Les bénéficiaires des services « biomass & wildfood »

Télécharger le fichier original (Mémoire de fin d’études)

Cadre géographique et administratif

La mine d’exploitation de nickel et cobalt d’Ambatovy se situe à 15 km au Nord-Nord Est de la ville de Moramanga en suivant la Route Nationale n°44 et à 85 km, à vol d’oiseau de l’Océan Indien, à 130 km d’Antananarivo et à 275 km de Toamasina. L’empreinte minière se trouve entre les longitudes Est 580 000 et 610 000 UTM et les latitudes Sud 795 000 et 815 000 UTM (DYNATEC, 2006).

Localisation de la zone d’étude

Administrativement, l’empreinte au sol de la mine (empreinte minière) c’est-à-dire l’ensemble des zones défrichées et de la zone de protection (zone tampon) se localise dans la région Alaotra Mangoro, District de Moramanga, à l’intersection des communes Morarano Gare, Ambohibary et Andasibe (Ambatovy, 2010). Selon l’EIE, la zone d’impact de la mine englobe 12 fokontany répartis dans ces trois communes additionnées de la commune d’Ampasimpotsy : Analalava, Befotsy, Ampitambe, Ambohibary, Marovoay, Ambohibolakely, Sakalava, Morarano, Tsiazompody, Ampasipotsy, Menalamba et Andasibe. Parmis eux, seuls les fokontany d’Ambohibolakely, de Marovoay, d’Ampitambe, de Befotsy et de Menalamba ont été considérés pour l’étude car ils sont en contact direct avec l’empreinte minière. Cette dernière est incluse dans l’aire de la mine qui représente un périmètre multifonctionnel définis pour des fins de gestion environnementale impliquant le projet dont les limites sont assimilées à des caractéristiques biophysiques facilement reconnaissables (route, rivière, lignes de crêtes, limites de marais).

Milieu physique

Lors de la phase préliminaire de l’implantation de l’entreprise Ambatovy, les conditions physiques de la zone ont été déterminées à l’instar du climat, de l’hydrographie, du relief et sol. (Annexe 1)

Milieu biologique

L’aire de la mine d’Ambatovy contient des ressources naturelles considérables. Ces dernières ne sont pas seulement constituées de ressources sous-sols notamment minières mais il est aussi recouvert de forêts naturelles dotées d’une riche biodiversité tant floristique que faunistique. Il s’agit d’une mosaïque de massifs forestiers quasi-primaires.

Flore et végétation

Le secteur environnant du site de la mine comprend des forêts et des terrains broussailleux intacts et dégradés, des zones très herbacées, des plantations d’Eucalyptus et des rizières. Certains types de végétation présentent un intérêt particulier du point de vue floristique et biologique. La forêt couvre une superficie totale de 18 444 ha (Ambatovy, 2010).Trois types de formations y sont rencontrés dont :
 Formation de type zonal qui se repose sur des zones pédologiques argileuses où les espèces sont très variées dans différentes strates. La formation est typique des forêts denses humides de l’Est de moyenne altitude. Les familles de CLUSIACEAE, CUNNONIACEAE, CYATHEACEAE, EUPHORBIACEAE, FLACOURTIACEAE, LAURACEAE, MORACEAE, MYRTACEAE, PANDANACEAE, RUBIACEAE, SARCOLAENACEAE, STERCULIACEAE sont les plus nombreuses.
 Formation de type azonal qui se repose sur sol ferralitique, et est dominée par les végétations buissonnantes sclérophylles dont les familles les plus représentées sont: ASTERACEAE, ERICACEAE, LAURACEAE et SARCOLAENACEAE.
 Formation transitionnelle qui se repose sur des carapaces peu ferralitiques argileuses et dont les familles telles ASTERACEAE, EUPHORBIACEAE, RUBIACEAE et SARCOLAENACEAE sont les plus nombreuses.

Faune

La forêt recèle 16 espèces de lémuriens, 67 espèces d’amphibiens, 60 espèces de reptiles, 115 espèces d’oiseaux incluant les migrateurs, 16 espèces de poissons et 34 espèces de micromammifères (ONE, 2013). Un grand nombre d’espèces présentes font l’objet de préoccupations quant à leur conservation selon UICN (54 espèces) et la CITES (104 espèces). La forêt azonale est celle qui se distingue le plus par sa biodiversité, particulièrement, pour le nombre d’espèces, la rareté des habitats et le nombre d’espèces localement endémiques (DYNATEC, 2006).

Milieu social

Milieu humain

Le projet Ambatovy intervient dans trois communes se trouvant dans l’aire de la mine: Ambohibary, Morarano Gare et Andasibe. Il intervient plus particulièrement au niveau de 07 fokontany qui comptent 93 villages au total (MAVOA, 2009 in Andrianasolo, 2012). Ces terroirs villageois se situent autour du massif forestier. La population est jeune dans la mesure où la tranche d’âge entre 0 et 35 ans représente 75% de l’effectif total. Par ailleurs, 43% de la population ont moins de 16 ans. Cette valeur est légèrement en dessous de la moyenne nationale (49%) selon l’INSTAT (2010). L’âge moyen du chef de ménage est de 45 ans, dirigeant en moyenne une maisonnée de 5 personnes (SAVAIVO, 2012).

Milieu socio-économique

Les activités économiques des populations sont diversifiées mais leur importance en termes de revenu varie suivant la zone. L’activité principale des ménages ruraux est l’agriculture (84,3%) et à un moindre degré, l’administration et service – sécurité (10,6%), l’élevage (1,3%) et l’artisanat (1,1%) (SAVAIVO, 2012). En général, l’économie de la région est caractérisée par une économie de subsistance. Les produits agricoles, d’artisanat sont destinés à l’autoconsommation, c’est-à-dire pour honorer leurs besoins alimentaires quotidiens (Ramahavalisoa et al., 2009).

Gestion forestière dans l’aire de la mine

La compagnie a instaurée depuis son installation une zone de conservation autour de l’aire de la mine qui est une des offsets du projet en termes de gestion environnementale. Elle comprend les noyaux durs de forêts et de marais qui sont les cœurs des zones de conservation, ainsi que les zones d’utilisation contrôlée où se trouvent quelques activités des populations installées avant l’installation du projet et la mise en place des zones de conservation (ONE, 2013)
Sous la médiation de la CIREF de Moramanga, Ambatovy a été l’acteur principal dans la mise en place de quatre (4) transferts de gestion limitrophes à la zone de conservation dont il est le responsable qui sont : le VOI VELONAINA d’Ankarahahara du Fokontany de Marovoay ; le VOI Ambohimanarivo Ala Maitso (AAM) et EZAKA SY FANDROSOANA du Fokontany d’Ampitambe ; et le VOI Miaro ny Tontolo Iainana (MTI) qui se trouve à l’intersection du Fokontany de Befotsy et d’Ampitambe. Ces quatre VOI s’ajoutent aux deux autres déjà présents, celui de TELOMIRA du Fokontany d’ Ambohibolakely et TARATRA du Fokontany de Menalamba dont le contrat est récemment abrogé. Ils constituent ainsi une chaîne de rempart autour de la zone de conservation et l’empreinte minière (Carte 2). Le contrat entre les trois parties prenantes accorde aux VOI la gestion intégrale des ressources concernées, la CIREF quant à lui responsable de la suivie et l’évaluation des actions du VOI avec les aides du projet Ambatovy (Annexe 2). Les transferts de gestion sont également caractérisés par un aménagement composé spécifiquement d’unités de conservations, de droits d’usage, d’agriculture, d’élevage, de reboisement et de restauration. Le département environnement de la compagnie appuie ces COBA à travers des renforcements de capacités mais c’est aussi à travers eux que le projet octroie les compensations et les AGR.
Jusqu’à maintenant, les activités génératrices de revenus apportées par Ambatovy ont été concrétisée par l’aviculture dans les VOI velonaina Marovoay, Ezaka sy fandrosoana Ampitambe , TELOMIRA Ambohibolakely et AAM Ambohimanarivo, la pisciculture dans le VOI MTI, et la culture de légumes pour le VOI Taratra Menalamba. Les actions menées ont été caractérisées par des appuis techniques et matériels. A part cela, le projet a aussi fait des appuis dans le domaine de reboisement par la mise en place des pépinières communautaires, et de la riziculture avec la promotion du système de rizicultures intensifs.

Services « biomass et wildfood » autour de la mine et ces bénéficiaires

Selon la revue préliminaire des services écosystémique réalisé par Ambatovy, les services biommass et wildfood sont des services prioritaire que le projet doit considérer dans ces activités de mitigation parce qu’elles appartiennent aux services que le projet a le plus impacté (Ambatovy, 2012).
Le service biomass est surtout caractérisé en termes d’usage par le bois de construction et le bois énergie (Entreprise Hatriniala, 2010). Pour le service wildfood, ce sont les viandes de brousse à l’instar du Tenrec ecaudatus, Hemicentetes nigricipes, Setifer setosus, Potamochoerus larvatus et certaines espèces lémuriens (Randriamamonjy et al, 2012) ; et le miel (Rakotonirina, 2015). Les analyses ont été alors portées sur ces cinq (5) catégories (Bois de construction, bois de chauffe, charbon, chasse, et miel). Ici les bénéficiaires ont été définis comme ceux qui prélèvent eux même les services à leurs sources c’est-à-dire ceux qui sont en relation direct avec le service pour permettre de cadrer les véritables usagers des services disponibles autour de la mine.

Méthodes de collectes de données

Enquête par sondage

Cette méthode de collecte a permis d’optimiser le temps et les moyens disponibles pour la recherche, l’échantillonnage réduit le coût affecté aux descentes sur terrains (Durand, 2002). En effet, l’étude s’est rapportée uniquement à une partie réduite de la population mère : »l’échantillon » et c’est par la suite qu’une extrapolation est possible (Loubet del Bayle, 2000).
Il a été alors évident pour cette méthode de définir l’échantillon (unité d’échantillonnage) par l’élaboration d’un plan d’échantillonnage et les données à collecter relatives aux indicateurs définissant les sous-hypothèses.

Principe de land unit

L’entité prise comme échantillon était le ménage. Pour avoir une cohérence avec les objectifs de l’étude, le plan d’échantillonnage a été fondé sur le principe de « land unit » qui a été établi antérieurement par Ambatovy (Slootweg, 2015). Un land unit est une unité spatiale géographiquement délimitée dans laquelle il y a des demandes en services écosystémiques et des offres y correspondant et est soumise à un même régime de gestion (Slootweg, 2015).Ce dernier critère est déterminé par le régime de gestion forestière instauré par le projet Ambatovy et la CIREF, et l’appartenance socioculturelle (Tableau 1 et Carte 3).
Les land unit ont été numérotés en partant du Nord-Ouest et suivant le sens contraire d’une aiguille d’une montre. Le land unit 1 se trouve dans la zone de bail au Nord-ouest et ainsi de suite.(Carte 3)

LIRE AUSSI :  L’EMISSION RADIO, UN OUTIL CENTRE POUR LE DEVELOPPEMENT DU CIVISME

Plan d’échantillonnage

En prenant en compte ces modalités, l’aire de la mine est subdivisée en neuf land unit. Du fait de l’absence de la liste exhaustive des ménages dans la zone d’étude, un échantillonnage aléatoire n’a pas été adéquate, un échantillonnage à plusieurs degré a été plus adapté à cette situation (Laë et al, 1994).

METHODOLOGIE

Les neuf (9) land unit constituent les strates à l’intérieures desquelles les villages sont les unités primaires de l’échantillonnage (Zieglé, 1998) et c’est à travers ces unités primaires que les ménages (unités secondaires) ont été choisis.
Dans la réalisation, la taille de l’échantillon dépend tout de même des moyens de transport, des moyens personnels et du temps disponible (Thionet, 1948). Mais pour un souci de représentativité, le nombre de village tiré pour chaque land unit est proportionnelle au nombre total de village du land unit et le choix des villages a été aléatoire. Le nombre de ménage par unité primaire a été également proportionnel au nombre total de ménages du village. La connaissance de ce nombre totale n’a été possible que sur le terrain.
Pour une bonne organisation, la descente a été organisée par fokontany, la visite de courtoisie auprès du chef fokontany concerné est donc faite avant chaque descente. Cela a facilité également la recherche de guide. Au final, 100 ménages ont été enquêtées (Tableau 2).
Huit (8) land unit ont été visité. Parmi les 36 villages ou hameaux visités, 14 se trouvaient dans le land unit 8 et 1 dans le land unit 3. Le neuvième land unit n’a pas été visité car les fokontany au niveau de cette land unit n’a pas été défini comme impactées par la présence d’Ambatovy durant l’étude d’impact environnemental.

Données collectées

L’enquête par questionnaire a permis d’obtenir des informations concernant les caractéristiques socio-économiques du ménage et l’usage de chaque catégorie de services pour T0 (2005) et T1 (2015) (Annexe 3). Ces données ont été relatives à chaque hypothèse.
Pour les indicateurs de H1, les caractéristiques ont permis de définir le niveau d’accès aux ressources d’une part. La distance par rapport aux forêts et l’appartenance ou non à une COBA a permis d’expliquer le niveau de facilité à accéder aux produits ligneux de la forêt. D’autre part, ils caractérisent le niveau de vie du ménage, c’est le cas de la surface de terres cultivées, et le nombre de bœufs, la toiture de leur maison. En effet, la population locale investit leurs bénéfices dans l’amélioration de leur capitale physique (Ramahaimandimby, 2014) et la plupart des paysans riches possède suffisamment de bœufs pour les travaux dans leurs vastes exploitations (Aubert et al, 2003). Ces caractéristiques ont été par la suite analysées en prenant en compte l’usage ou non de chaque catégorie de service par ménage.
Les indicateurs quantitatifs de H2 serviront à analyser l’évolution des comportements et l’adaptation des ménages face aux mesures de restriction pour subvenir à leurs nécessités ; et de calculer les volumes d’usages des services en termes de bois, de chasse et de cueillette.

Entretiens semi-directifs

L’essence de l’entretien est d’essayer d’obtenir de l’enquêté, des informations résultant d’une connaissance, d’une expérience ou qu’elles soient la manifestation d’une opinion (Loubet del Bayle, 2000). L’entretien semi-directif nécessite plus de temps par rapport aux autres types d’enquêtes (Rajaonera, 2010), elle est donc fait auprès des personnes ressources.
Les informations ont été focalisées sur les pratiques des habitants pour prélever les produits c’est-à-dire le technique de prélèvement ou de chasse, le zone de collecte et l’évolution de ces pratique après la restriction. Ces données consolident alors les informations obtenues à partir des enquêtes par ménages concernant les modalités d’adaptation des ménages pour compenser les changements apportés par la restriction.
Elle a été également utile lors de l’échantillonnage car elle a permis de savoir les villages non habitées et la localisation exacte de certains hameaux.
Les personnes ressources ont été surtout les présidents des fokontany visitées et les brigades travaillant au sein de l’unité de gestion forestière d’Ambatovy. En tout 5 chefs Fokontany et 2 brigades ont été consultés.

Mesures directs

Cette méthode est la plus précise en termes de quantification. Le pesage a été utilisé pour la quantification de la consommation de bois de chauffe (Randrianarivony, 1987 ; Andriamananjaramandimby ,1996 ; Ranaivoarison ,1997 ; Bazile, 1998 ; Daïnou et al ,2008).
Pour chaque ménage enquêté, on a pesé le bois de chauffe disponible avec une balance pour avoir la masse et ensuite on a questionné l’interlocuteur sur la durée d’utilisation en jour de la quantité pesée.

Traitements et analyses des données

Statistique descriptive

Elle consiste à avoir une visualisation des données. Elle peut être des histogrammes plus ou moins interprétables montrant la variation de proportion d’un variable par rapport à un autre. Elle est représentée par des paramètres de position tels que la moyenne.
Tout au long de l’étude son usage a été assez important pour avoir des idées plus synthétiques pour l’interprétation des résultats.

Vérification de la Sous hypothèse 1-1

Le principe a été de voir s’il y a une interrelation entre l’éloignement des ressources et le fait que le ménage concernée est bénéficiaire ou non d’une catégorie de service. Les ressources considérées ont été la zone de conservation, la forêt naturelle et la forêt d’eucalyptus. Le choix de ces deux derniers reposait sur le fait qu’elles sont les deux principales ressources pour les services biomass (bois) qu’elles sont également les principaux habitats pour les gibiers et qu’elle sont les principales sources de pollen pour la fabrication de miel par les abeilles. La zone de conservation a été quant à elle considérée car c’est un habitat préservé et plus intact que d’autres forêts naturelles dans la zone représentant ainsi une source potentielle de service biomass et wildfood
Initialement, l’obtention des distances ménages ressources ont été possibles grâce aux points GPS relevés sur le terrain et le shapefile de l’occupation du sol autour de la mine. Sous ArcGIS, les distances ménages-Zone de conservation, ménages-forêt naturelle et ménages-forêt d’eucalyptus ont été calculées sous forme de distance la plus proche. Par la suite, ces distances ont été classifiées chacune en trois niveau sous le logiciel SPSS c’est-à-dire en tertiles. Pour chaque type de ressource, on a donc les ménages plus proches, les moyennement proches et ceux éloignées.
Avec ces trois modalités de la variable distance, on a établi une analyse de correspondances multiples (ACM) en considérant également les variables usages ou non des cinq (5) catégories de services pour voir les interrelations entres ces différentes variables.

Table des matières

INTRODUCTION
METHODOLOGIE
1. Problématique
2. Objectifs et hypothèses
3. Zone d’étude
3.1. Cadre géographique et administratif
3.2. Milieu physique
3.3. Milieu biologique
3.3.1. Flore et végétation
3.3.2. Faune
3.4. Milieu social
3.4.1. Milieu humain
3.4.2. Milieu socio-économique
3.5. Gestion forestière dans l’aire de la mine
4. Services « biomass et wildfood » autour de la mine et ces bénéficiaires
5. Méthodes de collectes de données
5.1. Enquête par sondage
5.1.1. Principe de land unit
5.1.2. Plan d’échantillonnage
5.1.3. Données collectées
5.2. Entretiens semi-directifs
5.3. Mesures directs
6. Traitements et analyses des données
6.1. Statistique descriptive
6.2. Vérification de la Sous hypothèse 1-1
6.3. Vérification de la Sous hypothèse 1-2
6.4. Vérification de la Sous hypothèse 1-3
6.5. Vérification de la Sous hypothèse 2-1
6.6. Vérification de la Sous hypothèse 2-2
6.7. Vérification de la Sous hypothèse 2-3
6.7.1. Quantification des usages
6.7.2. Démarche de vérification
7. Limites du travail
7.1. Disponibilité des données
7.2. Collecte des données sur le terrain
8. Cadre opératoire
RESULTATS
Partie 1: Les bénéficiaires des services « biomass & wildfood »
1. Bénéficiaires selon la distance par rapport aux ressources
1.1. Service charbon de bois
1.2. Service chasse
1.3. Service miel
2. Bénéficiaires selon l’appartenance à un VOI
2.1. Service charbon de bois
2.2. Service chasse
2.3. Service miel
3. Bénéficiaires selon le niveau de vie
3.1. Classification des ménages selon le niveau de vie
3.2. Relation entre niveau de vie et usage d’une catégorie de service
Partie 2: Les changements depuis l’installation du projet en 2015
1. Temps de prélèvement
1.1. Service bois de construction
1.2. Service bois de chauffe
1.3. Service charbon de bois
1.4. Service chasse
1.5. Service miel
2. Essences et espèces utilisées
2.1. Service bois de construction
2.2. Service bois de chauffe
2.3. Service charbon de bois
2.4. Service chasse
3. Impact des activités génératrices sur l’usage des services
DISCUSSION
1. Discussions sur les méthodes
1.1. Représentativité de l’échantillon
1.2. Délicatesse du sujet d’étude
1.3. Précision des quantifications
2. Discussions sur les résultats
2.1. Service bois de construction et service chasse : le rôle clé des VOI dans la disponibilité des services
2.2. Service bois de chauffe : l’adaptation face à la rareté des ressources
2.3. Service charbon de bois : un service pour le pauvre et un service plein essor
2.4. Relance du service miel
2.5. Répartition des bénéficiaires par Land unit
2.6. Pratiques illégales
2.7. Situation de la gestion communautaire
RECOMMANDATION
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
WEBOGRAPHIE
ANNEXES

Télécharger le rapport complet

Télécharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *