Projet de création d’un micro – édition et vente des accessoires en informatiques

Au début de l’année 2007, le gouvernement a publié son plan d’action pour Madagascar qui est un cadre ambitieux, visant à stimuler un développement rapide et à atteindre les objectifs du Millénaire pour le développement ( OMD ). Mais remarque – t- on, les principaux problèmes auxquels le pays doit s’attaquer sont le renforcement des capacités, la mobilisation des ressources et la mise en œuvre de toute informatisation. Dans ce contexte, il est annoncé que le gouvernement malgache a décidé d’organiser une conférence ( en 2008 ) pour rassembler des bailleurs de fonds et discuter de possibilité supplémentaire de financement dans la mise en œuvre du Plan d’Action de Madagascar. Actuellement alors, notre grande Ile entre dans une phase d’accélération et d’amélioration du processus de coordination de son développement et on peut le distinguer dans l’exposé des motifs de la loi de finance 2008.

LA DESCRIPTION ENVIRONNEMENTALE DU PROJET A AFFRONTER

L’EVOLUTIUON TECHNOLOGIQUE EN INFORMATIQUE 

La spécificité de l’ordinateur et la place de l’informatique

L’ordinateur est une machine informatique. C’est un ensemble de circuits électroniques permettant de manipuler des données sous formes binaires, ou bits. Cette machine permet de traiter des informations selon des séquences d’instruction prédéfinies ou programmes. Il interagit avec l’environnement grâce à des périphériques ( écran, clavier, modem,…).

Le mot ordinateur fût introduit par IBM France en 1955. François Gérard, alors responsable du service publicitaire de l’entreprise, eut l’idée de consulter son ancien professeur de lettres à Paris, Jacques Perret afin de lui demander de proposer un mot caractérisant le mieux possible ce que l’on appelait vulgairement un calculateur ( traduction littérale du mot anglais « computer ». Ce dernier proposa « ordinateur » un mot tombé en désuétude désignant anciennement un ordinateur, voire la notion d’ordre ecclésiastique dans l’église Catholique «ordonnant ».

L’expérience a appris à distinguer dans un ordinateur deux aspects, dont le second avait été au départ sous estimé :

-l’architecture physique, matérielle (alias hardware ou hard)
-l’architecture logicielle (alias software ou soft).

Un ordinateur très avancé techniquement pour son époque comme le gamma 60 de la compagnie Bull n’eut pas le succès attendu, pour la simple raison qu’il existait peu de moyens de mettre en œuvre commodément ses possibilités techniques.

Le logiciel et son complément de service (formation, maintenance), forme depuis le milieu des années 1980 l’essentiel des coûts d’équipement informatique, le matériel n’y ayant qu’une part minoritaire. A Madagascar, la professionnalisation de l’informatique, par le biais de l’ordinateur a été lancée depuis 1995. Mais il y avait une forte augmentation en 2002 qui a doublé l’effectif des opérateurs. A l’heure actuelle, notre pays représente un potentiel important en termes de développement informatique grâce à la qualité de ses informaticiens.

La connaissance en informatique est considéré comme classe primaire de l’enseignement d’éducation de base : « nul n’est censé d’ignorer ce qu’on appelle informatique, si non, c’est une analphabète». Elle s’adresse au développement social de chaque individu. Chaque fois qu’il y ait une chose pressée, l’informatique de communication sera primordialement un moyen efficace pour la résoudre.

La vulgarisation des nouvelles technologies avec le haut débit

La 11ème édition du salon des technologies de l’information et de la communication E – bit a ouvert ses portes officiellement les mois d’octobre 2007, au palais des sports et de la culture à Mahamasina, en présence du ministère des télécommunications, des postes et de la communication Bruno ANDRIANTAVISON.

Le ministre a ainsi affirmé que le haut débit sera à Madagascar à la fin de l’année 2008 grâce à l’effectivité du Back bone. Des experts étrangers sont actuellement dans le pays pour faire des analyses socio – économiques aux secteurs concernant le marché des nouvelles technologies, la capacité de la population tout comme celles des opérateurs déjà présents. Le back bone international attendu d’ici l’an 2008 aura une bande passante de 2,5 giga, toujours selon le ministre, et sera effectif fin 2008 pour Toliara, cependant, une autre entrée aura également lieu à Toamasina.

Par ailleurs, une étude pour libéraliser les infrastructures et réseau d’accès ainsi que la possibilité d’octroi de licence multiple service est également en cours pour permettre à un seul opérateur d’avoir la possibilité d’être présent dans plusieurs services: la téléphone fixe, mobile, et internet. Concernant le salon E – bit, l’objectif sera de mettre en avant les nouvelles technologies liées à l’ère du haut débit et le matériel disponible sur le marché local pouvant être utile au développement des entreprises et des sociétés.

L’E- bit maintient également ses objectifs concernant la vulgarisation de l’utilisation des nouvelles technologies. Plusieurs conférences avaient lieu durant les 5 jours de cet évènement pour informer les acteurs du secteur sur l’enjeu concernant le haut débit, sur la mise en place du réseau et sur les moyens adéquats de rendre cette nouvelle technologie lucrative.

Une alternative pour les ordinateurs clonés

Jusqu’à présent, la plupart des consommateurs malgaches se fournissent en ordinateurs clonés, c’est à dire montés localement à partir de composants en provenance d’Asie. Le marché des ordinateurs clonés à Madagascar représente actuellement 9 millions de dollars ; un marché que le Dell entend pénétrer, voire accaparer. « Pour faire face aux clonages informatiques, Dell propose du prix bas » expliquaient lors de la conférence, des hauts responsables de la maison mère de Dell dont David Futter, Directeur régional.

La technologie Vostro a été présentée le mois d’octobre dernier (2007) lors d’une conférence au salon de l’électronique, bureautique informatique et télécommunication (E – Bit). Ce portefeuille complet de portable et d’ordinateur de bureau, ainsi que de service dédié est offert aux petites et moyennes entreprises et commercialisé par I Buy I T service. Stéphane RAKOTONDRABE – Directeur Général de la société I Buy IT services justifie que les petites et moyennes entreprises représentent 80% du marché de l’informatique à Madagascar. Les produits VOSTRO rendraient le déploiement informatique le plus simple pour les PME. Vostro présente donc des engagement utiles comme la réduction des coûts, l’optimisation du temps et la simplification de la gestion informatique.

Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE: L’IDENTIFICATION DU PROJET
INTRODUCTION DE LA PREMIERE PARTIE
CHAPITRE I : LA DESCRIPTION ENVIRONANTE DU PROJET A AFFONTER
SECTION 1 : L’EVOLUTION TECHNOLOGIQUE AFFERENTE
11- La spécificité de l’ordinateur et la place de l’informatique
12- La vulgarisation des nouvelles technologique avec le haut débit
13- Les alternances pour les ordinateurs clonés à Madagascar
SECTION 2 : LES AVANTAGES APPROPRIES DU PROJET
21- Les objectifs du centre
22- Le choix du type de la société
SECTION 3 : LA MISE EN PLACE DU PROJET
31- Le choix de la ville
32- La présentation de la ville
CHAPITRE II : L’ETUDE DE MARCHE
SECTION 1 : L’OPTIQUE GENERAL DU MARCHE
11- L’implication globale du marché
111-L’optique produit
112- L’optique demande
113- L’optique échange
12- L’évolution conceptuelle du marché
SECTION 2 : L’ANALYSE DE L’OFFRE
21- La situation de l’offre sur le marché
22- L’analyse de l’offre sur le lieu d’implantation
SECTION 3 : L’ANALYSE DE LA DEMANDE
31-La situation de la demande sur le marché
32- L’analyse de la demande sur le lieu d’implantation
SECTION 4 : L’ANALYSE DE LA CONCURRENCE
41- Les forces concurrentielles entourant un segment
42- La concurrence pure et parfaite et la part de marché
CHAPITRE III : LA STRATEGIE ET LA POLITIQUE MARKETING ENVISAGEE
SECTION1- LA STRATEGIE ADOPTEE PAR L’ENTREPRISE
11- L’utilité de la stratégie dans l’entreprise
12- Le choix et la décision stratégique
SECTION 2 : LA POLITIQUE MARKETING ENVISAGEE
21- L’utilité et la spécificité du marketing
22- Le choix du marketing mix
23- Le cas particulier du marketing
CONCLUSION DE LA PREMIERE PARTIE
DEUXIEME PARTIE : L’ETUDE TECHNIQUE DU PROJET
INTRODUCTION DE LA DEUXIEME PARTIE
CHAPITRE I : LA TECHNIQUE DE REALISATION
SECTION 1 : LA RESPONSABILITE ET LE CURSUS DE COMMANDE – LIVRAISON
11- L’engagement total des travaux sur ordinateur
12- Le processus de vente des marchandises envisagés
SECTION 2 : LA TECHNIQUE ET L’EVALUATION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE DE LA REALISATION
21- La technique qualitative de la réalisation
22- La technique quantitative de la réalisation
221- La pertinence du projet
222- L’efficience du projet
223- L’efficacité du projet
224- La durabilité du projet
225- Les impacts du projet
CHAPITRE II : LA CAPACITE DE REALISATION
SECTION 1 : L’EXTRAIT DE GAMME DE VENTE DES ACCESSOIRES INFORMATIQUES
11- L’alimentation P.C
12- Le clavier
13- L’unité centrale
14- Le disque dur
SECTION 2 : L’EXTRAIT DE GAMME DE VENTE DE CONNECTION
21- Le scanner
22- Le caméscope
23- Le web-cam
SECTION 3 :L’EXTRAIT DE GAMME DE LA PRESTATION EN MICROEDITION
31- Le Microsoft Word
32- Le Microsoft Excel
33- L’Internet
34- Le service micro-édition
SECTION 4 : LA CAPACITE D’ACQUISITION DES BIENS MATERIELS
41- La capacité d’acquisition des matériels pour le fonctionnement
42- La capacité d’acquisition des matériels pour l’exploitation
CHAPITRE IV : L’ETUDE ORGANISATIONNELLE DU PROJET
SECTION 1 : L’APPROCHE MANAGERIALE ET L’ORGANISATION
11- Le management et l’organisation d’une entreprise
12- L’utilité de l’organisation dans une entreprise
13- La mise en place des stratégies organisationnelles dans une entreprise
SECTION 2 :L’ORGANIGRAMME ET L’ORGANISATION DE TRAVAIL
21-L’organigramme et ses spécificités
22- L’organisation de travail et les critères de recrutement des personnels employés
SECTION 3 : LE CHRONOGRAMME ENVISAGE
31- La théorie d’ordonnancement
32- Les taches, les contraintes et les ressources de l’ordonnancement
33- La vision du chronogramme par la méthode PERT
CONCLUSION DE LA DEUXIEME PARTIE
TROISIEME PARTIE: ANALYSE DE FAISABILITE DU PROJET
CHAPITRE I: LES COUTS DES INVESTISSEMENTS
SECTON 1: LES INVESTISSEMENTS NECESSAIRES
11- Les immobilisations
12- Le choix des amortissements
13- La spécificité de l’amortissement
SECTION 2: LE PLAN DE FINANCEMENT
21- Le Fond de Roulement Initial (FRI)
22- La spécificité du plan de financement
23- La répartition du plan de financement
24- Le remboursement des dettes
CHAPITRE II : L’ETUDE DE LA RENTABILITE ET DE FAISABILITE
SECTION 1: LES COMPTES DE RESULTATS PREVISIONNEL
1.1- Le compte de résultats globaux
1.2- Les comptes de résultat par nature
SECTION 2 : LE BILAN PREVISIONNEL
21- Le bilan d’ouverture pour la première année
22- Le bilan de clôture pour la première année
SECTION 3: LE FLUX ET LE PLAN DE TRESORERIE
31- Le flux de trésorerie directe
32- Le plan de trésorerie durant les cinq premières années d’exercice
CHAPITRE III : LES EVALUATIONS DU PROJET
SECTION 1 : LES EVALUATIONS ECONOMIQUES
11- La notion de la valeur ajoutée
12-Les structures financières et les performances économiques
SECTION 2: LES EVALUATIONS FINANCIERES
21- Les évaluations du projet selon les critères
211- La pertinence
212- L’efficience
213- La durée de vie
22- Les évaluations du projet selon les outils
221- La Valeur Actuelle Nette
222-Le Taux Interne de Rentabilité
223- L’Indice de Profitabilité
224- La Durée de Récupération des Capitaux Investis
225- Le Seuil de Rentabilité
SECTION 3 : LES IMPACTS DU PROJET
31 : Impacts financiers
32 : Impacts économiques
33 : Impacts sociaux
CONCLUSION DE LA TROISIEME PARTIE
CADRE LOGIQUE DU PROJET
CONCLUSION GENERALE

Télécharger le document complet

Télécharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *