Les ravageurs de l’Olivier dans la région de Tlemcen en 2012

Les ravageurs de l’Olivier dans la région de Tlemcen en 2012

Discussion concernant l’enquête effectuée sur les ravageurs de l’Olivier dans la région de Tlemcen L’enquête englobe le principal ravageur de l’Olivier, le ravageur qui cause le plus de dégâts, les parties de l’arbre touché par ces ravageurs, les conséquences des dégâts sur le rendement et la méthode de lutte.

– Principale ravageur de l’Olivier dans la région de Tlemcen

Pour ce qui est des principaux ravageurs sur l’Olivier, 12 agriculteurs parmi les 20 (60 % des Fellahs) ont répondus que c’est la cochenille noire (Saissetia oleae), alors que les 8 restants (40%) ont déclaré que c’est la mouche de l’olivier (Bactrocera oleae). D’après Alford (1994) la cochenille noire est un des principaux ravageurs de l’olivier. Elle ne provoque pas de dégâts directs comme la mouche ou la teigne, mais elle peut engendrer un affaiblissement très important des arbres touchés. Certains automnes sont très propices à l’installation des nouvelles larves et les arbres se couvrent de miellat, substance poisseuse sécrétée par ces insectes et par la suite l’installation d’un champignon formé par la fumagine. De leur cotés, Guario et La Notte (1997) soulignent que la mouche de l’olive est le principal ravageur de l’olivier. Cet insecte peut causer des dégâts très importants, jusqu’à 90 % d’olives abîmées et inutilisables, comme ce fut le cas en 2006 et 2007.

Ravageur qui cause le plus de dégâts sur l’Olivier dans la région de Tlemcen  

L’enquête montre que les principaux ravageurs sont : Saissetia oleae (40 % des cas), Bactocera oleae (25 %), Sturnus vulgaris (15 %), Liothrips oleae (15 %), Otiorhyncus sp. (5 %) et Cribricolis sp. (5 %). Cotin (2003) souligne que les ravageurs qui causent le plus de dégât et la mouche de l’olivier (Bactocera oleae), la cochenille noire (Saissetia oleae) et la teigne Prays oleae. Par contre les ravageurs de l’Olivier dans la région de Tlemcen en 2012 La discussion sur les ravageurs de l’Olivier consiste à deux parties, d’un coté la discussion sur l’enquête effectuée au prêt des agriculteurs et l’inventaire des ravageurs dans trois stations à Tlemcen. 

Discussion

concernant l’enquête effectuée sur les ravageurs de l’Olivier dans la région de Tlemcen L’enquête englobe le principal ravageur de l’Olivier, le ravageur qui cause le plus de dégâts, les parties de l’arbre touché par ces ravageurs, les conséquences des dégâts sur le rendement et la méthode de lutte.

– Principale ravageur de l’Olivier dans la région de Tlemcen

Pour ce qui est des principaux ravageurs sur l’Olivier, 12 agriculteurs parmi les 20 (60 % des Fellahs) ont répondus que c’est la cochenille noire (Saissetia oleae), alors que les 8 restants (40%) ont déclaré que c’est la mouche de l’olivier (Bactrocera oleae). D’après Alford (1994) la cochenille noire est un des principaux ravageurs de l’olivier. Elle ne provoque pas de dégâts directs comme la mouche ou la teigne, mais elle peut engendrer un affaiblissement très important des arbres touchés. Certains automnes sont très propices à l’installation des nouvelles larves et les arbres se couvrent de miellat, substance poisseuse sécrétée par ces insectes et par la suite l’installation d’un champignon formé par la fumagine.

De leur cotés, Guario et La Notte (1997) soulignent que la mouche de l’olive est le principal ravageur de l’olivier. Cet insecte peut causer des dégâts très importants, jusqu’à 90 % d’olives abîmées et inutilisables, comme ce fut le cas en 2006 et 2007. 

Ravageur qui cause le plus de dégâts sur l’Olivier dans la région de Tlemcen

Liothrips oleae et Otiorhyncus cribricolis sont des ravageurs de seconde ordre. Ils causent moins de dégâts que les autres. 

Différents partie de l’arbre touché par les ravageurs

D’après l’enquête au prés des différent fellahs de la région de Tlemcen les organes les plus touche sont les fruits et les feuilles. Effectivement, plusieurs auteurs signalent que les organes touchés c’est les feuilles et les fruits (Afiol, 2001 ; Al Ahmed et Al Hamidi, 1984) .

Conséquences des dégâts sur le rendement

Les dégâts sont principalement la diminution du rendement brutale (75 % des Fellahs). D’autres déclarent que le rendement est inférieur à la moyenne. D’après Alvarado (1999) les conséquences des dégâts sur le rendement été parfois plus important dans certain période de l’année et entrainons la perte de la récolte dans certain régions ou il n y a pas l’utilisation des produit phytosanitaire.

Méthodes de lutte et les produits phytosanitaires

Prés des différents agriculteurs, l’utilisation des pièges a phéromones et les traitement à base d’insecticides sont les principaux lutte. Par contre l’utilisation des méthodes préventives est utile car ils diminuent le risque d’attaque des ravageurs. Civantos (1995) déclare que le contexte du développement durable et de la préservation des ressources naturelles, la nouvelle approche du concept de « lutte intégrée » considère l’agroécosystème comme l’élément de base et primordial de la stratégie de protection. Partant de ce principe, celle-ci s’appuie par ordre de priorité, sur les trois éléments suivants : les mesures préventives, la surveillance et l’estimation du risque de dégâts des populations nuisibles, et enfin l’application de moyens de lutte directe. De leurs coté, Guario et La Notte (1997) soulignent que la mouche de l’olive à une période critique se situe en septembre-octobre, mais la mouche est présente dès le mois de juin dans les vergers et réalise 4 à 5 générations pendant cette période. Il n’y a pas de solution unique de lutte contre ce ravageur. Les techniques s’orientent vers une alternance des produits, l’utilisation de produits préventifs ou la conjugaison de plusieurs méthodes

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