Télécharger mémoire accident vasculaire cérébral de la personne âgée particularités et facteurs pronostiques, rapport pdf.
INTRODUCTION
REVUE DE LA LITTERATURE
A. L’ACCIDENT VASCULAIRE CEREBRAL (AVC)
I. Définition
II. Types et étiologies des accidents vasculaires cérébraux
B. ÉPIDEMIOLOGIE
I. Incidence
II. Prévalence
III. Mortalité
IV. Récidives
V. Handicap et institutionnalisation
VI. Coût
C. FACTEURS DE RISQUE
I. Facteurs de risque modifiables
II. Facteurs de risque non-modifiables
III. Prévention.
IV. Prévention secondaire
D. PRESENTATION CLINIQUE
E. COMPLICATIONS
F. PRONOSTIC
I. Pronostic fonctionnel
II. Pronostic vital et devenir
G. TRAITEMENT
I. En phase aigue
H. REEDUCATION
I. ORGANISATION DU DEVENIR DU PATIENT
MALADES ET METHODE
A. PATIENTS
I. Critères d’inclusion
II. Critères d’exclusion
B. METHODES
I. Recueil des données
II. Analyse des données
RESULTATS
A. POPULATION
I. Age et sexe
II. Types d’AVC
III. Statut clinique à l’entrée
IV. Mode de vie
V. Comorbidités et facteurs de risque
VI. Type de service de provenance
VII. Durée d’hospitalisation
VIII. Données biologiques
IX. Prise en charge
X. Complications pendant le séjour en SSR
XI. Rééducation et organisation de la sortie
XII. Statut fonctionnel à la fin de l’hospitalisation
XIII. Devenir des patients
B. ÉVALUATION DE L’INFLUENCE DE CERTAINS FACTEURS SUR L’AUTONOMIE A LA SORTIE ET LE DEVENIR DU PATIENT
I. Facteurs associés à la marche autonome
II. Facteurs associés à un état grabataire
III. Facteurs associés au retour au domicile
IV. Facteurs associés au décès pendant le séjour
DISCUSSION
A. POPULATION
I. Âge et sexe
II. Types d’AVC
III. Statut clinique
IV. Mode de vie
V. Comorbidités et facteurs de risque
VI. Service de provenance
VII. Durées de séjour
VIII. Données biologiques
IX. Prise en charge
X. Complications
XI. Rééducation et organisation de la sortie
XII. Statut fonctionnel à la sortie
XIII. Devenir à la sortie
B. ÉVALUATION DE L’INFLUENCE DE CERTAINS FACTEURS SUR L’AUTONOMIE A LA SORTIE ET LE DEVENIR DU PATIENT
I. Âge et sexe
II. Importance du déficit neurologique
III. Volume du territoire infarci en cas d’AIC
IV. Autres séquelles et complications influant sur le pronostic
V. Biologie
VI. Traitements avant l’AVC
VII. Mode de vie
VIII. Comorbidité
IX. Prise en charge en Unité Neuro-Vasculaire
X. Biais et limites
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES
ANNEXE 3 : ECHELLE DE RANKIN
ANNEXE 4: INDICE DE BARTHEL
ANNEXE 5 : ÉCHELLE NIHSS
ANNEXE 6 : INDICE DE CHARLSON
ABREVIATIONS
REVUE DE LA LITTÉRATURE
L’accident vasculaire cérébral (AVC)
Définition
Selon la définition de l’Organisation mondiale pour la santé, l’AVC est un déficit neurologique focal (ou parfois global) d’apparition soudaine, durant plus de 24 heures (ou conduisant au décès) et d’origine vasculaire.
Cette définition implique l’existence d’une lésion cérébrale secondaire à une lésion vasculaire sous-jacente. Le diagnostic est clinique, il n’est pas fondé sur l’imagerie.
Contrairement à ce que pourrait laisser entendre le terme AVC, il ne s’agit pas d’un « accident » mais d’une complication brutale d’une maladie cardiaque ou vasculaire évoluant parfois depuis des années.
Le vaisseau impliqué est presque toujours une artère qui va soit se rompre (et provoquer une hémorragie) soit, plus fréquemment, s’occlure (et provoquer un défaut d’irrigation et d’oxygénation définissant l’ischémie aboutissant à un infarctus cérébral).
Sont exclues de cette définition les complications vasculaires des traumatismes crâniens (hématomes sous et extraduraux).
Types et étiologies des accidents vasculaires cérébraux
L’AVC se divise en 2 grands groupes étiologiques que sont l’AVC ischémique et l’AVC hémorragique.
Cette distinction est essentielle à la prise en charge initiale et ultérieure de l’AVC et a été permise par l’avènement de l’imagerie cérébrale (scanner et IRM).
Cette dernière a révolutionné la prise en charge en permettant la mise en place de traitements spécifiques à chaque sous-type.
La fréquence de chaque type d’AVC varie selon la région du globe, dans les pays occidentaux, les accidents ischémiques sont 4 fois plus fréquents que les accidents hémorragiques. Dans les pays asiatiques, la proportion des HC y est un peu plus élevée.
Une classification en 4 sous-types différencie :
– L’accident ischémique constitué (AIC) et transitoire (AIT) parmi les AVC ischémiques (AVCI)
– L’hématome parenchymateux cérébral (HC) et l’hémorragie sous-arachnoïdienne (HSA) parmi les AVC hémorragiques (AVCH)
Cette classification reste théorique car ces différents mécanismes sont souvent associés :
une HSA peut se compliquer de vasospasme provoquant un AIC, et à AIT durant plus de 1 heure, correspond dans 25% des cas un petit infarctus cérébral.
Aussi, un AIC présentera parfois une transformation hémorragique spontanée au sein de la zone ischémiée.
La classification des AVC est complexe et ne s’arrête pas à ces variétés mais dépendra de leur taille, localisation, et du mécanisme en cause dans la lésion vasculaire.
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sujet très intéressant. serait il possible d’avoir le mémoire en entier? Cordialement
Biensur : Mémoire accident vasculaire cérébral
Je peu avoir un mémoire sur l autonomisation économique de femmes et le dividendes démographiques
Pourrai je avoir un mémoire sur le chiffre d’affaires ou une étude économétrie quelconque
Pourrai-je avoir une connaissance approfondie en statistiques appliquées