Fonctions de l’électronique
SUPPRESSION DES DEVOIRS À LA MAISON OU EN ÉTUDE
Principes
Des études récentes sur les problèmes relatifs à l’efficacité du travail scolaire dans ses rapports avec la santé des enfants ont mis en évidence l’excès du travail écrit généralement exigé des élèves. En effet, le développement normal physiologique et intellectuel..
lEXERCICE N°1
Tous les transistors bipolaires au silicium des montages suivants fonctionnent dans leur zone normale active (la jonction Base/Emetteur est polarisée en direct et le courant collecteur est inférieur au courant de saturation : Ic < Icsat).
Ils seront idéalisés pour cette étude : Ic = βIb ou Ic = hfeIb, Vbe = 0,6 v pour les NPN et Veb = 0,6v pour les PNP.Leur gain en courant β est de 100.(hfe = β), (hfe = hybrid forward common emitter).
1) Déterminer les valeurs des résistances en imposant Vcn = 10v et Icn = 10 mA.(n=1 à 3)
2) On appelle droite de charge statique la droite reliant linéairement Ic à Vce (Vec dans le cas d’un PNP). Déterminer la droite de charge pour les trois montages ci-dessous en la traçant et en y reportant le point particulier (Vceo , Ico = 10 mA,o appelé point de polarisation ou point de repos du transistor. Commenter.
d’un enfant de moins de 11 ans s’accommode mal d’une journée de travail trop longue. Six heures de classe bien employées constituent un maximum au-delà duquel un supplément de travail soutenu ne peut qu’apporter une fatigue préjudiciable à la santé physique et à l’équilibre nerveux des enfants. Enfin, le travail écrit, fait hors de la classe, hors de la présence du maître et dans des conditions matérielles et psychologiques souvent mauvaises, ne présente qu’un intérêt éducatif limité. En conséquence, aucun devoir écrit, soit obligatoire, soit facultatif, ne sera demandé aux élèves hors de la classe. Cette prescription a un caractère impératif et les inspecteurs départementaux de l’enseignement du premier degré sont invités à veiller à son application stricte.Elle ne doit entraîner ni la suppression pure et simple des devoirs, ni une détérioration de l’enseignement des disciplines principales. Elle doit par ailleurs être effective et contrôlable.Les dispositions suivantes ont pour objet de répondre à cette triple obligation :
1° Des devoirs continueront à être donnés. Il convient de noter que le mot devoir doit être entendu dans sa définition courante. Le « devoir » se distingue de « l’exercice » en ce que, tandis que celui-ci permet de s’assurer sur-le-champ si une leçon a été comprise, celui-là permet, en outre, de mesurer l’acquis de l’élève et de contrôler ses qualités de réflexion, d’imagination et de jugement. Il exige de l’enfant un effort personnel et soutenu, une mise en forme et « au propre » utiles à sa formation – à celle de son esprit comme à celle de son caractère : il ne saurait être question de le priver des bénéfices qu’il peut en retirer. La longueur du devoir sera évidemment réglée selon le temps dont l’élève disposera pour le faire, recopie soignée comprise.
2° Dès maintenant, les devoirs portent essentiellement sur les disciplines principales. Il continuera à en être ainsi et si une petite partie du temps réservé sera employée à l’exécution de croquis,géographiques, de dessins relatifs aux leçons d’observation, de lignes d’écriture, etc., la part de beaucoup la plus importante sera réservée à l’étude du français et du calcul. Ces disciplines conserveront ainsi et renforceront encore leur position dominante dans l’enseignement primaire élémentaire.
3° Ces devoirs, qu’on ne fera plus hors de la classe, c’est pendant la classe qu’ils seront faits. Dans quelles conditions et à quels moments ? Il est évident tout d’abord qu’un régime différent sera institué s’il s’agit de classes homogènes ou bien de classes à plusieurs cours. Dans celles-ci l’obligation où se trouve le maître d’occuper une division pendant que son attention s’attache à une autre a pour conséquence d’ouvrir au travail écrit des possibilités et du temps qui rendent facile l’exécution des devoirs.
Dans les classes homogènes où chaque minute a pour chaque élève son emploi, il fallait trouver ces possibilités et ce temps. Les horaires ont été à cette fin allégés et redistribués. Les heures disponibles ainsi obtenues, il m’est apparu qu’il convenait de les répartir de manière, d’une part, à ne pas rompre le déroulement de la classe, et d’autre part, à marquer leur caractère propre de telle sorte que l’élève ait le sentiment d’être appelé à un effort personnel et autonome, d’accomplir un devoir au sens plein et traditionnel du mot. C’est pour satisfaire cette double exigence que chaque séance d’une demi-journée comportera à un moment qui pourra varier selon les nécessités de l’emploi du temps, mais qui aura sa place marquée dans l’horaire, une demi-heure consacrée à l’élaboration des devoirs sous le contrôle actif et vigilant du maître.
Remarques
1) Un transistor peut être polarisé pour fonctionner en amplificateur :La jonction base-émetteur est polarisée en direct donc passante. La jonction base-collecteur est polarisée en inverse donc bloquée.(Zone normale active).
2)Un transistor peut être polarisé pour fonctionner en régime de saturation :La jonction base-émetteur est polarisée en direct donc passante.La jonction base-collecteur est polarisée en direct donc passante.
3)Un transistor peut être polarisé pour fonctionner en régime de blocage :
La jonction base-émetteur est polarisée en inverse donc bloquée.La jonction base-collecteur est polarisée en inverse donc bloquée.Les points 2) et 3) sont les régimes de commutation donc des fonctionnements non linéaires.
Correction de l’exercice :
Etude côté charge :
On a Ic1= 10mA et Vce1 = 10 volts (ces valeurs sont choisies par le concepteur du circuit).Comme Vc1 = Vce1 en écrivant la loi des mailles on a :Vce1 = E1 – Rc1.Ic1 équation d’une droite dite droite de charge statique qui conduit à déterminer le point de fonctionnement Vce1o et Ic1o
E1 – Vce1
Rc1 = ————— soit :
Ic1
20 – 10
Rc1(KΩ) = ———— = 1KΩ Rc1 = 1 KΩ
10
Etude côté attaque :
La loi des mailles donne : E1 – Vbe1 = Rb1.Ib1 équation d’une droite dite d’attaque statique qui conduit à déterminer le point de fonctionnement Vbe1o et Ib1o.
E1 – Vbe1 Ic1
Rb1 = ————— avec Ib1 = ——
Ib1 hfe
Le transistor étant du type NPN, Vbe2 est positive = +0,6v
20 – 0,6
Rb1(KΩ) = ————- = 194KΩ Rb1 = 194 KΩ
0,1
Point de fonctionnement o :
Vce1 = 10v et Ic1 = 10mA
Vbe1 = 0,6v et Ib1 = 100µA