Les déterminants des (IDE) dans les pays [MAT]
La répartition des flux d’IDE depuis 1990, donne des indications sur les éléments qui aboutissent à drainer les investissements directs étrangers dans les pays [M/A/T]. Les étudier permettra de retracer les différences nationales. Cependant les facteurs qui peuvent jouer un rôle dans l’attractivité de la région sont : les infrastructures corporels et financières la qualification de la main d’œuvre, les fondamentaux macroéconomique, la stratégie d’ouverture, le système financier etc. ISO 9000 désigne un ensemble de standards relatif à la gestion de la qualité édictés par l’organisation internationale de normalisation 87 les déterminants des (IDE) dans les pays [MAT] Chapitre II : L’attractivité comparée et déterminants des (IDE) dans les pays [M /A/T] L’analyse de l’ensemble de ces facteurs reflète en grande partie le niveau des montants des investissements directs étrangers entrants dans les pays [M/A/T]. La synthèse de ces indicateurs permet de positionner les pays [M/A/T] les uns par rapport aux ‘autre. 03-1 : les grandeurs économiques Le cadre macroéconomique est un facteur important de la confiance des investisseurs hormis, le revenu par tête, la croissance du (PIB), le niveau d’inflation, le déficit budgétaire, le solde courant extérieure, le système de change influencent la manière dont les investisseurs voient le pays hôte. Il est clair que les performances économiques des pays [M /A/T] ne sont pas les seuls déterminants. Mais c’est aussi les progrès concrétisés et la potentialité des gouvernements à tenir leurs engagements en matière d’inflations, de réformes économiques.
Cependant, les crises économiques de déséquilibre macroéconomique qu’aient connu les pays [M/A/T] se sont suivi dans la plupart des cas, par le ralentissement des flux d’IDE, jusqu’à ce que les gouvernements réagissent et prennent des mesures correctrices jugées fiables par les investisseurs. Dans le volet macroéconomique. Les autorités des pays [M/A/T] ont accomplies durant la période allant de 1990 à 2009 des progrès appréciables. La cadence des réformes macroéconomiques a totalement avancée et donne des résultats encourageants à savoir : le taux d’inflation a été maîtrisé pour l’ensemble à des niveaux acceptables grâce à une politique monétaire prudente. Ce maintien de l’inflation entre la marge de 1à 5 points NB a permis significativement L’amélioration de la compétitivité de l’économie et par conséquent l’augmentation de l’attractivité de territoire vis-à-vis des (IDE).
Cependant, le solde budgétaire en pourcentage de (PIB) révèle des résultats médiocres, pour le Maroc et la Tunisie, de sorte que ces pays souffrent d’un déficit soutenable, à l’encontre de l’Algérie qui avait réalisée des soldes positifs au cours de la période, sauf pour les années 1990 jusque à 1995 ou les solde accusent un déficit de {-2.0}. Pour ce qui concerne l’endettement extérieur, des efforts importants ont été déployés afin de rembourser totalement ou partiellement cette dernière. Nous citons la, l’expérience Algérienne qui a remboursée la majorité de sa dette, elle a été ramenée jusqu’à 3.2 milliards dollar américains en 2009 après été 33 Milliards $ en 1990. Le solde de comptes courants en pourcentage de (PIB) accuse un déficit chronique pour la Tunisie, spécifiquement pour les années : 2004, 2005 2006, et 2007 {-.9, -1.0, -2.1, -0.5} par contre le Maroc et l’Algérie ont réalisés des soldes probants, si bien que la croissance économique dans les pays [M/A/T] enregistre des taux moyens progressif pour l’ensemble.
Les budgets étatiques
L’attrait d’un pays pour les investissements directs étrangers se fait aussi par une politique budgétaire prudente, puisque elle donne un indice sur la politique macroéconomique menée par le pays hôte et aide à atténuer les soucis sur la variation de politique de change, en matière des frais et charges supporter par l’investisseur : {différentiations des coûts de transferts de dividende}. Alors qu’une politique financière Saine signifie toute à la fois {une stabilisation économique et une confiance chez les investisseurs} dans la mesure où la fiscalité et l’investissement public dans les infrastructures sont de nature à favoriser la bonne allocation des ressources. L’afflux d’investissement ne fut pas par l’allègement des frais et impôts supporter par l’investisseur et l’engagement de l’état dans une vaste opération d’investissement, mais aussi par des pratiques de gestion transparentes et modernes.