LITTÉRATURE ET CRISE DU LANGAGE AU XVIème SIÈCLE

LITTÉRATURE ET CRISE DU LANGAGE
AU XVIème SIÈCLE

LA REPRÉSENTATION DU LANGAGE AU XVIE SIÈCLE 

L‟origine du monde s‟analyse comme une opération linguistique. Selon les lois de la nature, toute chose a un commencement mais, aussi et surtout, une fin ; toute chose aussi a des phases de grandeur et de décadence. En effet, le XVIe siècle croit en la vertu des origines. Le principe premier des choses trouve son fondement dans le Verbe divin. Dès le début, est la Parole qui marque la création du monde. Ainsi, cette parole qui émane de Dieu présente-telle une adéquation des mots et des choses. Devant la crise du langage qui hante la conscience des humanistes au XVIe siècle, la Parole de Dieu est-elle affectée ? Le fait en est que les lois de la nature limitent toute révolution et changement dans le temps et dans l‟espace. Et, dans le processus de la création, Dieu parle pour appeler toute chose à l‟existence en lui assignant le mot qui lui convient naturellement. Le caractère sacré de la Parole renferme une Lumière qui fait apparaître au jour ce qui demeurait dans l‟ombre. Ce passage des ténèbres vers la lumière est assuré par le coup d‟éclat de la Parole divine. Dans ce cas, sur quoi repose cet acte divin indispensable qui consiste à créer en nommant ou à nommer en créant ? Parce que, dans la nomination, il y a la création. Nommer, c‟est créer. Dès lors, Dieu est une réalité constante, stable, inchangée, incréée. IL est le vivant qui ne meurt jamais. Après la création de l‟univers, Dieu, par la grandeur de son être et son amour sublime, délègue le pouvoir divin du Verbe à Adam. En effet, l‟homme est une créature à qui Dieu a accordé le langage. Et, dans le jardin céleste, il parle pour nommer tous les animaux terrestres. L‟attribution des noms, si essentielle, marque un tournant décisif dans la crise du langage. Dans cette optique, Adam détient un langage pur qui renferme une transparence des mots et des choses. L‟âge d‟or et d‟azur du langage est assuré par le mariage parfait des mots et des choses. Naturellement, entre ce qu‟il nomme et ce qui se trouve dans la réalité, il y a une adéquation parfaite. Le sens des mots reflétait exactement la réalité des choses. Les mots désignaient convenablement les choses. Dès lors, naturel ou conventionnel, le langage permet d‟attribuer un nom qui est indispensable à tout être. Cette dimension théologique du langage pose les jalons de la crise qui montre, au XVIe siècle, un éclatement dans la sphère religieuse, politique et sociale. 22 I. Théologie du langage ou genèse de la parole Dans cette sous-section, nous analyserons l‟immanence et la majesté du Verbe : la symbiose des mots et des choses. Enfin, nous montrerons l‟acte de dénomination ou l‟attribution des noms. 

L’immanence et la majesté du Verbe : la symbiose des mots et des choses

Au XVIe siècle, le Verbe divin traverse toute la crise du langage dans l‟unité de sa perfection et de sa clarté. De génération en génération, les desseins de l‟Éternel subsistent toujours2. Étant une émanation de Dieu, ce Verbe se maintient et se soutient dans l‟immuable vérité absolue qu‟il renferme. Il s‟accommode de toute époque mais, Il est inébranlable dans tous les bouleversements qui affectent les âges. Le signe du Verbe est autonome et stable mais, les sens qu‟on lui concède varient selon les époques et les sociétés. Selon Daniel Ménager, « le sens d‟un passage [de la Bible] s‟éclaire selon le moment et le milieu »3 . Ce faisant, la variation du sens n‟implique pas celle du signe qui est fixe et immuable. Le caractère invariable du signe est placé sous l‟égide du Verbe qui se meut dans l‟immanence et la majesté de Dieu. Dès lors, le Verbe assigne au signe le comble de la constance divine. Tout changement lui est impossible. IL est, avant que toute chose ne soit, et, IL sera, quand rien ne sera plus. De ce fait, l‟éclatement de la crise du langage est un revirement des Voix du signe4 qui s‟accompagne d‟une variation du sens figé de l‟orthodoxie religieux. Cette conception s‟accorde avec l‟analyse de Demonet qui dit que : « tout sens est limité dans le temps et dans l‟espace. Et le mouvement évolue dans l‟immuable vérité du Verbe»5. Il y a crise parce qu‟il n‟y a plus harmonie de langage de telle sorte qu‟on ne s‟accorde plus sur le sens des mots qui semblent désigner les choses. Dès lors, la Parole de Dieu échappe à la notion de temps et d‟espace et elle embrasse toute époque, tout temps mais, aussi et surtout, toute crise, à l‟instar de celle de la Renaissance. Cette Parole divine est inassignable dans le temps et 2 Psaumes, XXXIII, XI : « Les desseins de l‟Éternel subsistent à toujours, Et les projets de son cœur, de génération en génération ». 3 Daniel Ménager, Introduction à la vie littéraire du XVIe siècle, op. cit., p. 98. 4 Marie-Luce Demonet, Les voix du signe. Nature et origine du langage à la Renaissance (1480-1580), Paris, Éditions Honoré Champion, 1992. 5 Ibidem, p. 154. 23 dans l‟espace mais, Elle s‟accommode convenablement à toute époque. De cette manière, l‟humanisme6 est une tentative de réconciliation des mots et des choses dont les obstacles sont susceptibles d‟une implosion linguistique. Tout change et rien ne demeure si nous suivons les lois de la nature ; les Pensées de Pascal abondent dans le même sens : « Toutes choses changent et se succèdent »7 . Mais, la parole de Dieu Seul demeure inchangée. Il n‟y a rien qui a changé de sa majesté et de sa grandeur ; Dieu demeure toujours ce qu‟Il est et ce qu‟Il sera éternellement : Grand, Puissant, Fort Selon Dubois, l‟univers est en mouvement8. Dans ce cas, il n‟y a rien qui demeure et tout bouge dans l‟immuable principe qui le détermine : Dieu. En effet, la crise du langage est le signe d‟une évolution de la pensée dont l‟Humanisme porte l‟étendard idéologique, philosophique, culturel, littéraire ; elle est aussi une rupture avec l‟accrétion scolastique. À la fois révolution et changement, cette évolution qui donne lieu à une variation du sens est animée par l‟étincelle du renouveau du langage. À ce niveau, l‟élan de la crise du langage est la manifestation d‟une incompréhension et d‟une intolérance totale dont le caractère équivoque et ambigu des mots marque la discorde de la communication. Or, avec le temps, tout se mue9 mais, la Parole de Dieu demeure. Le caractère inaltérable du Verbe relève de la suffisance et de la constance divine qui l‟accompagne et dont la clarté transcende tous les troubles. Le Verbe est infiniment holistique dans l‟illumination céleste du Créateur. Il se manifeste à chaque époque, comme la Renaissance, et Il est en mouvement dans l‟inamovible signe de son apparition. À ce titre, le Verbe est une apparition de la lumière fulgurante de Dieu. Étant ce qui est apparent, la Lumière divine fait luire ce qui demeurait dans l‟ombre. Elle illumine, de manière intelligible, toutes choses en les appelant à l‟existence. C‟est pourquoi cette clarté qui découle directement du Verbe est placée sous l‟égide de Dieu dont l‟immanence est  éternellement et perpétuellement le socle de sa perfection. Mais, cette illumination manque à l‟homme. En substance, Montaigne a raison de dire que si ce rayon de lumière nous touchait véritablement, il apparaîtrait partout à travers nos faits et notre langage. Tout de nous serait illuminé par sa clarté, même nos paroles en porteront la lumière0. Le Verbe contient les mondes et IL répand en toute chose la lumière. Le passage des ténèbres vers la lumière constitue l‟âge d‟or et d‟azur qui marque la Renaissance1. L‟immanence et la majesté de Dieu révèlent que son Verbe n‟est affecté par rien et Il est sublimement autarcique dans le mouvement inamovible de sa Lumière. Conséquemment, le Verbe est autonome. Cette autonomie du Verbe montre qu‟Il mène continuellement une vie indépendante qui relève de son unicité et de son univocité mais, aussi et surtout, de son harmonie de langage. Le Verbe est une symphonie spirituelle qui accorde parfaitement les mots et les choses. Il est signe des choses qui ne relève pas d‟une conscience humaine mais, Il émane directement de la Lumière qui est Dieu. Il est en relation directe avec l‟Éternel qui garde l‟essence de toute chose. C‟est pourquoi Dieu assigne au Verbe un caractère infini et indéterminé qui perdure à travers les siècles2 . Sa Parole s‟accommode de toute époque. Nul ne peut ajouter ou retrancher quoi que soit au Verbe et même au signe. Il porte en lui même sa propre justification. La reconnaissance de l‟Ecclésiaste le confirme : « j‟ai reconnu que tout ce que Dieu fait durera toujours, qu‟il n‟y a rien à ajouter et rien à en retrancher ()»3 . En outre, l‟axiome de Gilles Deleuze s‟inscrit dans ce sillage : «Le Verbe est l‟univocité du langage, sous la forme d‟un infini non déterminé, sans personne, sans présent, sans diversité de voix»  . Ainsi, Rabelais, animé par un humanisme éclairé, fonde-til le crédo des géants Gargantua et Pantagruel dans la pérennité du Verbe. Il insiste sur le caractère éphémère de cette vie qui n‟est que vanité en recommandant ou en exhortant aux géants de se vouer exclusivement à la parole divine qui demeure éternellement : « Ne metz 0 Montaigne, Livre II, Chapitre XII, pp. 442 : « Si ce rayon de la divinité nous touchoit aucunement, il y paroistroit par tout: non seulement nos parolles, mais encore nos operations en porteroient la lueur et le lustre. Tout ce qui partiroit de nous, on le verroit illuminé de cette noble clarté ». ton cueur à vanité, car ceste vie est transitoire, mais la parole de Dieu demeure éternellement»5 . Donc, les temps et les époques passent mais la parole divine demeure toujours dans la manifestation infinie de la majesté du Verbe dont l‟immanence assure la clarté infinie. Il est porteur de signes imbus de sens variables à chaque époque, à l‟image de la Renaissance en France. Il est autonome dans le mouvement réversible des troubles religieux au XVIe siècle qui désenchantent l‟esprit de chacun. Au cœur religieux du XVIe siècle6 dont les troubles ébranlent les cordes sensibles de la croyance, de la foi et de la spiritualité, le Verbe éclaire la conscience des humanistes. Les vicissitudes théologiques de la Renaissance française ne l‟affectent nullement. Le Verbe jouit de la majesté divine qui le préserve de sa pureté originelle. Puisque nulle lumière n‟est hors de Dieu et qu‟Il est même la source de toute lumière, le Verbe s‟accommode de la puissance céleste et se maintient dans sa lumière divine. D‟ailleurs, il est dit : « Ta parole est une lampe à mes pieds, et une lumière sur mon sentier » 7 . Étienne Gilson abonde dans ce sens : « Telle est la production du Verbe par Dieu, comme une torche allumée par une autre torche () » 8 . Il est en mouvement dans l‟immuable principe de prééminence et de prédominance qu‟Il renferme. D‟ailleurs, l‟Éternel le confirme et le répète dans une clarté divine dans la Sainte Bible : « Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront point » 9 . C‟est que la Parole de Dieu est antérieure et extérieure même à la création et elle est en dehors du cycle de la naissance et de la mort ; Elle est exempte de tout changement. Cette Parole qui est l‟essence des choses entretient en elle-même les fondements de son Être. Elle subsiste en Dieu qui demeure en toute éternité : Dieu parle bien de Dieu130 c‟est nous qui ignorons totalement ses mystères. C‟est pourquoi, dans la magnificence de l‟immanence du Verbe, le texte les Psaumes déclame : « À toujours, Ô Éternel! Ta parole subsiste dans les cieux » 131 . Cette subsistance qui repose sur la majesté de Dieu assigne à la Parole ou au Verbe une 5 Rabelais, Pantagruel, Chapitre VIII. 6 Lucien Febvre, Au cœur Religieux du XVIe siècle, Paris, École Pratique des Hautes Études, 1957. 7 Psaumes, CXIX, 105. 8 Étienne Gilson, La philosophie au Moyen Âge, Paris, Éditions Payot, 1986, p. 24. 9 Marc, XIII, 31, et Matthieu, XXIV, 35. 130 Blaise Pascal, op. cit., p. 205 : « () le riche parle des richesses, le roi parle froidement d‟un grand don qu‟il vient de faire, et Dieu parle bien de Dieu ». 131 Psaumes, CXIX, 89. 26 convenance parfaite dans l‟acte de la création. Le Verbe se suffit à lui-même qui marque le commencement132 . Tout part de Dieu, tout revient à Lui. Ce mouvement aller-retour est la condition sine qua non de l‟existence de toute chose. Dieu est le Premier sans commencement et le Dernier sans fin. Il est celui qui est et qui demeure ce qu‟Il est immuable et éternel. Avant que toute chose ne soit, Il est ; et, quand rien ne sera plus, il existera pour toujours. Il est le devenir, la destinée de toute chose. Dieu est comme Il s‟est loué Lui-même : le Créateur du ciel et de la terre et tout ce qu‟ils renferment. Tout est sous son contrôle. Rien ne peut passer sans passer par sa volonté divine car, tout est selon sa volonté : « Tout part de Dieu, Tout revient à Dieu, rien ne se passe qui ne passe par la volonté divine »133. Dans ce cas, dès l‟origine est le Verbe qui est la matrice de la création du monde. L‟immanence et la majesté du Verbe qui charrient en elles-mêmes la lumière renferment l‟efficience de Dieu. La noblesse de Dieu traduit la grandeur de sa Parole dont le caractère sacré marque tout le processus de la création. Et, tout ce qui est, repose sur la parole de Dieu : « Dieu se manifeste en s‟exprimant et tout ce qui est, est, en certain sens, parole de Dieu »134 . Ce faisant, Dieu, du haut de sa grandeur, parle pour créer mais, l‟esprit du Verbe créateur échappe à toute créature. Cette dimension théologique n‟échappe pas à la philosophie de la Renaissance : « La création apparaît comme l‟émanation d‟une lumière originelle » 135 qu‟incarne le Verbe. D‟ailleurs, Il est porteur d‟attributs infinis, divers et variés : le Verbe est à la fois Savoir, Avoir, Pouvoir, Création, Bonté, Justice, Vérité absolue

 L’acte de dénomination ou l’attribution des noms

Dans tout le processus de la création, Dieu a créé en nommant implicitement ou explicitement la chose. En effet, dans la création, il y a la nomination ou, dans la nomination, il y a la création ; elles sont simultanées. Elles sont intrinsèquement liées chez le Créateur. Avec Dieu, il y a le mot et la chose qui sont naturellement identiques; le nom n‟est pas méconnu par Dieu puisqu‟il existait déjà dans son entendement. Il connaît parfaitement le nom de toutes les choses. Dans une allure divine et céleste de la création, le nom précède l‟existence de la chose dans la mesure où appeler la chose à l‟existence c‟est déjà la nommer. La création sous-tend donc une nomination ou une attribution déjà des noms dans l‟entendement divin. Parce qu‟on constate qu‟il y a un silence remarquable qui couvre la dénomination des animaux sous mer : « Dieu est le premier et le plus fondamental silence »180 . Si Adam nomme les animaux sur terre qui a nommé les animaux sous la mer ? Parce qu‟atteindre les couches profondes de la mer semble être une impossibilité pour Adam. Dans ce cas, la profondeur des mers et de ce qu‟elles renferment portent leur nom par leur Créateur. La présence divine se voit à travers ses œuvres visibles ou invisibles. Sa parole conjugue la nomination et la création en un seul moule harmonieux: Il nomme-crée à la fois. La gloire de Dieu dans ses œuvres nous annonce par-là même la faiblesse de l‟homme.181 Néanmoins, par un amour sublime, Dieu a l‟insigne honneur de transposer son pouvoir divin du Verbe à l‟homme dans le jardin céleste car, l‟homme est une créature à qui Dieu a accordé le langage. La transcendance divine assure ce langage dans la transparence sublime : « Partout s‟affirme la primauté d‟un Verbe divin, communiqué ensuite à l‟homme tout enrobé encore de signification transcendante »182 . Cette communication effectuée sur le mode de transfert donne à l‟homme la connaissance des choses qu‟accompagne l‟acte de dénomination. C‟est pourquoi, selon Rousseau, « Adam avait été instruit par Dieu même »183 . Le ciel et tout ce qu‟il renferme a été créé pour l‟homme184 de telle sorte que tous ne font que glorifier la grandeur et la majesté de Dieu. D‟ailleurs, nommer c‟est connaître les caractéristiques de la chose. Tout ce qui existe porte un nom. L‟établissement des noms est  une connaissance dont l‟instruction passe par l‟influence réciproque du nom et de la chose. Découvrir de quelle nature est la chose c‟est essayer de trouver le nom qui lui convient soit naturellement Ŕ selon la perfection du Verbe divin Ŕ soit conventionnellement Ŕ selon les accords d‟une communauté linguistique Ŕ. Chemin faisant, dans une pureté sublime qui est intrinsèquement liée à l‟innocence édénique, Adam détient le secret de la science des noms dans l‟intimité de sa conscience. Naturellement, il nommera dans une sainteté et pureté divine qui, de manière idoine, assigne à toute chose le nom qui lui convient naturellement185 . Il a les bonnes grâces de la Parole ou du Verbe qui entretient une osmose naturelle des mots et des choses. Cette transparence du langage présente une similitude des mots et des choses. Michel Foucault dit : Sous sa forme première, quand il fut donné aux hommes par Dieu Lui-même, le langage était un signe des choses absolument certain et transparent, parce qu‟il leur ressemblait. Les noms étaient déposés sur ce qu‟ils désignaient, comme la force est écrite dans le corps du lion, la royauté dans le regard de l‟aigle () : par la forme de la similitude186 . Dès lors, l‟attribution des noms est un privilège divin que Dieu a transférée à l‟homme pour lui assurer l‟instruction des choses. Et, dans la multiplicité et la diversité de chaque créature, Adam distingue parfaitement chaque chose par son nom. L‟établissement des noms donne à voir la nature de la chose. Toute chose présente une singularité de taille selon les caractéristiques qui fondent son nom. Dans ce cas, on nomme dans la mesure où on a une connaissance limpide de la chose. L‟archéologie du savoir repose sur la connaissance du nom. D‟ailleurs, Dieu dit clairement à Moïse : « je te connais par ton nom »187 . Dieu crée en nommant à l‟insu de l‟homme; et Il cède majestueusement ce pouvoir divin à Adam. 

Table des matières

INTRODUCTION GÉNÉRALE
PREMIÈRE PARTIE : L‟HUMANISME, LE LANGAGE ET LA CRISE
PREMIÈRE SECTION: LA REPRÉSENTATION DU LANGAGE AU XVIe SIÈCLE
DEUXIÈME SECTION : LA CRISE DU LANGAGE . 88
TROISIÈME SECTION : L‟HUMANISME, L‟ÉDUCATION ET LE LANGAGE
DEUXIÈME PARTIE : LE LANGAGE DE LA CRISE OU LES PRATIQUES D‟ÉCRITURE
PREMIÈRE SECTION : ÉRASME ET LA FOLIE
DEUXIÈME SECTION : RABELAIS ET LA DÉMESURE DU LANGAGE
TROISIÈME SECTION : MONTAIGNE ET LE MOUVEMENT DU SIGNE
CONCLUSION GÉNÉRALE
BIBLIOGRAPHIE GÉNÉRALE

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