service n’est pas réservé au nombre restreint de personne , la satisfaction de tous les acteurs au niveau de l’économie malgache reste son enjeu principal. Avec un millions de compte active, le travail est loin d’être achevé vu le nombre de la population qui dépasse actuellement les vingt millions.
Ainsi les épargnes collectées leur permettent d’assurer son besoin de financement. Grosso Modo on peut qualifier la mission de la Caisse d’Epargne de Madagascar comme étant une vocation sociale et communautaire. Sur le plan financier, elle veille plus sur les besoins éventuels de l’Etat et participe au marché financier.
LES ACTIVITES DE LA CEM
D’une façon générale les activités de la CEM se résument à la collecte de l’épargne et à la fructification des ressources ainsi collectéesmais si nous nous lançons à ses détails, nous constatons diverses catégories d’activité. Sous trois catégories sont groupées les activités de la Caisse d’Epargne de Madagascar, en récurrence les ressources qui constituent la première catégorie y compris produits de collecte, l’emploi de l’épargne est la seconde catégorie sous la dénomination produit de placement et les autres produits qui forment la dernière catégorie.
Pour la suite, nous allons déployer un à un les composants de chaque catégorie.
Les ressources ou produits de collecte
Comme son nom l’indique produit de collecte, les ressources de la CEM proviennent des collectes auprès des agents membres et clients à travers son réseau d’agence présent dans toute la grande ile. Cette collecte se fait par le biais des trois produits qui sont : le Livret d’Epargne(LE), le Compte Spécial Epargne(CSE), et le Compte Spécial Retraite(CSR).
Le Livret d’Epargne (LE)
C’est, le premier produit de la CEM, depuis sa création jusqu’à nos jours. L’épargne collectée par ce produit atteint la majorité de la masse des ressources de la CEM. Avec ce livret, tous les services sont gratuits mais il nécessite tout simplement un délai de blocage de 15 jours avant de faire toute opération de retrait et les intérêts créditeurs capitalisés se font annuellement.
Une innovation est apporté au niveau de (LE) depuis la fin de l’année 2007 car elle a instauré une subdivision suivant l’âge des bénéficiaires de ce produit. Les enfants de 0 à 16 ans utilisent le Livret Junior SOMBINIAINA avec unesomme minimale de 500 Ariary et le solde restera bloqué jusqu’à ce que son titulaire ait 16 ans. Ensuite le Livret Jeune MIHARY pour les jeunes qui ont l’âge entre 16 et 25 ans, pour ce type de compte le minimum requis est de 5000 Ariary et la fréquence de retrait se fait suivant un intervalle de 15 jours. Enfin le Livret d’Epargne MITSIMBINA pour les âgées plus de 25 ans, pour les sociétés et les associations.
Le Compte Spécial Epargne (CSE)
Ce compte est dédié à des particuliers haut de gamme et pour les associations car le dépôt minimum est de 10 millions d’Ariary. Tous les services sont toujours gratuits, sa particularité est la capitalisation à l’échéance et son taux d’intérêt négociable avec une variation en fonction du taux du marché monétaire et de durée du placement. C’est un compte d’épargne à terme c’est-à-dire de maturité 12, 24 et 52 semaines. Celui qui utilise ce compte acquiert un titre de placement. Le CSE a vu le jour depuis 1999.
LA LIMITE DE L’ETUDE
Avoir des informations à fond et complet reste toujours un engouement à causes des difficultés quasi omniprésentes lors d’une étude ou diverses recherches. Par conséquent, la convoitise d’avoir un travail bien présenté et bien édifié nous a beaucoup aidé à surmonter ces embuches.
Limites sur les documentations
Puisque la méthode IMMRED est plutôt une démarche scientifique, une documentation très étendue est préconisée, or faute de matériels comme l’inexistence des ouvrages de certains auteurs à Madagascar, notre étude est limitée et nous sommes obligés de se contenter de quelques documents trouvés. Cette situation entraine la partialité de données.
Limites sur les données concédées par la firme
Ensuite, comme toute entreprise qui pratique la veille concurrentielle, il y avait des documents qui sont difficile à avoir voire même classés confidentiel au sein de la CEM et dont l’accès à ses documents est réservé à un nombre restreint de personne au niveau de la société. Dénué des données concernant plus particulièrement la société comme les Etats financiers, nous sommes limités dans les illustrations pratiques.
Limite financière
Appart le matériel, nous avons pu constater la faute des moyens pour la visite des autres localités où implantent les autres agences notamment au niveau des provinces, et pourtant notre visite s’est déroulée seulement au sein du siège de la CEM Tsaralalàna ,malheureusement, la situation dans laquelle nous nous trouvons n’ admet pas d’aussi grande dépense, ce qui nous contraint à ne pas donner une grande preuve d’ imagination sur la conception de notre ouvrage. Malgré ces difficultés, le présent ouvrage représente quant même des informations représentatives de toutes les rubriques censées d’être étudiés.
Conclusion partielle du premier chapitre
Comme étant l’élément principal de notre contexte d’étude et servant à l’identification du protocole de recherche, la parfaite connaissance de la CEM en tant que domaine d’étude a une grande importance. La première section nous a donnée la notion suffisante à propos de la CEM puisque le bon déroulement de l’étude en résulte.
LA COLLECTE DES DONNEES
Suivant le modèle IMMRED (Introduction Matériels Méthodes Résultat Discussions et recommandations) que nous utilisons à d’édification de ce présent ouvrage, l’accès à la recherche et à la documentation, à diverses enquêtes est primordial car la majorité des informations et des données ne sont pas perceptible d’une simple manière. Durant la recherche, nous avons adopté tous les techniques afin de parvenir à un résultat.
L’ECHANTILLONAGE
Avant d’entamer une enquête, il consiste à choisir la zone d’étude en que le choix en question est tributaire des critères suivant : l’orientation vers une entreprise utilisant la stratégie de Croissance interne dont la Caisse d’Epargne de Madagascar a fait parti des sociétés qui en pratique dans ses activités. Elle a répondu vivement à nos conditions vu qu’elle s’autofinance sur la majorité de sa capacité qui frôle environ les 85%. A titre d’échantillonnage, nous avons choisi le siège de la CEM sise à Tsaralalana puisqu’il peut représenter tous les services et toutes les agences à travers la grande ile .
LES QUESTIONNAIRES
Notre enquête n’aboutit à rien sans avoir élaborer des questionnaires appropriés puisque le questionnaire nous permet d’apporter une analyse sérieuse à l’aide des questions à poser aux responsables de l’entreprise, étant donné que la suite de l’étude dépend essentiellement des réponses obtenues. Afin d’obtenir des réponses à nos diverses attentes en matière d’information et des données sur la pratique au sein de la société, une bonne conception de questionnaire est revendiqué.
Comme nous l’avons déjà parlé auparavant, notre questionnaire a été constitué par trente et une questions composée des questions ouvertes, des questions fermées et des questions à multiple réponse ou à éventail réponse pour donner une sorte d’aisance pour l’enquêté en matière de réponse.
Le questionnaire nous a permis de faire des comparaisons et apporte une aide importante à la vérification des hypothèses.
En faite, notre questionnaire a été divisé en quatre(4) rubriques différentes dont la première concerne l’information générale de l’Entreprise et son environnement ; le seconde s’agit des ses Stratégies ; en troisième lieu la notion de la Croissance interne et l’Entreprise et en dernier lieu l’analyse des forces et faiblesses de l’Entreprise ou en d’autre terme le diagnostic FFOM (Forces Faiblesses Opportunités Menaces) de la firme. La représentation des tableaux incluant ces questionnaires seront déployés à la partie annexe.
LES LIVRES DE BIBLIOTHEQUE
La sélection des hypothèses se fait par des analyses documentaires, pour en faire, nous avons visité nombreux endroits et bibliothèquepour trouver des livres et des ouvrages qui parlent de notre thème. Parmi ces différents endroits, nous mentionnons particulièrement le Centre d’Information Technique et Economique sous le sigle CITE sise à Ambatonakanga ,qui nous a permis de faire des investigations à l’exhaustives grâce à l’ampleur de ses documents qui ne se limitent pas à des livres proprement dit mais aussi des revues, des magazines(…).
Puisque notre thème concerne la stratégie Nous avons le large choix sur les documents qui en parlent, à énumérer l’ouvrage qui s’intitule« LA STRATEGIE D’ENTREPRISE » écrit par une dizaine d’auteur qui nous apprend beaucoup sur le diagnostic stratégique.
Ils sont nombreux les documents consultés, qui seront tous mentionnés à la bibliographie de notre ouvrage sans citer les livres comme « LA STRATEGIE DE L’ENTREPRISE ET MOTIVATION DES HOMMES » Edition Octave Gélinier, « LA STRATEGIE DU GAGNEUR : Entreprise et nation face à la nouvelle concurrence » Edition Armand Colin. D’ailleurs, les livres nous a permis beaucoup d’avoir une affluence d’observation et de point de vue sur notre thème, la plupart des définitions y sont acquis.
LE CHRONOGRAMME DES ACTIVITES MENEES
Étant donné que l’élaboration de ce présent ouvrage nous a demandé un intervalle de temps assez long. Ci-après le tableau qui est une sorte de calendrier résumant les activités menées avec sa durée respective. La réalisation du présent mémoire a durée huit mois à compter du début mois de mai 2012 et pris fin le mois de Décembre 2012.
LES DONNEES ET INFORMATIONS THEORIQUES
Théorie générale sur la croissance interne et la Stratégie
Puisque notre ouvrage s’articule autour du mot « stratégie » et « croissance interne », il est très important d’être à la parfaite connaissance du concept et de l’idée que renferment ces deux mots. Cette section va nous donner les définitions, les caractéristiques et les évolutions conceptuelles de ces mots.
La croissance interne
La croissance interne est un processus par lequel des unités économiques se développent en créant des capacités nouvelles de production et de vente. On peut la définir aussi comme une capacité à investir grâce à des ressources propres c’est à dire auto développement et autofinancement de la firme par ses propres moyens sans appel à des partenaires externes. Elle correspond à un développement progressif et continu de l’entreprise fondé sur un accroissement des capacités existantes ou la création de nouvelles capacités productives ou commerciales. Elle permet aussi de préserver l’indépendance économique et financière de l’entreprise.
Une entreprise qui s’engage à utiliser la croissance organique ou croissance interne est dénuée de toute catégorie d’alliance avec son environnement externe mais opte plutôt pour une forte mobilisation interne au sein du dudit firme.
Caractéristiques
Pour tout sujet qui cherche à se développer et à apporter un progrès, la notion de la croissance est un élément vital pour l’avènement à un objectif bien défini.
La croissance de l’entreprise se présente sous deux aspect : d’une part sur la manière qualitative qui se caractérise par une augmentation de sa taille mesurée par l’augmentation de son Chiffre d’affaires déterminée par le taux de variation annuel des ventes résultant d’ une variation en volume ou d’ une modification tarifaire ; de renforcement de la part de marché sur laquelle se fonde la mesure de la position concurrentielle de la firme. Cet accroissement de la part de marché peut s’apprécier suivant l’axe d’analyse suivant.
Table des matières
REMERCIEMENTS
LISTE DES ABREVIATIONS
LISTE DES FIGURES
LISTE DES TABLEAUX
INTRODUCTION GENERALE
PARTIE 1 : MATERIELS ET METHODES
CHAPITRE 1 : MATERIELS
Section 1 : Contexte de l’Etude et présentation de l’Entreprise
Section 2 :La limite de l’Etude
CHAPITRE 2 : METHODES
Section I : La collecte des données
Section II : Les Outils d’analyses
Section III: Le Chronogramme des activités
CHAPITRE 1 : LES DONNEES ET INFORMATIONS THEORIQUES
PARTIE 2 : LES RESULTATS
Section I : Théorie générale sur la croissance interne et la Stratégie
I-1La Croissance interne
I-2La Stratégie
CHAPITRE 2 : VALIDATION AUPRES DE LA CEM
Section I : La stratégie appliquée au niveau de la CEM
Section II : Représentation et Transcription des données
PARTIE 3 : DISCUSSIONS ET RECOMMANDATIONS
CHAPITRE 1 : VALIDATIONS DES RESULTATS ET DISCUSSIONS A PARTIR DES HYPOTHESES
Section I: Discussions apportées sur la mobilisation interne
Section II : Discussions apportées sur la croissance interne avec l’adoption de la stratégie
Section III: Discussions apportées sur la CAF
CHAPITRE 2 : RECOMMANDATIONS ET SUGGESTIONS APPORT EES POUR LA CEM
Section I: Accélération de la transformation de la CEM en tant qu’Etablissement financier avec octroi de crédit
Section II : Mise en activités des Distributeurs Automatiques des Billets DAB
Section III: Implantation des agences dans les autres régions notamment rurale
Section IV: Renforcement des produits saisonniers et mouvement de compte suivant chaque région
Section V : Augmentation des sommes allouées pour l’autofinancement
Section VI: Multiplier les offres de diversification
CONCLUSION GENERALE
ANNEXES
BIBLIOGRAPHIE
TABLE DES MATIERES