L’Anticipation et le refus à l’usage des mauvais charmes
Philosophiquement parlant, « l’homme est né bon mais c’est la société qui nous déprave ». C’est la société qui nous transforme en animal sociable. Nous le ou les victimes ont la raison de résoudre le mal par le mal et le bon par le bon. Ce raisonnement nous a permis de faire appel à l’œuvre de LAVEL Louis concernant « le comportement devant l’autrui » et ce qui implique l’application des savoirs êtres et des manières de vivre. Le sentimentaliste ou la cognitiviste émotionnelle est parfois inefficace, mais procédant maintes fois au style de l’activisme, du possibilisme et de l’agressiviste dans l’impassibilité du comportementaliste individualiste. Mais entre le mauvais choix et le bon choix, il ya toujours une autre bifurcation, et même si l’évolution et l’environnement nous rendent le décevoir. De ce fait, les défis actuels sont centrés sur le changement automatique de l’individu et de la société au bout duquel la poussée et l’évolution d’une nouvelle forme de la famille apparaisse. Prenons en compte ainsi de la sociologie de la famille sur ces propos. Section XIII: Le contre la sorcellerie: une rituelle anti-sorcellerie et l’acte d’envoutement Avant de s’introniser dans l’identité remarquable de la présente section, il est important de penser à la théorie de BUCKLAND Raymond est, selon lui : « la sorcellerie est une religion très «libre» en termes de pratiques rituelles, mais elle n’en a pas moins des principes fondamentaux, ainsi que des types de rituels établis qu’il convient de suivre57.La sorcellerie est différente par rapport à l’usage traditionnel de charmes ou de talismans ou de plantes médicinales. L’envoutement c’est de lasorcellerie et « l’anjarinintsy » c’est de la sorcellerie mais issue d’une sorte de magie et bien déterminée. Les sorciers et les sorcières ou les « danseurs de nuit » (sur un tombeau ou dans un cimetière et même du côté de la maison) sont les détenteurs de différents esprits et charmes maléfiques ou sorts. Si nous savons depuis plusieurs années qu’il ya plusieurs rituels des ancêtres sur notre pays selon différents origines et groupements d’ethniques. Mais pourquoi jusque à présent il n’ya jamais une fondation ou création des rituels anti-sorcelleries? Prenons comme exemple le 57BUCKLAND Raymond, Le guide complet de la sorcellerie, cours classique de WICCA depuis vint-cinq ans, Editions AdAinc., 1986, pg20. 129 « fitampoha » ou bain des reliques royales et etc. Le présent rituel est évoqué comme une grande phase prospective de cette recherche et avant d’anticiper les suggestions ou recommandations sur différentes facettes. Pendant cet acte la personne détenteur de pouvoirs et savoirs maléfiques est totalement inconsciente. C’est pourquoi elle a toujours tendance à faire du mal aux autres. Il fallait prendre des mesures soi-même afin de lutter et de protéger contre les esprits démoniaques. La mesure prise par la personne est consciemment efficace afin que les esprits maléfiques ne puissent accéder en soi et chez soi. Le chapitre suivant nous donnera quelques prospectus et même si cette recherche n’est pas toute à fait satisfaisante et totale, l’auteur lui-même stipule que la présente recherche peut nous apporter quelques bienfaisances face à ces dernières vis-à-vis des enjeux pervers du travail Le présent chapitre est alimenté par des leçons tirées à partir des résultats d’observations, d’enquêtes et d’analyses sur les réalités concrètes sur le terrain. Sur ces propos, portons une optique un peu plus polarisante afin de réviser et de résoudre certains enjeux au niveau non seulement socio-éducatif mais aussi au niveau économique local. En effet, nous pouvons dire que les communes rurales sont promoteurs de l’évolution sociale et économique au niveau même des ruralités mais aussi au niveau des urbanismes. De ce fait, il est indispensable d’en faire face aux recommandations anticipées dans cette troisième partie. Nous allons subdiviser ces recommandations sur quatre sections bien distinctives.
Recommandations au niveau des parents
Au niveau des rapports familiaux, il est nécessaire d’améliorer les relations parents enfants et écoles suivant une forte application de cette nouvelle approche afin de mettre en place un suivi et un accompagnement de proximité ainsi que d’accroitre le niveau intellectuel des enfants et jeunes enfants ruraux, et le taux de la réussite scolaire bien entendus. Il n’est pas question de demander, l’avis, et de discuter avec les enseignants à propos de ce dernier. De ce fait, dès le premier pas, la future de ces élèves est entre les mains de ses parents et de ses enseignants. Enfin, les enseignants doivent jouer le rôle de parents. Il nous faut dans cette section les trois types de recommandations suivantes: • Améliorer les conditions relations parents-enfants et parents-écoles et vice-versa • Responsabiliser les parents vis-à-vis de leurs devoirs, rôles et responsabilités • Améliorer le niveau affectif et communicationnel vis-à-vis des parents et enfants puisque les enfants nous donnent leur confiance afin de construire et reconstruire leur future.
Recommandations au niveau des écoles
La présente section est non seulement spécialisée sur l’approche enseignants-élèves mais aussi sur l’amélioration de l’aspect organisation sociale et administrative des enseignants eux-mêmes avec leurs responsables hiérarchiques. Nous adhérons les recommandations ci-après: • Renforcer et améliorer la relation enseignants-enfants et l’organisation dans l’enceint et en dehors de la classe ou du centre éducatif ; • Valoriser la place, les devoirs et les responsabilités des enseignants au niveau des écoles et des sociétés ; • Impliquer les parents dans les activités parascolaires des enfants et des jeunes enfants ; • Améliorer l’organisation, la gestion et le management des ressources allouées au niveau de centres éducatifs ruraux ; • Doter de matériels et équipements de bureau et des sales de classes adaptées au nouveau système éducatif.