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Situation géographique
KOLOAINA est une association locale Malgache qui émerge de l’ONG13 Inter-Aide. Elle se situe à Antsalovana en face de MAD INOX et siège derrière Mada Meubles dans le grand bâtiment en ciment de même que Cefor14aux 2èmes étages, route Boulevard de l’Europe.
Missions et objectifs
L’association KOLOAINA travaille avec les familles les plus démunies dans 26 Fokontany défavorisés groupés en 8 zones bien distinctes au niveau des bas quartiers de la ville d’Antananarivo regroupant une population de 180000 habitants environs pour l’année 2013. Elle intervient surtout dans le premier et le quatrième arrondissement de la Commune urbaine d’Antananarivo.
L’objectif global de KOLOAINA est de lutter contre la pauvreté par la réintégration sociale des familles touchées par l’extrême pauvreté. Cet accompagnement vise de façon générale à améliorer l’autonomie, les compétences et les capacités de développement des familles les plus défavorisées. Elle propose un accompagnement volontaire limité en principe à 6 mois. Il s’agit de mobiliser les familles sur des objectifs précis concernant la santé, l’éducation, l’habitat, les documents administratifs, l’économie et les problèmes psycho-sociaux en faisant appel aux services publics ou privés existants. Elles améliorent rapidement leurs situations et leurs capacités à long terme.
Les animateurs et les responsables de zone de KOLOAINA écoutent, accompagnent,sensibilisent, informent et suivent les familles précarisés dans le but de les aider à s’intégrer ou à se réintégrer dans la vie sociale.
Voici un tableau qui nous montre les zones d’interventions et les Fokontany partenaires de notre association.
Les différentes partenaires de KOLOAINA
Le Ministère de la population, le Ministère de l’intérieur, la Mairie d’Antananarivo/ la Communauté urbaine, les Fokontany, les divers volets d’Inter-Aide à (Éducation, microcrédit (CEFOR15), centre d’éveil), les hôpitaux, dispensaires, maternité où pouvant être orientées les familles, les différents ONG16 (le centre Ilaiko, KOZAMA, Hardi) travaillant dans le domaine de la santé ou de l’enfance : MSF17, MSI18, SISAL19…, les écoles primaires publiques et les centres préscolaires.
Les limites de l’accompagnement familial
Certaines familles rencontrent des problèmes qui vont au-delà des capacités de l’équipe et au-delà du champ d’intervention de Koloaina telles que les familles qui ont des problèmes de toxicomanie, les familles dont le(s) chef(s) de famille a/ont des problèmes psychologiques ou psychiatriques graves, les familles confrontées à de violence en relation avec le crime ou la délinquance grave, les familles hors zones, les personnes vivant seules (célibataire et sans enfant).
Les ressources financières de l’Association Koloaina
Les principaux bailleurs de fonds de l’association Koloaina sont l’Inter-Aide, le FSD20 Agence Française de Développement, le Ministère des affaires étrangères Française, l’UNICEF21, les Amis des Enfants du Monde, la Fondation Cécile Barbier de la Serre et la Fondation Air France.
Historique, statut juridique et structure organisationnelle du KOLOAINA
Historique :
Créer en 1980, Inter-Aide est une organisation humanitaire spécialisée dans la réalisation de programmes de développement qui vise à ouvrir aux plus démunis un accès au développement. Il est une ONG française présente dans 7 pays dans le monde actuellement. Les programmes répondent à des besoins vitaux précis à travers des actions pragmatiques.
L’objectif est avant tout de renforcer les capacités des populations les plus défavorisées à améliorer par elles-mêmes leurs conditions de vie.L’ONG intervient depuis le mois d’Octobre 1993 dans les quartiers de la basse ville d’Antananarivo dans le cadre du développement social et économique, avec pour objectif de lutter contre la pauvreté par la réintégration sociale des populations les plus démunies. Dans le souci de pérenniser les actions entreprises, Inter-Aide a entamé une passation du programme d’accompagnement social des familles à l’association KOLOAINA.
Depuis plusieurs années, l’équipe de KOLOAINA a mis au point une méthode dite « Appui Familial Dynamique », qui aide ces familles à prendre confiance en elles et à fixer quelques objectifs simples de progrès à atteindre.
Statut juridique de l’association :
Dans le souci de pérenniser les actions entreprises, Inter-Aide a entamé une passation du programme d’accompagnement social des familles à l’association KOLOAINA.
Cette association est fonctionnelle depuis l’année 2000 et a été enregistrée officiellement auprès du Faritany d’Antananarivo en juin 2003. Elle est composée d’un conseil d’Administration et d’une équipe opérationnelle composée de cadres Malgaches.
Actuellement, le nombre total du personnel est de 30 personnes dont la plupart ont déjà travaillé avec Inter-Aide depuis plusieurs années.
Une convention de collaboration est établie entre KOLOAINA et Inter-Aide et se traduit par un appui technique et financier, dans le cadre du transfert de compétences.
Structure organisationnelle de KOLOAINA :
L’association Koloaina est dotée d’une équipe composée de 29 personnes avec un Directeur de programme, cinq coordinatrices, sept responsables de zone, dix animateurs sociaux, un médecin coordinateur, quatre gardiens et une coursière pour l’année 2013 (voir Figure n°2, page : 30).
Bref, l’association KOLOAINA refuse catégoriquement d’effectuer toute dotation d’argent, de nourriture, de bien d’équipement ou autre (sauf en cas exceptionnel« fonds d’urgence » mais cela implique une contrepartie de la famille) aux familles accompagnées.Toutes les actions de KOLOAINA sont basées sur une motivation et une participation active des bénéficiaires (en nature, en travail bénévole ou en argent) et s’appuient une étroite collaboration avec les autorités locales. Après avoir vu l’état des lieux, nous allons entamer ensuite dans la deuxième chapitre, les repères théorico-conceptuels et méthodologiques dont on va voir dans un premier temps, le cadrage conceptuel et théorique : les définitions des termes que nous avons abordéd’après certains auteurs, ces types etces limites.En second temps, nous allons parler de la méthodologie de nos recherches.
REPERES THEORICO-CONCEPTUEL ET METHODOLOGIE DE RECHERCHE
Dans ce deuxième chapitre de la première partie, nous allons voir d’une part, le cadrage conceptuel et théorique.
Cadrage conceptuel et théorique
La famille
La famille est « un groupe social caractérisé par la cohabitation, la coopération et la procréation d’après G.P Murdock. Elle est liée grâce au lien d’alliance, de gémination et de filiation selon Lévi-Strauss.
Les règles d’alliance : le mariage
Le mariage préférentiel : ce sont les parents, la coutume, la loi qui décident de l’union. Cela ne dit pas forcément mariage froid, cruel. C’est une affaire entre groupe, le mariage répond à cette volonté d’organiser le territoire de coopération et le besoin de sécurité.
La culture reçoit nature que pour définir sa forme, le mariage définit donc des inclus et des exclus, des possibles et des impossibles.
Le mariage d’affinité : Choix du conjoint, selon des critères propres (pas forcément sentiments).
Le Sororat et le Lévirat :Qui se manifeste par l’obligation du veuf d’épouser la sœur de la jeune maman décédée ou l’obligation de la femme veuve d’épouser le frère du mari décédé. Au-delà des personnes, l’alliance entre les groupes demeure et dont le mariage est l’instrument d’une politique de sécurité.
Les cousins croisés :Ce genre de situation fait partie du tabou de l’inceste.
Les jeunes ne font plus attention à ce genre d’alliance « le mariage ». Ils y vivent seulement ensemble et ont des enfants sans penser à l’avenir de ses derniers concernant leurs papiers. Ce genre de situation est très présent dans notre zone d’études : « les bas quartiers » dont certains d’entre eux ont pu faire un mariage civil mais dans la plupart pratique seulement la tradition Malgache et cela suffit pour eux. Malgré le problème économique qui devient de plus en plus dur, les gens ne pensent pas à faire un mariage car faire cela demande beaucoup d’argent d’où les dépenses et la plupart des couples d’aujourd’hui optent une nouvelle stratégie : « l’union libre ».
Les règles de filiation :
La parenté est un processus par lequel la société assigne à un enfant des droits et des obligations. Il y a trois piliers de la parenté dont la connotation biologique par le sang, le pilier juridique (le droit, le devoir) et le pilier social comme vivre avec, affinité. Ces trois piliers tendent à se séparer : familles recomposées, diffusion des unions sans mariage. On peut enfin dire, vouloir, choisir sa parenté.
Actuellement, nous sommes dans l’air du vouloir, du choix comme si on héberge son grand père, c’est que l’on veut vraiment.
Les règles de résidence :
Ce type de règle se subdivise en trois : il y a la néo-localité dont le couple emménage dansson propre appartement, il y a la famille élargie qui constitue plusieurs liensd’alliance et de germanité et enfin la famille nucléaire qui est favorisée par un seul lien desrègles de la néo-localité et de la famille élargie.
Le concept de pauvreté à celui de défavorisé:
La pauvreté
Selon C.D ECHANDEMAISON22, la pauvreté « caractérise la situation d’individus, de groupes démunis de ressources jugées essentielles et se trouvant dans une grande précarité ».
D’après Bruno M23, il y a trois approches de mesure de la pauvreté qui peuvent être envisagées. On peut s’intéresser à :
La pauvreté subjective c’est-à-dire la façon dont les individus perçoivent leurs situations ;
La pauvreté liée aux conditions d’existence ou de bien-être c’est-à-dire appréhendée par rapport à un certain nombre de biens matériels dont disposent les individus ;
La pauvreté monétaire, basée sur les revenus ou les consommations.
Si l’on se réfère à la réalité vue les différentes situations de notre pays, nous sommes classés dans la troisième approches : la pauvreté dite « monétaire » et qui touche n’importe qui mais surtout notre cible.
La pauvreté présente de multiples facettes. Elle saisit différents champs d’études(social, politique, économique, culturel, éducatif, théologique, moral, éthique) etrecoupe un large éventail de points de vue. Les différents angles pour appréhenderla pauvreté (dans leurs convergences autant que dans leurs divergences) nerelèvent pas seulement de l’ordre des difficultés de la définir et de l’opérationnaliser,mais aussi de celui de l’explication de ses causes, de la perception et de lareprésentation des personnes vivant en situant de pauvreté, ainsi que des choix des modalités d’intervention et des actions à mener24.
-Des visions de la pauvreté
Une vision « économique » de la pauvreté voit essentiellement les personnesvivant cette situation comme celles dont le niveau de revenu ne permet pas dese procurer les nécessités de base ou de satisfaire leurs besoins essentiels entermes d’alimentation, d’habillement, de logement, de transports. Cettevision s’appuie sur l’instauration de seuils dont la logique renvoie au revenu, aupouvoir d’achat, à la capacité de consommation et à d’autres indicateurschiffrés servant à catégoriser les individus en pauvres.
En effet, l’élargissement de la pauvreté à la notion d’exclusion sociale, définiecomme l’incapacité de participer à des activités de la vie ordinaire (habituellement). Cetélargissement est assorti à l’élaboration d’autres indicateurs et à l’accessibilitédans des domaines variés (éducation, emploi, soins de santé et servicessociaux, logement, loisirs, participation à la vie de la communauté).Les approches en termes d’exclusion neréfèrent pas uniquement aux diverses formes de privation matérielle, mais à unprocessus de désintégration sociale. Elles ne cherchent pas non plus àmesurer la pauvreté, mais à la comprendre comme un processus dynamique.
Cette perspective doit également englober l’idée que la pauvreté entraîne laperte de l’estime de soi, l’isolement social, la déchirure du tissu social,entraînant ainsi l’affaiblissement des liens de sociabilité et de solidarité.
Le concept de défavorisé
Ce concept est généralement vu comme un espace multidimensionnel qui combine l’insuffisance de revenus, l’isolement, le manque et la perte de pouvoir, le sentiment d’impuissance et de stress, ainsi que l’échec scolaire.
Dans le cadre duchangement de paradigme abordé précédemment, il propose le concept de « privation25 » afin de prendre en considération les inégalitésdans la distribution des ressources (sociales et économiques). Les indicateursde la privation sont tantôt directs,tantôt indirects, ils représentent tantôt desconditions ou des états, tantôt des victimes de ces conditions ou de ces états.
L’idée de privation s’est ainsi dotée d’un potentiel théorique qui, tout enpermettant de rendre compte de la situation individuelle et collective, autoriseune analyse des structures sociales et des facteurs environnementaux.
Ainsi, le concept de privationdonne une assise théorique au choix de parler de défavorisé (socioéconomique) plutôt que de pauvreté.
Parler de défavorisé, c’est faire la distinction entre privation matérielle et privationsociale, mais c’est également essayer d’expliquer les paradoxes de lacoexistence de la richesse et de la privation eu égard à la responsabilité dedifférents acteurs et institutions, et de repenser l’intervention dans cette perspective.
La notion de « famille défavorisée » relève la priori souvent négative : « pauvres », « chômeurs », « fainéants26 ».
Une famille est dite «défavorisée » quand elle n’a pas les moyens nécessaires pour subvenir à leurs besoins familiaux comme le manque de moyens financiers, les emplois instables.
L’accompagnement familial :
Les paradoxes de l’accompagnement selon Jean –Paul UDAVE
L’accompagnement est le plus souvent conçu comme une relation unissant deux partenaires, fondée sur la liberté des deux contractants et notamment de la personne accompagnée. C’est elle qui doit en être à l’origine en exprimant la demande ; elle peut à tout moment la révoquer ; elle participe à la définition de ses objectifs et de ses modalités.
L’accompagnement ne se conçoit alors qu’hors d’une relation hiérarchique, voire d’une relation institutionnelle. On n’imagine pas un chef d’établissement ou un inspecteur accompagner une équipe placée sous son autorité hiérarchique. L’accompagnement exige extériorité et neutralité. Ainsi l’accompagnement lierait deux pairs, l’un simplement plus expérimenté, accompagnant l’autre sur le chemin de la réalisation de son projet, dans une relation d’égalité. Ce paradigme idéal cache mal une relation asymétrique sinon inégalitaire. La relation, en effet, est déséquilibrée entre un “ professionnel ” et un “ bénéficiaire ”: l’un apporte, l’autre reçoit ; l’un contrôle, l’autre est dépendant ; l’un est rémunéré, l’autre peut être pris en charge par une institution. Pour l’un il s’agit de recevoir une aide pour surmonter une difficulté ou une faiblesse ou tout simplement avancer, progresser, pour l’autre de mettre en œuvre des compétences professionnelles.
L’accompagnement repose donc sur un déséquilibre fondamental : une personne compétente apporte à une autre personne – ou à un groupe – une aide dans le franchissement d’une période difficile de la vie ou dans l’accomplissement d’un parcours professionnel nouveau. De ce point de vue, il s’agit bien d’une relation asymétrique.
L’accompagnement peut se définir comme une forme d’intervention, inscrite dans la durée, reliant un accompagnateur et un accompagné dans une relation d’aide, visant à favoriser la réalisation d’un projet personnel ou professionnel, à développer des compétences nouvelles, ou à surmonter une difficulté27.Elle a pour enjeu la (re)construction identitaire de l’accompagné : accepter sa maladie, décrocher un nouvel emploi, acquérir de nouvelles compétences, autant de changements qui ne s’accomplissent pas sans transformations de l’image que l’on a de soi. Elle prend fin avec la réalisation du projet.
Derrière cette définition assez générale, se glissent des formes très diverses d’accompagnement. L’accompagnement des personnes malades, âgées, ou en fin de vie a ses propres spécificités qui le distingue de l’accompagnement de personnes devant reconstruire leur itinéraire professionnel (chômeurs par exemple), ou des personnes en quête d’une nouvelle orientation professionnelle. L’asymétrie transparaît dans les statuts et les rôles différents de l’accompagnant et de l’accompagné. Mais la parité se lit dans l’activité et l’autonomiedu sujet accompagné, qui sont la finalité de l’accompagnement. Celui-ci s’inscrit, en effet, dans une perspective humaniste. Il vise à restaurer l’humain dans l’humain, à développer la dignité, l’autonomie, la confiance en soi, les compétences. Ses valeurs visent à faire de l’accompagné un être humain accompli, qui ne peut être que l’égal de l’accompagnateur.
D’après l’Association Koloaina
« L’accompagnement familial » est le fait d’accompagner une famille qui rencontre des problèmes socio-économiques ou psychosociaux pour qu’elle puisse résoudre ses problèmes et progresser sur le chemin de l’autonomie28.
« Accompagner » consiste à écouter, sensibiliser, conscientiser, informer, conseiller, orienter, accompagner physiquement la famille, mais c’est aussi mettre en confiance la famille et soutenir la confiance en soi, comprendre la famille, analyser les problèmes et les prioriser.
Plusieurs étapes ont été suivies pour le recueil des informations ainsi que pour les collectes des données. En d’autre part, nous allons voir, la méthodologie de recherche : les différentes techniques et les outils que nous avons utilisés durant la recherche.
Méthodologie de recherche
Les techniques d’enquêtes
Les techniques de documentation
Pour collecter le maximum d’informations à propos de notre thème, la technique dedocumentation est nécessaire. Elles nous ont permis de consulter divers documents écrits qui forment la recherche bibliographique. Cette dernière consiste à parcourir des ouvrages et à utiliser des supports écrits comme les revus, les articles de presse, et les anciennes mémoires. Nous avons réalisé aussi plusieurs recherches dansdifférentesbibliothèques que ce soit dans le domaine public ou privé en ne citant que l’Alliance Française, le centre d’études et de recherche en science-économiques de l’Université d’Antananarivo. Concernant les revus et les articles de presse, nous les avons pris dans des journaux mais pour certains documents, nous les avons eu sur internet.
Les techniques vivantes
L’échantillonnage :
Pour notre travail, nous avons employé la méthode d’échantillonnagestratifiée non proportionnelle (puisque l’effectif des individus enquêtés varie l’un à l’autre). On a divisé la population en groupes homogènes (appelés strates), qui sont mutuellement exclusifs, puis on a utilisé l’échantillonnage aléatoire pour sélectionner l’échantillon à l’intérieur de chaque strate puisque chaque membre de la population a une chance d’être inclue à l’intérieur de l’échantillon.
Lors de notre descente sur terrain, la taille de ménages dans les bas quartiers varie entre 4 et9personnes.
Durant notre période de stage auprès de l’Association Koloaina, nous avons pu accompagner au total soiscante familles que ce soit un membre ou pas dont 26 familles pour la zone AMA29 et 34 familles pour la zone Ampe.
Table des matières
Introduction générale
Ière Partie : Cadrage contextuel, conceptuel et méthodologique
Chapitre I : Etats des lieux
Section 1 : La zone Ampefiloha-Ambodirano (Ampe)
Section 2 : Présentation de l’Association Koloaina
Chapitre II : Repères théorico-conceptuels et méthodologie De recherche
Section 3 : Cadrage conceptuel et théorique
Section 4 : Méthodologie de recherche
IIème Partie : La portée de la méthode d’accompagnement familial de Koloaina
Chapitre III : Les critères d’investigations de l’association et les cibles
Section 5 : Les conditions de vie des ménages issue des zones du bas quartier de la ville d’Antananarivo
Section 6 : Les conditions d’organisations et de fonctionnements de l’Association Koloaina
Chapitre IV : L’accompagnement familial de Koloaina
Section 7 : La méthode d’accompagnement de la population issue des bas Quartiers aide à progresser sur le plan social
Section 8 :La méthode d’accompagnement améliore la situation économique des familles bénéficiaires du projet à travers le volet économique de l’association
IIIème Partie : Analyse et pistes d’actions
Chapitre V : Analyse, bilan et discussion
Section 9 : Les bas quartiers de la ville d’Antananarivo
Section 10 : La méthode d’accompagnement familial
Chapitre VI : Recommandations personnelles
Section 11 : Les contributions de l’Etat
Section 12 : Les contributions de l’association du milieu intérieur et de l’extérieur
Conclusion générale
Bibliographie
Table des matières
Annexe
Résumé et C.V