Symptomatologie de la cysticercose humaine
Les symptômes de cette maladie dépendent de sa localisation au niveau du corps. Souvent, il y a peu de symptômes jusqu’à ce que le parasite meure [30]. Quand le parasite meurt, le système immunitaire de l’hôte détecte les débris du vers et les attaque et entrainent de l’œdème et une cicatrisation, ce qui provoque la plupart des symptômes observés [45].
Dans les muscles, les kystes provoquent un œdème ou créent des nodules sous la peau.
Diagnostic de la cysticercose humaine
Le diagnostic de la cysticercose est fondé sur les résultats des examens biologiques. Les examens montrent l’apparition d’une hyperéosinophilie et la présence d’anticorps spécifiques. Ces anticorps sont détectés à l’aide d’extraits antigéniques obtenus à partir de T. solium adultes isolés de selles humaines. La mise en évidence de ces anticorps se fait par la technique ELISA, électrosynérèse ou d’immunotransfert (Western Blot) : fractions spécifiques de 60-70, 26, 18 et 13-14 kilodalton (kDa) [48].
L’examen anatomo-pathologique des biopsies des nodules sous-cutanée ou intramusculaire constitue l’examen de choix dans les diagnostics des formes extracérébrales de la cysticercose [49].
Traitement de la cysticercose humaine
Des médicaments antiparasitaires tels que le praziquantel et l’albendazole peuvent être utilisés pour traiter la neurocysticercose car ces molécules ont la capacité de diffuser dans le système nerveux central [39]. Le niclosamide (Trédémine) est prescrit à la dose de 2 g chez l’adulte pour T. solium.
Les stéroïdes et les médicaments anti-inflammatoires sont également souvent prescrits en complément pour réduire l’œdème cérébral qui résulte des attaques du système immunitaire contre les vers morts. Parfois la chirurgie peut être nécessaire pour enlever la zone infectée ou les kystes, mais ceci peut être impossible quand ils sont situés dans des régions dont l’accès chirurgical est difficile ou dangereux. Elle est généralement réservée aux formes oculaires [50].
La prophylaxie se fait en premier lieu par le traitement des sujets infectés (téniasis et cysticercose). La prophylaxie repose sur les règles suivantes :
La réduction des risques et de la fréquence de l’essaimage des œufs de T solium se fait par la construction des latrines.
Éviter de manger la viande de porc crue ou peu cuite et respecter les règles d’hygiène [51].
Epidémiologie
C’est une maladie cosmopolite. Elle est liée à la promiscuité de l’homme et du porc (cohabitation étroite) et cela favorise sa persistance dans la communauté [52]. Elle est liée aussi aux conditions d’hygiènes défectueuses. Le péril fécal (contamination par ingestion d’aliments ou d’eaux contaminés par les œufs) joue aussi un grand rôle dans sa propagation, ce qui implique l’utilisation des engrais humain à la culture [53]. Elle atteint les deux sexes et aussi les sujets de tout âge [54].
La présence d’animaux ladres traduit une forte propagation d’œufs infectants, éliminés par les hommes porteurs du ver adulte. La dispersion des œufs sont aussi favorisée par les mouches et les eaux de ruissellement. Une forte prévalence de la maladie se trouve dans les pays où les conditions suivantes sont réunies : conditions hygiéniques pauvres, absence quasi généralisée de latrines, surtout dans les zones rurales, divagation permanente des porcs [38]. Les pays à élevage porcin important et à hygiène vétérinaire insuffisante sont aussi les plus touchés. Il est aussi lié au coutume et manque d’éducation. En effet, dans certaines régions ou pays, les gens n’utilisent pas des latrines car ils leur sont tabou [55].
Les maladies suivantes sont comparées: pasteurellose, tuberculose, maladie de Teschen, peste porcine africaine (PPA), peste porcine classique (PPC), strongylose digestive, cysticercose, et stéphanurose. Après avoir noté sur leur caractère zoonotique, mortalité, Prévalence, chute de production, et avortement, c’est la cysticercose qui tient le total de note la plus élevée [56].
Madagascar, est aussi endémique de cette maladie. Le premier cas de cysticercose y a été détecté en 1910 et la prévalence est estimée à 10%. La prévalence des carcasses infestées est de 3 à 24% entre 1926 et 1961 [57]. Puis, cette prévalence diminue et arrive jusqu’à 4% dans les années 70 selon les données officiels [58]. Cette prévalence diminue encore jusqu’à 0.5 à 1% entre 2008 et 2012 selon les données en abattoirs [8]. Des études récentes ont été faites dans le district d’Ambatolampy région Vakinankaratra en 2011 et a montré une prévalence de 11.4% en inspection de viande [55]. Il y a aussi l’étude faite dans la région Haute Matsiatra qui a montré une prévalence de 2,98% en inspection de viande [59].
Impact économique de la cysticercose porcine
Cette maladie entraine des impacts aussi bien économiques que sur la santé publique [2]. Ceci s’explique par la perte due à la saisies ou bien la réduction des revenus des éleveurs de porcs pour les carcasses dévalorisées [60-62]. En chine, la perte de carcasse due à la cysticercose est estimée de 200.000.000 Kg chaque année, ce qui est équivaut à 120.000.000 de dollars.
La perte est également estimée à 478.844 Euros par an au Cameroun. Pour Madagascar, cette perte atteigne jusqu’à 35 254 292 034 Ar en 2010 [56].
Inspection des viandes
L’inspection de viande a pour but essentiel de connaitre si la viande est propre ou non à la consommation humaine, et aussi d’apprécier leur qualité [59]. Cette inspection est toujours suivit d’une mesure de police sanitaire qui a pour but de déclarer les maladies réputées légalement contagieuse. Il s’agit ici d’une inspection qui suit la norme internationale. Les fonctions d’inspection sanitaire sont assurées par les vétérinaires inspecteurs .Pour le contrôle, ils ont accès à tous les locaux, installations véhicules, objets et marchandises nécessaire à l’abattage ou à la mise dans le commerce des viandes ou des préparations des viandes. Une garantie de la salubrité complète impose tout à la fois un examen ante- mortem ou examen sur pied et un examen post mortem [63,64].
Examen sur pied
L’examen des animaux avant l’abattage est très important. En effet, il identifie les animaux qui montrent des signes évidents de maladie ou des défauts qui pourraient rendre la carcasse impropre à la consommation humaine. Cette étape est extrêmement importante, car les signes cliniques apparents au moment de l’inspection ante mortem ne le seront plus après l’abattage et pourraient ne plus être décelables à l’œil nu à l’inspection post mortem [65]. Les viandes qui déterminent des accidents chez l’homme proviennent généralement des animaux malades. Normalement, un animal sain doit présenter tous les aspects de la bonne santé, sinon on applique les conduites à tenir suivantes :
Cas des animaux blessés ou accidentés
Ces animaux doivent être abattus rapidement si leur état ne permet pas une guérison rapide pour éviter son perte totale, car tous les animaux morts doivent être saisis. L’abattage d’urgence est donc une mesure de sauvegarde .Il intéresse surtout les animaux présentant des fractures, des hémorragies, des blessures graves résultant le plus souvent de leurs transports dans les mauvaises conditions. Ces animaux seront abattus sous surveillance sanitaire et l’on attendra quelque heure pour pratiquer l’inspection (consignation) afin de permettre aux altérations de s’accentuer. On procèdera à un examen très attentif de la viande. Si au moment de leur abattage, les animaux blessés sont fiévreux, alors on les isolera, et au bout de certains temps, la maladie se manifestera ou au contraire, l’animal se rétablira [66]. Dans les deux cas, on procède toujours à l’abattage de l’animal. En effet, on abatte immédiatement sans délai les animaux malades, et cela se fait à l’écart des autres animaux. Apres l’abattage, il faut consigner la viande quelque heure avant de pratiquer l’inspection afin de permettre aux altérations de s’accentuer [63,65].
Cas des animaux fatigués
Les animaux fatigués par un long voyage ou la chaleur insupportable ne seront pas abattus immédiatement, mais il faut attendre un ou deux jours pour que l’animal se repose [66]. Puis, on prend sa température, et si l’animal est fiévreux, alors on le traite comme dans le cas précédent [63].
Cas des animaux atteints d’une maladie contagieuse
Tout animal atteint ou suspect d’une maladie contagieuse, doit être immédiatement abattu [66]. On désinfectera ensuite l’aire d’abattage [67]. S’il s’agit d’une maladie à déclaration obligatoire par la législation sanitaire, on cherchera à déterminer l’origine de l’animal pour intervenir dans le troupeau d’où il provient.
Quand l’animal a été abattu d’urgence par son propriétaire en dehors de l’abattoir, l’inspecteur doit toujours exiger la présentation de l’animal et de ses abats, et ne pas prendre à la lettre les déclarations souvent mensongère du boucher car il peut s’agir d’un animal mort que le boucher veut faire passer pour un abattage d’urgence par simulacre d’égorgement [63].
Sensibilité de la méthode classique d’inspection de viande
En général, la méthode classique d’inspection de viande n’arrive à détecter que 15 à 50% des animaux infectés [69]. L’efficacité de l’inspection de viande varie avec le nombre et emplacement des incisions. Par exemple, au Zimbabwe, 58% des carcasses étaient positifs dans la tête seulement, 20% à l’épaule seulement et 8% dans le cœur, alors que 81% se sont révélés être infestés si les trois organes ont été inclus. Au Kenya, 57% des bovins trouvés positifs ne sont pas été infestés au niveau des sites de prédilections [70]. Il est à noter que les sites de prédilection des cysticerques sont les même chez les bovins (larves de Tænia saginata) que chez les porcs (larve de T solium) [69].
DEUXIEME PARTIE : MEHODES ET RESULTATS
METHODES
Cadre de l’étude
Présentation et historique du site d’étude
L’étude s’était déroulée dans les abattoirs d’Anosizato qui se trouvent dans la commune d’Anosizato andrefana, Région Analamanga, District d’Antananarivo Atsimondrano, et précisément dans le quartier d’Antokotanitsara. La commune se trouve à peu près 7 kilomètres (km) du centre de la ville à l’ouest de la capitale. Elle débute la partie Ouest de la province d’Antananarivo.
Une loge pour le lavage, l’éviscération, la préparation des viscères et la caisse
Il s’agit d’une même loge pour effectuer ces quatre opérations. La structure est la même pour tous les abattoirs. Cette loge est pourvue des barres métalliques pour la suspension des porcs lors de leur éviscération et aussi pour la suspension des carcasses.
Le sol est cimenté et les murs sont pourvus de carreau sur leurs moitié inférieures, tandis que les parties supérieures sont colorées avec de la peinture lavable. Il existe une paillasse pour effectuer la préparation des viscères. Certains abattoirs disposent des robinets dans leurs locaux et certains n’en disposent pas et ont intérêts à chercher de l’eau au niveau des robinets publics. A cet effet, certains personnels d’abattoir s’engagent spécialement pour cette tâche.
Analyse univariée
Elle a permis de présélectionner, parmi les facteurs de risque potentiels, les variables explicatives ayant une différence significative. Le seuil de significativité défini était : valeur de probabilité (p) strictement inférieure à 0,20 (p < 0,20).
L’analyse univariée a été réalisée pour mettre en relation une à une chaque variable explicative avec la variable réponse. Une analyse de la variance de chaque variable a ensuite été effectuée au moyen du test de rapport de vraisemblance. Toutes les variables ayant p < 0,20 ont été retenues pour l’étape d’analyse multivariée.
Analyse multivariée
Cette analyse consistait à retenir les variables ayant une valeur de p<0,20. Le modèle final après avoir effectué cette analyse multivariée est donc un modèle au sein duquel toutes les variables sont significatives. Le seuil de significativité défini dans l’analyse multivariée est p ≤ 0,05. Si la valeur de p est inférieure ou égale à 0.05, alors l’hypothèse nulle H0 est rejetée, ce qui veut dire que la différence entre les valeurs de la prévalence pour les modalités de la variable est significative.
Si la valeur de p est supérieure à 0.05, alors l’hypothèse nulle est conservée, ce qui veut dire que la différence entre les valeurs de la prévalence pour les modalités de la variable est non significative.
Limites de l’étude
Cette étude est essentiellement limitée par :
La mauvaise interprétation des questions, le non sincérité des réponses collectées auprès des personnes enquêtées,
Des erreurs pourraient survenir durant l’observation des carcasses.
Considération éthique
Chaque responsable d’abattoir doit être informé de l’objectif, des méthodes et les bienfaits attendus de l’étude. Le secret professionnel doit être respecté: Pour cela, la confidentialité des recherches devrait être respectée et garantie. Les données aussi sont à conserver en lieu sûr. Enfin, les autorités locales, les responsables ainsi que les ouvriers devraient être respectés.
Facteurs de variation
Analyse univariée
Pour un intervalle de confiance à 95%, la valeur de p pour chacune des trois variables étudiées pour la recherche de facteur de variation de la cysticercose porcine (race, saison, origine) sont inférieures à 0.20 (p<0.20). La variable race et la variable origine avaient une valeur de p égale à 0,00. La variable saison avait une valeur de p égale à 0,15. Ces valeurs de p montrent que ces trois variables sont significatives (tableau 10).
Analyse multivariée
Les trois variables significatives lors de l’analyse univariée ont été entrées dans un seul modèle multivarié. Après l’analyse multivariée, ces trois variables montraient une significativité vis-à-vis de la cysticercose porcine. La valeur de p pour la variable race était 0,00. La valeur de p pour la variable saison était 0,04. Pour la variable origine, p était 0.00. La valeur de p pour tous les trois variables sont inférieures à 0.05 (p < 0.05) .L’hypothèse nulle H0 est donc rejetée, ce qui montrent la significativité de la variablerace, saison, et origine vis-à-vis de la cysticercose porcine (tableau XII).
TROISIEME PARTIE : DISCUSSION
Pertinence du type et période d’étude
La durée de l’étude pendant un an donne beaucoup d’avantages concernant le nombre de facteurs de variation mise en jeu dans la prévalence de la cysticercose porcine. En effet, toutes les donnés pendant les trois saisons de l’année sont collectées.
C’est la première fois qu’une étude d’une durée d’un an a été faite pour observer l’importance de la prévalence de la cysticercose porcine.
L’étude exhaustive a permis d’étudier tous les porcs abattus dans tous les abattoirs, ainsi les biais d’échantillonnage sont éliminés.
Variable d’étude
Cette étude a permis l’obtention des informations concernant les porcs abattus dans les abattoirs d’Anosizato à savoir l’origine, la race, la saison. Les données obtenues dans cette étude peuvent servir d’informations pour envisager un projet d’amélioration de l’élevage porcine à Madagascar dont la mise en place de la filière porcine qualité labélisée indemne de la cysticercose porcine.
Les variables races, origines et saisons ont été choisi pour être étudier dans l’étude pour leur faisabilité.
La variable sexe de l’animal est exclu du fait de la confusion entre le sexe masculin au sexe féminin lors de l’inspection des carcasses, puisque tous les organes ainsi que certaines parties des carcasses sont enlevés et par conséquent, rendent les carcasses non reconnaissables.
La variable poids des carcasses est aussi exclue, due au refus par les grossistes de donner ces informations. L’absence de ces données indiquant le poids des carcasses ne permet pas de savoir la perte économique exacte causée par le rejet des viandes ladres recensées pendant cette étude. La considération de la variable âge de l’animal serait aussi meilleure dans les prochaines études afin de vérifier s’il entre aussi dans les facteurs de variation dans l’apparition de la cysticercose porcine.
L’inspection des viscères n’a pas été réalisée dans l’étude du fait de leur non distinction pour chaque animal. En effet, tous les viscères sont traités ensembles sur une même paillasse et leur distinction est impossible. Pour cela, l’intervention de plusieurs personnes dans l’enquête serait nécessaire pour arriver à inspecter tous les viandes avec leurs viscères appropriés.
Perte économique due à la cysticercose
Si la moyenne des poids des carcasses est comprise entre 60 et 80 kg et que si toutes les carcasses ladres sont détruites [59], la perte atteint de 169 800 à 226 400 kg de carcasses pour ces 2830 carcasses ladres. Si le prix moyen d’un kilogramme de viande est de 6 000 Ar alors l’équivalent de cette perte en carcasse en ariary est de 1 018 800 000 Ar à 1 358 400 000Ar en 2014 [56].
Dans le cas des abattages clandestines, les animaux malades ou bien atteints de la cysticercose sont achetés jusqu’à une baisse de 30% par rapport à leur prix normal [21]. Considérons que toutes ces viandes ladres sont vendues clandestinement avec cette baisse de prix, alors la perte pour tous leurs propriétaires serait de 305 640 000 Ar à 407 520 000 Ar. Ces pertes sont seulement estimées pour une année, donc, elles se multiplient au fur et à mesure où les années passent si les mesures de lutte contre cette parasitose sont encore négligées.
Cette étude permet encore d’envisager l’importance de la téniasis chez l’homme dans les régions jugées plus touchées par la cysticercose porcine et permet surtout d’estimer la prévalence de cette téniasis à Antananarivo où ces viandes ont été distribuées.
Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE: RAPPELS
I. Situation de l’élevage porcine à Madagascar
I.1. Historique
I.2. Zone d’élevage porcin
I.3. Races porcines exploitées à Madagascar
I.3.1. Race locale
I.3.2. Large white
I.3.3. Landrace
I.4. Organisation de la filière porcine
I.4.1. Eleveurs
I.4.2. Les fournisseurs d’aliments
I.4.3. Les vétérinaires
I.4.4. Les collecteurs
I.4.5. Les grossistes et les bouchers
II. Rappel théorique sur la cysticercose
II.1. Cysticercose porcine
II.1.1. Symptomatologie de la cysticercose porcine
II.1.2. Diagnostic de la cysticercose porcine
II.1.3. Traitement de la cysticercose porcine
II.2. Cysticercose humaine
II.2.1. Symptomatologie de la cysticercose humaine
II.2.2. Diagnostic de la cysticercose humaine
II.2.3. Traitement de la cysticercose humaine
II.3. Epidémiologie
II.4. Impact économique de la cysticercose porcine
III. Inspection des viandes
III.1. Examen sur pied
III.1.1. Cas des animaux blessés ou accidentés
III.1.2. Cas des animaux fatigués
III.1.3. Cas des animaux atteints d’une maladie contagieuse
III.2. Examen post mortem
III.3. Inspection de viande vis-à-vis de la cysticercose
III.4. Sensibilité de la méthode classique d’inspection de viande
DEUXIEME PARTIE: METHODES ET RESULTATS
I. METHODES
I.1. Cadre de l’étude
I.1.1. Présentation et historique du site d’étude
I.1.2. Organisation des travaux aux abattoirs des porcs
I.1.3. Activités aux abattoirs
I.1.4. Bâtiments de l’abattoir
I.1.5. Inspection des viandes dans les abattoirs d’Anosizato
I.2. Type d’étude
I.3. Période et durée de l’étude
I.4. Population d’étude
I.5. Echantillonnage
I.6. Collecte des données
I.7. Analyse des données
I.7.1. Paramètres à étudier
I.7.2. Traitements et manipulation des données
I.7.3. Analyse statistique
I.7.3.1. Prévalence
I.7.3.2. Analyse univariée
I.7.3.3. Analyse multivariée
I.8. Limites de l’étude
I.9. Considération éthique
II. RESULTATS
II.1. Description de l’échantillon
II.1.1. Effectif total des porcs abattus
II.1.2. Effectif des porcs abattus en fonction de la race
II.1.3. Effectif des porcs abattus en fonction de l’origine
II.1.4. Effectifs des porcs abattus en fonction de la saison
II.2. Prévalence de la cysticercose porcine
II.2.1. Prévalence total en abattoir
II.2.2. Prévalences de la cysticercose porcine selon leurs origines
II.2.3. Prévalences de la cysticercose porcine selon la race
II.2.4. Prévalence de la cysticercose porcine selon les saisons
II.3. Facteurs de variation
II.3.1. Analyse univariée
II.3.2. Analyse multivariée
TROISIEME PARTIE : DISCUSSION
I.Pertinence du type et période d’étude
II.Variable d’étude
III.Perte économique due à la cysticercose
IV.Pertinence du site d’étude
V.Sensibilité de l’inspection de viande
VI.Flux de porc par origine et par type d’élevage
VII.Prévalence des viandes ladres
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES