Faire de la grammaire et comment en faire ?

FAIRE DE LA GRAMMAIRE

Il est sur le quai de la gare. Son train n’arrive pas. Il regarde sa montre : 45 minutes de retard ! Il commence à trouver le temps long. Alors, il trouve une solution : il appelle un taxi. En rentrant chez lui, il range ses affaires et allume la télévision. Il regarde un documentaire. Il déguste une boisson bien fraiche et grignote quelques gâteaux. Il prend un repos bien mérité ! Jour 2 Recopie l’avant-dernière phrase du texte « Chocolat ». Récris chaque phrase interrogative de deux autres manières : Exemple : Veux-tu une glace ? = Est-ce que tu veux une glace ? Tu veux une glace ? Vous voulez venir aussi ? Est-ce qu’ils vont souvent au cinéma ? Prends-tu le métro parfois ? Constitue une phrase à partir des groupes de mots suivants (pense à la majuscule et au point) : arrive – à la tombée de la nuit – le randonneur – enfin – au refuge – après six heures de marche Recopie chaque phrase, entoure le sujet, le prédicat et le groupe supprimable et déplaçable s’il y en a un. Dans le groupe verbal, souligne le verbe et indique son infinitif : Ce matin, notre voisin a réparé l’ordinateur de mon frère. Avec précaution, la chatte transporte ses petits. Ce soir, après le repas, je corrigerai tes devoirs.

Récris les phrases en changeant de place les groupes supprimables et déplaçables. Jour 3 Recopie chaque groupe de mots et souligne le mot principal (le nom) : une maison – un tissu léger – des gros nuages – cette petite fille – mon stylo – nos vacances – un spectacle magnifique – une salle immense. Récris chaque groupe nominal avec un autre déterminant. Jour 4 Dans le dictionnaire, cherche le mot bras et recopie sa définition. Lis les différents sens de ce mot et recopie trois expressions le contenant. Semaine 2 Texte Amandine Dimanche. J’ai les yeux bleus, des lèvres vermeilles, des grosses joues roses, des cheveux blonds ondulés. Je m’appelle Amandine. Et quand je me regarde dans une glace, je trouve que j’ai l’air d’une petite fille de dix ans. Ce n’est pas étonnant. Je suis une petite fille et j’ai dix ans ! J’ai un papa, une maman, une poupée que j’appelle Amanda, et aussi un chat. Je crois que c’est une chatte. Elle s’appelle Claude, c’est pour cela qu’on n’est pas très sûr. Pendant quinze jours, elle a eu un ventre énorme et un matin, j’ai trouvé dans sa corbeille quatre chatons gros comme des souris. Michel Tournier, « Amandine ou Les Deux Jardins », in Sept contes © Éditions Gallimard. Texte transposé Amandine et Laurine Dimanche. Nous avons les yeux bleus, des lèvres vermeilles, des grosses joues roses, des cheveux blonds ondulés. Nous nous appelons Amandine et Laurine.

Et quand nous nous regardons dans une glace, nous trouvons que nous avons l’air de deux petites filles de dix ans. Ce n’est pas étonnant. Nous sommes des petites filles et nous avons dix ans ! Nous avons un papa, une maman, deux poupées que nous appelons Amanda et Laura, et aussi un chat. Nous croyons que c’est une chatte. Elle s’appelle Claude, c’est pour cela qu’on n’est pas très sûr. Pendant quinze jours, elle a eu un ventre énorme et un matin, nous avons trouvé dans sa corbeille quatre chatons gros comme des souris. Collectes de la semaine 2 Je trouve que… Je me regarde. J’appelle ma poupée Amanda. Nous trouvons que… Nous nous regardons. Nous appelons nos poupées Amanda et Laura.  une petite fille de dix ans Exercices Jour 1 Récris le texte en remplaçant nous par je : Journée de collégien Cette année, nous sommes au collège. Nous avons de nouveaux professeurs. Nous arrivons tous les matins à 8 heures. Et chaque soir, nous rentrons à 18 heures. Nous aimons bien ce collège car il est tout neuf. Et nous avons aussi beaucoup de copains ! Nous ne prenons pas le car mais le tramway qui passe près de chez nous. Le trajet est plus rapide. Ainsi, nous pouvons dormir plus longtemps ! Jour 2 Recopie la septième phrase du texte « Amandine ». Récris les phrases négatives suivantes à la forme affirmative : Je n’ai pas le temps de lire. Il ne rencontre plus ses voisins.

Ce sportif n’a jamais peur de se blesser. Elle n’a rien vu pendant le voyage. Constitue une phrase avec les groupes de mots suivants : avec des copains – Paul – en été – pendant ses vacances – en Espagne – fait du camping Recopie chaque phrase, entoure le sujet, le prédicat et le groupe supprimable et déplaçable s’il y en a un. Dans le groupe verbal, souligne le verbe et indique son infinitif : Pour son anniversaire, Amandine veut une poupée. Chez le médecin, ma petite soeur regarde des livres dans la salle d’attente. Maman fait de la gymnastique chaque lundi dans notre village. Pendant les vacances, au bord de la mer, je fais de la marche. Récris les phrases en changeant de place les groupes supprimables et déplaçables. Jour 3 Recopie chaque groupe de mots et souligne le mot principal (le nom) : une jupe courte – ce printemps ensoleillé – une grosse pomme – tes jouets – des longs cheveux blonds – un nouveau jeune directeur – le calendrier Récris les mêmes groupes de mots en changeant le petit mot du début (le déterminant). Jour 4 Avec l’aide du dictionnaire, écris le nom du mâle et de la femelle : Exemple : poussin = coq, poule. renardeau – lionceau – porcelet – agneau – louveteau – caneton – chaton – chiot – dindonneau Écris des comparaisons en utilisant comme à partir des adjectifs suivants : blanc – sourd – gai – léger – doux – myope Semaine 3 Texte Une étrange trouvaille À la demande de la maitresse, Émilie a accepté d’écrire la fin d’une histoire pour le lendemain.

Mais un copain veut jouer avec elle. Jojo Grataloup jette à Émilie un regard noir. « Quelle cruche cette Émilie ! pense-t-il. Avec ça, elle va refuser à coup sûr de venir essayer sa nouvelle planche à roulettes. » Sur le seuil de la porte, il dit d’un air détaché : « Qu’est-ce que tu fais maintenant ? – J’ai une histoire à inventer. Je rentre chez moi. – Complètement dingue, cette fille ! » grommèle Jojo dépité. Et Émilie part en courant. Soudain, elle glisse sur quelque chose de rond et dur, et il s’en faut d’un rien qu’elle se retrouve dans le caniveau. « Mince ! s’exclame-t-elle. Un crayon ! Il a bien failli me faire casser la figure ! » Elle se baisse, ramasse le crayon, l’empoche et reprend sa course. C’est alors qu’une petite voix la fait sursauter : « Dis donc ! Tu crois que c’est drôle, de se retrouver au fond d’une poche toute collante et pleine de miettes ? » Henriette Bichonnier, Émilie et le crayon magique © Le Livre de Poche Jeunesse, 1990, 2001. Texte transposé Une étrange trouvaille À la demande de la maitresse, tu as accepté d’écrire la fin d’une histoire pour le lendemain. Mais un copain veut jouer avec toi. Jojo Grataloup te jette un regard noir. « Quelle cruche cette Émilie ! pense-t-il. Avec ça, elle va refuser à coup sûr de venir essayer sa nouvelle planche à roulettes. » Sur le seuil de la porte, il demande d’un air détaché : « Qu’est-ce que tu fais maintenant ? – J’ai une histoire à inventer. Je rentre chez moi. – Complètement dingue, cette fille ! » grommèle Jojo dépité. Et tu pars en courant. Soudain, tu glisses sur quelque chose de rond et dur, et il s’en faut d’un rien que tu te retrouves dans le caniveau. « Mince ! t’exclames-tu. Un crayon ! Il a bien failli me faire casser la figure ! » Tu te baisses, ramasses le crayon, l’empoches et reprends ta course. C’est alors qu’une petite voix te fait sursauter : « Dis donc ! Tu crois que c’est drôle, de se retrouver au fond d’une poche toute collante et pleine de miettes ? » Collectes de la semaine 3 Tu glisses. Tu ramasses le crayon. Jojo grommèle : […] Jojo Grataloup jette à Émilie un regard no la demande de la maitresse la fin d’une histoire sa nouvelle planche à roulettes Exercices Jour 1 Récris le texte en remplaçant Émilie par tu : Rentrons vite ! Émilie a un problème difficile à faire. Elle marche vite. En chemin, elle trouve un billet de 5 euros. Elle va dans une pâtisserie pour acheter un gâteau. Puis elle rentre chez elle. Elle pose son cartable et elle déballe ses affaires. Elle commence son travail. Récris le texte au présent de l’indicatif : Le crayon magique Elle a quitté l’école en courant, car elle avait un long travail à faire. En chemin, elle a trouvé un crayon qui parlait. Elle l’a empoché puis elle est rentrée chez elle. Elle a déballé ses affaires mais elle a oublié le crayon. Alors il a crié. Il a dit à la fillette : « Je veux sortir de cette poche toute collante ! ».

Recopie la quatrième et la septième phrase du texte « Une étrange trouvaille ». Récris chaque phrase interrogative de deux autres manières : Est-ce que vous entendez ce bruit ? A-t-elle peur du noir ? Tu écris à tes amis de temps en temps ? Suis-je dans la bonne rue ? Constitue une phrase avec les groupes de mots suivants : en rentrant chez lui – a trouvé – sur un trottoir – Mathieu – un portefeuille – un jour Recopie chaque phrase, entoure le sujet, le prédicat et le groupe supprimable et déplaçable s’il y en a un. Dans le groupe verbal, souligne le verbe et indique son infinitif : Dans la rue, souvent, le frère de Max trouve des pièces de monnaie. Chaque jour, Yann vérifie le matériel de sa trousse. Sagement, ces enfants attendent leur tour chez le médecin. Récris les phrases en changeant de place les groupes supprimables et déplaçables. Récris une des phrases en changeant le sujet (attention aux accords !). Jour 3 Recopie chaque groupe de mots et souligne le mot principal : une étrange découverte – des animaux sauvages – un jeune chien obéissant – leur petite sœur – mon vélo rouge et blanc – l’énorme chêne centenaire Jour 4 Dans le dictionnaire, cherche le mot poche. Lis les différents sens du mot poche et écris au moins trois expressions qui contiennent ce mot. Semaine 4 Texte Une première victoire Depuis un mois, des alpinistes sont au Népal pour réaliser l’ascension du Makalu qui culmine à 8 470 m et qui n’a jamais été vaincu. Ce 15 mai 1955, Lionel Terray et Jean Couzy ont quitté le dernier camp, le camp VI, pour aller vers le sommet.

Pendant ce temps, leur compagnon monte du camp V au camp VI, avec les sherpas. La tente jaune et or du camp VI est maintenant visible, curieusement perchée sur un balcon aérien entre deux falaises de glace. Il reprend son ascension et va vers le camp avec courage. À plusieurs reprises, il essaie de distinguer ses amis dans les zones supérieures de la montagne. Mais il ne les voit pas. Où sont-ils ? Mais sur l’éperon et sur les arêtes terminales, la lumière est si intense que, malgré ses lunettes, il ne peut pas y fixer le regard. Il gravit un dernier couloir, une pente plus raide et voici le camp VI. Il est fatigué ! Au moment où il y arrive, des cris répétés lui parviennent. C’est Lionel et Couzy ! Ils sont au sommet. Victoire ! Le Makalu est gravi ! Il ne sent plus sa fatigue. Il danse et chante de joie. Jean Franco, Makalu, Éd. Arthaud, 1955. Texte transposé Une première victoire Depuis un mois, des alpinistes sont au Népal pour réaliser l’ascension du Makalu qui culmine à 8 470 m et qui n’a jamais été vaincu. Ce 15 mai 1955, Lionel Terray et Jean Couzy ont quitté le dernier camp, le camp VI, pour aller vers le sommet. Pendant ce temps, vous montez du camp V au camp VI, avec les sherpas. La tente jaune et or du camp VI est maintenant visible, curieusement perchée sur un balcon aérien entre deux falaises de glace. Vous reprenez votre ascension et allez vers le camp avec courage. À plusieurs reprises, vous essayez de distinguer vos amis dans les zones supérieures de la montagne. Mais vous ne les voyez pas. Où sont-ils ? Mais sur l’éperon et sur les arêtes terminales, la lumière est si intense que, malgré vos lunettes, vous ne pouvez pas y fixer le regard. Vous gravissez un dernier couloir, une pente plus raide et voici le camp VI. Vous êtes fatigué ! Au moment où vous y arrivez, des cris répétés vous parviennent. C’est Lionel et Couzy ! Ils sont au sommet. Victoire ! Le Makulu est gravi ! Vous ne sentez plus votre fatigue. Vous dansez et chantez de joie. Collectes de la semaine 4 Vous arrivez. Vous dansez et chantez de joie. Il essaie de distinguer ses amis.

Vous essayez de distinguer vos ami un groupe d’alpinistes l’ascension du Makalu les zones supérieures de la montagne Exercices Jours 3 et 4 Recopie chaque phrase, entoure le sujet, le prédicat et, dans le groupe verbal, souligne le verbe : Les herbes envahissent le jardin. Aujourd’hui, Alice fête son anniversaire. Parfois elle dit des choses bizarres. Avec ses pattes boueuses, le chien salit le carrelage. Le cuisinier met des aromates dans ses sauces. Souvent, je perds mes affaires. Recopie chaque phrase à la forme négative puis souligne le verbe : Les skieurs débutants dérapent sur la glace. Maman range la maison avant de partir. Vous réussissez la pâte à crêpes. Ce garçon et son copain inventent des nouveaux jeux. Les fruits pourrissent sur les arbres. Mon frère écrit de la main gauche. De gros nuages noirs arrivent. Entoure le sujet et souligne le verbe dans chaque phrase : Nous sortons notre livre de géographie. Les élèves adorent ce genre de spectacle. Dans l’obscurité, le randonneur cherchait sa lampe de poche. Dans cette histoire, Alice tombe dans un trou. Ce redoutable félin vit en Afrique. Certains magasins, désormais, ouvrent le dimanche. Au-dessus des nuages apparaissait la cime des montagnes. Récris chaque phrase avec le sujet qui convient : Mathilde et sa soeur – Mathilde : ….. ramassera des coquillages. Vous – le coureur : ….. franchit la ligne d’arrivée. Elles – nous : ….. veulent plus de lumière. Cet élève – ces élèves : ….. font du bruit. Je – nous : ….. rentrerons avec elle. Recopie les pronoms en gras de chaque phrase et écris le nom des personnes qu’ils désignent : « Où allons-nous ? demandent Kévin et Alex. – Je vous montre le chemin, suivez-moi », répond Chloé. « Julie dit qu’elle n’est plus ma copine, se plaint Lison ; je ne veux plus la voir. » « Tu es tout chaud, dit la maman de Victor ; je vais prendre ta température. » Et elle va chercher le thermomètre. Recopie et relie les groupes de mots avec les pronoms qui peuvent les remplacer : des lapins • • nous la reine • • elle papa et moi • • vous ce train • • ils ma lampe • • elles les phrases • tes soeurs et toi • Semaine 5 Exercices Jour 1 Recopie les phrases, souligne les verbes conjugués et écris leur infinitif : Les jardiniers plantent des rosiers. Vous regardez au loin. Tu nages déjà très bien. Le serpent avale sa proie. Elle marche mieux depuis quelques jours. La neige étincèle au soleil. Elle envoie un message. Tu étiquètes tes bagages. Recopie chaque phrase en conjuguant le verbe entre parenthèses au présent de l’indicatif : Les clients mécontents (annuler) leur voyage. Nous (changer) souvent d’endroit en camping. Tu (lancer) la balle plus loin que Paul. Parfois nous (déplacer) des meubles. Nous (conjuguer) des verbes au présent.

Vous (chanceler) de fatigue. Tous les matins, papi (acheter) le journal. Le cuisinier (délayer) la farine dans de l’eau. Mes frères (balayer) le garage. Récris chaque phrase avec les pronoms indiqués : Elles, il : Je dessine des paysages d’hiver. Nous, j’ : Tu oublies les rendez-vous. Tu, vous : Que transportez-vous ? On, ils : Nous téléphonons souvent. J’, vous : Il arrive en retard. Nous, ils : Il navigue toujours. Recopie cette grille de sudoku et complète-la en utilisant les renseignements déjà donnés : les verbes indiqués sont à conjuguer au présent de l’indicatif avec les pronoms sujets je (ou j’), tu, nous, ils ; ces pronoms doivent tous figurer dans chaque ligne et dans chaque colonne : taper je Jour 2 Recopie les verbes conjugués et écris leur infinitif : Les enfants font des ricochets sur la rivière. De temps en temps, on vient à Paris. Le soleil resplendit depuis ce matin. Je vois souvent des étoiles filantes. Que dit-elle à son voisin ? Tu dois venir bientôt. Vous pouvez venir quand vous voulez. Nous apercevons des lueurs bizarres. Elle connait bien mes cousines. Je crois son histoire. Récris les phrases au présent de l’indicatif : Je prendrai du jambon pour le piquenique. Nous avons vu des écureuils dans notre jardin. Les voyageurs devront être à l’heure. Je réussissais toujours la mayonnaise. Vous ferez du camping. Le conducteur a pris la mauvaise route. La cliente mettra le catalogue dans son sac. Nous écrirons à nos amis. Je suivrai un itinéraire précis. Recopie les phrases en conjuguant les verbes entre parenthèses au présent de l’indicatif : Toutes les voitures (reprendre) la même direction. Vous (dire) que la santé n’a pas de prix. La chaleur (ramollir) le beurre. D’ici, on (voir) bien le haut des tours. Au zoo, le bébé (vouloir) toucher les animaux. Ses cheveux (blanchir) depuis quelque temps. Ces fruits (venir) d’Espagne. Cet élève (retenir) bien ses leçons.

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Dans notre voiture nous (mettre) du gasoil. Récris chaque phrase avec les pronoms indiqués : Tu, nous : Ma petite soeur refait son lit toute seule. Vous, je : On doit apprendre les leçons. Ils, vous : Le garagiste garantit cette voiture pendant six mois. Je, nous : Le malade revient de chez le docteur. Elles, il : Avec qui viens-tu ? Vous, tu : Ces parents agissent pour le mieux. Je, elle : Ils ne voient rien dans ce brouillard. Elle, j’ : Nous interdisons l’entrée. Je, tu : Vous souriez toujours. Il, vous : Tu sais ta leçon. Conjugue les verbes au présent de l’indicatif aux personnes indiquées : Réfléchir avec je et nous Défaire avec nous et elles Surprendre avec tu et vous Pouvoir avec on et ils Devenir avec elle et elles Recopie chaque phrase en la complétant avec un pronom sujet qui convient : Quelquefois …… peux rentrer plus tôt. …… ne voulons pas changer de place. Certains jours …… disons des poèmes. …… nourris les veaux au biberon. …… voit la mer de sa fenêtre. Recopie chaque phrase en la complétant avec un groupe nominal sujet : …… prennent un chemin forestier. …… surgissent du bois. Parfois …… disent des mensonges. Comment fait-…… les cocottes en papier ? …… part toujours à l’heure. Jour 3 Recopie chaque phrase en la complétant avec ont (verbe avoir), sont (verbe être) ou vont (verbe aller) : Ces jeunes enfants …… calmes. Nos voisins …… deux chiens et trois chats. Certains malades …… à l’hôpital depuis plusieurs semaines. Ces touristes…… en Afrique tous les ans.

