Les retombees de la filière vanille sur l’économie MALAGASY

Les raisons de la mauvaise performance

Pourquoi l’agriculture va –t-elle si mal à Madagascar sur ces dernières années et pourquoi les gens qui sont engagés dans l’agriculture sont-ils plus pauvres ?
La mauvaise performance du secteur agricole et des zones rurales s’explique par une multitude de raisons. Par le passé, le secteur agricole a souffert de politiques discriminatoires.
Les réformes d’ajustement structurel des dernières décennies ont mené à un cadre de marché amélioré et ont éliminé la plupart des dispositions du marché à travers une dévaluation du franc malagasy, une réduction des obstacles à l’importation, une libéralisation du marché et une privatisation des établissements réduction, ces interventions n’ont pas suffit à stimuler la croissance dans les zones rurales. La réduction des investissements publics et le déclin de l’efficacité dans l’utilisation de ces fonds, l’absence d’un secteur privé émergeant, l’aggravation des termes commerciaux dans les zones rurales, la dégradation de la base des ressources naturelles et les grands risques ont mené à une réponse faible de l’offre dans l’agriculture. Ces contraintes ont mené à une faible adoption des technologies agricoles et à un système agricole qui est caractérise par une faible productivité de la terre et de la main d’œuvre.

LA PLACE DU SECTEUR AGRICOLE MALAGASY

Dans le commerce extérieur

Vendre à des prix rémunérateurs et acheter à des prix équitables : c’est la légitime aspiration de tout pays en développement, victime de l’unique détérioration des termes de l’échange et qui voit ses recettes d’exportation fondre comme neige au soleil.
Le commerce, certes, se démarque des idéologies politiques mais, pour un pays comme Madagascar, l’action diplomatique doit venir à la rescousse quand les lois du marché s’avèrent défavorables. L’enjeu est le niveau de vie de la population, vidé par les efforts pour le développement auxquels l’aide extérieure est nécessaire mais non suffisante

La composition des échanges 

En moyenne, les importations se repartissent en valeur entre les matières premières (environ 30 %), les moyens d’équipement industriel (environ 25 %), les biens de consommation et l ‘alimentation (environ 30 %), l’énergie (environ 15 %).
Quant aux exportations, elles se composent principalement de matières premières, surtout d’origine agricole (environ 90 %). Parmi celles-ci le café, le girofle et la vanille interviennent pour environ 70 % ; le café à lui seul, selon les années, représente entre le quart et la moitié de la valeur des exportations.

La diversification des échanges 

A partir de 1960 un réel effort de diversification des partenaires commerciaux de Madagascar a été entrepris, ce qui en particulier, a eu le mérite de briser le quasi monopole des relations commerciales avec la France. La diversification des pays fournisseurs est caractéristique : la part des Etats africains associées à la C.E.E. dans les importations malagasy reste faible. Ainsi Madagascar achetait surtout à l’Europe occidentale avec laquelle sa balance commerciale a été en déficit constant.
Les exportations sont relativement diversifiées. Les Etats associes d’Afrique consomment jusqu’à 20 % des exportations malagasy. En revanche le marche américain s’est de plus en plus ouvert aux produits malagasy, avec les U.S.A. la balance commerciale de Madagascar a toujours été excédentaire, ce pays étant son deuxième client après la France. On note également que la marche japonaise n’a fait que s’entrouvrir aux produits malagasy.

Le déficit structurel de la balance commerciale 

La balance commerciale a été en permanence en déficit, en moyenne 10 milliards paran. Le taux de couverture des importations par les exportations s’est situe aux alentours de 70 % avec des fluctuations assez sensibles d’une année sur l’autre. Le redressement de 1970 est dû conjointement à la réduction des achats de biens de consommation et à l’augmentation des exportations de certains produits agricoles en valeur. Le déficit structurel de la balance commerciale n’a pas posé de problème car le solde des flux financiers avec l’extérieur a été largement positif.

Dans les relations bilatérales 

Sous cette rubriques, on va analyser les relations de Madagascar avec le groupe politiquement disparate des pays de l’océan indien dont la coopération économique est riche de promesses, celles qu’il entretient avec le lointain Pays du Soleil Levant une des toutes premières puissances économiques mondiales.

Les pays de océan indien 

L’ile Maurice 

Les deux îles sont reliées par une ligne aérienne qui fonctionne après l’accord aérien conclu en décembre 1969. Maurice achète à Madagascar des bœufs et des produits agricoles, alors que des missions commerciales cherchent à écouler davantage de produits industriels mauriciens dans la grande île voisine.

La Réunion 

Le volume du commerce malagasy avec la Réunion est important, consistant principalement en produits alimentaires et faisant de île voisine un des premiers clients de Madagascar.

Les Comores 

Les responsables comoriens viennent négocier les achats de riz, de viande ou du sucre. Le tourisme, qui est une ressource intéressante pour les deux pays, a été vu sous l’angle de la complémentarité des circuits touristiques.

Le Japon 

Par l’intermédiaire de la France, l’Etat malagasy était parmi les partenaires du Japon dans l’accord commercial conclu avec la zone franc relatif au café en janvier 1962. L’envoi d’experts japonais dans des secteurs très varies a caractérise la coopération nippo-malaisien. Ainsi les mines, les ressources forestières ont fait l’objet d’investigation Japonaises, mais Madagascar a aussi bénéficie de la venue de spécialistes en arts martiaux et en art floral.
La viande malagasy intéresse particulièrement les japonais qui envoient des experts pour l’élevage et pour l’exportation de la viande dans leur pays. Apres 1972, n’ayant plus à craindre de mécontenter les Occidentaux, paradoxalement en apparence, les japonais intensifient l’aide et la coopération avec l’Etat malagasy.
En résumé, le commerce est le secteur le plus propice aux accords bilatéraux à caractère économique Madagascar a conclu de multiples accords commerciaux, y compris avec les pays de l’Europe de l’Est. Le plus souvent la convention ne traite que des échanges commerciaux mais, parfois, comme avec la Suisse, il y est question à la fois de commerce, de protection des investissements et de coopération technique.
Les transports, maritimes et aériens, constituent un autre secteur où Madagascar a conclu des accords bilatéraux.
L’aide financière est un domaine privilégie des accords bilatéraux qu’il s’agisse de dons remboursables ou de prêts. L’accord peut concerner une aide globale mais, généralement, chaque convention est relative à une ou des opérations bien déterminés.

Dans les relations multilatérales

Par opposition aux relations d’Etat à Etat, dites bilatérales, les relations multilatérales se définissent comme celles entretenues par les Etats avec les organisations internationales.
Les organisations internationales, comme le P.N.U.D ou la F.A.O, ont signé avec le Gouvernement malgache des plans opérations correspondants à des projets déterminent qu’elles prennent en charge. Les conventions de financement conclues avec le groupe de la Banque Mondiale sont aussi relatives à des projets précis qui ont été négociés entre les deux parties.
Avec la communauté Européenne, l’Etat malagasy a signé les conventions de financement portant sur des aides non remboursables au titre du Fonds Européens de
Développement, plus rarement se rapportant à des prêts.. Nous rappellerons que trois produits de base ont été traites au niveau d’organismes internationaux : le café à l’Organisation Africaine et Malgache, à l’Organisation Interafricaine et l’Organisation Internationale du Café, le sucre par l’Accord Sucrier Africain et défense au niveau ministériel. D’emblée, on peut dire que les accords commerciaux n’ont pas tenu leurs promesses.
Ils sont restés lettre morte concernant les pays de l’Europe de l’Est. Même avec les pays de la C.E.E « à part la France » malgré les bonnes intentions contenues dans les deux Conventions de Yaoundé, les échanges ont peu progressé, les marchés européens ne s’étant pas largement ouverts aux produits malgaches. Par exemple, le café malgache sur le marché allemand qui, par le jeu de taxes intérieures, n’arrive pas à concurrencer les cafés latino-américains ou, pour les mêmes raisons, la banane malgache sur le marché italien, pénalise par rapport à la banane de la Somalie.
Un exemple vécu d’accord commercial conclu avec une arrière-pensée politique. La liste des produits à échanger entre les deux partenaires est en bonne place au bas de l’accord et la commission mixte israélo- malgache n’a pu que constater la stagnation des échanges, attribuée à la carence des opérateurs des deux cotés. La preuve a été faite qu’une marge existe entre la volonté politique et l’intensification du courant commercial.
Concernant l’aide financière, les conventions de financement ont toujours été suivies d’effets. Nous ne connaissons d’exemple où le donateur se soit dérobé à l’engagement contracte. C’est du côté malgache qu’il est apparu des limites à la capacité d’absorption des crédits extérieurs, ceci tenant à l’insuffisance de l’encadrement dans le secteur de la production agricole ou à la saturation des entreprises de travaux publics.
Les accords sur les produits de base auraient pu être plus bénéfiques si la production malgache de café et de sucre avait été en expansion. Ainsi, nous avons pu obtenir un quota d’exportation en augmentation pour le café, qui aurait pu être encore supérieur en cas de production en hausse et un quota d’exportation pour le sucre qui n’a pas été honoré. A Madagascar, décidément, le problème n’est pas de vendre mais de produire.

Dans les intégrations régionales

Madagascar figure parmi les pays fondateurs de la Commission de l’Océan Indien (COI) créée en 1984 et composée de quatre pays ACP et d’un département français en même temps région ultra périphérique de l’Union Européenne. Le pays a par ailleurs officiellement adhéré au Marché Commun de l’Afrique de l’Est et de l’Afrique Australe (COMESA) le 17 Novembre 1995, une organisation régionale regroupant 20 pays de la zone qui ont convenu de promouvoir l’intégration régionale par le développement du commerce et de mettre en valeur leurs ressources naturelles et humaines dans l’intérêt mutuel de leurs populations.

Madagascar- COI

Structure des exportations vers la COI

En 1999, les recettes totales d’exportations de Madagascar vers les pays de la Commission de l’Océan Indien (COI) se sont élevées à 84 439 579 000 FMG; en 2000, elles ont été de 102 726 479 000 FMG soit un accroissement de 21,7%. En 2001, elles ont augmenté et atteint 148 439 523 000 FMG, soit une hausse de 44,5%. En 2002, cependant, elles ont chuté à 108 347 634 000 FMG, accusant ainsi une baisse de 37,0%.

Balance commerciale

Le taux de couverture des importations par les exportations a connu une évolution positive en passant de 170,8% en 1999 à 139,2% en 2000, pour atteindre 131,4% en 2001. En 2002, la balance est devenue négative avec un taux de couverture inférieur à l’unité (88,9%) conséquemment aux échanges déficitaires de Madagascar avec Maurice et les Seychelles.
Ces performances seraient une des principales conséquences des mesures de démantèlement tarifaire et d’élimination des barrières non tarifaires appliquées dans le cadre de la zone de libre échange entre les pays ACP de la COI en particulier entre Maurice et Madagascar.
La balance des échanges commerciaux avec les Comores a été largement positive pour Madagascar, avec des exportations supérieures de près de 58 fois par rapport aux importations en 2002.
Parties par contre d’un sommet de 56,5 fois plus élevées par rapport aux importations, les exportations vers les Seychelles ont enregistré une évolution dégressive pour ne plus représenter que 16,5% des importations en 2002 conséquemment à l’augmentation des importations de produits chimiques notamment pour une valeur supérieure à 21 Milliards de FMG, mettant les Seychelles et Maurice à égalité vis-à-vis de Madagascar pour cette catégorie de produit.
A l’instar des échanges commerciaux avec les Seychelles, ceux effectués avec Maurice ont connu sur la période la même tendance bien que de loin moins prononcée.
Au cas où les échanges avec La Réunion sont pris en considération, la balance commerciale de Madagascar avec la zone COI est toujours positive durant la période concernée avec néanmoins une tendance à la baisse des taux de couverture (265,6% en 1999,213,1% en 2000, 210,4% en 2001 et 153,3% en 2002).

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Balance commerciale

Durant la période d’observation, la balance commerciale de Madagascar vis-à-vis du COMESA, largement positive en 1999 (155% de taux de couverture), ne cesse de diminuer pour devenir négative à partir de 2001 et ne représenter qu’un taux de couverture de 65,6% en 2002. La baisse notable des exportations en textile et papiers/imprimerie à partir de 2001 explique en substance cette évolution. En effet en 2001 et 2002, ces exportations ont régressé (de 45,4% de l’ensemble en 2000, 17,0% en 2001 et 26,5% en 2002. Parallèlement cependant, les importations en produits chimiques (engrais, médicaments) ont augmenté de 117% entre 2000 et 2002.

LES RETOMBEES DE LA FILIERE VANILLE SUR L’ECONOMIE MALAGASY

LES CARACTERISTIQUES DE LA FILIERE VANILLE A MADAGASCAR

Généralités

Etude du vanillier du point de vue botanique

La famille des orchidées à laquelle appartient la vanille, renferme plus de 700 dévaluation plus répandu et le plus apprécié est le genre VANILLA qui contient une centaine d’espèces dont trois seulement intéressent les planteurs : VANILLA PLAFONIA – VANILLA FRAGANS – VANILLA TAHITENSIS, VANILLA POMPONA. L’île de Madagascar est caractérise par l’espèce : VANILLA FRAGANS qui constitue le type de vanille connue sous l’appellation « vanille bourbon ». La vanille est une liane a tige monopoleuse, grimpante, se fixant à l’aide de racines adventives. Elle n’est pas ramifiée et s’accroît par son bourgeon terminal. Le vanillier Fragons possède des tiges cylindriques, vertes, charnues, de la grosseur du petit doigt. Elles sont flexueuses et constituées par des entre-nœuds pouvant atteindre 15 cm de long. Les racines du vanillier qui sont de deux sortes jouent un double rôle.
Les racines constituent non seulement des organes de fixation mais aussi elles peuvent absorber de l’eau être vite du fait de leur paroi spongieuse. Certaines de ces racines, au contact du sol peuvent devenir « terrestres ». Dans ces conditions, elles se ramifient et se couvrent de poils absorbants. Les feuilles du vanillier sont oblongues et charnues ; elles ont de 9 à 22 cm de longueur sur 3,5 à 7 cm de largeur. Elles sont persistantes, c’est-à-dire qu’il n’y a jamais eu de chute de feuilles.
La fleur du vanillier a un rôle déterminant dans le développement de notre orchidée.
L’inflorescence prend naissance à l’aisselle d’une feuille, souvent à la suite d’une mutilation la liane, soit artificielle, soit naturelle (causée par les insectes). La fleur du vanillier s’épanouit pendant la nuit et n’a qu’une courte durée de vie, aussi doit-on pratiquer la pollinisation très tôt. Concernant le fruit, c’est par lui en définitive que le millier a une telle importance.
L’inflorescence, une fois la fécondation réalise, porte un ensemble de fruits généralement désigne sous le nom de « balai ». Elle en porte autant que ce qu’il a eu de fleurs fécondées.
Pour obtenir de beaux fruits, et pour éviter l’épuisement de la plante, il est nécessaire de tenir compte de la vigueur de la tige et de ne pollinie qu’une partie des fleurs. Le fruit habituellement appelle « gousse » est, en réalité, une capsule trigone qui, de par sa forme et sa taille, permet de distinguer différents variétés. Les graines, très nombreuses, se retrouvent a l’intérieur de fruit. Pour la vanille fragans, elles sont arrondies et leur dimension est de 0,33 à 0,24 mm.

La culture du vanillier 

La culture de la vanille est délicate, elle requiert de grandes exigences climatiques et pédologiques. En qui concernant les exigences climatiques, les vanilliers sont des lianes originaires des forêt chaudes et humides des régions tropicales. A Madagascar, la culture de la vanille se pratique dans la région Nord-Est, qui remplit les meilleures conditions. D’une façon générale, il faut des températures comprises entre 20 et 30 degré, car les vanilliers n’aiment pas le froid. Ces derniers ont besoin de beaucoup d’eau, ils ne peuvent pousser que dans les régions ou il pleut un minimum de deux mètres d’eau par an. La pluviosité doit être repercé sur toute l’année sauf pendant deux mois au cours desquels le déficit hydrique favorise la floraison. Les pluies réguliers et abondantes sont de nature a maintenir une humidité satisfaisante. La culture de la vanille nécessite une exposition au soleil levant et une humidité relativement constante.
Quant aux exigences pedologiques, le sol doit être léger, poreux, bien draine et le soussol perméable. Les terres tourbeuses bien drainées, comme dans la région année 9Nord-Est0 donnent des plantes vigoureuses et de très bons rendements. Il faut néanmoins retenir qu’il est sensible aux excès de salinité. Quand la vanille est prête de la mer, elle est plus pauvre en vanilline que celle en pleine brousse, car le sol y est plus riche en sable. La condition la plus fructueuse est celle qui consiste à rapprocher le plus possible des conditions d’habitat de la vanille sauvage. En culture, il est nécessaire d’effectuer certaines opérations indispensables :
– la méthode d’enroulement doit replacer la liane sur son tuteur comme le ferait ellemême la plante si elle se trouvait dans son milieu électif.
– la taille doit être pratiquée à l’age de trois ans pour favoriser la floraison. On sectionne l’extrémité de la liane a un mettre et demi de son sommet.
– Le mode de multiplication utilise est le bouturage. Les boutures sont mises en terre et la base est recouverte de terreau et de Paille. Les semis restent réserves au domaine expérimental
Avant la floraison, le planteur doit venir régulièrement entourera liane autour de son tuteur. La première floraison abondante a lieu vers la troisième année qui suit la mise en place des lianes, selon les lieux. Cette époque varie d’octobre a mars. Le nombre d’épis ou « balais » produit par les plants est variable. Il peut atteindre deux cents au maximum, mais on ne conserve que dix a vingt épis par plant. Chaque inflorescence est constituée de quinze à vingt fleurs, mais la pollinisation ne sera effectuée que sur huit à dix fleurs. La récolte des fruits a lieu lorsqu’ils ont atteint leur maturité technologique.
L’extrémité des fruits est alors jaune serin. C’est le stade optimal de la maturité Les gousses sont détaches de leur « balai », une a une, a la main, et par une léger torsion. La récolte est étalée dans le temps.
Elle nécessite .plusieurs passages du ramasseur, autour du même balai. A Madagascar, elle se fait habituellement de mai a août.

Table des matières

INTRODUCTION
Partie I : IMPORTANCE DU SECTEUR AGRICOLE DANS L’ECONOMIE MALAGASY
Chapitre I : Le secteur agricole à Madagascar 
1-1 : Importance de l’agriculture sur l’économie malagasy
1-1-1-Les exploitations agricoles
1-1-2-Les cultures pratiquées
a) Les cultures vivrières
b) Les produits d’exportation
1-1-3-Importance du secteur agricole sur l’économie de Madagascar
1-2 : Evolution de la politique agricole à Madagascar
1-3 : Les problèmes rencontrés par l’agriculture Malagasy
1-4 : Les raisons de la mauvaise performance
Chapitre II : La place du secteur agricole malagasy 
2-1 : Dans le commerce extérieur
2-1-1-La composition des échanges
2-1-2-La diversification des échanges
2-1-3-Le déficit structurel de la balance commerciale
2-2 : Dans les relations bilatérales
2-2-1-Les pays de l’océan Indien
2-2-2-Le Japon
2-3 : Dans les relations multilatérales
2-4 : Dans les intégrations régionales
2-4-1-Madagascar-COI
2-4-1-1-Structures des exportations vers la COI
2-4-1-2-Balance commerciale
2-4-2-Madagascar-COMESA
2-4-2-1-Structures des exportations vers le COMESA
2-4-2-2-Balance commerciale
Partie II : LES RETOMBEES DE LA FILIERE VANILLE SUR L’ECONOMIE MALAGASY
Chapitre III : Les caractéristiques de la filière vanille à Madagascar 
3-1 : Généralités
3-1-1-Etude du vanillier du point de vue botanique
3-1-2-La culture du vanillier
3-1-3-Bref historique de l’introduction de la vanille à Madagascar
3-2 : Etapes de la production industrielle de la vanille
3-3 : Les différents types d’opérateurs de la filière
3-4 : Le dispositif institutionnel régissant la filière vanille
Chapitre IV : Les apports de la filière vanille à Madagascar 
4-1 : La filière vanille : deuxième source de devises pour l’économie de Madagascar
4.1.1 Le marché international de la vanille
a) Les aspects du marché
b) Les principaux pays importateurs : les enjeux du marché américain et Français
c) Les principaux pays producteurs et exportateurs avec Madagascar en tête
d) Les principaux concurrents de Madagascar
e) La concurrence exercée par la vanille de synthèse sur la vanille naturelle
4-1-2-Impact de la filière vanille sur la balance commerciale Malagasy
4-2 : Les conséquences de la libéralisation de la filière vanille pour le secteur agricole
4-2-1-Les effets d’enrichissement des compétences locales et de gestion des ressources Naturelles
4-2-2-Les effets de transfert de technologie et d’innovation (à l’aide d’importations d’ Intrants au sein de la filière)
4-2-3-Les effets de récupération rapide au capital investi dans la filière vanille
4-3 : L’impact de la filière vanille sur la richesse nationale et sur l’emploi à Madagascar
4-3-1- Contribution de la filière sur le PIB malagasy
4-3-2- Effets de la filière vanille en termes de création d’emploi
4-3- 3- Participation au budget de l’état malagasy
4-3-4- Les effets d’entraînement sur les autres secteurs
4-4 : Les perspectives d’avenir de la filière vanille
CONCLUSION 

projet fin d'etude

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