L’eau une énergie qui coule de source
: à partir des éléments du document ressource DRS1, donner le mode de production correspondant au système « VLH ». Compléter le document réponse DR1 en indiquant les modes de production mobilisés au cours d’une journée d’hiver. Préciser le rôle que joue l’hydroélectricité dans la production d’énergie électrique. Le type de production correspondant au système « VLH » est « centrales au fil de l’eau ».d’après les données constructeurs du document technique DT2, donner une estimation du rendement des turbines associées à l’électronique de puissance nécessaire à la réinjection sur le réseau. Le comparer à celui des anciens groupes « siphon » qui est de l’ordre de 60 %. Pour une hauteur de chute d’eau de 2 m, on obtient avec une VLH 3550, une puissance de 191 kWen ne considérant que les 5 mois d’hiver (novembre à mars), donner une estimation de la production d’énergie électrique sur une année pour l’ensemble des 16 sites et comparer la production obtenue aux objectifs fixés par le Grenelle de l’Environnement (voir présentation de l’étude). Lorsque l’on produit en hiver (de novembre à mars : période de rachat du contrat EDF), le débit de la rivière est nettement supérieure au 12,5 m3/s nécessaire au fonctionnement de la VLH.
On peut considérer que la puissance délivrée par chaque turbine sera de 191 kW.Les objectifs du grenelle de l’environnement fixent à 7 TWh l’augmentation de la production d’énergie hydraulique en France qui est aujourd’hui égale à 68 TWh. Soit une augmentation 10,3 %. L’aménagement des 16 sites est très loin de répondre à lui seul aux objectifs fixés par le Grenelle. C’est la multiplicité des projets qui permettra d’y répondre.d’après les caractéristiques du capteur de pression (document technique DT3), déterminer la résolution (précision) du capteur en mm de hauteur d’eau. On rappelle qu’une pression de 1 bar correspond à une hauteur d’eau de 10,2 m. Résolution du capteur : Plage de mesure du capteur : de 0 à 1 bar soit de 0 à 10,2m Grandeur de sortie : de 4 mA à 20 mA soit 16 mA de variation tracer la caractéristique I(mA)=f(Hm(m)), où Hm représente la hauteur d’eau mesurée, sur le document réponse DR1. Donner l’équation de cette caractéristique. Déterminer l’équation donnant la hauteur de la lame d’eau HL en fonction du courant I(mA) délivré par le capteur et de la constante d’implantation Hp.compléter le document réponse DR1 en précisant le raccordement du capteur de pression à la carte d’entrées analogiques. Quelle est la résolution de la carte en A.
Donner le contenu du registre d’entrée Cn (valeur du mot) pour un courant de 6 mA et donner sa représentation binaire sur le document réponse DR1. Déterminer la relation existant entre I(mA) et le contenu du registre d’entrée (mot) Cn.déduire des questions 7 et 8 la relation liant la hauteur de la lame d’eau HL, le contenu du registre Cn et la constante d’implantation Hp. Déterminer la précision obtenue sur cette hauteur en considérant que la constante Hp soit exacte.proposer en la nommant et en la schématisant, en vous référant au schéma cinématique simplifié représenté ci-dessous, une liaison mécanique entre 1 et 0 permettant d’assurer l’ensemble des fonctionnalités décrites ci-dessus. Pour que le cercle de vannage 1 puisse translater et tourner autour de l’axe vertical, il faut que les 2 sous-ensembles soient en liaison pivot glissant.La construction graphique permet de constater que lorsque la pale a effectué un déplacement angulaire de 24°, la tige du vérin a translaté de 194 mm Question 12 : déterminer la valeur de l’effort de précontrainte (effort fourni par le ressort après montage) La présence du ressort impose un effort de précontrainte de 27000 N Question 13 : vérifier que cet effort de précontrainte est suffisant pour s’opposer au couple exercé par l’eau sur la pale. Moment de en un point O de l’axe de la pale : . Ce moment est supérieur au couple exercé par l’eau sur la pale.
L’effort de précontrainte est donc suffisant pour maintenir la pale en position malgré l’action de l’eau sur celle-ci.Lorsqu’une pale est boquée et que les vérins effectuent une course complète, le ressort exerce un effort de 43200 N. Cette valeur, approchée à 44000N dans la suite du sujet, permet de déterminer l’effort développé par chaque vérin lorsqu’une pale est bloquée.déterminer, à partir du document technique DT5, l’action que doit fournir un seul vérin pour entraîner le cercle de vannage. Pour cela, faire l’inventaire des actions mécaniques extérieures au cercle de vannage 1 et appliquer le théorème du moment au point K, en rappelant les hypothèses à faire pour l’étude de cet isolement. On isole le cercle de vannage 1. On rappelle que le poids des pièces est négligeable devant les actions mécaniques mises en jeu. Le problème est considéré comme plan.