Les techniques et produits de traitement ou l’amélioration des sols

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Contexte général de la route en terre étudiée

Les infrastructures routières de la région SAVA

La région dispose de route bitumée reliant Vohémar et Antalaha ainsi que de Sambava et Andapa. A part ces artères, les routes et les pistes sont généralement en mauvais état et restent difficilement accessibles.
Les communes de la région se situent dans la majorité à plus de 11 km des chefs-lieux de district les plus proches soit, 86,1 % des communes. Seules 13,9 % des communes se situent à moins de 10 km. Malgré cette grande distance avec les chefs-lieux de districts les plus proches, une grande partie des communes sont toutefois accessibles du fait de l’existence des routes nationales bitumées qui traversent la région. 41,8% des communes restent accessibles en voiture légère toute l’année. Une proportion de 27,9 % des communes le sont en période sèche uniquement.
Toutefois, 30,4% des communes restent inaccessibles en voiture légère et 21 % ne le sont pas même en voiture tout terrain. Les communes non accessibles en tout terrain utilisent généralement la marche ou la pirogue comme moyen de déplacement. En termes de durée, il faut en moyenne plus d’une demi-journée pour le déplacement entre ces communes inaccessibles et le chef-lieu de la région. Les communes pourvues de terminus qui facilitent d’autant plus la circulation représentent 35,4 % de l’ensemble des communes de la région. La proportion des communes desservies par une ligne régulière de transport en commun représente 51,9 % de l’ensemble des communes.

Historique de la route en terre étudiée

Le tronçon de la route en terre étudiée est la déviation de la RN53 appelée actuellement «Route d’Intérêt Régionale ». Face aux changements climatiques, on constate une augmentation en nombre et en puissance des catastrophes naturelles. Dans ce cas, les cyclones tropicaux tirent presque chaque année à travers le Nord-Est de Madagascar. Depuis l’an 2000, le district d’Antalaha a été grandement ravagé par ce type de catastrophe naturelle. Les plus violents parmi ces cyclones sont : Hudah en 2000, Gafilo (2004), Indlala et Jaya en 2007.
Ainsi, ils sèment ruines et désolation sur leur passage, sans parler des pertes en vie humaines, infrastructures et les conséquences néfastes sur l’économie. Ces catastrophes pourraient donc réduire à néant les efforts de développement entrepris durant plusieurs années et contribueraient à faire des nouveaux pauvres ainsi qu’empirer la vulnérabilité de la population.
L’une des infrastructures souvent touchée par ces cyclones est cette Route d’Intérêt Régionale (destruction des ponts et du corps de remblais…) reliant l’Aéroport d’Antalaha (Antsirabato) à la commune de Vinanivao le plus au sud du District d’Antalaha. Cette route est distante de 144 km à partir de la ville d’Antalaha. Les photos suivantes montrent la zone inondable et érosive avec ses effets sur l’infrastructure routière et autres.

les communes concernées

Les quatre (04) communes rurales au sud de la commune urbaine d’Antalaha utilisant directement cette route sont :
– La commune rurale d’Ampohibe : composée de 19 Fokontany (Antsirabato, Mahatsara, Ambodipont, …) avec 25549 habitants, bordant le littoral Est et le long des rivières Andrarony et Anivorano.
– La commune rurale d’Ambohitralanana : composée de 11 Fokontany dont le nombre de population atteint 11490 en 2011.
– La commune rurale d’Ampanavoana : composée de 10 Fokontany avec 12381 d’habitants.
– La commune rurale de Vinanivao : composée de 05 Fokontany dont le nombre de population atteint 11878 selon CLGRC en 2011. Il s’agit d’une commune abritant le Parc Masoala (Parc forestiers et trois aires marines protégées) qui est la plus grande des aires protégées de Madagascar.
Par le potentiel touristique, halieutique et forestier de ces communes, cette route a aussi un reflet dans les trois autres districts (Sambava, Andapa et Vohémar). Donc ses impacts au niveau régional sont incontournables.

Problématiques de la route en terre étudiées et gestion de risque et de catastrophe

Face aux destructions et réhabilitation répétitives de certains tronçons de cette route, le projet CARE International a mise en place des déviations et délocalisé certains villages. Ces déviations servent au ravitaillement de la population et gèrent les éventuels risques et accidents.
Cette route présente 03 points particuliers : une zone basse à sable fin qui est sensible à l’inondation près du pont Mahatsara à côté de la rivière Andrarony ; une zone rocailleuse et latéritique en altitude et une autre partie basse argileuse.
Pour cela, à chaque forte pluie et en saison cyclonique, un tronçon d’environ 400m est toujours inondé et nécessitera une amélioration à cause de l’instabilité des matériaux sur place.
Un autre tronçon de route près d’Ambodipont est très glissant et boueuse. Cette partie pourrait provoquer un risque et catastrophe en cas de non amélioration et entretient, elle s’étale sur une longueur environ 1.5km.
Un tronçon sur une longueur environ 1.2km, en cas de pluie, les automobiles trouvent des difficultés pour accéder à cause de l’embourbement. Il s’agit d’un terrain argileux. Ce problème est très significatif au niveau du village d’Ambodipont.

GENERALITES SUR LES SOLS

Définition et formation des sols

Il existe plusieurs définitions du sol suivant que l’on s’intéresse à un problème de géologie, de pédologie, ou de géotechnique.
Du point de vu géotechnique, on peut définir un sol comme faisant partie des roches meubles ou plastiques, ou encore comme étant une formation géologique superficielle résultant de l’altération chimique (oxydation, hydratation …), physique (variation de température, gel, …) ou mécanique (érosion, vagues, …) des roches mères de l’écorce terrestre. Pour éliminer les imprécisions de langage au niveau de sa désignation, une étude des caractéristiques physiques est nécessaire de manière à aboutir à une classification géotechnique rationnelle. [3] [4]

Les éléments constitutifs 

Modèles élémentaires d’un sol

Les phases constitutives d’un sol peuvent être rassemblées dans les modèles suivants :
Figure 1: schéma représentatifs des différentes phases du sol
V : Volume total de l’échantillon de sol
Va : volume d’air contenu dans l’échantillon de sol

Familles et caractères principaux des sols Vw : volume d’eau contenu dans l’échantillon de sol

Vs : Volume des grains solides contenus dans l’échantillon de sol
Wa : PoidsIIde.4 -l’airFamillescontenuet danscaractèresl’échantillonprincipauxdesol des;ile stolsen général négligeable

Les éléments constitutifs

Un sol est donc constitué d’un mélange de trois phases :
 Une phase solide : Cette phase comporte les grains de petite à grande dimension et les substances organiques inertes, mais aussi les êtres vivants. Elle constitue le squelette du sol.
 Une phase liquide : Elle est représentée par l’eau remplissant partiellement les vides existants entre les particules.
 Une phase gazeuse : Cette phase est constituée par un mélange d’air et de vapeur d’eau qui occupe les vides restant de la phase solide.
Lorsque tous ces vides sont remplis d’eau, la phase gazeuse est inexistante et le sol est dite saturé.
L’élément gazeux joue un rôle important en pratique, en particulier dans le compactage des sols. Figure 2: éléments constitutifs d’un sol

Les grandes familles de sol [3] [5] [6]

Le géotechnicien définisse deux grandes familles de sol :
 les sols grenus qui sont de dimension supérieure à 20 µm (0,02 mm) : sables et graviers
 et les sols fins de dimensions inférieures à 20 µm : limons et les argiles.
Les sols grenus sont ceux pour lesquels les caractéristiques géotechniques sont déterminées par des forces de volume ou de pesanteur. Ils sont en général pulvérulents. Ils sont surtout définis granulométriquement par des :
 Sables 50% des grains au moins sont compris entre 0,02 et 2 mm
 Graviers 50% des grains au moins sont compris entre 2 et 20 mm
Les limons (ou Silts)
La définition la plus admise est celle d’un sol dont la majeure partie des grains est comprise entre 2 et 20μm (définition purement descriptive). Ils sont en grande partie formés de quartz.
On distingue suivant leurs origines :
 Les limons éluviaux formés par altération sur place d’un substratum favorables (à l’altération),
 Les limons de ruissellement et d’inondation qui se présentent en strates.
Les argiles On peut les définir granulométriquement comme une roche dont les grains sont compris entre 2 et 0,2μ.
C’est une roche sédimentaire terreuse faisant pâte avec l’eau. On le dit plastique. La plasticité d’un
matériau est caractérisée par le fait qu’il peut être déformé d’une façon permanente, à volume constant, sans perdre sa cohésion interne.
On distingue suivant leur origine :
 Les argiles d’altération : formées principalement par l’altération des calcaires en climat tempérés ou l’altération des latérites en climat chaud et humide.
 Les argiles fluviatiles : Elles se déposent surtout dans le lit majeur des fleuves, lors des décrues.
 Les argiles lacustres : déposées dans les lacs et étangs.
 Les argiles marines : Ce sont des argiles d’origine continentale déposées en milieu marin, et généralement modifiées par la diagénèse.
Remarque :
Un sol est un assemblage hétérogène de particules ou de cristaux aux propriétés très variables : dimensions, formes, propriétés physicochimiques, etc…
Un sol contenant de l’argile sera influencé par la teneur en eau, c’est une question centrale en géotechnique.

Propriétés des sols

Dans le cas de traitement du sol, d’autres paramètres à ne pas négliger sont les paramètres chimiques (les oxydes et hydroxydes, phosphates, sulfates, sulfures, nitrates, chlorures, etc) et minéralogiques (les minéraux argileux) d’un matériau.

Caractéristiques chimiques des sols

Les oxydes et les oxy-hydroxydes

Vis-à-vis d’un éventuel traitement au sol, les teneurs en élément chimique comme les oxydes et hydroxydes sont significatives. Ils sont à l’état cristallisés ou amorphes, ce sont surtout :
• La Silice (SiO2) ;
• Les Oxydes d’Aluminium (Al2O3) ;
• Les Oxydes de Fer (Fe2O3) ;
• Les Oxydes de Titane (TiO2) ;
• Les Oxyde de Calcium ou chaux libre (CaO) ;
• L’Oxyde de Magnésium (MgO)
Ils ont la propriété de fixer des ions, comme les argiles, ils sont globalement électro positifs et adsorbent les ions négatifs (Phosphates PO43-, HPO42-, H2PO4-, sulfatesSO42-, nitrates NO3-…), ils participent à la capacité d’échange anionique (CEA) du sol, mesurée en meq/100g. L’augmentation de leur densité contribue au renforcement des propriétés mécaniques des argiles et des sols argileux.
Ils peuvent être à l’ origine de liens entre limons fins et matière organique, Ils ont la propriété de donner une couleur au sol (vives, rouges ou jaunes) : La couleur rouge est provoquée par la présence d’hématite et la couleur jaune par la goethite. La teneur en MgO a une incidence sur le calcul des teneurs en dolomite, montmorillonite, chlorite et des argiles fibreuses. [4] [7] [8] [9] [19]

Les nitrates

La fixation de l’azote atmosphérique et la minéralisation de la matière organique mènent, par une succession de réactions biochimiques, à la production d’ions ammonium, nitrite et nitrate, formes principales de l’azote dans les sols. Les sources de nitrates sont naturellement présentes en faible quantité, de l’ordre de 10mg.kg-1 jusqu’à 200mg.kg-1 dans un limon sableux. Les ions nitrate sont très facilement lessivables. Leur rétention physico-chimique est faible voire nulle. Les quantités solubilisées dépendent alors de nombreux facteurs tels que les précipitations, la nature du sol, du couvert végétal, le mode d’utilisation des terrains, etc.
Dans le cadre du traitement des sols, les composés azotés sont signalés par le GTS comme retardateurs voire inhibiteurs de la prise des liants.
• La réaction entre l’ion ammonium et la chaux entraîne des retards de prise. Elle provoque le dégagement d’ammoniac et probablement une baisse de pH du milieu jusqu’à la disparition des ions ammonium. La prise du ciment peut ensuite s’effectuer ;
• L’ion nitrate favorise la stabilité en solution de l’ion calcium si les conditions de pH12,4 et de saturation du milieu le permettent. Il en résulte la formation de minéraux expansifs de nitroaluminate de calcium et une fissuration du matériau traité à terme. [4] [7] [8]

LIRE AUSSI :  Concept des PME

Les phosphates

Le GTS signale les phosphates comme retardateurs voire inhibiteurs de prise : les ions phosphate, à un pH de 12,4, se trouvent sous la forme PO43- et réagissent avec les ions calcium pour former des phosphates de calcium (hydroxyapatite) insolubles retardant la prise. Cette formation pénalise la résistance mécanique du sol traité.
En l’absence de liant hydraulique, l’acide phosphorique H3PO4 (2 à 3% par rapport à la masse sèche de sol) est utilisé comme agent chimique stabilisateur des sols. [4] [7] [8]

Les chlorures

Les chlorures sont largement répandus dans la lithosphère. Leur concentration totale dans l’écorce terrestre est estimée à 1900ppm tandis qu’elle serait de 0,07 à 70ppm dans les eaux douces naturelles et de l’ordre de 17500ppm dans l’eau de mer. Ainsi, la présence naturelle de chlorures dans les sols est attribuée généralement aux embruns marins et aux intrusions d’eau de mer dans les zones côtières et plus rarement aux émanations volcaniques. Ils sont généralement présents sous forme de sels solubles NaCl et KCl (solubilités dans l’eau respectives de 360 et 350g.L-1 à 20°C). La solution du sol peut contenir jusqu’à 10ppm d’ions chlorure dans un sol acide et jusqu’à 1000ppm dans un limon sableux, soit environ 1,5 à 150mg.kg-1 de sol sec.
Les sols argilo-limoneux peuvent voir leur concentration en chlorure doubler voire décupler A 20°C et à faible concentration (0,2%), les chlorures sont accélérateurs de prise. A fortes concentrations (0,9%), ils sont retardateurs. A 28°C, les chlorures sont retardateurs quelle que soit leur concentration.
La capacité de rétention des ions chlorure est contrôlée par les rapports CaO/Al2O3, un rapport élevé favorisant la formation du sel de Friedel et cela même pour de faibles concentrations en chlorure (< 0,1%).
Les ions Cl- réagissent avec les ions Ca2+ et Al3+ pour former Ca2.Al(OH)6.Cl.(H2O)2, minéral qui se dépose à la surface des argiles, sans en améliorer la cohésion. En générale, l’anion retarde le développement des composés calciques, CAH et CSH.
Donc, les chlorures accélèrent ou retardent la prise et provoquent un risque de gonflement. [4] [7] [8] [9]

Les sulfates et les sulfures

Les deux sources naturelles les plus communes des sulfates sont :
• la pyrite, FeS2 : présente en particulier dans les marnes, elle s’altère rapidement dans les conditions de surface (en milieu oxydant) et forme des oxydes et hydroxydes métalliques (oxyde de fer Fe2O3, hydroxyde de fer Fe(OH)3, jarosite HFe3(SO4)2(OH)2…) et des sulfates (acide sulfurique H2SO4, sulfate ferreux FeSO4, gypse Ca2SO4.2H2O…) ;
• Le gypse, CaSO4.2H2O : il peut être présent initialement ou provenir de l’altération de la pyrite. En milieu aqueux, le gypse est soluble à la concentration de 2,4g.L-1 à 20°C, ce qui en fait le moins soluble des sulfates présents dans le sol. En comparaison, les sels solubles K2SO4 et Na2SO4, fréquemment présents dans les milieux sédimentaires, ont des solubilités de 109 et 209g.L-1 à 20°C.

Table des matières

INTRODUCTION GENERALE
PARTIE I- ETUDES BIBLIOGRAPHIQUES
CHAPITRE I- GENERALITES SUR LA ZONE D’ETUDE
I.1 – Monographie [1] [2]
I.1.1 – Localisation de la zone d’étude
I.1.2 – Climat
I.1.2.1 – Température
I.1.2.2 – Pluviométrie
I.1.3 – Végétation
I.1.4 – Population et activités économiques
I.1.5- Géomorphologie
I.1.6- Hydrographie
I.1.7- Géologie
I.1.8- Pédologie
I.2 – Contexte général de la route en terre étudiée [1] [2]
I.2.1 – Les infrastructures routières de la région SAVA
I.2.2 – Historique de la route en terre étudiée
I.3. les communes concernées
I.4. Problématiques de la route en terre étudiées et gestion de risque et de catastrophe
CHAPITRE II. GENERALITES SUR LES SOLS
II.1 – Définition et formation des sols
II. 2 – Les éléments constitutifs [3] [4]
II.2.1- Modèles élémentaires d’un sol
II. 2.2 – Les éléments constitutifs
II. 2.3 – Les grandes familles de sol [3] [5] [6]
II. 3 – Propriétés des sols
II.3.1 – Caractéristiques chimiques des sols
II.3.1.1 – Les oxydes et les oxy-hydroxydes
II.3.1.2 -Les nitrates
II.3.1.3 – Les phosphates
II.3.1.4 – Les chlorures
II.3.1.5 – Les sulfates et les sulfures
II.3.1.6 -La matière organique
II.3.1.7 -Le Ph
II.3.2–Propriétés minéralogiques des sols [3] [4] [5] [8] [9]
II.3.2.1– Les tectosillicates
II.3.2.2– Les minéraux argileux : les phyllosilicates [4] [19]
II.3.3 – Les propriétés géotechniques des sols
II.3.3.1 – La granularité
II.3.3.2 – L’argilosité
II.3.3.3 – Caractéristiques des sols à partir de l’équivalent de sable
II.3.3.4 – La teneur en eau du sol
II.3.3.5 – Caractéristique au compactage [6] [15]
II.3.3.6 – La portance du sol
II.4 – Classification des sols
CHAPITRE III. GENERALITES SUR LES TRAITEMENTS DES SOLS
III.1 – Les techniques et produits de traitement ou l’amélioration des sols
III.2 – Les principales techniques d’amélioration ou de stabilisation des sols
III.3 – les produits courants pour le traitement des sols
III.3.1 – Le traitement des sols à la chaux [16] [15] [14] [4] [8]
III.3.1.1 – Les différents types de chaux
III.3.1.2 – Caractérisation de la chaux
III.3.1.3 – Spécifications de la chaux utilisée au traitement des sols [14]
III.3.1.4 – Principe d’action de la chaux sur le sol
III.3.2 – Le traitement des sols aux liants hydrauliques
III.3.2.1 – Rôles des ciments
III.3.2.2 – Les constituants du ciment
III.3.2.3 – Les différents types de ciments
III.3.2.4 – Caractérisation des liants hydrauliques
III.3.2.5 – Spécification des ciments utilisés au traitement des sols
III.3.2.6 – Principe d’action des ciments sur le sol
III.3.2.7 – Liant hydraulique spécifique
III.3.3 – Conformité de traitement
PARTIE II- ETUDES EXPERIMENTALES
CHAPITRE IV- ETUDES PRELIMINAIRES
IV.1 – Travaux de terrain
IV.1.1 – Choix de la zone d’étude
IV.1.1.1 – Reconnaissance de terrain
IV.1.1.2 – Identification des problèmes
IV.1.2 – Echantillonnage
IV.1.3 – Cartographie de la zone d’étude
IV.1.4 – les matériels utilisés
IV.1.5 – Transport
IV.2 – Travaux de laboratoire
CHAPITRE V- METHODES DE CARACTERISATION DES SOLS
V.1 – Détermination des propriétés chimiques [20]
V.1.1 – La fusion alcaline et dosage de la silice
V.1.2 – Dosage des hydroxydes
V.1.3 – Dosage de Fe2O3
V.1.4 – Dosage de TiO2
V.1.5 – Dosage de Al2O3.
V.1.6 – Dosage de CaO
V.1.7 – Dosage de MgO
V.1.8 – La mesure du pH [4]
V.1.9 – La perte au feu
V.2 – Détermination des propriétés minéralogiques
V.3 – Détermination des propriétés géotechniques
V.3.1 – Analyses granulométriques [22]
V.3.1.1 – But de l’essai
V.3.2 – Les limites d’Atterberg [23]
V.3.2.1 – Principe de l’essai
V.3.3 – Valeur de bleu d’un sol [24]
V.3.3.1 – But de l’essai
V.3.3.2 – Principes de l’essai
V.3.4 – Masse volumique des particules solides [25]
V.3.4.1 – Principe de l’essai
V.3.5 – Essai de Gonflement libre
V.3.6 – La teneur en eau du sol [26]
V.3.7 – Essais Proctor normal et modifié [27]
V.3.7.1 – But de l’essai
V.3.7.2 – Principe de l’essai
V.3.7.3 – Principe de la répartition des coups de dame sur une couche
V.3.8 – Essais CBR [28]
V.3.8.1 – But de l’essai
V.3.8.2 – Principe et méthodes
V.3.9 – Essai d’équivalent de sable [29]
CHAPITRE VI. METHODOLOGIE DE TRAITEMENTS DU SOL
VI.1 – Etude des propriétés géotechniques des sols traités ou améliorés
VI.1.1 – Essai d’évaluation de l’aptitude d’un sol au traitement [30]
VI.1.2 – Confection et conservation des éprouvettes [30] [31] [32]
VI.1.3 – Le gonflement volumique [30]
VI.1.4 – Détermination de la résistance en compression diamétrale (Rtb) ou résistances à la traction indirecte (Rit) par fendage – Essai brésilien. [30] [31] [32]
VI.1.5 – Résistances et module d’élasticité en traction indirecte
CHAPITRE VII- CARACTERISTIQUES DES SOLS ETUDIES
VII.1 – Caractéristiques chimiques
VII.1.1 – Interprétations des résultats chimiques
VII.1.1.1 – Echantillon ES1
VII.1.1.2 – Echantillon ES2
VII.1.1.3 – Echantillon ES3
VII.2 – Caractéristiques minéralogiques
VII.2.1 – Résultats de la microscopie optique
VII.2.1.1 – Echantillon ES1
VII.2.1.2 – Echantillon ES2
VII.2.1.3 – Echantillon ES3
VII.2.2 – Détermination de quelques minéraux argileux par la méthode de Casagrande
VII.3 – Caractéristiques géotechniques
VII.3.1 – Granularité
VII.3.1.1 – Courbe d’analyse granulométrique
VII.3.1.2 – Classification selon la granulométrie
VII.3.2 – L’argilosité
VII.3.2.1 – Echantillon ES1
VII.3.2.2 – Echantillon ES2
VII.3.2.2 – Echantillon ES3
VII.3.3 – Gonflement libre
VII.3.4 – La masse volumique des particules solides
VII.3.5 – L’équivalent de sable
VII.3.6 – Les Caractéristiques de compactage sols étudiés
VII.3.6.1 – Courbe Proctor ES1
VII.3.6.2 – Courbe Proctor ES2
VII.3.6.3 – Courbe Proctor ES3
VII.3.7 – La portance des sols non traités
VII.3.7.1 – Interprétations de résultats des essais CBR
VII.4 – Classification GTR
VII.5 – Récapitulation des résultats
PARTIE III- ESSAI D’AMELIORATION DES SOLS ETUDIES
CHAPITRE VIII- CARACTERISTIQUES DES MATERIAUX DE TRATEMENTS
VIII.1 – Caractéristiques des produits de traitements chimiques
VIII.1.1 – Chaux
VIII.1.2 – Ciment CEMI 42,5
VIII.1.2.1 – Caractéristiques chimiques
VIII.1.2.2 -Caractéristiques physiques
VIII.2 – Caractéristiques des matériaux pour lithostabilisation
VIII.2.1 – Granularité des granulats pour la lithostabilisation
VIII.2.2 – Masse volumique réelle et coefficient d’absorption
CHAPITRE IX- ESSAIS SUR LE SITE 1 – ECHANTILLON ES1
IX.1 – Traitement chimique
IX.1.1 – Identification géotechnique des matériaux traités
IX.1.2 – Aptitude aux traitements
IX.1.2.1 – Interprétation des résultats
IX.2 – Traitement mécanique : Lithostabilisation
IX.2.1 – Caractéristiques géotechniques des mélanges
IX.2.2 – Interprétations des résultats
CHAPITRE X- ESSAIS SUR LE SITE 2 – ECHANTILLON ES2
X.1 – Traitement chimique
X.1.1 – Caractéristiques géotechniques des mélanges
X.1.2 – Aptitude aux traitements
X.1.3 – Interprétation des résultats
X.1.3.1 – Traitement au ciment
X.1.3.2 – Traitement à la chaux
X.1.3.3 -Traitement mixte chaux-ciment
X.2 -Traitement mécanique : Lithostabilisation
X.2.1 – Caractéristiques géotechniques des mélanges
X.2.2 – Interprétations des résultats
CHAPITRE XI – ESSAIS SUR LE SITE 3 – ECHANTILLON ES3
XI.1 – Traitement chimique
XI.1.1 – Caractéristiques géotechniques des mélanges
XI.1.2 – Aptitude aux traitements
XI.1.3 – Interprétation des résultats
XI.1.3.1 – Traitement au ciment
XI.1.3.2 – Traitement à la chaux
XI.1.3.3 – Traitement mixte Chaux-ciment
XI.2 – Traitement mécanique : Lithostabilisation
XI.2.1 – Caractéristiques géotechniques des mélanges
XI.2.2 – Interprétations des résultats
CONCLUSION GENERALE ET PERSPECTIVE
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
LISTE DES ANNEXES

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