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LES PROTOZOOSES INTESTINALES
Les protozooses sont des affections causées par des protozoaires qui sont des êtres unicellulaires.
L’amibiase
Définition
L’amoebose (ou amibiase) est causée par un protozoaire, Entamoeba histolytica, qui infecte majoritairement l’homme. [13].
Morphologie du parasite
Entamoeba histolytica existe sous une forme végétative (trophozoïte) et sous une forme kystique [1,13 ].
Les caractères morphologiques des trophozoïtes et des kystes permettent au microscopiste de les identifier et de les différencier des autres amibes parasites de l’intestin de l’homme mais non pathogènes telles qu’Entamoeba coli, Entamoeba hartmanni, Endolimax nanus, Pseudolimax butschlii. Ces amibes non pathogènes, lorsqu’elles sont retrouvées dans les selles, ne doivent pas être considérées comme responsables des troubles digestifs dans la majorité des cas.
En revanche, les caractères morphologiques observables à l’examen parasitologique des selles ne permettent généralement pas de faire la différence entre Entamoeba histolytica et Entamoeba dispar, qui est aussi une forme non pathogène. D’autres examens sont nécessaires pour faire ce diagnostic différentiel (recherche d’adhésine spécifique afin de mettre en évidence la forme pathogène hématophage, nommée Entamoeba histolytica).
Les trophozoïtes ont une taille de 20 à 40µm, sont mobiles, émettent des pseudopodes qui leur permettent de se déplacer et d’ingérer des bactéries, des particules alimentaires et des hématies (Figure 1A).
Les kystes sont sphériques, de 10 à 15µm de diamètre et entourés d’une épaisse coque. Ils sont éliminés dans les selles des malades et des porteurs sains et sont très résistants dans le milieu extérieur (Figure 1B).
Biologie du parasite
L’homme se contamine par ingestion de kystes qui se transforment en trophozoïtes dans le tube digestif.
Ces trophozoïtes d’Entamoeba histolytica adhèrent à la paroi colique par l’intermédiaire de lectines. Les cellules humaines touchées sont tuées et détruites en quelques minutes par la formation de pores dans leur membrane. Ils se multiplient par scissiparité et sont éliminés irrégulièrement sous forme de kystes fécaux.
La production d’enzymes protéolytiques (cystéines protéinases) par les amibes favorise leur diffusion dans la muqueuse et la sous-muqueuse colique entraînant un épaississement œdémateux, la formation de multiples ulcérations, de plages de nécrose et parfois de perforation intestinale.
L’examen endoscopique du colon permet de décrire des « ulcérations en coup d’ongle » et des « abcès en bouton de chemise » évocateurs.
La poursuite de l’infection et la dissémination éventuelle dépendent en partie de la réponse immunitaire locale de l’hôte (rôle aggravant des corticostéroïdes).
Traitement
Le traitement s’effectue en deux phases : utilisation d’un antiamibien diffusible pour traiter l’épisode, puis d’un antiamibien « de contact » pour traiter la colonisation intestinale. Antiamibien diffusible. – Le traitement de choix est le métronidazole (FLAGYL®) à la dose de 30 à 50 mg/kg/jour, en 3 prises pendant 7 à 10 jours. Le traitement peut être donné per os ou par voie intraveineuse. Il est déconseillé chez la femme enceinte et allaitant et l’effet antabuse doit être signalé. Le tinidazole (FASIGYNE®) peut être proposé comme alternative avec une efficacité comparable pour un traitement bref en 1 à en 5 jours.
Antiamibien de contact. –Trois jours après la fin du traitement, le tiliquinol-tilbroquinol (INTETRIX®) doit être utilisé à la dose de 2 gélules matin et soir pendant 10 jours.
La résolution de la crise se fait en 2 à 3 jours, et un traitement symptomatique peut être associé si les signes cliniques sont mal supportés.
Un examen parasitologique des selles, répété trois fois, doit être systématiquement prescrit 3 à 4 semaines après, afin de vérifier l’absence de portage chronique de kystes d’amibes [14].
Giardiase ou lambliase
Définition
La giardiase est une parasitose intestinale cosmopolite due à un protozoaire flagellé, Giardia intestinalis essentiellement localisé au duodénum [1].
