Les effets des (IDE) sur la croissance économique dans les pays [MAT]
les analyses de causalité (IDE) / croissance
Nombreux sont les travaux qui ont montrés qu’il existe vraiment une causalité entre la croissance économique et les flux entrants d’investissements directs. Ou les (IDE) sont le catalyseur de croissance économique. Les premières études de ce genre était menées par la banque mondiale en 1999. Dans le but de trouver une relation entre (IDE) et la croissance économique dans des pays de tiers monde, leurs résultats sont mitigés. Ensuite les travaux de Borensztein, de Gregorio et Lee [1998], ont prouvés que les flux entrants d’IDE augmentent l’investissement total et la croissance, leurs résultats qui recouvre 69 pays dans une étude de type panel sont les suivants :
les (IDE) facilitent Le transfert de technologie, élèvent le niveau de qualification des travailleurs, et augmentent les exportations et la compétitivité des entreprises locales dans les (PVD). Ils sont montrer aussi qu’une augmentation : « d’un point de pourcentage au ratio des (IDE) sur le (PIB) accroît le taux de croissance du (PIB) par tète du pays hôte de 0.8 pour cent » 92 D’autre économètre vient de tester la causalité entre les (IDE) et la croissance èconomique, il s’agit le lœss en 2001 93. En coté d’ivoire sur la période de 1970-2001, il ènonce que les investissements directs étrangers(IDE) ont été une source importante de la croissance économique, un point de pourcentages supplémentaires des (IDE) engendre un èquivalent de croissance économique. En revanche, une étude corkovic et levine, ne trouve aucun lien entre la croissance et les flux entrants dans une étude de panel recouvrent quelques pays d’ex-blocs soviétique. Les études menées par des institutions et organisations mondiales comme (CNUCED ou OCDE), ils ont optés pour démontrer réellement la relation entre les (IDE) et la croissance, comme témoigne le rapport du (CNUCED) en 1999. Les résultats qui en découlent ont données des résultats ne dépourvues pas d’ambiguïté. Ainsi, Singh {1988} n’a pas trouvé un effet appréciable dans leurs travaux sur l’économie industrielle.
À partir d’un échantillon composite de 73 pays en voie de développement. Quelques études ont montrées que les effets des (IDE) sur les pays d’accueils peuvent perturber la croissance économique par un effet négatif, comme c’est le cas dans les travaux de Brewer {1991}. Cet effet négatif revient à la domination exercée par les entreprises multinationales, ce qui a pour conséquence de dissuader les entreprises locales à développer leurs propres activités {effet d’éviction}. L’expérience montre que l’afflux des (IDE) ne mène pas automatiquement a une accélération de la croissance économique, si les règlementations et les mesures de politique èconomique d’accompagnement ne sont pas mise en application. Plusieurs efforts de la part des économètres ont été déployés, en vue de mieux représenter les variables explicatives de la croissance économique et de mieux apprécier les effets des (IDE) sur la croissance économique.
Les retombées des (IDE) dans les pays d’accueils
On peut récapituler les effets des (IDE) sur le pays d’accueil eu quatre effets essentiels : les effets sur la croissance économique, les effets sur le capital humain, les effets sur le commerce extérieur {l’exportation} et les effets sur l’investissement domestique 01-2-1 : les effets des (IDE) sur le capital humain L’influence des (IDE) sur la valorisation de capital humain, était observé dans plusieurs travaux de recherche, comme celle menées par Markus en Sjholm et Kinoshita en 1998. Ces économistes soutiennent l’hypothèse qu’un changement technologique restituer par les firmes multinationales provoque un esprit d’imitation et d’entraînement dans le secteur économique de pays d’accueil. La demande de travail qualifié par les firmes multinationales peut encourager les pays hôtes à investir d’avantage dans l’enseignement. Selon les travaux d’OCDE et du (CNUCED). L’implantation des firmes multinationales dans les pays d’accueils pourrait jouer un rôle primordial dans le développement des compétences des travailleurs, d’autant que certains savoirs sont impossibles a transférer par l’enseignement classique. En effet, les savoirs acquis en travaillant chez une firme multinationale peuvent prendre un aspect non quantifiable. Il concerne la, des compétences tacites difficiles à codifier et à exprimer {Savoir-faire}. La meilleure méthode de les transmettre étant de faire la démonstration et l’expérience sur le terrain : « Le savoir tacite s’échange difficilement sur de longues distances le meilleur moyen pour les pays en développement d’acquérir le savoir contenu dans le processus de production des économies des pays développés pourraient donc être la présence d’entreprises étrangères dans l’économie nationale »On peut déduire que les pays abondant en capital humain de haute qualité : {Ingénieurs, médecins, interprètes, techniciens, informaticiens, etc.} Ont la possibilité d’attirer des flux d’investissements directs étrangers intensifs en technologies {ex, les pays d’Asie de sud ; coré de sud, Thaïlande, Malaisie, japon}. Lesquels concurrents à accroître la qualification des travailleurs locale par l’implantation des écoles et des laboratoires de recherche et de développement (R&D). Tant dit que, dans les pays ou l’enseignement est marginalisé les (FMN) tendre à utiliser des technologies simples, qui contribuent progressivement à l’apprentissage et au développement de la main d’œuvre locale.
Les effets des (IDE) sur le commerce extérieur {Exportation}
Les effets des investissements directs étrangers sur le commerce dépendront vraisemblablement en grande partie du mode d’organisation appliqué par les firmes Multinationales {citations de (caves1982)} 95 . Cependant, plusieurs études empiriques ont constatés que les investissements avaient des effets positifs sur les exportations des pays hôtes. Parmi elles, les travaux de {Lipse et Weiss en 1981} sur le commerce aux états –unis, ou ils ont démontrés l’existence d’une corrélation positive entre les exportations totales de la société mère et la production locale des ces filiales. Ainsi, L’OCDE en 1998 96 a testé l’effet d’utilisation de données sur les stocks pour : { la grande Bretagne, la France et les États-Unis}. Dans le cas Britannique elle a démontrée une relation positive entre les exportations et les investissements directs étrangers. Dans le cas de la France des écarts significatifs d’élasticité pour les exportations et les importations reflètent la présence d’entreprises étrangères. Avec un accroissement élevé des importations et de faibles hausses des exportations dans les secteurs étudiés. Dans le cas des Etats-Unis, les stocks d’investissements étrangers exercent un effet très faible sur les exportations de ce pays. Dans l’ensemble. Les études menées par l’OCDE ont prouvées que chaque dollar d’investissement direct à l’étranger (IDE) entraîne environ deux dollars d’exportations additionnelles, cela exhorte réciproquement deux dollars d’importations supplémentaires pour le pays d’accueil qui affiche un investissement entrant. À son tour ce dernier exporte vers étranger environ 40 cents dollars.
les effets des (IDE) sur investissement domestique
La question ou toutes les études économétriques tentent de répondre est la suivante : Dans quelle mesure l’investissement direct étranger (IDE) exerce un impact d’éviction {repoussement à investissement locale}. Ou un effet d’entraînement {incitation à l’investissement intérieur}? Les premières réponses viennent des études menées dans les {états –unis et le royaume unis} sur la relation entre les (IDE) entrants et l’investissement intérieur, ou dans la plupart des cas d’effet d’entraînement a été remarqué. Par contre, dans les pays de tiers mondes un effet d’éviction a été enregistré comme le souligne Bouklia et Zatla en 2001. dans une étude sur les pays de sud et estMéditerranéennes, ou ils ont déduis qu’ : « à coté éventuels effets de seuil ou d’une insuffisante capacité d’absorption technologique des entreprises locales, c’est tout autant l’absence de complémentarité entre le capital étranger et local qui expliquerait le faible impact d’investissement direct étranger sur la croissance des économies de (PSEM)» .