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Rôle socioéconomique de l’élevage des petits ruminants
Dans le domaine de l’élevage, presque toutes les couches sociales autochtones du pays ont une tradition dans l’élevage du petit bétail. L’élevage du gros bétail, notamment l’élevage bovin, est l’apanage des pasteurs peuls (FAO, 2008). Le développement des élevages (bovin, ovin, caprin, avicole, porcin) constitue un facteur essentiel pour l’amélioration des conditions de vie des populations centrafricaines. L’élevage contribue à la couverture des besoins alimentaires en protéines animales d’une grande partie de la population.
D’après Ningata Djita (2001), les caprins jouent un rôle social très important au sein de la population rurale, par les abattages fréquents lors des cérémonies religieuses et culturelles. Les cabris et les moutons sont aussi des facteurs d’échanges et de consolidation des relations entre les familles. Par ailleurs, les peuls, jadis instables dans leur fixation, cherchent à se sédentariser et à s’intégrer dans la vie active quotidienne du pays. Beaucoup d’entre eux investissent dans la construction d’habitations durables et dans la scolarisation de leurs enfants.
Selon BADR (2010), les bénéfices dégagés par les principaux opérateurs de la filière « petit élevage » sont très rarement réinvestis dans le développement de leurs activités au sein de la filière. Le plus souvent, ces bénéfices sont entièrement destinés à prendre en charge les besoins de la famille et à financer des obligations financières (funérailles, mariages, baptêmes, fête de ramadan, etc.). L’élevage du petit bétail villageois a toujours joué un rôle important dans le renforcement de l’économie familiale, dans l’autoconsommation et dans la sécurité alimentaire des populations rurales Kota-Guinza et al., (2005).
Malgré l’importance qu’il revêt au niveau des localités rurales, le petit bétail villageois bénéficie d’encadrement technique et de soutien financier insuffisants. Le milieu des éleveurs villageois n’est pas organisé et structuré en tissu associatif. Mais, ces dernières années quelques groupements de producteurs de caprins sont enregistrés dans le pays, notamment dans la Préfecture de la LOBAYE distante de Bangui de 105 Km.
Importance de l’élevage des petits ruminants
Selon Cta (1989) cité par Ziebe (1996), depuis des décennies, les Etats africains en particulier et les pays sous-développés tropicaux en général, soucieux de satisfaire la forte et pressante demande sans cesse croissante en protéines animales de leur population surtout urbaine, ont orienté leurs efforts sur la production bovine. Aujourd’hui, force est de constater que ces efforts ont donné des résultats mitigés.
Les petits ruminants, qui représentent 30 à 45% de la production de viande, et 25 à 40% de la production de lait en Afrique tropicale, étaient laissés en marge.
En Centrafrique, l’élevage villageois des petits ruminants représente un patrimoine familial non négligeable, principalement pour les femmes et les enfants (Kota-Guinza et al., 2005). En dehors de leurs viandes, d’autres produits d’élevage des petits ruminants peuvent être utilisés, comme les peaux et les cornes dans l’artisanat et le fumier dans l’agriculture. Dans tous les systèmes d’élevage, villageois comme améliorés, l’élevage des petits ruminants est source d’emplois pour les femmes, les jeunes et les personnes désœuvrées.
Caractérisation des systèmes d’élevage en République Centrafricaine
Les systèmes d’élevage sont caractérisés par un ensemble d’éleveurs exploitant des espèces animales, en général, par rapport aux potentialités du milieu naturel. Dans tous les cas, les systèmes d’élevage pratiqués sont dominés par les systèmes extensifs traditionnels (FAO, 2008). En République Centrafricaine, les différents systèmes d’élevage sont les suivants : l’élevage pastoral transhumant, l’élevage paysan sédentaire, l’élevage sédentaire « modèle Ranching », le petit élevage villageois et le petit élevage moderne.
Le système pastoral transhumant
Il concerne l’espèce bovine de la race zébu et l’espèce ovine de la race Djallonké ou peul. En général, les zébus peuhls (Mbororo et Foulbé) sont utilisés par les pasteurs peuls nomades. La période de la transhumance est de six à sept mois, d’octobre-novembre à mars-avril caractérisée par des mouvements qui s’effectuent du Nord au Sud et d’Ouest en Est (Centrafrique, 2011).
Le système paysan sédentaire
Il porte sur les espèces bovines (taurines ou leur métis), les espèces ovines, caprines et des volailles, réparties dans trois modes d’élevage :
– élevage en métayage des bovins taurins trypanotolérants de race pure ou hybride (croisement taurin x zébu) ;
– agro élevage lié à l’élevage des bœufs de traction (zébu, taurine, hybride) ;
– élevage de modèle «Ranching» pour les bovins, ovins, caprins et volailles.
Petit élevage villageois
C’est le système d’élevage le plus pratiqué et le plus répandu dans tout le pays. Il concerne l’élevage du petit bétail (petits ruminants, porcins) pratiqué aussi bien par les villageois autochtones que par les pasteurs peuls (Centrafrique, 2003). Ce système d’élevage est extensif et axé sur la vaine pâture. Les races exploitées sont, pour la plupart, des races locales peu précoces mais rustiques car adaptées aux difficiles conditions climatiques et d’élevage (Centrafrique, 2011).
Les animaux sont exploités pour la production de viande, de lait, et pour la peau (petits ruminants). L’habitat est dans l’ensemble inexistant. L’alimentation est libre et est constituée des pâturages aux abords des villages, des feuilles d’arbustes fourragers, des résidus agricoles, des restes de cuisine. Les soins vétérinaires sont aléatoires et souvent basés sur la pharmacopée. Le gardiennage est presque inexistant.
En plus de l’élevage du petit bétail, l’apiculture est très répandue dans les zones de savanes de l’Ouest, du Centre, du Nord et de l’Est. Elle est exploitée sur un mode traditionnel. Elle constitue une source de revenus non négligeables pour les villageois. L’apiculture qui concerne plus de 70 000 familles, a connu un essor favorable dans les années 1980 avec l’appui financier et technique des projets financés par le Fonds d’Aide et Coopération (FAC), la FAO, et l’USAID (Centrafrique, 2003).
La sériciculture, ou élevage des vers à soie, a été installée dans les années 1965 aux environs de Bangui (à la Station de la Landjia) et à Mbaïki (à la Station de recherche de Boukoko) avec la multiplication des parcelles des mûriers et la diffusion des vers à soie.
L’élevage sédentaire de type « Ranching »
Il concerne une catégorie d’éleveurs qui possèdent de grandes superficies de terroir privé dites « Fermes privées agropastorales » qu’ils mettent en exploitation soit pour des productions agricoles, soit pour des activités pastorales, et même souvent, pour des exploitations mixtes dites agropastorales. Les propriétaires exploitants achètent un certain nombre d’animaux (bovins, ovins, caprins et volailles) qu’ils placent sous gardiennage de bouviers. Le bétail est maintenu dans ces exploitations avec possibilité d’alimentation complémentaire en graines de coton, résidus agricoles, sel et natron. Les volailles reçoivent des aliments complets.
Petit élevage moderne
Ce système d’élevage concerne :
– l’aviculture moderne qui a connu un début de développement dès 1960.
– les races commandées pour la production de chair et pour la ponte proviennent des souches hybrides importées. Cet élevage souffre d’un manque d’encadrement et de l’inexpérience de la plupart des Aviculteurs ;
– l’élevage porcin moderne est le plus souvent installé dans les zones périurbaines et dans des unités privées plus ou moins grandes ;
– ces installations sont constituées de quelques porcheries (en moyenne 2 ou 3) divisées en box selon la capacité de production. Les porcs de race exotique Large white sont les plus répandus dans la porciculture moderne ;
– les élevages de lapins, d’aulacodes et de cobayes sont embryonnaires même si quelques petites exploitations villageoises ont existé depuis plusieurs années déjà et bénéficient de temps en temps de l’appui de la FAO.
Elevage des caprins
Races caprines exploitées en Centrafrique
Trois races caprines sont rencontrées sur le territoire Centrafricain. Il s’agit du cabri du Sahel (appelé fulani, ou arabe, ou soudanais), du cabri Djallonké et du cabri nain.
Les caprins nains se rencontrent dans les zones pré-forestières et forestières du Sud et principalement dans les préfectures du MBOMOU, de la LOBAYE, de la MAMBERE-KADEI et de la SANGHA MBAERE.
Tandis que les caprins sahéliens sont localisés dans les régions du Nord à climat sec de type sahélien, notamment dans les préfectures de la VAKAGA et du BAMINGUI-BANGORAN (Figure 1).
Les caprins Djallonké existent surtout dans les préfectures de l’OUHAM-PENDE, l’OUHAM, l’OMBELLA-MPOKO, la KEMO, la NANA GRIBIZI, la OUAKA, la HAUTE-KOTTO, le MBOMOU et la BASSE KOTTO
Performances zootechniques
Dans cette partie, nous allons exposer les paramètres de production, d’exploitation, et de reproduction des petits ruminants qui sont des indicateurs de mesures technico-économiques de l’élevage des petits ruminants (Tableau I et II).
L’analyse du tableau montre que les caprins sont 3 à 4 fois plus exploités par leurs propriétaires, par la commercialisation, plus que pour les ovins, pour un taux de croît annuel à peu près égal (2,5/2,3). Cependant, il aurait été intéressant, ce que l’auteur n’a pas fait, d’avoir un éclatement du taux d’exploitation par sexe pour avoir une idée précise des types de caprins (jeunes mâles/femmes de 0-1 an/1-2 ans les plus exploités.
Système de commercialisation du bétail et éléments d’analyse du système de commercialisation des caprins
Système de commercialisation du bétail et des produits d’origine animale
Le système de commercialisation du bétail et de la viande en République centrafricaine n’est pas fondamentalement différent de celui pratiqué dans les autres pays d’élevage de la sous-région d’Afrique centrale tels que le Cameroun, le Tchad et le Soudan. C’est le même système par lequel on utilise de nombreux intermédiaires, on pratique les achats de porte à porte, le regroupement et le convoyage à pied des troupeaux vers les centres de consommation.
Réglementation du commerce du bétail et de la viande en République Centrafricaine
Le texte fondamental dans le domaine de la commercialisation du bétail est la Loi n°65/61 du 3 juin 1965 portant règlementation de l’élevage en Centrafrique. Les dispositions du Décret n°75/079 du 15 février 1975 concernent la réglementation des professions des commerçants de bétail et des bouchers, la réglementation des marchés du bétail et de la viande, l’abattage des animaux de boucherie et le transport des animaux (Kota-Nguinza et al., 2005). L’exercice de la profession de commerçant de bétail est subordonné au paiement d’une patente délivrée par les autorités administratives du lieu d’exercice, sur présentation d’une autorisation du Responsable de l’Elevage.
A cela s’ajoute une carte d’acheteur du bétail délivrée par le Service de l’Elevage du lieu où l’acheteur exerçait sa profession. Un laissez-passer sanitaire est délivré dans le premier centre de contrôle vétérinaire où le commerçant présente ses animaux. Le commerce du bétail sur pied et l’exercice de la profession de boucher sont assujettis au paiement d’une patente, sur présentation d’une autorisation spéciale du Service de l’Elevage. A cela s’ajoute un certificat médical. Dans certaines localités, l’agrément du Maire de la commune est nécessaire.
Le marché à bétail et politique des prix
Le marché à bétail
Au départ, l’acquisition d’animaux par les commerçants de bétail et les bouchers se faisait par le système de « porte à porte », c’est-à-dire de « campement en campement », difficile à maîtriser et à contrôler par le Service d’élevage (Kota-Nguinza et al., 2005).
C’est en 1983 que le premier arrêté ministériel portant création et réglementation des marchés à bétail officiels (Arrêté n°002/MDR du 22 janvier 1983) a été signé. En 1987, dans le cadre du Projet National de Développement de l’Elevage (PNDE), l’Etat a installé plusieurs dizaines de marchés à bétail sur toute l’étendue du territoire.
A la fin de l’année 2002, on a dénombré 145 marchés à bétail répartis dans les régions comme suit:
– 33 dans la région de l’Est ;
– 48 dans la région du Centre ;
– 64 dans la région de l’Ouest.
Les ovins en provenance du Tchad et du Soudan sont achetés sur les marchés d’importation au niveau des villes frontalières, notamment les marchés de Birao, de Ndélé, de Moyenne Sido, de Kabo et de Markounda.
A Bangui, le marché terminal pour les ovins est situé à Ngawi au Km5. Les moutons locaux, sont conduits directement sur les marchés de proximité.
Les caprins, contrairement aux ovins, sont vendus au niveau des villages. Mais depuis quelques années, il existe un développement de petits centres de vente des caprins au niveau des grandes villes du pays. A Bangui, les points de vente des caprins se trouvent sur le marché central et sur les marchés périphériques, notamment au Pk 12 (sortie nord), à Bimbo (sortie sud), à Ouango (7ème arrondissement) et à Kolongo (bord de l’Oubangui). Les animaux en provenance des provinces, débarqués des camions, des autocars et des baleinières1, sont directement vendus aux acheteurs en attente. Le long du fleuve Oubangui, les caprins amenés du Congo Démocratique sont vendus sur les marchés des villes frontalières.
Politique des prix
Il faut souligner qu’avant 1986, le gouvernement Centrafricain avait mis en place des politiques de fixation des prix des produits agricoles afin d’inciter la production et de stimuler la consommation (Centrafrique, 2007).
Avec la mise en place des Programmes d’Ajustement Structurel (PAS), le gouvernement a libéralisé le marché des produits agricoles, notamment des produits vivriers et animaux. Toutefois, il n’existe aucune politique des prix agricoles à l’exception des produits agricoles d’exportation.
Selon Centrafrique (2007), l’analyse de fixation de prix des produits vivriers et animaux montre que les critères de fixation sont nombreux et ne sont pas les mêmes pour tous les acteurs de la filière. Le volume de produits mis sur le marché, la saisonnalité des produits, les coûts de transports, le prix d’achat, le prix de vente de la période passée, le prix de vente pratiqué actuellement au marché, etc. sont autant des critères qu’utilisent les acteurs de la filière. Les producteurs n’ont pas une véritable politique de fixation de prix. Ils ne fixent généralement pas les prix à partir des coûts de production, mais s’informent sur le prix pratiqué au marché ou se référent au prix de la période antérieure avant de fixer le leur.
Seule la mévente peut les obliger à une réduction et la pénurie peut les amener à une augmentation du prix. En revanche, les commerçants fixent leurs prix en fonction du prix d’achat du produit, de son coût d’approvisionnement (transport, collecte, séjour, tracasseries routières) et de la marge qu’ils se fixent le plus souvent arbitrairement.
Pour les ovins, les prix unitaires de vente sont également négociés directement entre les producteurs et les acheteurs ; ils sont passés de 8 000 FCFA en 1980 et de 50 000 FCFA en 2000 par animal (Kota-Nguinza et al., 2005). Les prix les plus chers sont obtenus pendant les fêtes de la Tabaski (Aïd-el-Kebir) et la fête de Korité (Aïd-el-Fitr).
Actuellement, avec la suspension des flux des troupeaux en provenance du Tchad et du Soudan et les difficultés de circuler dans les zones d’élevage du Nord, le prix du mouton sur pied a atteint 75 000 FCFA, voire 100 000 FCFA pour les plus gros en période de Tabaski. D’après les études menées par Kota-Guinza et al., (2005), les prix de vente des caprins sur les marchés urbains ont évolué sensiblement de 1980 à 2006 de 5000 FCFA à 30 000 FCFA en fonction du sexe et/ou de l’âge.
Les prix des caprins connaissent aussi une hausse pendant les grandes fêtes officielles et de fin d’année (fêtes de la proclamation de la République Centrafricaine le 1er décembre, fête du travail le 1er mai, fête des mères, fête de Noël, fête du Nouvel an).
Eléments d’analyse du système de commercialisation des caprins
Organisation de la commercialisation des petits ruminants
La commercialisation génère des revenus monétaires pour le producteur et pour l’économie nationale, et permet de comprendre les étapes que franchit un produit entre le producteur et le consommateur (Wangbitching, 1990).
L’organisation et le fonctionnement de la commercialisation des animaux d’élevage sont basés sur trois circuits : circuit intérieur, circuit d’importation et circuit d’exportation. L’importance de ces circuits varie au cours de l’année et chaque circuit présente des particularités par rapport à son organisation et son fonctionnement. Le volume des flux de troupeaux et des transactions y relatives est régi par le principe de « l’offre et la demande ». En effet, il n’y a aucune restriction tarifaire, ni quantitative imposée sur les mouvements des produits de la filière petit élevage sur les marchés (BADR, 2010). L’élevage des petits ruminants n’est pas assez développé dans les arrondissements de Bangui. Cependant, la ville de Bangui devient, de plus en plus, un grand centre de commercialisation et de consommation des petits ruminants comme pour les autres produits d’élevage.
Table des matières
INTRODUCTION GENERALE
GENERALITES SUR L’ELEVAGE CENTRAFRICAIN
Chapitre 1 : Importance économique de l’élevage et système d’élevage
1.1. Contribution de l’élevage à la croissance économique
1.1.1. Importance de l’élevage dans le PIB
1.1.2. Effectif des espèces animales
1.1.3. Importance terres pâturables et des productions animales
1.1.4. Rôle socioéconomique de l’élevage des petits ruminants
1.1.5. Importance de l’élevage des petits ruminants
1.2. Caractérisation des systèmes d’élevage en République Centrafricaine 5
1.2.1. Le système pastoral transhumant
1.2.2. Le système paysan sédentaire
1.2.3. Petit élevage villageois
1.2.4. L’élevage sédentaire de type « Ranching »
1.2.5. Petit élevage moderne
1.3. Elevage des caprins
1.3.1. Races caprines exploitées en Centrafrique
1.3.2. Performances zootechniques
Chapitre 2 : Système de commercialisation du bétail et éléments d’analyse du système de commercialisation des caprins
2.1. Système de commercialisation du bétail et des produits d’origine animale
2.1.1. Réglementation du commerce du bétail et de la viande en République Centrafricaine
2.1.2. Le marché à bétail et politique des prix
2.1.2.1. Le marché à bétail
2.1.2.2. Politique des prix
2.2. Eléments d’analyse du système de commercialisation des caprins
2.2.1. Organisation de la commercialisation des petits ruminants
2.2.1.1. Le marché des caprins de la ville de Bangui
2.2.1.2. Les principaux acteurs sur le marché
2.2.1.3. Les circuits de commercialisation
2.2.1.4. Contraintes de l’élevage des caprins
ANALYSE DU SYSTEME DE COMMERCIALISATION DES CAPRINS DANS LA VILLE DE BANGUI
Chapitre 1 : Matériels et méthodes
1.1. Matériels
1.1.1.Zone d’étude et échantillonnage
1.1.1.1. Zone et période d’étude
1.1.1.2. Echantillonnage
1.1.2.Matériels de recherche
1.2. Méthodes
1.2.1.Phase d’entretiens exploratoires
1.2.2.Enquête transversale ou ponctuelle
1.2.2.1. Elaboration du questionnaire
1.2.2.2. Collecte, traitement et analyse des données
1.3. Limites de l’étude
Chapitre 2 : Résultats, discussion et recommandations
2.1. Présentation des résultats
2.1.1. Caractérisation des commerçants des caprins
2.1.1.1. Structure de l’échantillon en fonction de l’ethnie et le sexe
2.1.1.2. Nombre d’année dans l’activité
2.1.1.3. Age et situation matrimoniale
2.1.1.4. Niveau d’instruction
2.1.1.5. Raison et type d’activité
2.1.1.6. Statut dans l’activité
2.1.1.7. Organisation sur le marché
2.1.2. Pratiques d’approvisionnement et de vente des caprins
2.1.2.1. Pratiques d’approvisionnement
2.1.2.1.1. Lieux, période et fréquence d’achat
2.1.2.1.2.Mode d’acquisition des caprins
2.1.2.1.3. Effectifs des caprins achetés et prix unitaire
2.1.2.2. Pratiques de vente des caprins
2.1.2.3. Clients par ordre d’importance et de pouvoir d’achat
2.1.2.3.1.Critères recherchés par les clients
2.1.2.3.2.Mode de payement par l’acheteur
2.1.2.3.3.Gestion technico-économique de la vente
2.1.3. Analyse de rentabilité
2.2. Discussions
2.2.1.Caractérisation des commerçants de caprins
2.2.2.Pratiques d’approvisionnement et de vente des caprins
2.2.3.Analyse de rentabilité
2.3. Recommandations
CONCLUSION GENERALE
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
ANNEXE : Questionnaire d’enquête