Morphologie du parasite
Ce flagellé se présente sous deux formes:
une forme végétative ou trophozoïte piriforme possédant 2 noyaux, un axostyle médian et 4 paires de flagelles qui assurent sa mobilité (Figure 2A).
une forme kystique, ovoïde ou sphérique, immobile, contenant 2 ou 4 noyaux et des débris flagellaires (Figure 2B).
Figure 2: Forme végétative et forme kystique de Giardia intestinalis [13].
Biologie du parasite
Lorsque l’homme se contamine en ingérant des kystes mûrs par l’intermédiaire des mains sales, de l’eau de boisson ou d’aliments souillés, la coque du kyste est dissoute ; puis, il y a libération de trophozoïtes dans le duodénum et le jéjunum où ils se nourrissent du contenu intestinal par pinocytose.
Les trophozoïtes s’y multiplient par scissiparité et donnent des kystes. Ces formes de résistance éliminées avec les selles, assurent la dissémination du parasite [14, 15].
Traitement
Le traitement de la giardiase repose sur des prises de métronidazole (FLAGYL®) :1,5 g/j en 3 prises chez l’adulte pendant 5 à 7 jours et 40 mg/kg/j chez l’enfant pendant 5 à 10 jours ou de secnidazole, tinidazole et ornidazole : 2 g/j chez l’adulte et 30 mg/kg/j chez l’enfant en une prise unique.
Trichomonose intestinale
Définition
C’est une affection cosmopolite due à un protozoaire flagellé : Trichomonas intestinalis, parasite spécifique de l’homme, présent dans la lumière du gros intestin [13].
Morphologie du parasite
Il n’existe pas de forme kystique pour les Trichomonas. La forme végétative est la seule existante [13].
C’est un flagellé aplati en forme d’amande, long de 10 à 15 μm sur 7 à 10 μm de large, avec 4 flagelles antérieurs libres et pourvu d’une membrane ondulante longeant toute la longueur du corps et se terminant en flagelle libre. Il possède un axostyle divisant le corps sur toute sa longueur (Figure 3).
Biologie du parasite
Trichomonas intestinalis vit dans le mucus de la muqueuse colique, sa multiplication par division binaire est accélérée dans un milieu très alcalin. Le cycle se déroule chez un seul hôte, l’homme ; en l’absence de formes kystiques connues, on admet que la forme végétative capable de résister un mois en milieu liquide, assure la contamination du sujet neuf comme souillure des boissons ou aliments [13, 14].
Traitement
Le traitement de la trichomonose intestinale est le suivant [14]:
Métronidazole (FLAGYL®) : 500 mg/j pendant 7 jours chez l’adulte et la moitié ou le quart de la dose chez l’enfant.
Coccidioses intestinales : Isosporose
Définition
Isospora belli appelé aussi Cystoisospora belli est une coccidie, protozoaire parasite intestinal strict de l’Homme. C’est la seule espèce du genre Isospora pathogène pour l’Homme, responsable de diarrhées et ayant des caractéristiques de pathogène opportuniste. L’isosporose avec les microsporidioses, les cryptosporidioses et la cyclosporose constituent un groupe de parasitoses fréquemment rencontrées chez les immunodéprimés par le VIH [16,17].
Morphologie du parasite
Dans les selles, I. belli se présente sous forme d’oocyste. Ce dernier a une forme ovalaire, allongé et mesure 25 à 30 μm sur 12 à 16 μm avec une extrémité plus effilée. Dans le milieu extérieur, le sporoblaste donne naissance à deux sporocystes contenant chacun quatre sporozoïtes(Figure 4) [17, 18].
Figure 4:Oocyste d’Isopora belli dans les selles, x400 [17]
Biologie du parasite
La contamination se fait par voie digestive ; les formes infestantes sont les oocystes d’origine tellurique (eau polluée, nourriture souillée) et les coccidies sont intracellulaires du tractus digestif (intestin grêle) [17].Le cycle comporte une schizogonie au niveau des cellules épithéliales de l’intestin grêle et une gamogonie conduisant à la production d’oocystes. Les oocystes sont émis dans la lumière intestinale sous forme non sporulée. Les oocystes éliminés dans les selles sont sources de contamination et deviennent infectants après maturation dans le milieu extérieur.
Traitement
Le traitement repose sur l’association trimétoprime (160mg) /sulfaméthoxazole (800mg) : (COTRIMOXAZOLE® ou BACTRIM®) à raison de 2 comprimés par jour en deux prises pendant 2 à 4 semaines. L’alternative thérapeutique serait la ciprofloxacine (CIFLOX®) : 500 mg deux fois par jour pendant 7 jours.
Blastocystose
Définition
C’est une affection cosmopolite, plus fréquente dans les zones tropicales et subtropicales. Désormais classé dans les protozoaires intestinaux : Blastocystis hominis est un parasite spécifique de l’intestin de l’homme, mais il a été aussi isolé à partir d’échantillons fécaux de nombreux mammifères. L’éventualité d’une anthropozoonose n’est cependant pas certaine [5, 19].
Morphologie du parasite
Quatre formes majoritaires ont été décrites sur la base d’observations microscopiques issues de culture in vitro et d’échantillons de selles : une forme vacuolaire, une forme granulaire, une forme amiboïde et une forme kystique [20, 21].
La Forme vacuolaire
Elle est la forme majoritairement observée en culture in vitro axénique. De forme sphérique, sa taille peut varier considérablement, allant d’un diamètre de 2 μm à 200 μm, pour une moyenne d’environ 15 μm(Figure 5 a). Cette forme est caractérisée par une large vacuole centrale pouvant occuper jusqu’à 90% du volume cellulaire.
La forme granulaire
Elle est caractérisée par la présence de granules dans le cytoplasme ou la vacuole centrale (Figure 5 b). Sa taille est légèrement plus petite que celle de la forme vacuolaire, et varie de 3 à 80 μm. Les granules ont des aspects hétérogènes et ont été décrits comme de petites vésicules ou des gouttes lipidiques [22].
La forme amiboïde
Elle est plus petite, jusqu’à 10 μm de diamètre, présentant un aspect irrégulier et possédant des pseudopodes (Figure 5c) [22, 23]. La vacuole centrale est absente, ainsi que l’appareil de Golgi, le manteau de surface [22]. Il reste en revanche un noyau au centre de la cellule.
La forme kystique
Le kyste est de petite taille, allant de 3 à 5 μm de diamètre. Une paroi multicouche sous le manteau de surface, formé à partir des débris de celui‐ci, entoure la cellule (Figure 5d)[20, 24]. Le cytoplasme apparait condensé, et la présence de plusieurs petites vacuoles a été observée.
Figure 5: Observations en microscopie optique en contraste de phase des différentes formes de Blastocystis sp. [23,25].
Biologie du parasite
La contamination par Blastocystis hominis est d’origine fécale. Le cycle de vie présumé commence avec l’ingestion de kystes. Après l’ingestion, le kyste se transforme vers les autres formes qui à leur tour vont se retransformer en kystes. Ces kystes sont éliminés dans l’environnement extérieur par les excréments et sont transmis à l’homme et à d’autres animaux par la voie fécale-orale pour répéter l’ensemble du cycle.
Traitement
Le traitement de la blastocystose est le même pratiquement rencontré dans les amibiases. Le métronidazole (FLAGYL®) utilisé à raison de 2 g par jour pendant 5 jours, est efficace chez l’adulte et la moitié ou le quart de la dose chez l’enfant. Des médicaments apparentés aux imidazolés tels que le tinidazole (FASIGYNE®), le secnidazole (SECNOL®) et l’ornidazole (TIBERAL®) ont la même activité que le métronidazole.
LES HELMINTHIASES
L’helminthiase est le terme qui désigne les maladies humaines et animales, dues à l’infestation par des vers intestinaux : les helminthes [7].
Les helminthiases à némathelminthes (nématodoses)
Ascaridiose
Définition
C’est une parasitose fréquente et cosmopolite due à la présence et au développement dans l’organisme humain d’un ver rond, Ascaris lumbricoïdes [26].
Morphologie du parasite
Ascaris lumbricoïdes à l’état adulte, est un ver rond, blanc rosé, et présente un dimorphisme sexuel.
La femelle mesure 20 à 23 cm, a une extrémité postérieure conique et rectiligne. Le mâle mesure 15 à 17 cm avec une extrémité postérieure enroulée en crosse et munie de spicules (Figure 6A).
Ses œufs, ovoïdes, mesurent 60 à 70 μm de long sur 40 à 50 μm de large. Ils présentent une coque externe, épaisse, marron et mamelonnée, et une coque interne lisse renfermant une masse centrale granuleuse (Figure 6B) [13].
Biologie du parasite
Le cycle d’A. lumbricoïdes est direct et les parasites vivent dans l’intestin grêle. Les femelles fécondées pondent des œufs éliminés dans le milieu extérieur où ils s’embryonnent dans des conditions de température élevée (28°-32°C) et de forte humidité. Les œufs ingérés avec les eaux de boissons, les aliments souillés voire inhalés libèrent des larves qui traversent la paroi intestinale et à travers la circulation gagne le foie, les poumons pour parvenir au carrefour aéro-digestif où elles seront dégluties. Les larves deviennent adultes dans l’intestin soixante jours en moyenne après l’ingestion de l’œuf embryonné[13,27].
Traitement
Les médicaments suivants sont utilisés dans le traitement de l’ascaridiose :
Mébendazole (VERMOX®, TOLOXIME®) ou flubendazole (FLUBEN®) : 2 cp de 100 mg/j pendant 3 jours ;
Albendazole (ZENTEL®,ALBEN®) : 1cp de 400 mg en une prise ;
Pamoate de pyrantel (COMBANTRIN®), 12 mg/kg en cure unique est une alternative. Ces dérivés imidazolés sont déconseillés chez la femme enceinte.
Trichocéphalose
Définition
C’est une helminthiase cosmopolite due à Trichuris trichiura ou trichocéphale, parasite spécifique de l’homme [11].
Morphologie du parasite
Le trichocéphale est un ver blanc rougeâtre dont le corps est divisé en deux portions : une partie antérieure longue, filiforme et une partie postérieure renflée occupant le dernier tiers du ver. Le mâle mesure 3 à 4 cm de long et la femelle peut atteindre 5cm de long (Figure 7A) [28].
Les œufs sont bruns foncés en forme de citron, allongé, de 30 μm de long sur 25 μm de large, à coque épaisse, percée aux deux pôles d’un orifice que ferme un bouchon muqueux (Figure 7B). Figure 7:Adultes mâle et femelle et œuf de Trichuris trichiura [11]
Biologie du parasite
Le trichocéphale vit en prédilection dans le cœcum et l’appendice où il se nourrit de sang grâce à son extrémité filiforme qui s’insinue dans la muqueuse cœco-appendiculaire [14]. L’homme s’infeste en ingérant les œufs embryonnés avec l’eau ou les aliments souillés de terre, ou alors par l’intermédiaire des mains sales [28]. Les œufs libèrent dans l’intestin les larves qui deviennent adultes dans le cœcum au bout d’un mois.
Après accouplement et fécondation, les femelles pondent des œufs non embryonnés qui, éliminés avec les selles dans le milieu extérieur, vont subir une maturation en six semaines environ et deviennent infectants.
Traitement
Les dérivés benzimidazolés sont préconisés :
Albendazole (ALBEN®, ZENTEL®) : 1cp de 400 mg en une prise chez l’adulte et 1 flacon de 400 mg en une prise chez l’enfant ;
Flubendazole (FLUVERMAL®) ou mébendazole (VERMOX®) :1cp de 100 mg 2 fois par jour pendant 3 jours.
Oxyurose ou enterobiose
Définition
C’est une helminthiase cosmopolite tenace particulièrement fréquente chez l’enfant, due à Enterobius vermicularis communément appelé oxyure [1].
Morphologie du parasite
Enterobius vermicularis est un petit vers rond, blanc de 3 à 5 mm de long sur 200 µm de large ; la femelle pouvant atteindre 12 mm sur 0,5 mm. Dans les deux sexes, l’extrémité antérieure porte une bouche entourée de 3 lèvres rétractiles assurant une fixation solide à la muqueuse intestinale. Les œufs (Figure8) mesurent 50 à 60 µm de long sur 25 à 30 µm de diamètre. Ils sont ovalaires, asymétriques avec une face plane et convexe, entourés d’une coque lisse, transparente, réfringente et renferme un embryon à la ponte [13,27].
Figure 8:Œufs d’oxyure [29]
Biologie du parasite
Les vers adultes vivent dans l’intestin grêle puis migrent vers le cœcum et l’appendice où ils se nourrissent de matières organiques.
Après l’accouplement, les mâles restent sur place alors que les femelles dans les conditions normales, ne pondent pas dans le tube digestif.
Les femelles fécondées vont migrer vers l’anus pour pondre autour de l’orifice anal avant de mourir. Ces œufs sont embryonnés à la ponte et sont directement contaminants. Ingérés par un individu avec les mains souillés et surtout par auto-infestation chez les enfants après grattage de la marge anale, les œufs libèrent dans l’estomac des larves qui arrivent dans l’intestin grêle, où après plusieurs mues, elles deviennent adultes [30, 31, 32].
Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : RAPPELS BIBLIOGRAPHIQUES
I. LES PRINCIPALES PARASITOSES INTESTINALES HUMAINES
I.1. Définition
I.2. Classification des principaux parasites intestinaux
II. LES PROTOZOOSES INTESTINALES
II.1. L’amibiase
II.1.1. Définition
II.1.2. Morphologie du parasite
II.1.3. Biologie du parasite
II.1.4. Traitement
II.2. Giardiase ou lambliase
II.2.1. Définition
II.2.2. Morphologie du parasite
II.2.3. Biologie du parasite
II.2.4. Traitement
II.3. Trichomonose intestinale
II.3.1. Définition
II.3.2. Morphologie du parasite
II.3.3. Biologie du parasite
II.3.4. Traitement
II.4. Coccidioses intestinales : Isosporose
II.4.1. Définition
II.4.2. Morphologie du parasite
II.4.3. Biologie du parasite
II.4.4. Traitement
II.5. Blastocystose
II.5.1. Définition
II.5.2. Morphologie du parasite
II.5.3. Biologie du parasite
II.5.4. Traitement
III. LES HELMINTHIASES
III.1. Les helminthiases à némathelminthes (nématodoses)
III.1.1. Ascaridiose
III.1.1.1. Définition
III.1.1.2. Morphologie du parasite
III.1.1.3. Biologie du parasite
III.1.1.4. Traitement
III.1.2. Trichocéphalose
III.1.2.1. Définition
III.1.2.2. Morphologie du parasite
III.1.2.3. Biologie du parasite
III.1.2.4. Traitement
III.1.3. Oxyurose ou enterobiose
III.1.3.1. Définition
III.1.3.2. Morphologie du parasite
III.1.3.3. Biologie du parasite
III.1.3.4. Traitement
III.1.4. Anguillulose ou strongyloïdose
III.1.4.1. Définition
III.1.4.2. Morphologie du parasite
III.1.4.3. Biologie du parasite
III.1.4.4. Traitement
III.2. Les helminthiases à plathelminthes
III.2.1. La bilharziose intestinale
III.2.1.1. Définition
III.2.1.2. Morphologie du parasite
III.2.1.3. Biologie du parasite
III.2.1.4. Traitement
III.2.2. Les taeniasis à Taenia saginata et à Taenia solium
III.2.2.1. Définition
III.2.2.2. Morphologie des parasites
III.2.2.3. Biologie des parasites
III.2.2.4. Traitement
III.2.3. L’hymenolepiose à Hymenolepis nana
III.2.3.1. Définition
III.2.3.2. Morphologie du parasite
III.2.3.3. Biologie du parasite
III.2.3.4. Traitement
III.2.4. Distomatose à Dicrocoelium dendriticum
III.2.4.1. Définition
III.2.4.2. Morphologie du parasite
III.2.4.3. Biologie du parasite
III.2.4.4. Traitement
IV. PROPHYLAXIE DES PARASITOSES INTESTINALES
IV.1. Prophylaxie individuelle
IV.2. Prophylaxie collective
DEUXIEME PARTIE
I. CADRE, PERIODE ET TYPE D’ETUDE
I.1. Cadre d’étude
I.2. Période et type d’étude
II. POPULATION D’ETUDE
II.1. Critères d’inclusion
II.2. Critères de non inclusion
III. MATERIELS ET METHODES
III.1. Matériels d’études
III.1.1. Matériels classiques de laboratoire
III.1.2. Réactifs
III.2. Méthodes d’étude
III.2.1. Méthodes d’examen parasitologique des selles au laboratoire
III.2.1.1. Prélèvement
III.2.1.2. Examen parasitologique des selles
III.2.2. Collecte des informations
III.2.3. Analyse statistique
IV. RESULTATS ET DISCUSSION
IV.1. Résultats
IV.1.1. Caractéristiques de la population d’étude
IV.1.2. Prévalence et index parasitaires corrigé (IPC)
IV.1.3. Répartition des parasitoses intestinales en fonction de l’âge
IV.1.4. Répartition des parasitoses intestinales en fonction du sexe
IV.1.5. Répartition des parasitoses intestinales en fonction du statut hospitalisé ou non des patients
IV.1.6. Distribution des espèces retrouvées
V. DISCUSSION
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES