Les problèmes liés à la politique de protection sociale

Cours la communication d’image pour une résolution des conflits, tutoriel & guide de travaux pratiques en pdf.

CADRAGE SCIENTIFIQUE

PROBLÉMATIQUE

Plusieurs risques sociaux menacent chaque jour la vie de chaque individu de différentes nations, qu’il s’agisse de pays riche ou de pays pauvre. Ces risques englobent les problèmes de santé, de l’intégrité physique au sens le plus large du mot, les problèmes des moyens d’existence, qu’ils viennent du travail ou de sources différentes, notamment lorsque le travail fait défaut, les problèmes de promotion, de culture, de formation, de loisir, tout ce qui contribue à l’épanouissement des personnalités, des possibilités de chacun. La réalisation de ces risques peut entrainer des pertes des revenus et des charges lourdes (incapacité physique, mentale …), voire même des pertes des vies pour n’importe quelle personne vulnérable. Face à ces risques inévitables, la solidarité nationale a donné naissance au système de protection sociale, assemblée de l’assistance sociale, de la sécurité sociale, et d’autres services d’actions sociales. Parmi ces formes de la protection sociale, la sécurité sociale fait partie de droit fondamental, inscrit dans la Charte internationale de Droit de l’Homme.
Madagascar est l’un des pays qui a intégré ce régime de sécurité sociale dans sa constitution. Le problème que nous avons déjà mentionné précédemment c’est que seulement 10% des travailleurs actifs bénéficie d’une couverture sociale en la matière. Ainsi, la majorité de la population active2malgache reste privée de ses droits. Cela est dû par différentes raisons : la politique économique alternative adoptée par le gouvernement qui a voulu s’engager dans l’orientation et la gestion du système de protection sociale d’une part, et la connaissance très limitée de la population malgache sur ce système, d’une autre sans minimiser la politique et stratégie nationale dans la gestion de ce régime. Ces problèmes ont, pourtant, entrainés des effets jugés négatifs, sur les organismes prestataires mise en place par l’Etat, plus particuliè-rement la CNaPS, et modifient de manière négative les comportements du public. Ce qui peut être la source de son image floue et d’un conflit latente entre elle et ses bénéficiaires.
Comme étant le seul établissement public en charge de ce régime de sécurité sociale pour les travailleurs du secteur privé, la Caisse Nationale de Prévoyance Sociale (CNaPS) se trouve face à un problème relationnel avec ses grands publics. A part les problèmes sources énoncés ci-dessus, le statut flou de la CNaPS qui mélange les affaires privées et publics influe sur son image. Et c’est justement de cette image floue de la CNaPS que nous voulons appré-hender. L’indicateur objectivement vérifiable de cette image flou c’est que malgré l’existence de la CNaPS depuis 60 ans et son extension sur tout le territoire national, surtout malgré les efforts menés en faveur de ses bénéficiaires, des mauvaises opinions fondées du public se reflètent toujours à travers les attitudes et les comportements de la population malgache et cela se présente déjà comme un signe de malaise, source d’un conflit latent entre ces parties prenantes. Parmi ces opinions, il y a même ce qui devient un adage populaire : Ho avy tsy ho elahoatra nv volan’ny CNaPS. L’assemblage de tous ces problèmes nous amène à poser les questions à savoir :
• Que sait-on du système de protection sociale et de la sécurité sociale ?
• Que pense le public de la CNaPS ?
• Pourquoi la CNaPS, malgré sa notoriété et son ancienneté, n’arrive pas à foncer une image juste aux yeux du public ?
• Comment relier l’effort mené par la CNaPS et l’opinion fondée du public ? Et quelles stratégies la CNaPS devrait-il appliquer pour améliorer son image ?

REVUE DE LA LITTÉRATURE

LE SYSTÈME DE PROTECTION SOCIALE COMME OUTIL AU SERVICE DE LA LUTTE CONTRE LA PAUVRETÉ ET DU DÉVELOPPEMENT

Faisant partie du droit fondamental et universel de la sécurité sociale, elle concerne tous les pays quels que soient leur niveau de développement. Les objectifs sociaux des politiques et programmes de protection sociale sont universels dans la mesure où ils correspondent aux aspirations et aux besoins fondamentaux des populations du monde entier : Le progrès et le développement dans le domaine social. Ce sont les dispositifs, les organismes prestataires, ainsi que les conditions de prise en charge qui diffèrent d’un pays à l’autre. Telle est l’ensemble des hypothèses énoncées par quelques organisations nationales et internationales lors de ces études appropriées au système de protection sociale.
Dans un rapport phare du Bureau International du Travail (BIT) élaboré en 2015, les membres de ce bureau a montré que « les politiques de protection sociale jouent un rôle essentiel dans la mise en œuvre du droit à la sécurité sociale pour tous, la réduction de la pauvreté et des inégalités et la promotion d’une croissance inclusive ». Et qu’« elles renforcent le capital humain et stimulent la productivité, favorisent la demande intérieure et facilitent les changements structurels des économies nationales ».Mais la sécurité sociale est loin d’être une réalité pour la majeure partie de la population mondiale car seuls 27 % de la population mondiale ont accès à des systèmes complets de sécurité sociale, tandis que 73 % ne bénéficient que d’une couverture partielle, ou ne sont pas couverts du tout3. Ainsi la recommandation n° 2024 sur les socles de protection sociale, 2012, traduit l’existence d’un consensus sur l’extension de la sécurité sociale, obtenu entre les gouvernements et les organisations de travailleurs et d’employeurs de 185 pays, à tous les stades de développement. Pour combler le tout, les membres du BIT nous ont fait savoir que «le manque d’accès à la protection sociale constitue un obstacle majeur au développement économique et social. Une protection sociale inadaptée ou inexistante s’accompagne de niveaux de pauvreté et d’insécurité économique élevés et persistants, la progression des niveaux d’inégalité, d’investissements insuffisants dans le capital et les capacités humaines, et d’une demande globale faible en période de récession et de faible croissance ». Conscient de l’importance du système de protection sociale, en termes de développement, le G20 et les Nations Unies soutiennent la mise en place de ce socle de protection sociale.
La Consultation interrégionale représenté par les Nations Unies, consciente de l’importance qu’attache la communauté internationale à l’efficacité des stratégies de protection sociale, a adopté des : Principes directeurs pour les politiques et programmes de protection sociale dans un avenir proche, en 1988 pour encourager la prise de mesures appropriées aux niveaux national, régional et interrégional, dans l’esprit de la Déclaration Universelle des droits de l’homme , la Déclaration sur le progrès et le développement dans le domaine social ainsi que d’autres instruments internationaux pertinents. Dans les domaines de préoccupation en matière de protection sociale orientée vers le développement, il y est inscrit que les politiques de protection sociale doivent être repensées. La crise économique durable, le manque de ressources financières, les nouvelles orientations démographiques, les structures de l’économie, l’évolution des techniques et la satisfaction des aspirations populaires exigent un ajustement des politiques et un réarrangement des priorités. La portée des programmes de sécurité et de protection sociale et la couverture qu’ils assurent varient considérablement d’une région du monde à l’autre, mais tous les pays se doivent d’améliorer et de revoir l’orientation des programmes pour les conformer aux besoins sociaux qui se font jour. Cette préoccupation a été définitivement inscrite à l’ordre du jour de la communauté internationale, notamment grâce au rapport intitulé « Notre avenir à tous », présenté par la Commission mondiale de l’environnement et du développement.
Concernant particulièrement la situation existante à Madagascar, lui aussi a, placé le système de protection sociale à la tête de ces priorités. L’étude menée par le Ministère de la Population, de la Protection Sociale et de la Promotion de la Femme(MPPSPF) à Madagascar sur la politique nationale de protection sociale (Septembre 2015) a expliqué que « La lutte contre la pauvreté, la vulnérabilité et la précarité est la priorité des priorités de l’Etat, telle que définie dans la Politique Générale de l’Etat à travers les différents défis, en particulier celui consacré à la protection sociale. Il s’agit de la mise en œuvre d’un ensemble d’interventions qui permet de prévenir les risques, de faire face aux divers chocs et d’assurer un confort minimal de la population, en particulier les groupes les plus vulnérables ». Sur le plan organisationnel, la protection sociale à Madagascar est multi-institutionnelle. Elles couvrent un large éventail de régimes contributifs et non contributifs, et divers programmes, entre autres : les caisses de retraite ; le régime d’assurances et fonds de pension ; les programmes qui visent l’accès aux services sociaux de base ; les programmes d’appui aux groupes pauvres et vulnérables ; les programmes d’assistance sociale en faveur des groupes vulnérables spécifiques, incluant les personnes âgées, les personnes en situation de handicap, les enfants et les femmes ». Les risques couverts ainsi que les conditions de prise en charge diffèrent alors d’une population à une autre.

LES PROBLÈMES LIÉS À LA POLITIQUE DE PROTECTION SOCIALE

D’après les études menées par quelques groupes de chercheurs sur la politique de protection sociale, les problèmes de système de protection sociale sont dus à l’incompréhension de ce système et l’incompatibilité des régimes existants avec les besoins sociaux d’une part, mais surtout au changement de politique socio-économique de protection sociale adoptée par le gouvernement qui a décidé de jouer le rôle de premier responsable et décideur dans l’orientation et la gestion de ce système d’autre part.
Laurence NOELIHANTASOA, Médecin du travail, dans un ouvrage intitulé « Monographie de la sécurité sociale malgache » publié en 2014 a affirmé que « le travailleur a une connaissance très limitée de son système de protection sociale » et que « le peu qu’il connait de ce système se limite à la CNaPS ». Suite à ce problème, elle a pu observer des relations conflictuelles avec ces deux entités qu’ils pensent « des révélatrices d’une mauvaise perception de leur mission, de leur fonctionnement et une ignorance de leur cadre légal. Ce qui entretient une atmosphère de suspicion, d’insatisfaction ».Concernant la couverture sociale face aux besoins, Rahaga RAMAHOLIMIASO, dans ce même ouvrage, a voulu répondre à la question de savoir si les prestations existantes sont satisfaisantes aux besoins sociaux. La réponse est plutôt négative car « malgré une série de relèvement substantiel des montants des prestations de la CNaPS ces dernières années, on note un décalage sérieux par rapport au coût de la vie », dit-il. De plus, en dehors de l’étendue de la couverture, bien des risques ne sont pas couverts.
Concernant les causes du déficit de la protection sociale, plus particulièrement le pro-blème dû au politique gouvernementale, les professionnels de la CNaPS, dans le livre« Droit de la sécurité sociale », publié récemment (2016), ont exposés des problèmes socio-économiques liés à la politique gouvernementale affectant la politique de protection sociale à Madagascar. Ils ont voulu démontrer que suivant les parcours de changement de la politique économique de l’Etat, à savoir la politique économique libérale (de 1960 à 1972), source d’un taux moyen de croissance annuel d’environ 2,7 % et d’une hausse de PIB par habitant de 0,4 %, malgré la souffrance du secteur agricole qui n’évoluait que très faiblement ; la politique économique alternative (1972) qui laisse l’Etat jouer le principale rôle dans l’orientation et la gestion de la vie économique ; la politique de réhabilitation et de maintenance des infrastructures nécessaires au développement d’un pays par l’adoption d’un plan de stabilisation et de restauration de grands équilibres (1983)et enfin la politique économique planifiée et centralisée qui fait une très grande place aux lois du marché (à partir de 1985), les systèmes lé-gaux de protection sociale ont connu tant d’épreuves qui affectent négativement les organismes prestataires et entrainent à ce jour une grande méfiance de la population malgache sur ces derniers. Ainsi, ils ont conclu que « l’adoption du plan des réformes économiques et l’ampleur de la modification du paysage social pose jusqu’à présent au gouvernement malgache un problème d’adaptation du système de protection sociale à la nouvelle donne économique ».Pour améliorer cette situation, ils « exigent de tous les responsables concernés par cette question de dépasser les limites et de repenser la stratégie efficace dans ce domaine. En un mot, les alternatives s’ouvrent devant le gouvernement s’il décide de procéder au changement de choix de la politique socio-économique fondamentale du pays ».

HYPOTHÈSES PERSONNELLES

POUR UNE MEILLEURE POLITIQUE DE PROTECTION SOCIALE

Après avoir transporté et analysé les hypothèses des prédécesseurs sur le thème de la protection sociale, nous pouvons en déduire que même si la protection sociale est un droit universel et figure parmi les priorités de toute société, sa politique de mise en œuvre reste dérisoire et ne permet pas de couvrir tous les besoins sociaux pour bon nombre des pays, surtout les pays en voie de développement alors qu’elle joue un rôle très prépondérant dans la lutte contre la pauvreté, donc du développement socio-économique de la famille et assimilés. Pour le cas de Madagascar, le taux de couverture est très faible et ceci devient de plus en plus critique. Pire encore, il y a des grands écarts entre les attentes de toute la population malgache et les services rendues par les organismes prestataires. Une restructuration totale s’avère donc très primordiale si Madagascar veut arriver à lutter contre la pauvreté, la précarité ainsi que la vulnérabilité par le biais de ce système. Elle exige une adoption d’une nouvelle stratégie efficace, à court et à long terme impliquant tous les parties prenantes, y compris l’Etat, les organismes prestataires publics ou privées et les grands publics : l’Etat doit laisser libres et indépendants tous les responsables concernés dans leurs organisations et leurs propres politiques ; les organismes prestataires doivent prendre des mesures concrètes, réalistes et réalisables face à des problèmes aigus de gestion et de communication déjà identifiés depuis bien longtemps et les grands publics, quelques soient ses positions face à la situation de protection sociale doivent prendre en comptent les efforts menés par les responsables et prennent les mesures qui les conviennent. Coordination, sens de négociation et compréhension doivent donc être formés pour faciliter cette structuration, sinon Madagascar ne puisse pas atteindre son objectif de la réduction de la pauvreté.

POUR UNE MEILLEURE GESTION D’IMAGE

A cause de sa notoriété, son ancienneté, ainsi que ses responsabilités envers les travailleurs nationales du secteur privé, la CNaPS se voit comme la vitrine de tous les organismes de protection sociale à Madagascar. Elle est le principal récepteur de toutes les opinions et toutes les images – bonnes ou mauvaises – ainsi que le feedback amplificateur ou stabilisateur de ses grands publics. Pour gérer au mieux sa réputation et son image, elle doit être efficace en termes de stratégie de communication. Mais, comme nous avons pu voir à travers toutes les améliorations et extensions de tout genre qu’elle a adopté tout au long de son existence, la CNaPS a déjà mené beaucoup d’efforts que ce soit en en matière d’amélioration des services rendus ou en matière de communication. Par contre, son image, aux yeux de tous, reste floue. L’analyse des hypothèses des prédécesseurs et l’observation des faits sur terrain nous a permis de voir plus clairement que derrière l’apparence que le public voit en elle, un problème de statut méconnu de tous mérite d’être évoqué. Nous pensons alors que tous les éléments pouvant affecter son image tels son statut, ses systèmes de valeurs, ses activités, etc. doivent être mis en exergue dans sa stratégie de communication.

INTÉRÊT SCIENTIFIQUE ET PRATIQUE

Actuellement, peu de chercheurs sont intéressés à mener des études sur la protection sociale, surtout les chercheurs en sciences humaines et sociales, alors qu’elle est fondamentale et prioritaire dans la vie de tout individu. Par conséquent, nous en tant que chercheurs en ces domaines, notamment en anthropologie doivent donner une attention particulière sur ce thème pour faire comprendre son importance dans la société. Mais comme la perception de la population malgache sur son système de protection sociale est encore négative et pessimiste, nous pensons qu’une étude basée sur l’anthropologie de la communication d’image, pourrait être une nouvelle approche nous permettant de comprendre toutes les causes de cette mauvaise perception et de trouver les moyens de l’améliorer. Ainsi, notre intérêt se porte sur la valeur anthropologique de cette étude.

Première partie  Matériels et méthodes
Chapitre I : Cadres de la recherche du travail
I. Cadrage conceptuel
1.1. Domaine de l’Anthropologie
1.2. Science du conflit et de la paix
II. Cadrage scientifique
2.1. Problématique
2.2. Revue de la littérature
2.2.1. Le système de protection sociale comme outil au service de la lutte contre la pauvreté et du développement
2.2.2. Les problèmes liés à la politique de protection sociale
2.3. Hypothèses personnelles
2.3.1. Pour une meilleure politique de protection sociale
2.3.2. Pour une meilleure gestion d’image
2.4. Intérêt scientifique et pratique
Chapitre II : Matériels
I. Matériels documentaires
1.1. Les ouvrages, revues
1.1.1. Les ouvrages
1.1.2. Les revues de presse
1.2. Les documents relatifs aux expériences étudiées par la CNaPS
1.3. Les textes réglementaires et législatifs
1.3.1. Le cadre international
1.3.2. Le cadre national
II. Matériels du terrain
2.1. Données d’observation
2.2. Données d’enquête
Chapitre III : Méthodes
I. Méthodologie de collecte de données
1.1. Pour la recherche documentaire
1.2. Pour l’observation
1.3. Pour l’entretien
1.4. Difficultés rencontrés
II. Méthode d’analyse et d’interprétation
1.1. La théorie de la communication d’image
1.2. La théorie de l’anthropologie de la communication
Deuxième partie : Résultats
Chapitre IV : Evolution et Orientation de la protection sociale
I. Concept de la protection sociale
1.1. Idée fondatrice du principe de la protection sociale
1.2. Dimensions de la protection sociale
1.3. Les systèmes classiques de la protection sociale
II. Différence entre protection sociale et sécurité sociale
2.1. Protection sociale
2.2. Sécurité sociale
III. Le régime malgache de sécurité sociale
3.1. Le système adopté par le gouvernement
3.2. Rôles des acteurs de la sécurité sociale
Chapitre V : La CNaPS et sa politique de gestion de la sécurité sociale
I. Présentation générale
1.1. Contexte historique
1.2. Champ d’application
1.3. Mission et services de la CNaPS
1.4. Organisation et fonctionnement
1.5. Ses valeurs
II. Activités de la CNaPS
2.1. Contexte
2.2. Objectifs
2.3. Evaluation des activités de la CNaPS entre 2013-2016
III. Stratégie de communication
Chapitres VI : Source de l’image de la CNaPS, ses relations avec ses publics
I. Opinions et perceptions des différents publics
1.1. Opinions et perceptions des non bénéficiaires
1.2. Opinions et perceptions des travailleurs du secteur privé
II. Relation conflictuelle entre la CNaPS et ses bénéficiaires
2.1. L’adage populaire : « Ho avy tsy ho ela hoatra ny volan’ny CNaPS »
2.2. Cause de cet adage populaire
III. Approche de l’image de la CNaPS
Troisième partie : Discussion et recommandations
Chapitres VII : Interprétation des résultats
I. Variables explicatives de l’image floue de la CNaPS
1.1. Problèmes liés au structure et fonctionnement
1.2. Problèmes liés aux non-bénéficiaires de la sécurité sociale
1.3. Problèmes liés à la couverture face aux besoins
II. Analyse de système de valeurs
Chapitres VIII : Analyse prospective de la sécurité sociale
I. Impacts socio-économiques de la sécurité sociale
1.1. Aide à la compensation des charges familiales
1.2. Fournit de revenus de substitution durant les périodes d’inactivité
1.3. Garantit les conditions de vie des personnes âgées
II. Etude comparative du régime malgache de la sécurité sociale
2.1. Au niveau de la structure et de financement
2.2. Au niveau des prestations
2.3. Au niveau de la couverture
Chapitre IX : Recommandations
I. Au niveau de l’Etat
II. Au niveau de la CNaPS
2.1. Réformer la gouvernance de la sécurité sociale
2.2. Offrir Petit à petit à tous les intéressés un système de sécurité sociale
2.3. Mettre en place un service de médiation au sein de la CNaps
Conclusion
Bibliographie
Annexes

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