LA FACE CACHÉE DE L’OCCIDENT.

POUR GAGNER PLUS D’ARGENT

Autant l’évoquer tout de suite, tous les chefs d’entreprises ne sont pas forcément prospères car on ne peut vouloir créer son entreprise pour gagner peu d’argent, ce qui est une décision honorable, certes. Mais la réalité est un peu plus compliquée, car créer son entreprise, c’est bien souvent dans un premier temps gagner moins d’argent, voire pas du tout parce qu’on essaye de faire presque tout seul par manque d’argent pour payer le personnel. Par la suite, il arrive souvent que les chefs d’entreprises ne gagnent pas réellement plus que ce qu’ils touchaient en étant salariés. Cela dépend bien évidement du modèle économique, du marché, du secteur. Ceci étant dit, bien sûr, les patrons gagnent d’une manière générale plus que la moyenne des salariés. Donc oui on peut créer son entreprise pour gagner plus d’argent, mais il ne faut pas oublier que cela peut prendre du temps.

POUR ÊTRE SON PROPRE PATRON.

Cette simple motivation peut suffire à vouloir être un chef d’entreprise, vous souhaitez gérer votre temps comme bon vous semble? Vous voulez être indépendant et ne rendre compte qu’à vos clients? Vous en avez assez de suivre des stratégies établies par un autre? Vous voulez être seul maitre à bord et mettre à l’épreuve vos idées?
Alors il est fort possible que le moment de créer votre entreprise soit venu: vous avez l’âme d’un entrepreneur. Car être chef d’entreprise c’est être seul et capable de faire, surtout dans les débuts, de la comptabilité à la prospection, en passant par la réalisation des contrats. C’est au contraire un moteur. Vous faites partie de cette catégorie ? Lancez-vous !

POUR SE CONSACRER À SA PASSION

Pour créer une entreprise prospère sur la durée, aimer ce que l’on fait est indispensable. Si créer son entreprise sur la seule base de la passion est un beau pari, la passion doit être ardente, quelle que soit votre motivation principale pour créer votre entreprise. Ce n’est en effet que grâce à la passion que vous surmonterez les moments difficiles et que vous saurez convaincre vos clients et partenaires.

POUR TRAVAILLER SIMPLEMENT

30% des entreprises créées le sont par des demandeurs d’emploi. Alors oui, bien souvent, c’est simplement pour travailler, qu’ils se constituent en auto entreprise, en entreprise individuelle ou en société. Celles et ceux qui créent leurs entreprises simplement pour créer leur emploi gagnent en motivation ce qu’ils perdent parfois en préparation, en expérience et en connaissance du monde de l’entrepreneuriat.

VOUS ALLEZ SUSCITER L’ADMIRATION

Choisir de naviguer en terre inconnue et accepter dès le départ de rencontrer des obstacles de toutes sortes et de les surmonter est une aventure avec bien de péripéties. Eh oui, tel est le chemin que la plupart des entrepreneurs traversent, ce qui fait des grands entrepreneurs des personnes respectées qui suscitent beaucoup d’admiration. Ils sont perçus comme des courageux, qui dans la tempête cherchent la sortie du tunnel et très souvent font l’objet de success-stories, et sont des modèles pour plusieurs jeunes.
Selon René MAVOUNGOU PAMBOU4, la France perpétue une politique néocoloniale et prédatrice vis à vis des colonies du pré carré africain. À l’évidence, sans ces dernières la France ne saurait faire le poids sur la scène internationale. Non seulement l’Afrique lui procure l’indépendance énergétique, mais elle y tire également sa vigueur économique ; pour ce faire le Franc CFA (franc des colonies France- Afrique) a été conçu et imposé depuis 1945 à 14 colonies pour le profit de la France principalement. Le franc CFA est non seulement le seul système monétaire colonial au monde ayant survécu à la décolonisation, mais il est surtout le pilier par excellence du pacte colonial, d’autant plus qu’il permet à la France de contrôler et de piller les colonies des États faisant partie de cette zone monétaire. Il convient de signaler que l’une des clauses de ce pacte réside dans la centralisation des réserves de change. En effet, en contrepartie de la convertibilité illimitée garantie par la France, les banques centrales africaines s’engagent à déposer au moins 65% de leurs réserves de change auprès du trésor français, sur des comptes portant le nom de « compte d’opération ». Imaginez-vous que 65% des avoirs (masse conséquente d’argent) de nos pays sont déposés chaque année dans un compte logé à l’étranger, alors que des infrastructures de base (hôpitaux, routes, écoles…etc.) attendent d’être construites. À cela s’ajoute une bonne partie de la portion, non moins importante, relative aux détournements des deniers publics opérés par les dirigeants africains pour les banques françaises. Notons que ces États Africains, une fois confrontés à des soucis de trésorerie, se tournent naturellement vers la France pour des prêts. Des prêts qu’elle leur accorde volontiers en puisant dans ces mêmes comptes d’opérations. Bien évidemment, le remboursement de ces prêts est soumis à des taux d’intérêts colossaux. Les congolais et toutes les populations de la zone CEMAC sont volés pour ainsi dire par un jeu monétaire subtil mais diaboliquement efficace de la France. On ne saurait manquer de voir en un tel système l’incarnation achevée d’un néocolonianisme négrophobe.
On est face à un mécanisme de spoliation et d’asservissement financier pompeusement estampillé et « légal ». Par ce système unique et pervers, la France exploite plus que doublement les sommes, les africains ploient sous le joug d’une servitude financière. À cela s’ajoute le pillage de nos matières premières. La France prospère allègrement sur le terreau de la misère des africains et contribue ipso facto à l’avancé du sous-développement. On ne le dira jamais assez, la prétendue douce France est en partie responsable de la misère et de la pauvreté chronique imposées aux africains. À quand la fin de cette exploitation et cette domination impérialiste?

LES CRITIQUES DES AUTRES

En Afrique en particulier et dans le monde en général, la plupart des personnes aiment jouer le jeu de la critique facile au quotidien, au point de dégrader les relations de travail et de démotiver leurs collègues, ou rabaisser à chaque fois leurs conjoints dans le cas des couple, et ou encore dans le cadre familial, souvent c’est des dénigrements entre camarades. Malheureusement la critique est trop souvent employée pour dénigrer et rabaisser les autres.

La critique constructive

Faisons tout d’abord une distinction importante dans la notion de critique. Les critiques constructives sont nécessaires et sont les bienvenues dans le contexte professionnel. Une critique positive est formulée avec tact et bienveillance, dans l’optique d’optimiser des points précis difficiles à améliorer, sous l’œil averti de son entourage, garant de nobles intentions.

Les critiques destructives.

On entend par critiques destructives des jugements qui sont prononcés sans la moindre intention d’améliorer ou optimiser. Pour une raison obscure, il y’a toujours des personnes qui projettent leur négativité et leur insécurité en jugeant à travers des critiques ce que les autres font ou cessent de faire, disent ou cessent de dire…Des personnes qui passent leurs temps à transmettre et à diffuser ce qui, selon elles, ne s’apparente qu’a des défauts et des mauvais exemples de conduite.
Nous avons tous, dans une certaine mesure, été victimes et producteurs de jugements et de critiques destructives. En fait, cette passion pour la critique a atteint une magnitude telle que les programmes de télévisions et de radio ne s’appuient désormais que sur cela: essayer de faire du mal aux personnes en les critiquant et en les jugeant pour faire monter les audiences de la chaîne.
Comprendre le mécanisme de la critique peut nous aider à prendre conscience de la façon dont fonctionne ce modèle de conduite. Voilà pourquoi nous allons vous exposer quelques-unes des principales raisons pour lesquelles les personnes agissent et font du mal aux autres en se basant sur des jugements et des critiques non constructives :

Les sentiments d’infériorité / supériorité.

Les sentiments d’infériorité peuvent être une motivation pour critiquer les autres. Et parfois, ce sont les sentiments de supériorité qui constituent cette motivation. En ce sens, pour beaucoup de personnes, le sentiment de supériorité n’est qu’un déguisement de leur sentiment d’infériorité, un lieu où elles se sentent un peu plus sûres d’elles même.
Ainsi, ces personnes essayent par tous les moyens de satisfaire leur besoin de se sentir puissantes et supérieures, même s’il faut pour cela écraser quelqu’un ou miner son image en le critiquant.
l’insatisfaction envers soi-même.
Nous critiquons les autres pour que nos propres défauts soient minimisés face à eux et face à nous même. Quand nous les critiquons, nous nous trompons nous même en pensant que le problème se trouve chez eux et non pas en nous pour ne pas nous sentir mal, nous cherchons à nous convaincre que les autres ont ainsi des fautes et qu’elles sont plus grandes que les nôtres.
Ainsi, en critiquant, nous créons souvent des projections de nos peurs et de nos insécurités. En fait, quand nous n’acceptons pas certaines de nos caractéristiques et les retrouvons chez les autres, elles génèrent un grand mal-être et déclenchent la critique. Dans ces cas, il est fréquent de voir se magnifier les défauts qui sont vus ou inventés chez l’autre personne.

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