Quelques informations sur la configuration réseau

Quelques informations sur la configuration réseau

 La couche physique est la première couche du modèle OSI

La couche physique est chargée de la transmission effective des signaux électriques ou optiques entre les interlocuteurs. Son service est typiquement limité à l’émission et la réception d’un bit ou d’un train de bits continu (notamment pour les supports synchrones comme la fibre optique). Cette couche est chargée de la conversion entre bits et signaux électriques ou optiques. Elle est en pratique toujours réalisée par un circuit électronique spécifique La couche liaison de données Son rôle est un rôle de « liant »: elle va transformer la couche physique en une liaison a priori exempte d’erreurs de transmission pour la couche réseau. Elle fractionne les données d’entrée de l’émetteur en trames, transmet ces trames en séquence et gère les trames d’acquittement renvoyées par le récepteur. Rappelons que pour la couche physique, les données n’ont aucune signification particulière. La couche liaison de données doit donc être capable de reconnaître les frontières des trames. Cela peut poser quelques problèmes, puisque les séquences de bits utilisées pour cette reconnaissance peuvent apparaître dans les données. La couche liaison de données doit être capable de renvoyer une trame lorsqu’il y a eu un problème sur la ligne de transmission. De manière générale, un rôle important de cette couche est la détection et la correction d’erreurs intervenues sur la couche physique. Cette couche intègre également une fonction de contrôle de flux pour éviter l’engorgement du récepteur. L’unité d’information de la couche liaison de données est la trame qui est composées de quelques centaines à quelques milliers d’octets maximum.

C’est la couche qui permet de gérer le sous-réseau, i.e. le routage des paquets sur ce sous-réseau et l’interconnexion des différents sous-réseaux entre eux. Au moment de sa conception, il faut bien déterminer le mécanisme de routage et de calcul des tables de routage (tables statiques ou dynamiques…). La couche réseau contrôle également l’engorgement du sous-réseau. On peut également y intégrer des fonctions de comptabilité pour la facturation au volume, mais cela peut être délicat. L’unité d’information de la couche réseau est le paquet. boot du serveur, b) ou à la main. 2) On configure les vitesses des pattes et les « modes », au niveau d’un fichier de configuration du driver la carte réseau (fichier ce.conf, bge.conf … présents dans le répertoire /platform/sun4u/kernel/drv), dépendant du type de la carte (ce, bge …), qui est lu au moment de l’initialisation de ces vitesses au début du boot (initialisation faite au niveau du noyau Unix). 3) Il existe une troisième méthode qui consiste à positionner les vitesses dans « /etc/system ». Recommandations SUN : Pour les interfaces « ce », « bge » et « dmfe », SUN recommande d’utiliser le fichier de configuration du driver en lui-même. Les vitesses des ports seront donc positionnés dès le boot du system (par exemple pour « ce », dans le fichier

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 Configurer la vitesse des pattes par la commande « ndd » (par exemple au niveau du fichier « conf-ethernet.ksh »). Les commandes « ndd » que nous passons se situe au niveau physique/liaison de données. Les commandes « ifconfig », « route » etc… sont au niveau de la couche réseau. Conclusion: Les adaptations de vitesses sont donc indépendant des routages ou autres adresses ip. C’est la commande qui permet de positionner, entre autres, les vitesses des cartes. Note : Nous travaillons au niveau des différents drivers réseau, donc au niveau des différents devices. La numérotation des devices se fait dans l’ordre de découverte du hardware. Vous trouverez la correspondance entre le numéro de device et les chemins..

Configurer le fichier

/platform/sun4u/kernel/drv/<drv>.conf

Ce fichier

« /platform/sun4u/kernel/drv/<drv>.conf »

peut être le fichier :

/platform/sun4u/kernel/drv/dmfe.conf

Ou encore

/platform/sun4u/kernel/drv/ce.conf

Ou

/platform/sun4u/kernel/drv/bge.conf

(Note : pour le fichier « bge.conf » voir paragraphe suivant..

Ce fichier contient les mêmes paramètres que ceux à positionner par la commande ndd. Exemple0: positionner toutes les pattes de la carte « ce » à 1000 FD, autoneg=1.

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