L’importance de l’investissement chez les théoriciens de l’économie internationale

L’importance de l’investissement chez les théoriciens de l’économie internationale

La décision d’investir repose sur les avantages comparatifs que possède un pays. Les investissements peuvent provenir des potentiels au sein du pays en question, mais souvent, ils proviennent de l’étranger, d’où l’appellation Investissement Direct Etranger. Ainsi dit ci-haut, il y a IDE quand il y a la présence des Firmes Multinationaux (FMN) dans un pays.
Nombreux sont les facteurs qui sont pris en compte par les investisseurs avant de s’implanter.
En effet, il y a différentes études préalables avant toute décision de localisation, comme le salaire, le taux de profit et la demande. Des pays de même condition géographique peuvent être différents sur les prix des facteurs de production. Deux cas peuvent se présentés : le premier cas est celui où l’investisseur cherche à minimiser le coût et veut se localiser là où le salaire des travailleurs est minimal. L’autre cas, par contre, cherche à avoir plus de productivité de bonne qualité, pour ce faire, il va se localiser là où les travailleurs sont bien qualifiés, même si ça génère plus de coût. Cela montre que la qualité du capital humain figure comme un des facteurs qui attire les investisseurs étrangers, d’où la prise en compte des avantages comparatifs du pays d’accueil.
Un autre cas de la décision de la localisation des IDE est l’existence de la technologie dans le pays. En faite, il y a des cas où les IDE sont plus attirés dans un pays où l’évolution de la technologie est énorme, afin de tirer profit de leurs existences pour faire avancer ses productions et d’avoir plus d’apprentissage. On peut donner l’exemple du cas des investisseurs japonais qui s’implantent aux Etats-Unis (théorie de FRANKO L.G.1983).
Pour les théoriciens de l’économie internationale, il ya plusieurs facteurs qui doivent être prise en compte avant de se décider où l’investissement sera profitable. Faut-il contourner les différents coûts de production en ne s’exerçant que chez soit et d’en suite les exporter ou c’est plutôt le contraire qu’il faut procéder afin de pallier les barrières douanières. Cette dernière optique est déterminante sur la venue des IDE et est bénéfique pour le pays d’accueil parce qu’elle peut substituer les importations avec la production locale, d’où un équilibre de la balance commerciale.

L’importance de l’investissement sur le point de vue des théoriciens de l’économie industrielle 

Saint Simon ou Claude-Henri de Rouvroy (1760-1825) a eu l’idée que le progrès économique et technique provient essentiellement de la classe industrielle. A partir du 20 ème siècle, l’industrie a pris un rôle prépondérant dans le contexte mondial. Suite à cela vienne la mondialisation et donc la compétitivité internationale.
Pour acquérir la compétitivité internationale, chaque pays doit maîtriser quelques étapes dont le développement de ses flux d’exploitation et de ses flux d’investissement avec l’étranger afin de mettre en place des réseaux mondiaux de production et d’information. Vernon (1966) a aussi apporté son raisonnement sur l’existence des firmes multinationales selon l’économie industrielle. Vernon a pris l’exemple du cycle de vie d’un produit.
Rappelons par un graphe les quatre phases du cycle de vie d’un produit quelconque : son lancement, sa croissance, sa maturité et son déclin.

L’importance de l’investissement chez les théoriciens de l’économie institutionnelle 

L’économie institutionnelle est définie comme une famille des théories pour laquelle les institutions comptent dans l’étude de l’économie. Elle consiste même un objet de la réflexion.
L’institution est un arrangement pris sur un point particulier de la vi e de la communauté, servant à des buts donnés, arrivant à une existence et un développement propre, qui sert de cadre à l’action des générations successives.
Actuellement, le point de vue de l’économie institutionnelle domine vue par sa définition. La FMN est ici considérée comme étant une institution, donc, détient des avantages propres et possède des objectifs. Les avantages que possèdent cette institution la rend puissante face à la concurrence et la permette de se délocaliser et réaliser de l’économie d’échelle.
Ronald COASE est un des premiers qui a initié la théorie de l’internationalisation et les couts de transaction pour expliquer l’existence des FMN. Le coût de transaction est globalement le résultat de la défaillance du marché, surtout de l’inexistence des communications directes entre acheteurs et vendeurs. Nous définissant généralement le coût de transaction par le coût qui est lié à la recherche d’information, des négociations des contrats ainsi que les prix adéquats. Comment pouvons-nous alors expliquer les motifs qui poussent les firmes à investir à l’étranger ?
D’abord, la firme possède des avantages qui la rendent plus spéciale que les autres.
Cela peut être son savoir -faire ou sa capacité technologique plus développé. Afin de produire davantage à moindre coût, la firme entre dans l’économie d’échelle. En étant dans cette position, la firme peut être la première à pénétrer dans un marché, avec sa marque bien reconnu, ces avantages la qualifient d’une firme monopolistique.
Après la détention de ces avantages spécifiques, la firme décide de se développer et élargir sa production en s’implantant dans une autre zone géographique. Mais avant de s’implanter, la firme doit faire des études de terrain parce que toutes éventualités sont possibles: la qualité et la quantité des facteurs de production disponibles, comme le capital humain, les ressources naturelles, la grandeur du marché, les différents infrastructures et le stade de développement de la zone. La firme doit aussi prendre en compte le système social existant comme les langues vivantes de la population, et les cultures existantes. Mais un des facteurs qui bloque l’implantation des firmes est la situation macroéconomique et politique de la zone cible. Cela nous a permis de comprendre le choix de la localisation des FMN, et l’existence de ceux-ci influent la décision de s’internationaliser.
Plusieurs sont les facteurs prises en compte pour déterminer la localisation d’un investissement, surtout étranger. L’avantage qu’un pays possède comparant à un autre attire en premier les investisseurs selon les théoriciens de l’économie internationale. Du point de vue des théoriciens de l’économie industrielle, le niveau de la technologie du pays est un facteur décisif pour un profit à court terme. Mais la caractéristique interne au sein du pays, c’est-à-dire la structure de son marché, est aussi importante pour les institutionnalistes.

Historiques des mesures touchant l’investissement

Des ressources naturelles, de la pêche, de l’agriculture et du sous-sol, Madagascar a de nombreuses potentielles pour son développement. Pourtant, la Grande Île figure parmi les pays les défavorisés et les plus pauvres du mondes. Une réalité, malgré les énormes richesses de son sous-so l, la grande Île reste peu attractif pour les investisseurs miniers internationaux.
Selon le classement annuel du fraser Institute sur le niveau d’attractivité des pays en terme d’investissement minier , dans le rapport en 2013, Madagascar se place à la 103 ème sur 112 ème pays. Presque la totalité de la population Malagasy vivent au-dessous du seuil de la pauvreté. Malgré les mesures prises par l’Etat Malagasy depuis l’indépendance, l’économie reste encore loin derrière l’objectif que les autorités escomptaient.
A Madagascar, le niveau de l’investissement est mesuré par un organe officiel produisant les statistiques macroéconomique et est tirée du Système de Comptabilité Nationale du 1993 ou SCN 1993. D’après les études faites par l’INSTAT ou Institut National de la Statistique de Madagascar, la définition de l’investissement concerne trois types d’acteur économique.
A travers les Enquêtes Permanentes des ménages, les avoirs et les acquisitions de biens durables ou biens d’investissements réalisés par les ménage s permettent d’identifier les investissements réalisés par ces derniers sur tout le territoire national.
Pour le cas des entreprises, une collecte des informations concernant les documents comptables ont été effectuées par l’INSTAT, selon la méthodologie SCN, et ont renfermé toutes activités et acquisitions relatives à l’investissement.

De 1982 à 1990 

Entre 1982 et 1990, nous avons remarqué une phase de transaction mettant les bases du libéralisme, marqué particulièrement par le désengagement de l’Etat des activités économiques de production et des différentes reformes allant dans le sens du système libéral.
Afin de lutter contre l’inflation et de rendre plus accessible le financement des opérations des investisseurs , l’Etat Malagasy a appliqué le taux d’intérêt réel positif. Un décret autorisant les activités et services des banques privées à s’opérer. D’où la privatisation de diverses banques publiques comme la BNI et la BFV avec la création du marché des bons de trésor. A titre de rappel, le bon de trésor est un titre d’emprunt émis par l’Etat et est remboursable à l’échéance. C’est un titre obligataire à court terme, une dette inférieure à deux ans, pour couvrir l’excédent des charges de l’Etat sur ses ressources, par l’intermédiaire du trésor public. Madagascar est alors entré effectivement dans le système libéral en favorisant au maximum le développement du secteur privé.
En 1983, Madagascar a pu bénéficier d’un Crédit d’Ajustement du Secteur Industriel ou CASI. Par conséquent, les prix des produits industriels étaient libéralisés et ceux des produits agricoles augmentaient cette politique vise à valoriser les matières premières locales et de relancer les exportations. Les fruits de la politique de libéralisation et d’ouverture extérieur adopté par Madagascar vers le milieu des années 80 n’ont pas été vraiment perceptibles qu’à partir du milieu des années 90. Cependant, la crise sociopolitique de 1991 a encore sapé l’élan de croissance obtenu de cet ajustement structurel.

Entrée totale dans la libéralisation 

De 1991 à 2001 

Durant cette période, les autorités ont mené des reformes économiques basées sur la libéralisation et la promotion du secteur privé. En effet, à part l es politiques monétaire, budgétaire, fiscale et changes, le secteur des communications, reconnus monopole, a pris son fin légale. Pour d’autre secteur, l’Etat a adopté un code minier, pour la mine ; libéralisé les lignes aériennes, donc, le tarif aérien et les services au sol n’étaient plus monopolisés par la compagnie Air Madagascar. En 1995, l’Etat a crée un cadre réglementaire pour promouvoir la concurrence dans le secteur pétrolier, sous l’égide du décret de libéralisation du secteur pétrolier. Dans le cadre de la DCPE ou Document Cadre de Politique Economique et du DSRP ou Document de Stratégie de Réduction de la Pauvreté : pour l’année 1996, les investisseurs étaient autorisés à accéder à l’occupation foncière grâce au bail emphytéotique de 99 ans hypothécable. A partir de 1997, l’Etat a continué de développer le secteur privé en levant les contraintes réglementaires et fiscales aux affaires.
Pour la politique fiscale, le gouvernement Malagasy a mis au point une structure fiscale moins dépendante des taxes sur le commerce extérieur et d’améliorer le rendement de l’impôt sans relèvement de taux. Suite à l’application du taux de change réaliste, Madagascar s’est intégré dans diverses organisations régionales comme la COI ou Commission de l’Océan Indien et la COMESA ou Common Market for Eastern and Southem Africa. L’adhésion de Madagascar au sein de ces différentes organisations régionales semble une opportunité pour le pays de réaliser l’objectif d’une manière à ce que la croissance économique est tirée de l’exportation. En effet, en exploitant les avantages comparatifs de Madagascar ainsi que sa compétitivité par rapport à ses partenaires régionaux. Toute fois, la connaissance des marchés extérieurs n’est pas suffisant pour résoudre le problème des exportations, et aussi de la croissance économique, d’où une restructuration des tarifs douaniers.
L’Etat Malagasy a créé des institutions spécialisées dans la promotion des investissements du développement du secteur privé avec l’adoption d’une loi foncière en 1998. D’où la création du guichet unique de l’investissement, appelé GUIDE. En similaire, une plate forme de négociation avec le secteur privé a été élaboré, d’où le nom CAPE. Ces actions sont établies pour faciliter l’accès à la CMESA et MIGA ou Agence Multilatérale de Garantie des Investissements.

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De 2002 jusqu’à maintenant 

Après la crise du 2001-2002, le nouveau gouvernement a radicalement changer l’identité le la monnaie Malagasy, d’où l’apparition de l’Ariary et a comme sigle Ar. Afin d’inciter le maximum d’investisseur, tous les politiques sont bonnes. Effectivement, le régime Ravalomanana a fait une détaxation d’un certain nombre de biens d’investissement et de consommation durant deux ans. Des contrats avec une compagnie privée ont été effectués afin de renforcer la douane. Il y avait aussi une réduction des tarifs de sept taux variant de trois à trente trois pout cent à quatre taux. Le taxe à l’importation ainsi que le droit de douane ont été réduit. En effet, le nombre de taxes a été réduit de quatre à deux.
Afin de promouvoir plus d’investissement à Madag ascar, l’Etat a établit une vaste programme d’infrastructure, comme la construction des routes, l’amélioration des ports, des aéroports, ainsi que les différents voies ferroviaire. La privatisation de la Télécommunication Malagasy ou TELMA s’est effectuée pendant cette période ; aussi, la JIRAMA ou Jiro sy Rano Malagasy, reconnu comme distributeur exclusif d’eau et d’électricité du pays, a été préprivatisée. Accompagné de ces actions, la loi Malagasy a autorisée les étrangers à acheter des terres, pour faciliter l’implantation des investisseurs. La libéralisation de l’économie et le développement du secteur privé ont fait naître le concept du « Partenariat-Public-Privé », comme facilitateur et modérateur entre l’Etat et les unités de production privées.

Appréciation de ces politiques Malagasy 

Madagascar possède de nombreuses potentielles tant naturelle que culturelle. Malgré les études, déjà nombreuses, des critères d’investissement dans notre pays, les économistes ne sont pas parvenus à harmoniser leurs recommandations de la politique économique. Notre économie est toujours critiquée d’étant désarticulée sans véritable marché. Les prix et les coûts sont soit impossible soit en référence avec ceux des pays développés dominantes.
L’ouverture d’une économie vers l’étranger se reflète à travers les échanges commerciaux de biens et services ainsi que les échanges de capitaux à court et long terme. Si les premiers sont des outils de développement traditionnels, les seconds sont assez récents, à partir du début des années 80 pour les pays développés, comme le notre.
Afin d’évaluer au mieux notre pays, ce chapitre avance une analyse macroéconomique à partir des données quantitatives et des données qualitatives montrant la force du pays ainsi que ses faiblesses.

Au niveau de la création des entreprises 

Pendant le régime de l’Amiral Didier RATSIRAKA en 1997, développer le secteur privé et favoriser son développement étaient primordial. Après la crise de 2002, l’Etat Malagasy a décidé de faciliter la création des entreprises. Pour ce faire, le Guichet Unique des Investissements et de Développement des Entreprises ou GUIDE a été crée le 9 Septembre 2003.

Comparaisons Madagascar-Maurice

Etant catégoriser dans le même continent, et géographiquement proches (à 900 km à l’Est de Madagascar), l’Île Maurice dépasse largement notre pays sur le plan économique. En effet, cette petite île a l’opportunité de se concurrencer avec les grands pays développés du monde comme la France, le Japon et l’Allemagne. D’après le classement de la Banque Mondiale, Maurice figure au 23 ème rang devant la Suisse (26 ème ) et la France (29 ème ) sur la facilité à faire des affaires ou « Doing Business Survey 2012 ». Madagascar et l’Île Maurice possèdent plusieurs points qui leurs spécifient davantage, et ce sont ces spécificités que nous allons essayer de décortiquer dans cette première chapitre.

Les caractéristiques de la Grande Île 

Madagascar aux yeux du monde 

Madagascar est la 4 ème plus grande île du monde, elle se localise géographiquement dans l’Océan Indien, entre le tropique du Capricorne et l’Equateur, à 400 km au large du Sud-est de l’Afrique, et ayant comme fuseau horaire GMT+3.Madagascar est une destination touristique privilégiée, de découverte, d’aventure, de culture et de l’écotourisme. Ce qui attire les touristes, c’est la richesse du pays en ayant des faunes et flores, dont la plus part sont endémiques.
Il existe 18 tribus dans notre pays, parlant chacune leur dialecte. Néanmoins, les Malagasy arrivent à se comprendre avec la langue officielle. Le point fort de la population Malagasy est le reflet de sa culture qui est le respect des ancêtres, des ainés et surtout du « fihavanana ». La population Malagasy est aussi réputée pour sa grande tolérance et l’observation des « fady » (tabous) et interdits. Ainsi, avant qu’une personne ou un groupe de personne soit prise de vue, il doit demander de l’autorisation.

Vivre à Madagascar 

Actuellement, la population Malagasy compte jusqu’à 22.005.222 habitants (Banque Mondiale, 2012) au sein d’une superficie de 587.295 km 2 (INSTAT). 53,2% des malagasy appartiennent dans l’intervalle d’âge de 15 à 64 ans, donc, elle est qualifiée de population jeune et dont les langues officielles sont le Malagasy, le Français et l’Anglais. D’après l’OIT ou Organisation Internationale du Travail, tout individu d’âge adulte et physiquement apte, sont des offreur de travail. Le taux d’activité est la proportion d’individu qui travaillent ou qui sont à la recherche active d’emploi. En 2010, il se chiffre à 66,1%, donc, de l’offre disponible sur le marché du travail à Madagascar.
Depuis l’indépendance de Madagascar, et même bien avant, le système éducatif qui nous régis ressemble au système français. Par conséquent, la langue d’enseignement depuis les écoles primaires est le français. Pour un résident expatrié, la Grande île possède plusieurs écoles supérieures de filière diversifié, des lycées, collèges et écoles primaires d’expression française, publics et privés. Récemment, il a un « American School » qui se situe dans la capitale. Dans l’immobilier, plusieurs choix sont offerts pour la localisation et les préférences de l’intéressé. Il y a les appartements meublés avec un loyer mensuel entre 150 et 800 euros, ou bien les villas  meublées, dont le loyer est entre 250 et 2.000 euros.

Une opportunité des affaires 

L’Etat Malagasy a identifié six secteurs prioritaires des affaires : l’agribusiness, le tourisme, l’industrie légère, les mines, l’infrastructure et énergie, et la TIC ou Technologie de l’Information et de la Communication. Pour cette dernière, Madagascar est actuellement connecté avec le monde grâce à deux câbles de fibre optique (EASSy et LION). La loi n°2005-023 promulguée en 2005 a libéralisé le secteur TIC.
En effet, comme Madagascar possède encore un vaste terrain exploitable avec les conditions climatiques nombreuses, favorables à divers types de plantation, l’agribusiness est un des secteurs le plus porteur pour les operateurs. Cinq secteurs sont intéressants dans l’agribusiness : les graines oléagineuses, comme le soja et les palmiers à huile ; le sucre, ayant Site de l’EDBM (Economic Development Board of Madagascar). comme produit du sucre brut, de l’éthanol et des rhums ; les légumes frais ; les fruits, en sachant que les tropicales ont une valeur élevée ; et les boissons comme le cacao, café et thé.
Les marchés potentiels sont bien sûr dans le marché local, puis le régional dont la SADC et en fin le marché mondial (aux Etats-Unis et en Europe). A part cette dimension, La Grande Île dispose d’une main œuvre hautement qualifiée, sui te à quelques efforts du gouvernement, dans le textile, où on parle d’industrie légère. Actuellement, Madagascar est le second pays de l’Afrique Subsaharienne à être un exportateur de produits d’habillements.
Pour ce qui est du sous-sol, nombreux sont les produits qui sont encor sous-exploités. Certes, la branche de l’extraction minière est la plus attractive pour les investisseurs étrangers, mais, nous en disposant encore plus, afin d’inciter les potentiels Malagasy. Si nous ne parlons que les métaux de Madagascar, nous pouvons citer comme exemple l’or, le fer, le chrome, l’uranium, le cuivre et le nickel.

Les atouts de l’Île Maurice 

Île Maurice sur le plan mondial 

Des magasines, des revus mondiales, des textes, des sites, de la statistique, etc qualifient l’Île Maurice d’un joyau rare de l’Océan Indien. C’est une petite île -nation, de 1860 km2 , à l’Est de la côte africaine, n’est ni particulièrement riche, ni sur le point de faire banqueroute. Elle a néanmoins consacré pendant ces dernières décennies à bâtir une économie diversifiée, un système politique démocratique et une protection sociale généralisée. Selon le rapport « The Africa Competitiveness Report 2011 » publié par le World Economic Forum (WEF), la Banque mondiale et la Banque Africaine de Développement, l’Île Maurice arrive en 2 ème position derrière l’Afrique du Sud dans le classement des pays africains les plus compétitifs et attractifs.

Table des matières

Introduction générale
Partie 1: Cadre général et conceptuel :
Chapitre 1 : Les théories sur l’investissement
Section 1 : Les types d’investissement et leurs fonctions
Section 2 : Les théories économiques sur l’investissement
Chapitre 2 : Historiques des mesures touchant l’investissement à Madagascar
Section 1 : Indépendance et expérience socialiste
Section 2 : Entré totale dans la libéralisation
Partie 2 : Evaluations des politiques d’investissement à Madagascar 
Chapitre 1 : Appréciations de ces politiques Malagasy :
Section 1 : Au niveau de la création d’entreprise
Section 2 : Comparaisons Madagascar-Maurice
Section 3 : Les points faibles de Madagascar
Chapitre 2 : Perception des entreprises à Madagascar de ces actions
Section 1 : La Chocolaterie Robert
Section 2 : L’entreprise Airtel Madagascar
Section 3 : Le projet Ambatovy
Section 4 : Les zones franches : OSO FARMING et B-Textile
Conclusion générale

projet fin d'etude

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