Projet d’exportation du jus à base de Noni

Théories économiques

L’école néoclassique est un terme générique utilisé pour désigner plusieurs courants économiques qui étudient la formation des prix, de la production et de la distribution des revenus à travers le mécanisme d’offre et de demande sur un marché. L’hypothèse de maximisation de l’utilité qui sous tend ses calculs économiques la rattache au courant marginaliste né à la fin du XIX e siècle. Des trois fondateurs du marginalisme à savoir Léon Walras, Carl Menger et William Stanley Jevons, le premier nommé est celui qui a la plus forte influence sur l’école néoclassique actuelle.
Dans l’acception la plus courante du terme, l’économie néoclassique se fonde sur quatre postulats :
1. Les phénomènes économiques peuvent et doivent être étudiés à l’aide des mêmes méthodes que les phénomènes physiques ;
2. Les agents sont rationnels, leurs préférences peuvent être identifiées et quantifiées ;
3. Les agents cherchent à maximiser l’utilité des biens consommés, tandis que les entreprises cherchent à maximiser leur profit ;
4. Les agents agissent chacun indépendamment, à partir d’une information complète et pertinente. (Ce postulat est récusé par l’école autrichienne, qui utilise une conception plus faible de la rationalité proche de la rationalité limitée, et par certains autres courants qui peuvent parfois quand cette hypothèse seule est relâchée être considérés comme néo-classiques (voir par exemple Théorie de l’agence)).
L’économie néoclassique met l’accent sur les situations d’équilibre, considérées comme les solutions aux problèmes de maximisation des agents. Les phénomènes généraux sont déterminés par l’agrégation des comportements individuels des agents, une position appelée individualisme méthodologique. Les institutions, dont on peut penser a priori qu’elles conditionnent les comportements individuels, ne reçoivent que peu d’attention.
L’analyse néoclassique démontre aussi (à partir des postulats fondateurs) que les mécanismes du marché jouent un rôle régulateur qui conduit à un équilibre optimal du système économique. Pour les néoclassiques, les crises économiques sont liées à des événements extérieurs qui perturbent le bon fonctionnement du marché (interventions publiques, chocs pétroliers…), ces crises se résolvant d’elles-mêmes en situation de concurrence pure et parfaite. La croissance semble acquise, mais il y a une montée de l’insatiabilité d’où la notion d’équilibre. On n’est plus dans un cadre dynamique comme chez les classiques.
Le rôle de la monnaie est controversé : les premiers auteurs néoclassiques (à l’exception de Carl Menger) adoptent l’idée de la neutralité de la monnaie (la monnaie n’affecte pas la production, le revenu réel, l’investissement, l’épargne ou les prix relatifs). Fisher reconnaît qu’il ne fait « qu’apporter une restauration et une amplification de la vieille théorie quantitative de la monnaie » avec son équation (1911) : MV = PT (M = masse monétaire, V = vitesse de circulation de la monnaie, P = niveau général des prix, T = volume des transactions).
Les hypothèses de base du modèle micro-économique standard réduisent la firme à une simple fonction de production. Les contradictions qui en résultent, en particulier le traitement du collectif comme un seul et même agent, contraire à l’individualisme méthodologique (IM), ont amené dans les années 30 une remise en cause du modèle (théories de la concurrence imparfaite). Une contestation plus radicale porte sur la conception micro de la firme comme un agent individuel parfaitement passif, négligeant le rôle de l’entrepreneur, auquel des économistes hétérodoxes attribuent trois fonctions essentielles : une fonction d’innovation ou de création (l’entreprise cherche à agir sur son environnement (Schumpeter), une fonction d’acquisition et d’exploitation de l’information (Hayek) et une fonction d’organisation et de coordination de la production (Liebenstein) ; ces trois conceptions sont évidemment en contradiction avec les hypothèses néo-classiques de base.

Définitions du projet

Tant sur le plan pratique que sur le plan théorique, un projet est toute activité réalisée une fois, doté d’un début et d’une fin et qui vise à créer un produit ou un savoir uniques. Il peut nécessiter la participation d’une ou de milliers de personnes ; sa durée peut être de quelques jours ou de plusieurs années.
Un projet est un engagement irréversible au résultat incertain, non reproductible a priori à l’identique, nécessitant le concours et l’intégration d’une grande diversité de contributions, et répondant à un besoin exprimé. C’est un ensemble d’activités qui sont prises en charge, dans un délai précis et dans la limite des ressources imparties, par des personnes qui y sont affectés dans le but d’atteindre des objectifs définis.
Source : Investigation personnelle

Contexte général du projet

« Madagascar est un pays reconnu dans le monde pour ses produits naturels et sa biodiversité très valorisée. »
Elle dispose d’une flore riche en plantes médicinales et aromatiques .Diverses plantes locales sont utilisées ou transformées en médicaments ou autres ingrédients. En particulier, la province se Tamatave ou plus précisément la Région d’Atsinanana dispose des ressources naturelles exploitables et valorisables susceptibles d’intéresser l’important marché de produits à base de noni.
Cette région comporte déjà plusieurs plantes aromatiques et médicinales exploitables et valorisables inventoriés comme :
Plantes aromatiques médicinales sauvages : Tagète bipinata (tagète), Lantana camara (radriaka), Hélichrysumbractéiferum, Hélichrysumgymnocepharum, Hélichrysumfaradifani, Psidiaaltissima ,centellaasiatica, legesbeckiaorientalis, Ageratum conyzoides ; Plantes aromatiques et médicinales exotiques : Lemongrass (Veromanitra), Rosemarinusofficinalis (Romarin), Palargoniumroseum (geranium), Eucalyptus globus, Eucalyptus globus, Eucalyptus citriodora.Certains fruits et légumes contiennent aussi d’huiles essentielles comme le citron par éxemple ; Plantes forestières : Ravensaraaromatica (Havozo), le Verpissp, le Piper borbonèse, le Cinnamosmafragarans (Mandravasarotra), l’Evodiamadagascariensis, le Rhustaratana et le Pittosporum.

Historique du noni

John Wadsworth et Stephen Story ont étudié le Noni pendant trois ans avant de mettre au point un procédé et une formule permettant de faire découvrir les vertus du jus TAHITIAN NONI au monde entier.
Lorsque le jus TAHITIAN NONI a été commercialisé sur le marché en 1996, c’était la première fois que le Noni était mis à la disposition du public et qu’un grand nombre de gens avaient la possibilité d’apprécier les vertus bénéfiques du Morinda Citrifolia. Morinda, maintenant Tahitian Noni International, a été la première société à mettre en marché un produit à base du jus de Noni, la première à élaborer une formule aromatisant brevetée, la première à récolter, transporter et traiter ce fruit de manière particulière afin d’en préserver les ingrédients importants.
Ce produit fait l’unanimité parmi les intervenants de l’industrie des produits naturels et s’avère bénéfique pour beaucoup de gens des quatre coins du monde. Le jus de NONI est actuellement le produit naturel à la croissance la plus rapide au monde.
Le Noni renferme des propriétés médicinales. Mais il n’a pas encore eu un agrément pharmaceutique, nous ne pourrions pas encore fabriquer des médicaments à base de ce produit. Par contre, nous avons décidé de l’extraire en jus .Des opportunités s’offrent pour Madagascar et plus particulièrement pour la province de Tamatave sur le marché international des produits à base de noni. Planté pour la première fois à Madagascar en 2010, le MORINDA CITRIFOLIA plus connu sous le nom de « noni » inonde les marchés de la capitale. Ce fruit ovoïde charnu est de la grosseur d’une pomme de terre. Les arbres ont la propriété de capter le carbone présentdans l’air pendant le phénomène de photosynthèse mais pour le noni, cela conduit au dégagement d’une odeur infecte. Jusqu’à maintenant Madagascar n’exporte officiellement pas des produits à base de Noni. Si la commercialisation du noni n’a commencé dans le monde que vers les années 1990,les Polynésiens en ont fait un usage médicinal. Ses fruits, ses racines et feuilles ont été utilisés depuis plus de 2 000 ans.
La demande du marché mondial n’est pas encore satisfaite. La consommation des produits à base de noni augmente relativement vite depuis ces dernières années. La filière « jus à base de noni » présente donc, de fortes potentialités sur le marché, que ce soit local ou international.
Un opérateur sur la filière de jus de noni existe dans la Région mais reste peu compétitif.

Qualités médicinales arguées du Noni

Le Noni (Morinda Citrifolia) est un fruit avec des propriétés curatives extraordinaires dont la plupart des nord-américains n’ont jamais entendu parler. Il a été utilisé avec succès pendant plus de 2 000 ans en Polynésie, en Chine, en Inde et ailleurs. Le Noni a émigré avec les habitants aux îles du Pacifique sud, à Tahiti, à Hawaï, en Malaisie et pousse mieux où il y a un sol volcanique libre de pollution. Comme l’Aloès Vera, le varech, la papaye et d’autres plantes, il a été démontré que l’extrait du fruit Noni améliore une grande variété de problèmes de santé.
Le noni est l’un des remèdes les plus prisés de la médecine traditionnelle polynésienne. Ses racines, ses feuilles et son écorce seraient utilisées depuis plus de 2000 ans afin de stimuler le système immunitaire et ainsi combattre les infections causées par des bactéries, virus, parasites ou champignons, mais aussi pour prévenir la formation et la prolifération de tumeurs cancéreuses. Le noni est une plante extrêmement prodigieuse, il peut guérir plusieurs maladies. La commercialisation du noni a commencé dans les années 1990. Bien que ce soient les racines, les feuilles et l’écorce du fruit qui sont traditionnellement utilisées, c’est surtout sous forme de jus qu’il est maintenant vendu.
Le fruit Noni est préparé principalement comme un supplément alimentaire sous forme de jus. Bien que le fruit ait un goût très amer et une odeur désagréable, le supplément de jus Noni est très agréable au goût et à l’odeur en raison de l’ajout des jus naturels comme l’ananas.
La recherche indique que le Noni stimule le système immunitaire en régularisant le fonctionnement des cellules et la régénération cellulaire des cellules endommagées. Le fait que le Noni semble agir à la base du niveau critique des cellules peut expliquer pourquoi il est utile pour une grande variété de problèmes. Le Dr Richard Dicks, clinicien du New Jersey, dit : « Nous commençons à réaliser que nous devons revenir à la base avec nos corps. En définitive, nous devons brûler des aliments ou brûler notre corps. Le Noni sauvegarde nos corps en nous donnant les aliments dont nous avons besoin. »

LIRE AUSSI :  Analyse économique instruments d'analyse démographique

Quantités de jus de noni

Le tableau ci-dessous énumère les doses de test, de charge, thérapeutiques et de maintien et/ou de prévention, de jus de Noni pour les adultes et les enfants. Les animaux de moins de 45 kg devraient recevoir la dose pour enfants et ceux pesant plus de 45 kg devraient recevoir la dose pour adulte. On devrait essayer une dose test de 10 ml de jus de Noni par jour pendant trois jours avant de passer à la dose de charge. La plupart de ceux qui prennent la dose de charge de Noni (plus de 99 pour cent) non seulement la tolèrent mais peuvent aussi en bénéficier. Toutefois, moins de 1 pour cent de ceux qui l’utilisent peuvent avoir une réaction allergique.

Phase de lancement

Cette phase permet de déterminer les limites du projet, ce qui doit être réalisé et ce qui ne doit pas être réalisé. Pour cela les besoins des utilisateurs sont recueillis et exprimés dans le cas d’utilisation du système.
Dans cette phase, nous allons pratiquer la stratégie PULL du fait que notre produit n’est pas encore connu sur le marché public. Notre objectif est de faire conquérir une notoriété au produit par n’importe quel moyen de communication, quel qu’en soit le coût. Dans cette phase, nous allons attirer les clients et entretenir des relations avec eux, ainsi pour mieux connaitre leurs attentes et leurs propres désirs afin de les fidéliser. Dans cette première phase, nous estimerons produire le maximum et effectuer une meilleure gestion de stock pour satisfaire les clients. Pour faire face à nos concurrents, nous allons augmenter notre production et chercher des nouveaux produits pour que les clients puissent avoir un large choix de façon à suivre ses améliorations.

Phase de croissance

Une fois que le produit est lancé et qu’il répond aux besoins de la clientèle, la croissance des ventes sera plus ou moins rapide mais la concurrence deviendra assez rude. Notre objectif dans cette phase est d’augmenter la part de marché de l’entreprise estimée au départ à 45% ainsi que le chiffre d’affaire par voie de conséquence. Dans ce cas, nous allons tenter de diversifier notre production c’est-à-dire a part le jus de noni, nous allons aussi produire des savons et les gélules, et réduire le coût en tenant compte des commandes et des assortiments des produits dans notre magasin. Nous estimons produire le double de ceux obtenus dans la phase de lancement.

Phase de maturité

Dans cette phase il est primordial d’élargir notre gamme de produits pour mieux répondre aux besoins de nos clients et pour avoir leur fidélité, que ce soit nos clients locaux ou nos clients à l’extérieur. C’est la phase où l’entreprise obtient plus de bénéfices, vu que les ventes sont maximales. Cela mène à augmenter notre capacité de production pour pouvoir maintenir la part de marché, en augmentant notre profit. Dans cette phase, le volume de ventes sera estimé de 5.000 litres environ pour assurer une large gamme complète de produits .La stratégie de communication sera ajustée en conséquence.

ANALYSE

Avant d’aborder la deuxième partie, il s’avère nécessaire de faire ressortir l’environnement général du projet au moyen de l’analyse PESTEL. L’analyse PESTEL nous permet de déterminer l’environnement en général du projet, son étude nous aidera à inciter les impacts positifs et négatifs sur l’entreprise et son marché que nous allons apercevoir ci-après.

Les procédures réglementaires

Tout opérateur économique ayant affaire avec l’étranger et traitant de ce fait des opérations en devises étrangères doit se conformer aux dispositions de la Réglementation de Change en vigueur à Madagascar. Cela implique la détention de compte bancaire en Ariary et en cas de besoin en devises.

Compte bancaire en Ariary

Le compte courant en Ariary enregistre les opérations financières traduisant la situation de trésorerie de l’entreprise. Il enregistre les versements d’espèces et de chèques, les crédits bancaires reçus et remboursés, les virements reçus et émis ainsi que les frais et commissions bancaires de toutes sortes encourus par la tenue de compte et de l’exécution des diverses opérations bancaires.
Ce compte reçoit également la contrevaleur en Ariary des recettes en devises générées par les exportations. A la réception des devises, la banque en avise le client et lui fait signer un Ordre de Vente à traiter sur le Marché Interbancaire de Devise (MID) qui est le lieu de confrontation des achats et des ventes de devises de l’ensemble du système bancaire d’où ressortent les cours de change quotidiens publiés par les médias. La banque crédite le compteen Ariary de la contre-valeur des devises nées des exportations.

Compte en devise(s)

Les exportateurs peuvent se faire ouvrir un compte en devise qui peut être directement crédité des montants en devise reçus de l’étranger. Les fonds peuvent y être gardés sous certaines conditions jusqu’à ce que le client juge favorable le moment de les céder contre Ariary en fonction des cours de change sur le marché de devise ou jusqu’à ce qu’il en ait besoin pour sa trésorerie.

Domiciliation des exportations

Les exportateurs sont tenus de domicilier leurs exportations à la banque qui est chargée de les enregistrer, de suivre le rapatriement des devises y afférentes et d’en rendre compte aux Autorités monétaires. Il s’agit de présenter la Facture Pro-forma et la Déclaration d’Exportation et Engagement de Rapatriement de devise (EDRD) dûment datés et signés par l’Exportateur.
La banque appose sur ces documents un numéro et date de domiciliation avec cachet et signature et rend les exemplaires au client pour être présentés à la douane lors de l’expédition des marchandises.

Apurement du dossier d’exportation

La banque est tenue de réviser périodiquement les dossiers domiciliés pour pouvoir les apurer auprès du Service de Suivi des Opérations de change (SSOC ex-FINEX). A cet effet, elle s’assure que :
* Les marchandises sont effectivement exportées. Ce sont les documents d’embarquement qui en font foi.
* Les devises y afférentes sont rapatriées. C’est la photocopie de l’Avis de Crédit relatif au règlement de la facture qui le prouve. Si le dossier est incomplet, la banque réclame les pièces justificatives manquantes à l’Exportateur avant de faire le compte-rendu d’apurement. Le non-rapatriement des devises expose l’Exportateur à des poursuites administratives pouvant aboutir au paiement d’une amende pouvant s’élever à 5 fois le montant de la facture.

Procédures d’embarquement

L’embarquement exige un certain nombre de formalités.

Ordre de Transit et Réservation de fret

Quand les marchandises sont prêtes à être exportées, l’Exportateur donne à son Transitaire l’ordre de réserver le fret auprès de la Compagnie de Transport (maritime ou aérienne) et de prendre les marchandises en charge pour les emmener sous douane et de les faire monter à bord quand les formalités douanières sont accomplies.

Passage en douane

Le Transitaire fait les déclarations d’usage en soumettant les divers documents requis pour ce faire. La Douane effectue les contrôles nécessaires et délivre un Bon à Enlever permettant de confier les marchandises au Transporteur pour l’embarquement. Après le départ du navire ou de l’avion, la Douane vise les documents d’embarquement et les remet au Transitaire pour attester l’expédition effective des marchandises.

Table des matières

SOMMAIRE
REMERCIEMENTS
AVANT PROPOS
METHODOLOGIE
LISTE DES ABREVIATIONS
LISTE DES TABLEAUX
LISTES DES FIGURES
INTRODUCTION 
PREMIERE PARTIE : PRESENTATION GENERALE ET TECHNIQUE DU PROJET
CHAPITRE 1. IDENTIFICATION DU PROJET
CHAPITRE 2 : CONTEXTE GENERAL DU PROJET
CHAPITRE 3 : ETUDE TECHNIQUE
CHAPITRE 4. TECHNIQUE DE FABRICATION OU D’EXTRACTION
CHAPITRE 5. LES MOYENS DE PRODUCTION
CHAPITRE 6. GESTION DE LA PRODUCTION
CONCLUSION PARTIELLE
DEUXIEME PARTIE : ETUDE DE FAISABILITE DU MARCHE ET ORGANISATIONNELLE
CHAPITRE 7 : PROCEDURES GENERALES D’EXPORTATION
CHAPITRE 8 : ETUDE DE MARCHE
CHAPITRE 9 : ETUDE ORGANISATIONNELLE
CHAPITRE 10 : GESTION DU PERSONNEL
CHAPITRE 11 : ORGANISATION QUOTIDIENNE ET CHRONOGRAMME DES ACTIVITES
CONCLUSION PARTIELLE
PARTIE III : ETUDE DE FAISABILITE FINANCIERE ET EVALUATION
CHAPITRE 12 : ETUDE FINANCIERE DU PROJET ET EVALUATION
CHAPITRE 13: COMPTES DE GESTION
CHAPITRE 14 : COMPTE DES PRODUITS
CHAPITRE 15 : EVALUATION DU PROJET
CHAPITRE 16 : EVALUATION ECONOMIQUE ET SOCIALE
CONCLUSION PARTIELLE
CONCLUSION GENERALE 
ANNEXE
BIBLIOGRAPHIE
TABLES DES MATIERES

projet fin d'etude

Télécharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *