Sommaire: Le site internet du médecin généraliste (point de vue des patients)
INTRODUCTION
GENERALITES
I- Historique
A- Origine de l’internet
B- Situation actuelle
II- Les médecins généralistes en ligne aujourd’hui
A- Les sites et portails médicaux
B- Les sites indépendants
1) Le cabinet des docteurs L. et L. à Bordeaux
2) cabinet des docteurs R. ; W. et L.B. à Saint Maur (94)
3) Le cabinet du docteur B. à Paris
C- Les sites standardisés
D- A l’étranger
ENQUETE AUPRES DES PATIENTS
I- Matériels et méthodes ; Questionnaire
II- Résultats
A- Présentation des patients
B- Informations « pratiques »
C- Communiquer avec son médecin
D- L’information médicale
E- Les freins possibles
DISCUSSION
Préambule concernant la méthodologie
I- C’est pour tout le monde et c’est pratique!
II- Communiquer avec mon médecin
A- Les e-mails et demandes de conseils médicaux
B- La prise de rendez-vous en ligne
C- Prise en charge au long cours: suivi à distance et renouvellements
d’ordonnances
D- Les alertes
III- L’information médicale transformée
A- Une source de confiance
B- Mon dossier médical
IV- Les limites actuelles
A- Loi, éthique et déontologie
1) Collecte, conservation et échange de données concernant des patients
2) Aspect légal régissant l’information médicale destinée au public
3) La télémédecine
4) Si l’exercice médical est encadré par des lois, celles-ci découlent le plus souvent de règles auto-imposées d’éthique
B- Coût et rémunération
C- La sécurité
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
GLOSSAIRE
TABLE DES MATIERES
GENERALITES
Extrait du mémoire le site internet du médecin généraliste (point de vue des patients)
I – HISTORIQUE
A – Origines de l’Internet :
Internet est un réseau, le « réseau des réseaux ».
Tout type d’information (image, son, texte) peut être numérisé, c’est-à-dire correspondre à un code numérique unique composé de 0 et de 1. L’information peut ainsi être reproduite, transférée, lue ou modifiée à l’infini.
Le physicien anglais Donald Watts Davies (1924-2000) met au point dans les années 50 et 60 un système permettant le transfert de ces informations numérisées par « paquets » d’un ordinateur à un autre. C’est à partir de ce principe que naissent les premiers réseaux informatiques autorisant deux ordinateurs distants à communiquer.
A la fin des années 50, en pleine guerre froide, le gouvernement américain répond au lancement du Spoutnik russe en créant au sein du Département de la Défense un groupe appelé ARPA (« Advanced Research Projects Agency ») chargé de concevoir des innovations technologiques appliquées à l’armée.
Le site internet du médecin généraliste
En 1962, l’US Air Force demande à un groupe de chercheurs du RAND (« Research ANd Development » : association non lucrative visant à développer les sciences et l’éducation aux États-Unis) d’imaginer un réseau permettant d’assurer les communications à travers le pays et ainsi de garder le contrôle et le commandement des forces armées après une éventuelle attaque nucléaire.
Naît alors l’idée d’un réseau décentralisé, notamment grâce à Paul Baran. Plus précisément, c’est lui qui imagine un système non hiérarchisé où chaque machine aurait la même « importance ». Chaque ordinateur est alors un maillon d’un réseau en toile d’araignée (d’où le nom de « web ») et peut ainsi envoyer ou recevoir des informations d’un autre ordinateur en cherchant à chaque fois la « route » la plus courte. Cette structure possède un avantage considérable : si une machine est hors de fonctionnement, l’information sera simplement déroutée pour transiter par un autre ordinateur.
En 1969, l’ARPA lance le projet ARPANET : Un réseau d’ordinateurs non-centralisé qui s’étendrait de villes en villes et de bases militaires en bases militaires à travers tous les Etats-Unis.
Le site internet du médecin généraliste
Le 21 novembre 1969, en Californie, l’armée américaine réussit à faire communiquer deux ordinateurs supportant chacun son propre réseau de terminaux et distants de 500 kilomètres. Ce sont des liens téléphoniques qui assurent la liaison physique des ordinateurs.
Durant les années 70, ARPANET s’étoffe avec la connexion au réseau des ordinateurs de plusieurs laboratoires et centres de recherche universitaires dont les 4 premiers sont l’UCLA (Université de Californie à Los Angeles), le SRI (Institut de Recherche de Stanford), l’UCSB (Université de Californie à Santa Barbara) et l’Université de l’Utah.
Une fois le contact établi, l’usager peut alors lire les informations contenues dans l’autre ordinateur. Des fichiers et des informations peuvent également être transférés grâce au protocole de transfert de fichiers FTP (File Transfer Protocole).
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Mémoire Online: Le site internet du médecin généraliste (point de vue des patients) (1.26 MB) (Cours PDF)