Objectifs et missions
Orange est un opérateur mobile et Internet internationalement reconnue pour son approche différente de la communication. Sa principale activité est d’offrir une gamme de produits simples et convergents autour de l’usage mobile, notamment la voix et le SMS (Short Message System) et de l’Internet, pour le grand public et l’entreprise. Elle a pour mission de contribuer au développement de l’usage de la téléphonie mobile et de l’Internet. Ce phénomène se rattache à l’essor prodigieux de tout ce qui touche aux Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication ou NTIC dans notre pays. La société participe également au développement économique et social du pays. En effet, entreprise citoyenne et responsable, OMA s’est engagée fortement dans le développement de la Grande Île en enrichissant la vie des gens, grâce à des moyens qui permettent de mieux se communiquer et ainsi de multiplier les échanges au sein de leur cercle de relation. Entre autre, OMA est une filiale internationale, ses objectifs convergents alors vers l’objectif du groupe Orange dans le monde.
L’objectif de ce dernier se base sur la convergence et l’innovation caractérisée par la maîtrise des coûts et visant à faire d’Orange l’opérateur intégré de référence pour les services de télécommunication. Ainsi, pour atteindre son ambition, le groupe Orange a basé ses priorités stratégiques dans les zones AMEA (Afrique Moyen-Orient et Asie) y compris OMA, sur quatre points clés comme offrir la meilleure expérience client en se différenciant par la qualité de service, en structurant le réseau de distribution et en développant la responsabilité sociale de l’entreprise (RSE) ; puis nourrir la croissance qui conduit à étendre la couverture dans les zones rurales, déployer les offres segmentées et développer le marché entrepris et aussi développer le relais de croissance en réussissant le décollage d’Orange Money, en devenant un leader sur haut débit et en standardisant l’Orange pour l’innovation ainsi qu’améliorer son excellence opérationnelle qui consiste à développer le partage de site, à accélérer la mutualisation et à développer des solutions « low-cost » (bas-prix).
Culture de l’entreprise
Pour OMA, Orange n’est pas uniquement une marque. C’est une force qui aide à bâtir une relation privilégiée avec ses clients pour qu’ils les préfèrent. Toute personne au sein de l’entreprise doit donc adopter cette force et être Orange dans tout ce qu’elle fait. Elle incarne une personnalité forte du groupe qui s’appuie sur sa vision, ses valeurs, sa RSE (Responsabilité Social de l’Entreprise), son Identité, le Ton qu’elle utilise et sur ses Rites. La vision d’Orange : La vision d’Orange est définie grâce à sa signature unique : « vous rapprochez de l’essentiel : Orange » ou « Mahasahana ny tontolom_piainanao : Orange » Elle est le guide numérique de ses clients ; elle incarne une marque innovante, humaine et proche du client ; elle démocratise l’accès aux nouveaux usagers. Ses valeurs : De par ses valeurs : la transparence, l’audace, le dynamisme, la simplicité, la proximité, l’innovation, la confiance et la responsabilité, Orange s’appuie sur ses forces pour repousser ses limites.
En respectant ces valeurs et en assumant leurs engagements, tous les salariés d’Orange sont chacun acteur de la réussite de l’entreprise. Le Ton Orange : Oma a mis en place « Orange Passion » et « Orange Bravo » pour l’épanouissement de son personnel. Avec Orange passion, le groupe partage sa ferveur pour le sport, le cinéma ou la musique et aide ses collaborateurs à vivre pleinement à vivre pleinement leur passion. Orange passion est composé d’Orange Chant, Orange Danse et ASOM (Association Sportive d’Orange Madagascar) Orange Bravo récompense localement et au niveau du groupe, une communauté de stras du quotidien. Depuis sa création, près de 1000 collaborateurs issus de tous les pays ont rejoint la communauté. Orange Bravo, précédemment intitulé Orange stars est le programme de reconnaissance et de valorisation des collaborateurs du groupe qui vivent et partagent les valeurs d’Orange. Son objectif est de reconnaître, valoriser et célébrer les femmes et les hommes qui, dans leurs comportements et actions au quotidien, partagent et adhèrent à l’esprit Orange.
Communication Interne et externe de l’entreprise
La communication permet d’établir un rapport favorable entre les employés, mais aussi entre employeur et salariés et de mettre en place un dialogue au sein d’une société et à l’extérieur de celle-ci. Il y a 2 types de communication : la communication interne et la communication externe. La communication interne est indéniablement un des facteurs clés de la réussite d’une entreprise. Et le téléphone reste le moyen de communication le plus utilisé et le plus rapide. Il existe différentes formes de communication interne, à savoir : la communication descendante ou communication vers le bas, la communication ascendante ou communication vers le haut et la communication transversale ou la communication horizontale. Quant à la communication externe, quelque soit la taille de l’entreprise, celle-ci joue un rôle important pour son image et sa notoriété. La communication externe est l’ensemble des actions mises en place pour ses publics extérieurs (consommateurs et acheteurs, journalistes, distributeurs, clients fournisseurs, milieux bancaires et financiers, actionnaires, pouvoirs publics.). Chez Orange Madagascar, la communication externe repose essentiellement sur la communication visuelle, tels que les publicités télévisées, les sites internet, les réseaux sociaux, les petites annonces, les affiches, les flyers, etc…. qui n’oublions pas, restent encore les vecteurs de communication les plus utilisés actuellement. Pour communiquer son logo et sa couleur « Orange » qui démontre sa personnalité, OMA fait appel aussi aux relations publiques, aux mécénats, et à l’organisation ou partenariat d’événement (Mercy Ships, weekend sportif, sponsorisation d’un concert, émissions partenaires…)
Evolution de la vision du travail
A travers les différentes époques, une évolution du travail s’est constatée et même de sa définition elle-même. Au temps du Moyen Age, seuls les travaux des artisans et des paysans ont de la valeur selon l’idéologie médiévale. C’est peu à peu que le travail intellectuel et l’art des manuscrits commence à être valorisé et à se développer. Au XIIème et XIIIème siècle, Thomas d’Aquin (1225-1274), réconcilie l’activité économique et la morale chrétienne, il est conscient que l’économie ne se développera qu’avec le commerce et l’expansion du crédit, il est ainsi à l’origine d’une théorie sur les salaires : le juste salaire est celui qui permet à son bénéficiaire d’avoir une vie conforme à sa position sociale. Il doit y avoir une relation correcte entre l’utilité du travail accompli et sa rémunération. Le capitalisme naît en Europe, la représentation du travail se modifie, des inventions vont être développées. Au XVIème et XVIIème siècle, la renaissance est une période marquée par des bouleversements considérables. De grandes découvertes sont faites, les échanges commerciaux se multiplient, les navigateurs découvrent de nouveaux pays, la science fait des progrès considérables.
Au XVIIIème siècle, suite à la révolution industrielle, les hommes s’intéressent aux machines et le travail se voit complètement transformé. On commence à parler de productivité et donc de performance des machines. C’est à cette époque que le mot travail trouve sa définition : « facteur de production régi par des règles économiques et juridiques précises visant à une fin déterminée ». Selon Adam Smith (1723 – 1790), économiste écossais, le travail devient la source de richesse au coeur de la relation production échange de biens, il crée de la valeur. Au XIXème siècle, la représentation du travail est complètement bouleversée « Le travail apparaît d’abord comme le moyen dont dispose désormais l’humanité pour progresser vers le bien-être ».5
Pour Hegel, philosophe allemand (1770-1831), en utilisant et en transformant la nature, l’homme s’est révélé à lui-même ses capacités, le travail devient une « liberté créatrice ».Marx, philosophe, économiste allemand (1818-1883)préconise de redonner les outils de production et le fruit de leur travail aux travailleurs, il énonce trois qualités relatives au travail « Plaisir de créer de « l’homo faber », plaisir du contact de « l’homo sociologicus », plaisir de participer, par le travail à une oeuvre qui vous dépasse et permet de se réaliser en tant qu’homme et en tant que personne »6. En 1840, Robert Owen, un industriel socialiste, met en place une évaluation de la performance des ouvriers dans une usine écossaise. L’ère du Taylorisme est marquée par la mise au point une nouvelle organisation du travail en 1911 afin d’augmenter la productivité. Le travail est découpé en unités élémentaires au sein de postes de travail, c’est le travail à la chaîne. Dans les années 30, initiateur de l’école des Relations Humaines, Elton Mayo (1880-1949) s’intéresse aussi à la productivité et étudie les conséquences des variations des conditions de travail sur le comportement des ouvriers de la Western Electric de Hawthorne. Il en conclut à l’importance des aspects psychologiques au travail : ambiance, appartenance à un groupe. D’autres phénomènes ont transformé le travail : la mondialisation, la tertiarisation, l’évolution très rapide des nouvelles technologies, le travail féminin, la réduction du temps de travail et corrélativement son intensification. Ainsi, jusqu’à aujourd’hui, on observe un essor de la flexibilité à tous les niveaux : contrats de travail, lieux de travail, horaires de travail, au niveau des structures organisationnelles, au niveau des technologies et au niveau de l’individu lui-même. Des statuts précaires et des nouvelles formes d’emploi (entrepreneur) se développent touchant tous les métiers. Le lieu de travail n’est plus unique, on observe que les frontières entre lieux assignés au travail et lieux de loisir tendent à s’atténuer.
REMERCIEMENTS |