L’action des acteurs de la paix en Afrique de 1960 à nos jours: historique, œœuvres et perspective

L’action des acteurs de la paix en Afrique de 1960 à nos jours:historique, œœuvres et perspective

Problématique et justification du sujet

Problématique 

L’Afrique est le deuxième continent au monde de part sa population et le deuxième (ou troisième si on considère l’Amérique comme formée de deux continents) par sa superficie, après l’Asie. D’une superficie de 30.221.532 km2 en incluant les Iles, l’Afrique couvre 6% de la surface terrestre et 2, 30% de la surface des terres émergées. Avec une population qui a passé le milliard d’habitants à l’orée de l’année 2010 ; Les africains représentent en moyenne 15% de la population mondiale. Le continent est bordé par la mer Méditerranée au Nord, le canal de Suez et la mer Rouge au Nord-est, l’Océan indien au Sud-est et l’Océan atlantique à l’Ouest. L’Afrique comprend 48 pays en incluant Madagascar, et 53 en incluant les archipels. Ce berceau de l’humanité est aujourd’hui sans doute la partie la plus pauvre au monde.1Donc l’Afrique à l’aube de ce siècle, reste toujours entourer par des difficultés qui sollicitent souvent l’aide internationale et la prise de conscience d’elle-même. Alors sa stabilité à l’orée de ce siècle reste une grande interrogation qui intéresse tout le monde et surtout les acteurs de la paix. Cependant, la grande question des intellectuels du XXe siècle consistait à voir comment instaurer la paix dans le monde, mais celle qu’ils se posent au XXIe siècle devrait s’articule autour des éléments consolidateurs que le monde doit réunir pour asseoir à une paix durable et définitive. La conceptualisation de la paix reste toujours au germe de sa graine du fait de la difficulté qui émane de sa véritable définition. La paix est donc l’absence de la violence physique et morale pour une définition simple et modeste, sinon pour d’autres comme là si bien dit Martin Bloué, dans État, Démocratie, Sociétés et Culture en Afrique, les acteurs s’accordent pour définir la paix comme n’étant pas exclusivement l’absence de guerre. C’est-à-dire l’absence de guerre est un élément important de la définition de la paix sociale, une condition nécessaire mais suffisante. La paix sociale est en outre, concorde, tolérance, acceptation de l’autre, elle est regroupement autour d’un consensus donc absence de rupture sur l’essentiel2 . 1 Gilbert Toppe, L’Union africaine et le développement de l’Afrique, Paris, l’Harmattan, 2010, p.7 2 Ibrahima Mané (sous la direction), Etat, Démocratie, Sociétés et Culture en Afrique, Dakar, Editions Démocratie Africaine, 1996, p. 196. 5 Ainsi, les nombreux phénomènes contemporains que le monde rencontre, font que dans sa globalité, il est resté très vulnérable à l’insécurité. La destruction des villes japonaises de Nagasaki et d’Hiroshima, des 6 et 9 Août 1945 par les États-Unis avec l’arme atomique et son brandissement tout au long de la période de la guerre froide par les puissances, l’URSS et les États-Unis favorisent des conséquences qui tenaient notre planète vers un gouffre où les acteurs philanthropes et d’agresseurs se mêlent. La fin de la guerre froide et la résurgence des problèmes d’intérêts particuliers précipitent notre planète vers une problématique beaucoup plus sérieuse que la recherche de la paix n’arrive pas à répondre jusqu’à l’heure actuelle. Alors plusieurs acteurs comme l’ONU en premier, des organisations régionales et sous- régionales en deuxième lieu, en plus des acteurs gouvernementaux, non-gouvernementaux et enfin plusieurs autres composants de la société civile s’identifient dans la recherche de la paix. Les attentats terroristes dus à leur majeure partie aux sentiments de stigmatisation que la civilisation occidentale impose à d’autres particularités identitaires. Les guerres entre Etatnations qui sont de plus en plus justifiées en Afrique par des frontières indécises ou à une causalité liée à des principes plus systématiques, comme le développement économique et la recherche de matières premières, invitent d’autres facteurs plus dangereux qui viennent remettre en cause la fonction principale de l’État, en tant qu’acteur de la mondialisation. Les clivages ethniques, les trafics de drogues, d’armes, d’êtres humains et la perméabilité des frontières font que l’État se réduit à un minuscule objet dans une scène internationale pleine de dangers potentiels. En effet l’assainissement du jeu politique lors de la sortie de la deuxième guerre mondiale par la création d’une organisation internationale qui a pour mission de redresser l’espoir plus ou moins d’une vie paisible dans le monde, a recadré certaines idées pessimistes d’une paix durable. Pour cet effet, l’Afrique soumise et ensuite libérée de cette tutelle devint un continent embrassé dans sa quasi-totalité par la violence. L’internationalisation de l’année 1986 comme année de la paix, le manifeste de Séville du 1er juillet 1989, le congrès de la paix dans l’esprit des hommes de Yamoussoukro, l’inauguration de la culture de la paix par l’UNESCO dans le monde et surtout en Afrique et les assises de la paix pour l’Afrique justifient en grande partie, le besoin de la paix que le continent africain, pris en otage par la violence venait de mériter3 . Dés lors la violence notée en Afrique postcoloniale, date des différentes guerres de libération nationale, des conflits entre Etats, des coups d’état militaires, des guerres civiles et 3 Edouard Makoto et al, Les fondements endogènes d’une culture de la paix en Afrique: Mécanismes traditionnels de prévention et de résolution des conflits, Paris, UNESCO, 1999, V 6 des conflits ethniques. Alors la nécessité de faire de l’Afrique une véritable base de la paix du monde, fait appel à la course des acteurs pour sa soviet, car elle est un continent, qui depuis la mosaïque des premiers peuples connaît très souvent de complexités sur son avenir et surtout celui de la paix. Par conséquent à l’avènement de l’ONU en 1960 avec la crise congolaise, vient solliciter l’asile d’autres organisations de la paix, comme l’exemple de ses organismes spécialisés, des ONG qui militent pour les droits de l’homme et des organisations gouvernementaux, mais aussi qui s’ajoutent à des organismes africains comme l’UA et des Acteurs sociaux. La nécessité de l’intégration, de la sécurité commune et de la lutte pour le développement durable envoient l’Afrique à la croisée des chemins. D’une part de parvenir à conserver sa sécurité militaire et économique dans le cadre d’un monde épris d’organisations d’intégristes et d’une économie de compétition. D’autres part, à l’intérieur de l’Afrique comment faire valoir un marché économique capable de compéter avec d’autres marchés dans le monde comme l’UE et l’ALENA. Et ce marché doit s’affronter aux problèmes de l’emploi et d’une population de plus en plus jeune pour que la paix puisse s’installer dans le continent. C’est en ce lieu que la paix et les conditions de sa recherche ont sans doute une dimension non négligeable. L’évaluation de l’action des acteurs de la paix en Afrique ouvre une double interrogation. L’une statue sur le bilan que ces organisations ont engorgé jusque là est-il vivement satisfaisant. L’autre est vers quelle direction les perspectives comptent nous mener, à un avenir clair ou à une destination encore sombre. 

 Justification de l’étude 

L’intérêt de notre thématique rédige dans le moment choisi pour faire une étude critique et historique sur les acteurs de la paix en Afrique car la période est bondée d’enjeux, sur le plan africain comme sur le plan international. Les alentours des années 1960, compte de toute la rigueur de la guerre et de la bipolarisation naissante entre les superpuissances. Alors c’est une période qui est marquée par des lancinantes questions de décolonisation et de libération nationales dans plusieurs pays d’Afrique. De ce fait la naissance de l’ONU depuis 1945 et son intervention dans le processus de paix, dans certains pays dévastés par des conflits d’intérêts particuliers comme le Congo dans les années 1960 et le Nigeria avec la guerre du Biafra, font que cette période est considérée comme pleine d’enjeux de paix. Plus tard le déchirement d’autres pays comme le Rwanda en 1994 avertit tous acteurs et décideurs dans le domaine de la paix. Par ces enjeux, nous avons compris que l’Afrique a plutôt besoin des études sur son passé récent pour mieux se préparer 7 son avenir plus ou moins douteux. Puisque les acteurs rencontrent très souvent des difficultés dans l’exercice de leurs activités sur le terrain, nous allons analyser cette situation en le mettant en rapport avec le contexte actuel marqué par la prolifération des acteurs de la paix. Ensuite l’étude de l’action des corps de la paix permettra de mieux faire des investigations pour clarifier si certains parmi eux ne jouent pas des missions qui compromettent souvent la bonne marche de la paix dans le continent. D’autres sont souvent soupçonnés de jouer un rôle d’espionnage dans certains pays. Les acteurs de la paix sont nombreux en Afrique, c’est pour quoi il importe pour nous de voir quelles sont les finalités d’une telle hypothèse de notre recherche. Pour les autres qui ne s’activent pas seulement sur le champ de la paix, se concentrent largement sur la problématique des droits humanitaires. L’objet d’une telle étude justifie l’importance quelle englobe dans son ensemble, ce qui valorise l’intérêt recherché. B/ Revue critique de la littérature et méthodologie a- Revue critique de la littérature La recherche que nous avons jusque-là engagée ne reste pas sans difficultés et de points peu explicités. Nous rencontrons souvent des documents qui ne prennent pas totalement en charge la question ou même la problématique qui a été soulevée pour bâtir un mémoire solide dans le domaine des études de la paix. Les documents sont très diversifiés, car nous avons parmi eux, des ouvrages généraux qui pour la plupart décrivent en bref les différents rapports qui existent entre les États du monde. Mais ils n’ont pas vraiment cherché à décrypter les raisons de la difficulté pour l’installation d’une paix sociale surtout en ce qui concerne l’Afrique. C’est pourquoi dans son ouvrage ; Afrique noire: Permanence et rupture, Catherine Cocquery Vidrovitch, tente d’expliquer les origines des conflits et des acteurs de la paix en Afrique en les mettant dans un contexte d’après colonisation, où les africains sont maître de leur destin. Elle nous souligne le processus d’éclatement des crises et d’élaboration de la paix en Afrique en ces termes, « l’éclatement des crises politiques et des conflits armés, à la suite de la libéralisation du contexte politique et des échos de démocratisation du régime au début de la décennie 1990, a vu émerger des acteurs de type nouveau dans le champ de la paix. Ce sont des ONG très actives sur les questions de la paix. Dans le sillage des ONG de développement ou celles de la protection des droits humains ( liberté de presse, droits politiques ) , elles sont devenues progressivement des interlocuteurs des États, des institutions sous-régionales voire l’unité africaine et des organisations non gouvernementales 8 internationales du Nord et des organismes bilatéraux ou multilatéraux, tout en s’organisant en coordination nationales, sous-régionales et continentales en professionnels sans jusqu’à tomber dans l’excès inverse de devenir pour certains des institutions bureaucratiques ou encore des sortes de bureaux d’études à la recherche continuelle de marchés de l’aide internationale »4 . Pour ce fait une telle analyse de Vidrovitch montre que la paix en Afrique est trop souvent étouffée par la multiplication des acteurs. Alors les premiers objectifs des mouvements de la paix n’étaient pas au début des années 1960 dans cette posture. C’est pourquoi dans son discours en 1961, le président Kennedy définissait les principes du corps de la paix américain en ces propos: « notre corps n’est pas conçu comme un instrument de diplomatie ou de propagande ou de conflit idéologique. Il est conçu pour permettre à notre peuple d’exercer plus amplement ses responsabilités dans la grande cause commune de développement dans le monde »5 . Ainsi, l’action pour la paix en Afrique a une définition juste qui ressort de cette thématique. Dés lors pour mieux éclairer la définition de la paix, Martin Bloué s’efforce de la définir comme suit dans État, Démocratie, Sociétés et culture en Afrique, les acteurs s’accordent pour définir la paix comme n’étant pas exclusivement l’absence de guerre. C’est-à-dire l’absence de guerre est un élément important de la définition de la paix sociale, une condition nécessaire, mais suffisante. La paix sociale est en outre, concorde, tolérance, acceptation de l’autre, elle est regroupement autour d’un consensus donc absence de rupture sur l’essentiel6 . Federico Major, ex-directeur de l’UNESCO de 1987 à 1999, attirait l’attention des acteurs sur l’importance de leur implication dans la recherche de la paix. Ce qui fait que, dans l’ouvrage de Ahmed Derradj intitulé, Mission : bâtir la paix, extraits des discours du Directeur général de l’UNESCO, qu’en insistant sur les liens entre la paix et l’éducation, entre la paix et les principes démocratiques de justice, de liberté, d’égalité et de la solidarité, en appelant à l’intensification de l’investissement dans la consolidation de la paix et l’élimination des obstacles, qui se dressent devant elle, en estimant la responsabilité collective tant à l’égard des générations présentes qu’à l’égard de celles à venir7 . D’autres auteurs assimilent la recherche de la paix à une longue procédure qui fait appel à un bon respect des droits humains car la paix et l’égalité entre les citoyens sont 4Catherine Cocquery Vidrovitch, Afrique noire : Permanence et rupture, Paris, Payot, 1985, p. 9. 5Printed at United Nations, Geneva, GE0-002143, July, 2000, 2,30, UNIDIR 6 Ibrahima Mané(sous la direction), idem, p. 196. 7 Ahmed Derradj, Mission: bâtir la paix extraits de discours du directeur général de l’UNESCO, Paris, 1999, p. 303 9 strictement liées. Patricia Buirette et Philippe Lagrange, disait à cet effet dans leur livre, Le droit international humanitaire, que les colonnes d’hommes, des femmes autrement enfants faméliques éternuées, malades fuyant la guerre vers le salut tout provisoire d’un camp de réfugiés ont en tout premier lieu besoin de nourriture et de soins pour revenir à la vie. Mais désormais, ils devront apprendre à extirper de leur vie les racines de la guerre8 . Alors que, Fatsah Ouguergouz, revient sur la problématique de la charte africaine des droits de l’homme et des peuples pour mieux mettre en rapport l’approche juridique entre tradition et modernité dans le contexte africain. Donc les ouvrages n’ont pas manqué à examiner la centralité de la question de la paix en Afrique. Cependant compte toute attente, il reste des points qui sont très éphémères dans le débat. Ces zones d’ombre se trouvent au niveau du transfert des compétences vers la population locale. Cependant pour les rapports, ils sont pour la majeure partie sont spécifiques pour une organisation internationale ou locale, qui le plus souvent n’a pas fait l’intégralité de la recherche de la paix en Afrique, car elle ne concerne qu’un domaine précis et défini par des objectifs. Ainsi dans un rapport du Haut Conseil de la coopération internationale avec le soutien du ministère des affaires étrangères de la République française, on stipulait les objectifs à savoir, le respect des grands principes dans la charte de l’ONU, dans les quatre conventions de Genève de 1949, dans celle du 25 juillet 1951 sur les réfugiés, est plus que jamais essentiel9 . Par conséquent, il en vient sur la tête du lecteur que l’impression des différentes sources visitées n’est pas confinée dans les seuls objectifs des auteurs mais aussi elle prend en compte les directives des organisations qui financent leurs activités sur le terrain. Pour cela, il serait très souvent difficile d’avoir un ouvrage ou rapport qui reste fidèle aux réalités confrontées. Alors que les discours sont les fruits d’une circonstance bien définie dont l’objectif est en grande envergure de les construire sur une nouvelle situation. Ils sont toujours animés par l’intention de convaincre les gens pour lesquels, ils sont destinés. Nous avons le discours de M. Saïd Djimmit, représentant spécial du secrétariat général de l’ONU pour l’Afrique de l’ouest dans l’atelier de planification et de programme conjoint à Dakar, tenu le 17 avril 2013, sur le thème de: genre, paix et sécurité en Afrique de l’Ouest. Enfin pour les journaux, ils font le point sur des événements quotidiens, ce qui fait qu’ils ne prennent pas en compte les vrais problèmes soulevés durant la rédaction. 8 Patricia Buirette et Philippe Lagrange, Le droit international humanitaire, Paris, Nouvelle Edition, 2008, p. 54. 9 Jean Louis Bianco, « La nouvelle dynamique des crises humanitaire : Penser et agir autrement », Rapport du Haut Conseil de la coopération internationale avec le soutien du Ministère des affaires étrangères, Paris, Karthala, 2002, p. 9. 10

LIRE AUSSI :  Projet de création d'une société de promotion publicitaire

 Méthodologie 

La méthodologie que nous utilisons, prendra en charge une approche à la fois analytique et comparative pour mieux distinguer l’activité des acteurs pour la paix et qui sont très souvent de nature différentes, mais aussi qui n’interviennent pas dans les mêmes domaines pour instaurer la paix en Afrique. Pour répondre à toutes les attentes posées par notre thème, nous allons scinder la thématique en trois grands axes. Le premier prend en question l’historicité de l’action des acteurs en Afrique, en mettant chacun dans son contexte. Nous soulignerons dans cette partie la différence qui existe entre ces acteurs. Le deuxième axe portera sur l’œuvre, c’est-à-dire le travail accompli par ces acteurs dans une Afrique submergée par des différends ethniques, de guerres civiles et de plusieurs autres difficultés. Le troisième axe de notre étude va faire une brève présentation des perspectives de l’ensemble de ces acteurs dans le cadre d’une paix durable .Au terme du travail, le thème étudié va servir à une revue critique des acteurs qui se basent sur la paix pour envahir l’Afrique. Nous allons aussi pour mieux suivre un sujet qui depuis plus de 50 ans n’a pas fait l’objet d’une étude critique du fait de son orientation. Pour cet effet, nous allons tenir compte de l’étude des documents diplomatiques car ces derniers vont nous permettre de mieux comprendre la position des acteurs qui sont pour la majeure partie des intellectuels de haut niveau. Nous ne nous garderons pas, si possible d’interroger et de même faire des enquêtes auprès des populations qui ont le plus souvent subi la psychose de la guerre et de l’insécurité. De ce fait, dans le souci de bien expliciter le processus de l’action des corps de la paix en Afrique, nous nous chargerons de bien fouiller le vrai travail des acteurs de cette mission. Ce qui nous amena de très vouloir analyser approximativement le schéma de la recherche de la paix en Afrique. Ainsi pour mieux rapprocher des gaps qui existent entre organismes supposés partie intègre de l’État du monde c’est-à-dire participe à la gouvernance mondiale et ceux qui militent pour un droit humanitaire international. Il ne faudrait pas négliger de mesurer les points de discorde qui font emballage du rythme de la recherche de paix. Pour ce qui concerne les acteurs bénévoles nous chercherons à démystifier les véritables causes de leurs activités sur le continent. S’il s’agit entre autres un but lucratif ou humanitaire car leur prolifération a pris une allure considérable depuis quelques temps.

Table des matières

 REMERCIEMENTS
DEDICACE
GLOSSAIRE
SOMMAIRE
INTRODUCTION GENERALE
A- Problématique et justification du sujet
B/ Revue critique de la littérature et méthodologie
PREMIERE PARTIE: LE MONDE DEPUIS LES ANNEES 1960 .
Chapitre:1- L’Afrique dans le monde
I- Les enjeux mondiaux
II- Revue sur les conflits dans le monde
Chapitre- 2: La nature des acteurs de la paix
I -Les acteurs non africains
II- Les acteurs africains
DEUXIEME PARTIE: HISTORIQUE ET EVALUATION DE L’ACTION DES ACTEURS DE LA PAIX EN AFRIQUE
Chapitre :1 Historique
I. Les débuts de l’action des acteurs non africain
II- Origine des actions africaines
Chapitre-2 : Évaluation
I- Les succès et les échecs de l’ONU et les ONG étrangères
II- Les succès et les échecs des organismes africains
TROISIEME PARTIE: LES PERSPECTIVES DES ACTEURS DE LA PAIX EN AFRIQUE
Chapitre -1 :Les perspectives des organisations internationales.
I- L’ONU et ses organismes spécialisés
II- Les perspectives des Organisation Non Gouvernementales Internationales
Chapitre -2: Les perspectives Africaine
I- Les perspectives démocratiques et économiques des africains .
II- Les perspectives des organismes continentaux, sous-régionaux et la société civile
CONCLUSION GENERALE

 

projet fin d'etudeTélécharger le document complet

Télécharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *