Projet de creation d’un hotel

Madagascar est aujourd’hui enchaîné par diverses crises économiques, politique et sociale. Les crises de 2002 a causé la fermeture de plus de 50% des entreprises franches dont, la réouverture depuis la prise de pouvoir du Président actuel n’atteignait pas la totalité. La politique de détaxation globale imposée par l’Etat au début de l’année 2004 a causé l’inflation sur le marché. En effet, la poussée des importations entraîne une pression sur le taux de change, incite les importateurs à devancer les mouvements de change, et encourage les exportateurs à retenir leurs devises. Ainsi, la valeur de la monnaie malgache est descendue jusqu’à moins 100% par rapport aux devises étrangères. Comme solution, les autorités financières ont apporté leurs aides. La Banque Centrale de Madagascar (BCM) a proposé une augmentation de trois fois dans une année, de son taux directeur (9,5%, 12%, 16%). L’Etat a pris une mesure : la retaxation des produits détaxés à l’exception des produits et matériels inhérents à l’investissement et la vente des terrains domaniaux aux investisseurs étrangers. Le FMI a donné 12 millions de DTS pour rehausser la valeur du francs malgache avant d’allouer la prochaine tranche de la Faculté en faveur de la Réduction de la pauvreté et par la Croissance (FRPC). L’Act and Growth Of Africa (AGOA) suscite l’exportation vers l’Amérique.

PRESENTATION DU PROJET 

Historique

L’aspect environnemental et la situation géographique de la zone

La zone de TSIMBAZAZA se trouve dans la banlieue de la ville et est traversée par la route nationale numéro sept (RN7). Elle est un endroit calme, bien aéré car la flore y persiste toujours si on ne parle que des grands arbres, de bonne infrastructure routière depuis le jardin de Mahamasina jusqu’à Ambanidia rond-point. Ce lieu s’avère insensible d’embouteillage différent des autres quartiers de la capitale de Madagascar, il est caractérisé par un climat moyen, modéré, adapté à presque tous les êtres vivants et les plantes venus des autres endroits et même des autres pays. C’est pourquoi, si on se réfère encore du segment de voie ci-dessus, à environ 250m dans la partie gauche, on y trouve le Ministère du Tourisme, et à 300m dans la partie droite se situe le Parc botanique et zoologique de TSIMBAZAZA, très connu et unique dans notre ville. Ce parc constitue une grande richesse pour cette zone dont le nom lui est attribué par la population d’Antananarivo.

Le parc national de Tsimbazaza fut créé en 1925 sur l’impulsion du Gouverneur E. FANCOIS et de l’Académie Malgache et rattaché au service des Parcs et Jardins. Il couvre une surface totale de 24ha. Certaines parties, occupées par les laboratoires, ne sont pas ouvertes au public qui est admis à visiter une grande partie des collections zoologiques et botaniques. Les zones des faunes et flores sont intimement imbriquées, ce qui permet certainement de rendre la visite d’autant plus agréable et plus divertissante.

Les richesses de la zone, ses principaux attraits touristiques

La grande surface plaine du parc national et international de Tsimbazaza englobe deux zones d’exposition ; d’une part, les zones botaniques qui emboîtent les flores; d’autre part, les zones zoologiques conservant les faunes qui ne sont pas seulement caractéristiques de Madagascar.

Les zones botaniques
On voit actuellement dans ces zones, malgré quelques expirations de certaines races, les flores malgache et étrangère, à savoir :
– La rocaille malgache (I) dont une partie avec les plantes les plus spectaculaires est ouverte au public. Elle comprend des végétaux exclusivement malgaches, types xénophytes en majorité de l’Ouest et du Sud de la Grande île ;
– Le palmorais (II) qui comprend une collection de palmiers étrangers, mais également de Madagascar : leur sève constitue une boisson sucrée, fort agréable (vin de palme), et de très beau groupe de raphia de Madagascar connu dans le monde entier, et atteignant 12m de longueur ;
– Les fougères malgaches, très variées et plus de 500 espèces : les Cyathea atteignent 15m de hauteur ; les orchidées tropicales, presque autochtones car elles contiennent 700 espèces malgaches telles que les Angroccum, les Guphiella … ;
– L’arberetum (IV) planté d’arbres exclusivement malgaches, il faut y remarquer plus spécialement les palissandres, pittasperum, plupartion … ;
– La rocaille africaine (V) est caractérisée par des aloes et des cupharbes des pays subdésertiques de l’Afrique de l’Est ;
– La rocaille américaine (VI) se fait remarquer par les grands cierges qui la constituent (cactus). Et d’autres plantes malgaches qui ont pour but de rendre le parc plus agréable.

Les zones zoologiques
On a aménagé différentes cages pour les collections extérieures. L’emplacement se fait comme suit :
– les lémuriens (A) ;
– les cages des rapaces et du hibou (B) (C) ;
– la cage des fosa (D) ;
– la cage des pintades (E) ;
– la collection d’oiseaux d’eau et les corbeaux (F) ;
– l’enclos des oiseaux en semi liberté côtoyant les paisibles tortues du Sud et de l’Ouest de l’Ile (les tortues à épérons sont originaires de l’Ouest) ;
– les crocodiles (H) (I) ;
– l’enclos de cerfs (L) (M) et ceux du poney et des ânes (M), des chèvres mohair (O) ;
– les tourterelles (P) (S) ;
– les hérons en liberté (Q) qui viennent pour se reproduire. Il existe en pleine saison 5000 oiseaux en sept espèces différentes ;
– Les îles avec les lémuriens et les carnivores en semi liberté (R) (RL).

Le reste des animaux vivants est exposé au vivarum (S) pour les plus petits, soit dans son annexe (T) pour les plus grands.

Enfin, en Musée (U) comprenant différentes collections, ethnographiques, zoologiques et paléonthologiques, complète sensiblement les différentes activités relatives à l’histoire naturelle de Madagascar.

Table des matières

INTRODUCTION
PARTIE 1 : IDENTIFICATION DU PROJET
CHAPITRE I : PRESENTATION DU PROJET
Section 1 : Historique
Section 2 : Caractéristiques du projet
CHAPITRE II : ETUDE DE MARCHE
Section 1 : Analyse de l’offre touristique de Madagascar
Section 2 : Analyse de la demande touristique de Madagascar
Section 3 : Analyse de la concurrence
CHAPITRE III : ORGANISATIONS DU MARCHE ET PART DE MARCHE CIBLE
Section 1 : Les organisations du marché
Section 2 : La part de marché visé
CHAPITRE IV : THEORIE GENERALE SUR LES OUTILS ET LES CRITERES D’EVALUATION DU PROJET
Section 1 : Les outils d’évaluation
Section 2 : Les critères d’évaluation
PARTIE 2 : CONDUITE DU PROJET
CHAPITRE I : TECHNIQUE DE PRODUCTION
Section 1 : La production des locaux
Section 2 : Les équipements et les matériels de production
CHAPITRE II : CAPACITE DE PRODUCTION ENVISAGEE
Section 1 : La capacité de production initiale
Section 2 : Le planning de production des bâtiments
Section 3 : Le nombre de clients prévu à accueillir
Section 4 : Les aspects qualitatif et quantitatif du projet
CHAPITRE III : ETUDE ORGANISATIONNELLE
Section 1 : Organigramme
Section 2 : Organisation du travail
Section 3 : Chronogramme
PARTIE 3 : ETUDE FINANCIERE DU PROJET
CHAPITRE I : COUT D’INVESTISSEMENTS
Section 1 : Le contenu et le coût des investissements
Section 2 : Le tableau d’amortissements
Section 3 : Le Fonds de Roulement Initial (FRI)
Section 4 : Le plan de financement et le bilan d’ouverture
Section 5 : Le Tableau de remboursement des emprunts
CHAPITRE II : ETUDE DE FAISABILITE
Section 1 : Les comptes de gestion
Section 2 : Les comptes de Résultat prévisionnel
Section 3 : Les plans de trésorerie
Section 4 : Le tableau des Grandeurs Caractéristiques de Gestion (TGCG)
Section 5 : Les bilans prévisionnels et les cash-flows (MBA)
CHAPITRE III : EVALUATION ET RENTABILITE DU PROJET
Section 1 : Les ratios de rentabilité
Section 2 : Evaluation financière
Section 3 : Evaluation sociale
CONCLUSION GENERALE
ANNEXE

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