Finance islamique problématique de présentation dans les référentiels internationaux

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1. Manque d’uniformité dans les normes et régulations

La finance islamique repose sur des principes religieux et éthiques qui peuvent varier d’un pays à l’autre. Les jurisprudences islamiques peuvent parfois différer, ce qui conduit à une absence d’uniformité dans les pratiques et les produits financiers. Alors que certains pays adoptent des réglementations strictes en matière de finance islamique, d’autres peuvent adopter des normes plus souples. Cette divergence de régulations crée des difficultés lorsqu’il s’agit de standardiser les produits financiers islamiques à l’échelle internationale.

Les référentiels internationaux, comme ceux de l’International Financial Reporting Standards (IFRS) ou du Comité de Bâle pour la régulation bancaire, ont souvent du mal à intégrer les spécificités de la finance islamique dans leurs cadres normatifs standards, en raison de leurs principes qui diffèrent de la finance conventionnelle.

2. Absence de reconnaissance universelle des principes islamiques

Les référentiels financiers internationaux, comme les IFRS ou les normes comptables américaines (GAAP), sont principalement fondés sur les principes de la finance conventionnelle, qui autorisent des pratiques comme l’intérêt (riba), qui est interdit par la charia. En conséquence, les entreprises financières islamiques rencontrent des difficultés pour se conformer à ces normes tout en respectant les principes éthiques de la finance islamique.

La non-reconnaissance de la charia dans ces référentiels empêche les instruments financiers islamiques de trouver une place dans les systèmes financiers internationaux. Par exemple, les produits financiers comme la sukuk (obligations islamiques) ou les moudarabas et musharakas (partenariats financiers) n’ont pas toujours d’équivalents directs dans la finance conventionnelle, ce qui rend leur évaluation complexe dans des référentiels internationaux.

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