Sommaire: L’influence des substrats de culture sur l’enracinement de plants sous abri
Introduction générale
PREMIERE PARTIE: ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE
PREMIER CHAPITRE: CONTRAINTES TECHNIQUES MAJEURES DES PIPINIERES FORESTIERS CONVENTIONELLES
Introduction
I.1- Internet de L’élevage des plants en conteneurs par rapport a celui a racines nues
I.2- Production des plants en conteneurs
I.3- types de conteneurs utilisés dans les régions méditerranéennes semi-aride et aride
I.3-1- Les pots en argile cuite
I.3-2- La production des plants en motte moulée (préfabriquée) 02
I.3-3- sachet de polyéthylène perforé
I.3-4- Les godets non récupérables.
I.3-5-les conteneurs réutilisables
I-4- Substrats de croissance utilisés en pépinières
– Conclusion
DEUXIEME CHAPITRE: LES ELEMENT BIOGENES ET QUELQUES ASPECTS PHYSIOLOGIQUES DE LA CROISSANCE DES VEGETAUX
I- Les éléments biogènes et quelques
I.1- La composition minérale des végétaux
I.1-1- Les macroéléments
I.1-2- Les oligoéléments
I.2- Rôle des principaux éléments biogènes
I.2-1- L’azote
A- L’azote dans le sol et la plante
I.2-2- Le phosphore
A- Le phosphore dans le sol et la plante
I.2-3- Le potassium
A- Le potassium dans le sol et la plante
I-2-4- Le calcium
A- Le calcium dans le sol et la plante
I-2-5- Le magnésium
A- Le magnésium dans le sol
II- Quelques aspects physiologiques de la croissance des végétaux
– Description de la croissance
II-1- A l’échelle de la plante
II-2- A l’échelle cellulaire
II-2-1- La croissance primaire
II-2-2- La croissance secondaire
II-3- Corrélation morphologique entre système racinaire et system aérien
II-4- Le système racinaire
II-4-1- Définition et rôle
II-4-2- Rôle du système racinaire
II-4-2-1- Respiration
II-4-2-2- Absorption et mycorhizes
II-4-2-3- Excrétion
II-4-2-4- Synthèses
II-4-2-5- Mise ne réserves
II-4-2-6- Racines et ancrage
II-5- Constituants du système racinaire
II-6- Description de la croissance du système racinaire
A- Croissance en longueur.
B- Croissance en épaisseur
II-7- Direction de croissance des racines
A- Tropisme
B- Géotropisme
II-1- Facteurs de croissance agissant sur la morphogenèse
II-2- Etude du déterminisme de l’allongement des racines
II-2-1- Détermination exogène
A- Action de la teneur en eau
B- Action de la teneur en oxygène du milieu racinaire
C- La teneur en éléments nutritifs
D- Action des caractéristiques physiques du sol
II-2-2- Déterminisme Endogène
A- Rôle des feuilles
B- Rôle des bourgeons
II-3- Effet de la section du pivot des semis sur la morphogenèse
II-4- Comportement des racines en conteneurs
II-4-1- Déformations racinaires
II-4-2- Déformation en crosse
II-5-3- Déformation en chignon
TROISEME CHAPITRE: LES SUBSTRATS DE CULTURE
Introduction et généralités
Les constituants d’un substrat de culture
I.1- Définition et généralité
I.2- Matériel organique
I.2-1- Effet de la matière organique
I.2-2- Différents types de substrats culturaux
I.2-3- Source en matière organique
I.2-3-1- Les tourbes
I.2-3-1-1- Caractéristiques des tourbes
A- Tourbe blonde
B- Tourbes noires
I.2-3-2- Les écorces
I.2-3-2-1- Propriétés essentielles
I.2-3-2-2- Vitesse de décomposition
I.2-3-3- Déchets cellulo-ligneux
I.2-3-4- Les sciures de bois
I.2-3-5- Le compost-urbain
I.2-3-6- Les tourteaux
I.2-3-7- Marque de raisin
I.2-3-8- Fumier de ferme
I.3- Matériaux minéraux
I.3-1- Matériaux naturels
I.3-2- Les matériaux expansés
I.4- Propriétés physiques, chimiques et physico-chimiques du substrat
I.4-1- Principales qualités physiques requise pour un substrat
I.4-1-1- La texture
I.4-1-1-1- Propriétés des différentes particules granulométriques
I.4-1-1-2- Action de la texture
I.4-1-2- La structure
I.4-1-3- La perméabilité
I.4-1-4- La porosité
I.4-1-5- La rétention en eau
I.4-1- Caractéristiques chimiques des substrats
I.4-1-1- Le pH
I.4-1-2- Rapport carbone/azote (C/N)
I.4-1-3- Conductivité électrique (C.E.
I.4-1-4- Le pouvoir nutritif
Conclusion
QUATRIEME CHAPITRE: METHODES D’ETUDE DES SYSTEMES RACINAIRES
Introduction
I-1- Méthodes d’étude des systèmes racinaires
I-2- Technique du « profil cultural ».
I-3- Prélèvements d’échantillons de sol par la sonde « Méthode de (WIERSUM ,1967) »
– Prélèvements d’échantillons de sol par tranches horizontales
I-4- Comptages d’impacts de racines sur un profil de sol
I-5- Méthode de la tranchée en spirale « J.G. HUGUET.
I-6- Méthodes diverses
I-7- Méthode GPR ground-penetraring radar (Radar de pénétration dans le sol)
DEUXIEME PARTIE: ETUDE EXPERIMENTALE / ETUDE IN SITU DU SYSTEME RACINAIRE DU PIN D’ALEP
Matériel et méthodes.
Introduction
I- Matériel
I-1 Substrats utilisés
I-1-1- Eléments rétenteurs deau
I-1-1-1- Le sol
I-1-1-2- Litières forestières
I-1-2- Eléments aérateurs
I-1-2-1- Sciure de Bois
I-1-2-2- Tourteaux d’olive
I-1-2-3- Ecailles de Pin
I-1-2-5- L ‘Ecorce
I-1-4- Les plants forestiers (Les semis)
II-Méthodes
II-1- Choix des proportions des éléments aérateurs et rétenteurs
II-1-1- Lélément rétenteur
II -1-1-1- Composition chimique des litières
II-1-3- Lélément aérateur
II-1-4- Analyses physicochimique des différents mélange ;
II-1-4-1- Détermination des éléments P,K Ca , Na ,Mg
II-1-4-2- Minéralisation des échantillons des litières, écorce, tourteaux d’olivier, écailles et la sciure
II-1-4-3- Dosage
II-1-4-4- Détermination de l’azote total
II-1-4-5- Détermination du carbone organique
II-2-Prélèvement des échantillons des plants
II-2-1- Mode darrosage des plants
II-3- Dispositif expérimental.
II-4- Mesures effectuées
II-4-1- Paramètres biométriques
II-4-2- Paramètres qualitatifs
II-5- Analyse statistique employées
TROISIEME PARTIE: RESULTATS ET DISCUSSIONS
Résultats et discussions
I- Etude statistique
I-1- Analyse de la variance.
– Conclusion
I-2- Etude morphométrique
I-2-1- Action du type de mélange sur les caractéristiques dimensionnelles et pondérales des plantes
A- La longueur total des racines (LTS)
B- La finesse racinaire (SRL)
C- La matière sèche racinaire (PSS) .
D- La longueur maximale des racines (LXS) .
E- Le rapport de matière sèche entre les racines et la partie aérienne (R1).
F- Le rapport entre la longueur total des racines et la longueur maximal racinaire (R2).
G- Poids frais partie souterraine (PHS)
H- Diamètre au collet (DMC)
I- Poids sec partie aérienne (PSA).
J- Nombre d’aiguilles par plant (NAP).
K- Poids frais partie aérienne (PHA.
L- Longueur de la partie aérienne (LGA).
M- Longueur totale d’aiguilles par plant (LAP)
Conclusion
I-3- Action du type de mélange sur les caractéristiques morphologiques des plantes
Conclusion générale
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
ANNEXE
Extrait du mémoire l’influence des substrats de culture sur l’enracinement de plants sous abri
PREMIER CHAPITRE: CONTRAINTES TECHNIQUES MAJEURES DES PEPINIERES FORESTIERS
CONVENTIONELLES
Introduction:
En plus des problèmes liés au substrat et à l’utilisation du sachet, la qualité des plants est parmi les principales causes des échecs des reboisements. Les techniques et la gestion de la production des plants varient d’une pépinière à l’autre et rendent l’amélioration des techniques de production et l’harmonisation des normes de qualité fort difficiles. Les plants utilisés dans les programmes de reboisement ne sont jamais triés selon des normes de qualité spécifiques à chaque essence.
L’influence des substrats de culture
L’utilisation des lots de plants de qualité hétérogène ne pourrait qu’augmenter le coût d’installation du peuplement (regarnis et entretien) et rend difficile la synchronisation des travaux sylvicoles durant les différentes phases de croissance. La connaissance préalable des normes de qualité spécifiques à chaque essence permettrait au reboiseur de prédire, dans une certaine mesure, la performance des plants en site de reboisement.
L’influence des substrats de culture
I.1- Intérêt de L’élevage des plants en conteneurs par rapport a celui a racines nues:
En Afrique du Nord, la production des plants forestiers dans les pépinières forestières a commencé tout d’abord avec le mode de production des plants à racines nues. Ce mode de production a été pratiqué généralement dans les pépinières volantes pour répondre uniquement aux besoins des programmes de reboisement prospectifs à moyen terme. Ces pépinières restent fonctionnelles généralement pour une durée de 3 à 5 ans. En plus de l’irrégularité des précipitations et de la sévérité de la saison sèche, les forestiers se sont rendu compte que l’utilisation des plants à racines nues ne peut être retenue comme technique de production à grande échelle à cause des exigences en matière de production, de conservation et du maintien de la qualité des plants durant les différentes opérations (transport, stockage en site de reboisement, manutention…). Malgré l’importance du mode de production des plants à racines nues à l’échelle mondiale, en Afrique du Nord, ce mode a été remplacé vers les années 50 par les pots en argile cuite, les mottes moulées et le sachet de polyéthylène.
I.2- Production des plants en conteneurs:
Dans les pays méditerranéens arides et semi-arides, et en raison des difficultés de reprise des plants du fait de la sécheresse, d’une végétation adventive concurrente parfois forte, on a été amené a s’orienter vers les méthodes de production en grands conteneurs (LANIER, 1976).
L’influence des substrats de culture
I.3- types de conteneurs utilisés dans les régions méditerranéennes :
I.3-1- Les pots en argile cuite: ont été utilisés jusqu’au début des années 60 pour assurer une bonne partie de la production des plants au Maroc et en Tunisie. Cette technique de culture des plants en pots d’argile cuite comporte plusieurs inconvénients majeurs à savoir le coût des pots, le volume limité de croissance des racines, la formation du chignon et la fragilité des pots durant leur manutention.
Lorsque les racines traversent le trou du pot, l’ouvrier est obligé de secouer le pot pour extirper le plant entraînant ainsi une désagrégation de la motte.
L’influence des substrats de culture
I.3-2- La production des plants en motte moulée (préfabriquée): utilisé depuis 1950, dans les pépinières forestières. Les mottes sont constituées par un mélange spécifique (sable, argile, paille et fumier) et façonnées par des presse mottes. Après nivellement, les mottes sont alignées sur les planches et ne sont jamais enfouies afin d’éviter l’asphyxie des racines. Les alvéoles sont par la suite remplies avec du sable ou du terreau de charbonnière très fin avant de semer les graines. Ces mottes ont un inconvénient majeur, à savoir la croissance des racines à travers plusieurs mottes et leur poids énorme lors du transport. Lors de l’enlèvement et de l’individualisation de ces plants, l’effritement des mottes rend les racines plus exposées aux différents stress abiotiques et biotiques.
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Mémoire Online: L’influence des substrats de culture sur l’enracinement de plants sous abri (1.8 MO) (Cours PDF)