LES TRAVAUX RIZICOLES
Le processus des travaux rizicoles
Les travaux rizicoles se résument à l’irrigation des terrains de culture pour conditionner un bon rendement, les travaux se résument ainsi par des étapes de travaux tels que : la semi-préparation pour préparer le sol, il faut fertiliser les terrains avant la pratique de la semence, le repiquage se fait dans de bref délai, 8 à 15 jours après la semence, le sarclage pour que les plants obtiennent le soleil dont ils ont besoin et que les racines soient aérées en fonction de ses besoins , le désherbage pour éliminer les mauvaises herbes qui poussent avec les plantes , l’épuration qui consiste à utiliser des herbicides pour éliminer les plantes hors types qui gênent la croissance des plantes, la moisson, le séchage et battage. Figure N°06 : Terrains irrigués source : photo amateur a) Les semis préparations : Les semis préparation se font avant l’arrivée de la saison des pluies, pour la régénération du sol, à l’arrivée des pluies, les rizières seront prêtes à être travaillées, cette action est très importante et indispensable car cela est un des facteurs d’une bonne récolte. Quand à la préparation du sol, elle consiste au labour des terrains bâtis, piétinage sur tanety jusqu’aux retraits des eaux. b) Le repiquage : L’application de la nouvelle méthode S.R.I. nécessite une norme à appliquer, cela demande un peu plus de temps par rapport à la méthode traditionnelle. Le repiquage se fait sur plate bande ou bion d’une largeur de 1,20 mètre et d’un canal de centimètres. Pour une superficie de 1 are, on a besoin de 100 à 200 kapoaka de semences selon la qualité du sol. Les plantes se font repiquées au bout de 8 jours à 15 jours c’est-à-dire de très jeunes pousses. Ces espacements conditionnent le soleil pour les plantes, facilite le sarclage et pour une bonne gestion de l’eau, en résumé ils conditionnent la bonne suivie des normes de la S.R.I., qui sont très importantes. Figure N° O7 : repiquage en ligne source : photo amateur c) Le sarclage : Le sarclage se fait au bout de quinze jours après le repiquage, peut se faire manuellement ou à l’aide d’une sarcleuse, les espacements lors du repiquage facilite cette action. Ces procédures sont des techniques à appliquer à la rigueur car elles peuvent maximiser les rendements jusqu’à un doublement tendre vers triplement mêmes. 39 Quand à la préparation du sol, elle consiste au labour des terrains bâtis, piétinage sur tanety jusqu’aux retraits des eaux. L’application de la nouvelle méthode S.R.I. nécessite une norme à appliquer, cela demande un peu plus de temps par rapport à la méthode traditionnelle. Le repiquage se fait sur plate bande ou bion d’une largeur de 1,20 mètre et d’un canal de centimètres. Pour une superficie de 1 are, on a besoin de 100 à 200 kapoaka de semences selon la qualité du sol. Les plantes se font repiquées au bout de 8 jours à dire de très jeunes pousses. Ces espacements conditionnent le eil pour les plantes, facilite le sarclage et pour une bonne gestion de l’eau, en résumé ils conditionnent la bonne suivie des normes de la S.R.I., qui sont très : repiquage en ligne lage se fait au bout de quinze jours après le repiquage, peut se faire manuellement ou à l’aide d’une sarcleuse, les espacements lors du repiquage facilite cette action. Ces procédures sont des techniques à appliquer à la rigueur car elles r les rendements jusqu’à un doublement tendre vers triplement Quand à la préparation du sol, elle consiste au labour des terrains bâtis, piétinage L’application de la nouvelle méthode S.R.I. nécessite une norme à appliquer, cela demande un peu plus de temps par rapport à la méthode traditionnelle. Le repiquage se fait sur plate bande ou bion d’une largeur de 1,20 mètre et d’un canal de 30 à 50 centimètres. Pour une superficie de 1 are, on a besoin de 100 à 200 kapoaka de semences selon la qualité du sol. Les plantes se font repiquées au bout de 8 jours à dire de très jeunes pousses. Ces espacements conditionnent le eil pour les plantes, facilite le sarclage et pour une bonne gestion de l’eau, en résumé ils conditionnent la bonne suivie des normes de la S.R.I., qui sont très lage se fait au bout de quinze jours après le repiquage, peut se faire manuellement ou à l’aide d’une sarcleuse, les espacements lors du repiquage facilite cette action. Ces procédures sont des techniques à appliquer à la rigueur car elles r les rendements jusqu’à un doublement tendre vers triplement 40 Au niveau des rendements, puisque la méthode n’est pas encore trop adoptée dans la région, actuellement, le rendement reste encore très faible par rapport aux résultats attendus mais la vulgarisation de la méthode reste la priorité de l’Etat, car cette méthode est une méthode qui a été étudié et les résultats sont fiables et très prometteurs au niveau des rendements. d) Le désherbage : Pour la riziculture, plusieurs sortes de mauvaises herbes existent : • Des mauvaises herbes qui engloutissent la nourriture du riz comme la cypéracée ; • Des mauvaises herbes qui dérangent les talles provoquant la réduction des talles ; • Des mauvaises herbes qui couvrent la surface provoquant la froidure, telles que : Azola, Valantendro et Algues ; Après avoir sarclé, il est recommandé de désherber manuellement et ceci avant la phase de montaison. En effet, sarcler ou désherber pendant la phase de montaison provoque l’avortement. Il y a deux types de désherbage : le désherbage chimique, le binage ou le sarclage − Le désherbage chimique c’est le traitement pré émergence par l’élimination des grains et des mauvaises herbes au moment de leur développement ; Toutefois l’utilisation des herbicides doit être rationnelle et en fonction de la nature du sol. En effet, les herbicides des plantes provoquent: • L’augmentation du taux d’utilisation des herbicides dans la rizière ; • Détérioration de la qualité des semences produites ; • La diminution de la productivité car les herbicides consomment les éléments nutritifs du sol. − Le sarclage ou le binage : le premier sarclage et le binage est fait au 30ème jour après le repiquage au plus tard et le second au15ème jours après. 41 e) L’épuration : L’épuration est une opération qui consiste à répandre les herbicides dans les champs semenciers pour éliminer les plantes hors type, les plantes de même espèce, les variétés de semences cultivées différentes de la variété ciblée et les plantes malades. Le but de l’épuration c’est d’obtenir une seule variété de qualité de semence pure si elle est mélangée à d’autres variétés, on l’appelle paddy commerciale. f) La moisson : La moisson du riz en maturité est prouvée par la couleur jaune des feuilles pelliculaires c’est-à-dire que les 80 % des graines sont de couleur paille, elle commence au mois de Mai. Après la coupe, les paysans ramassent leurs productions au même endroit pour faciliter le battage et le vannage qui se font juste après quinze jours. g) Le séchage : Quand les graines de riz sont en maturité, ils ont environ plus de 20% d’humidité. C’est pourquoi ; il faut les sécher au soleil 3 à 5 jours après le battage.
Les semence
Des variétés de semence sont proposées par la FOFIFA pour la région du Sud qui est en fonction de son climat, le tableau N° 06 nou s présente les variétés de semences appropriées pour les régions du Sud. Long 145 jours Source : FOFIFA/ Ministère de l’agriculture, 2008 Les semences nécessitent une préparation particulière qui pourrait améliorer le rendement rizicole et suivre la norme de culture de riz, pour cette préparation des étapes seront à suivre telles que le pré germination. Le pré germination est l’action de tremper les semences pendant une durée de 24 heures, c’est-à-dire une journée et une nuit dans un sac en plastique et on le fait sécher au soleil, les semences commencent à fleurir dans ce sac durant cette période et là on pourrait ensemencer les terrains qui sont préparés et déjà prêts. 2.3. Les engrais : • Objectifs : Il s’agit d’identifier les plans d’action qui constitueront les premiers pas vers le développement du marché des engrais dont l’acteur central est le secteur privé. L’objectif de consommation d’engrais serait de 90.000 tonnes / an d’ici l’année 2012. Une augmentation de la production rizicole de 100% en 5 ans, avec une superficie rizicole fertilisable estimée à 300.000 ha sur un total de 1.620.615 ha, et un apport de 150 KG/ ha de DAP et 50 kg / ha d’urée, demanderait un total de 60.000 tonnes d’engrais sur rizière pour escompter 1 million de tonnes de paddy supplémentaire. Concernant les engrais, la plupart des paysans utilisent le traditionnel compost, qui est un engrais crée à partir des débris et déchets personnelles, à base de fumiers et des ordures ainsi que les déchets des volailles. Mais actuellement, l’Etat encourage l’utilisation rationnelle d’engrais et a mis en disposition des paysans des engrais chimiques testés par des ingénieurs en agronomie avec des résultats très positifs qui assurent des rendements sûrs et améliorés mais on remarque aussi que les paysans préfèrent ne pas changer leur habitude car à leur avis ces engrais chimiques détruisent les terrains. Cette politique est très nécessaire car elle contribue à la régénération du sol et à l’augmentation de fertilité du sol.