Récris ces phrases au présent de l’indicatif : Je suis allé au bord de la mer. Il allait souvent chez ses grands-parents. Ce chien avait une grosse tête. Ma grand-mère était souvent malade. Tu as eu beaucoup de chance au loto. Je serai contente de te voir. Nous allions au cinéma. Tu iras chez le boulanger. Jour 4 Dans le dictionnaire, cherche le mot camp et recopie la définition qui, selon toi, se rapproche le plus du sens employé dans le texte « Une première victoire ». Écris les mots de la même famille. Semaine 6 Texte Moi, le renne J’aime la vie dans les bois, dans les bois froids où je fais de longues promenades. Je déteste la chaleur. J’adore les bois. J’en ai d’ailleurs sur la tête mais je ne les vois pas. Mes cornes s’appellent des bois. Je suis le roi du bois. En Laponie, tout au nord, je peux vivre en sauvage avec ma bande. Je me nourris dans les forêts et les grandes étendues d’herbe jaune. Mais je suis aussi l’ami de l’homme, et je le suis volontiers quand il m’emmène, avec ses chiens, sur les pâturages d’hiver. Je mange alors de petites pousses vertes. Henriette Bichonnier, Petit dictionnaire des animaux, Éd. GP rouge et or, 1986. Textes transposés Toi, le renne Tu aimes la vie dans les bois, dans les bois froids où tu fais de longues promenades. Tu détestes la chaleur. Tu adores les bois. Tu en as d’ailleurs sur la tête mais tu ne les vois pas. Tes cornes s’appellent des bois. Tu es le roi du bois. En Laponie, tout au nord, tu peux vivre en sauvage avec ta bande. Tu te nourris dans les forêts et les grandes étendues d’herbe jaune. Mais tu es aussi l’ami de l’homme, et tu le suis volontiers quand il t’emmène, avec ses chiens, sur les pâturages d’hiver. Tu manges alors de petites pousses vertes. Lui, le renne Il aime la vie dans les bois, dans les bois froids où il fait de longues promenades. Il déteste la chaleur. Il adore les bois. Il en a d’ailleurs sur la tête mais il ne les voit pas.

Ses cornes s’appellent des bois. Il est le roi du bois. En Laponie, tout au nord, il peut vivre en sauvage avec sa bande. Il se nourrit dans les forêts et les grandes étendues d’herbe jaune. Mais il est aussi l’ami de l’homme, et il le suit volontiers quand il l’emmène, avec ses chiens, sur les pâturages d’hiver. Il mange alors de petites pousses vertes. Nous, les rennes Nous aimons la vie dans les bois, dans les bois froids où nous faisons de longues promenades. Nous détestons la chaleur. Nous adorons les bois. Nous en avons d’ailleurs sur la tête mais nous ne les voyons pas. Nos cornes s’appellent des bois. Nous sommes les rois du bois. En Laponie, tout au nord, nous pouvons vivre en sauvages avec notre bande. Nous nous nourrissons dans les forêts et les grandes étendues d’herbe jaune. Mais nous sommes aussi les amis de l’homme, et nous le suivons volontiers quand il nous emmène, avec ses chiens, sur les pâturages d’hiver. Nous mangeons alors de petites pousses vertes. Vous, les rennes Vous aimez la vie dans les bois, dans les bois froids où vous faites de longues promenades. Vous détestez la chaleur. Vous adorez les bois. Vous en avez d’ailleurs sur la tête mais vous ne les voyez pas. Vos cornes s’appellent des bois. Vous êtes les rois du bois. En Laponie, tout au nord, vous pouvez vivre en sauvages avec votre bande. Vous vous nourrissez dans les forêts et les grandes étendues d’herbe jaune. Mais vous êtes aussi les amis de l’homme, et vous le suivez volontiers quand il vous emmène, avec ses chiens, sur les pâturages d’hiver. Vous mangez alors de petites pousses vertes. Eux, les rennes Ils aiment la vie dans les bois, dans les bois froids où ils font de longues promenades. Ils détestent la chaleur. Ils adorent les bois. Ils en ont d’ailleurs sur la tête mais ils ne les voient pas. Leurs cornes s’appellent des bois. Ils sont les rois du bois. En Laponie, tout au nord, ils peuvent vivre en sauvages avec leur bande. Ils se nourrissent dans les forêts et les grandes étendues d’herbe jaune. Mais ils sont aussi les amis de l’homme, et ils le suivent volontiers quand il les emmène, avec ses chiens, sur les pâturages d’hiver. Ils mangent alors de petites pousses vertes. Semaine 7 Évaluation 1 1. a. Lis cette lettre : Bonjour, Hier, avec grand-père, j’ai visité la tour Eiffel.

L’ascenseur était en panne, nous avons dû monter à pied ; vous vous rendez compte, elle est très haute avec ses trois étages ! J’ai rapporté une carte postale à grand-mère, elle était contente. Demain nous irons au zoo de Vincennes. J’espère que Léa et Kilian vont bien et qu’ils ne s’ennuient pas trop. Tu sais, maman, je suis sage et tous les matins, je range ma chambre avant de jouer avec les enfants des voisins. Ils viennent vers dix heures et nous jouons jusqu’à midi. Je vous embrasse. Antoine b. Écris quelles personnes ou quelles choses sont désignées par les pronoms en gras dans la lettre ci-dessus 2. Dans les phrases suivantes, entoure le sujet, le prédicat et le ou les groupes déplaçables et supprimables. Souligne les verbes conjugués : Dans le bus, de nombreuses Dans les phrases suivantes, souligne les verbes conjugués et entoure leur sujet. Écris l’infinitif de chaque verbe : Alban fait un match de tennis avec son copain Romain. Infiniti. Relève tous les verbes de ce texte qui sont conjugués au présent de l’indicatif : L’hiver a été long et froid. On a eu beaucoup de neige. Maintenant, le printemps arrive et les températures sont plus douces. Les premières fleurs apparaissent. Encore quelques semaines et il fera bien chaud. On pourra ouvrir les fenêtres. Le linge sèchera dehors au soleil. Mais en attendant des jours meilleurs, pour le moment, le chauffage fonctionne encore car les journées restent fraiche. Recopie le texte en conjuguant les verbes entre parenthèses au présent de l’indicatif : Dans son enclos, le tigre (aller) et (venir) le long du grillage. Là où il (passer), l’herbe ne (pousser) plus. Il (voir) les gens de l’autre côté du grillage. Il aimerait tellement aller où il (vouloir) lui aussi. Mais il ne (franchir) jamais la clôture. Alors, dans son sommeil, l’animal (rêver) qu’il (être) dans la savane. Il (imaginer) qu’il (essayer) de poursuivre une gazelle ; il (bondir) mais ne (parvenir) pas à l’attraper. Ses pattes (remuer) dans tous les sens. Mais il se (réveiller) et se (rendre) compte qu’il (être) toujours, c’est quelqu’un Les gens ne s’étonnent plus de rien. Moi, la première fois que j’ai entendu mon chien parler, j’étais surpris ! C’est un soir, après le diner. Je suis allongé sur le tapis, je somnole… Je ne suis pas de très bon poil ! Mon chien est assis dans mon fauteuil, il regarde la télévision… Il n’est pas dans son assiette non plus ! Je le sens ! J’ai un flair terrible ! Et subitement, mon chien me dit : « On pourrait de temps en temps changer de chaine ? » Je lui réponds : « C’est la première fois que tu me parles sur ce ton ! » Il réplique : « Oui ! Jusqu’à présent je n’ai rien dit, mais je n’en pense pas moins ! » Un autre jour, alors que je me promène dans la rue avec mon chien, une petite fille vient me caresser la main. Sa maman dit alors : « Tu vois qu’il n’est pas méchant. » Et mon chien croit bon d’ajouter : « Il ne lui manque que la parole, madame ! » D’après Raymond Devos. Texte transposé Mon chien, c’est quelqu’un Les gens ne s’étonnent plus de rien. Moi, la première fois que j’ai entendu mon chien parler, j’ai été surpris ! C’était un soir, après le diner. J’étais allongé sur le tapis, je somnolais… Je n’étais pas de très bon poil ! Mon chien était assis dans mon fauteuil, il regardait la télévision… Il n’était pas dans son assiette non plus ! Je le sentais ! J’ai un flair terrible ! Et subitement, mon chien m’a dit : « On pourrait de temps en temps changer de chaine ? » Je lui ai répondu : « C’est la première fois que tu me parles sur ce ton ! » Il a répliqué : « Oui ! Jusqu’à présent je n’ai rien dit, mais je n’en pense pas moins ! » Un autre jour, alors que je me promenais dans la rue avec mon chien, une petite fille est venue me caresser la main. Sa maman a dit alors : « Tu vois qu’il n’est pas méchant. » Et mon chien a cru bon d’ajouter : « Il ne lui manque que la parole, madame ! » Collectes de la semaine 1 J’ai été surprisla première fois la télévision son fauteuil le tapis ce ton Exercices Jour 1 Récris le texte au présent de l’indicatif : L’adoption Dylan voulait un chien. Il est allé dans un refuge d’animaux avec ses parents. Là, ils ont vu des dizaines de chiens abandonnés. Un caniche est venu tout près du grillage. « C’est lui que je veux » a dit le garçon. La gardienne du refuge a ouvert la porte. Dylan a pris le petit chien blanc dans ses bras. Il lui faisait des câlins et des bisous. L’enfant et l’animal étaient heureux ! Tout le monde est reparti pour la maison. Arrivé chez lui, Dylan a déposé son chien sur l’herbe. Le nouveau venu n’osait pas bouger. Puis, peu à peu, il a pris de l’assurance et a couru dans le jardin. Jour 2 Récris les phrases à la forme affirmative. Puis entoure ce qui a changé : Exemple : Je ne veux plus de soupe. Je veux encore de la soupe. Ce matin, la chatte n’a rien mangé. Amélie ne parle plus à sa copine. Ce bus n’arrive jamais à l’heure. Nous n’avons pas encore déjeuné. Récris chacune des phrases interrogatives de deux autres manières : Voulez-vous des places numérotées ? Est-ce qu’elle viendra avec nous ? Ils jouent déjà au tennis ? Est-ce que tu aimes les huitres ? Nous avons le droit d’entrer ? Constitue une phrase avec les groupes de mots suivants : dans les rues – trois fois par jour – se promène – le chien – tout seul – des voisins Recopie chaque phrase, entoure le sujet, le prédicat et le groupe supprimable et déplaçable s’il y en a un. Dans le groupe verbal, souligne le verbe et indique son infinitif : Dans ce cirque, Maria présente ses chiens savants tous les soirs. Les animaux adoptés quittent le refuge. Le dompteur dresse les fauves avec beaucoup de patience. Autrefois, à l’école maternelle, je dessinais toujours des chiens. Jour 3 Recopie chaque groupe de mots, encadre le mot principal et souligne les mots qui donnent des renseignements sur ce mot principal : une couverture douce et blanche – des nouvelles affiches – ce gros poteau électrique – ton piano désaccordé – le journal télévisé – leurs vieux arbres fruitiers – du bon pain doré et croustillant Jour 4 Dans le dictionnaire, cherche le mot chien. Recopie les lettres placées à côté de ce dernier et explique ce qu’elles signifient. Recopie aussi les mots de la même famille et des expressions qui contiennent le mot chien.

Semaine 2 Texte Une plaisanterie qui a mal tourné La semaine dernière, Vincent a fabriqué un objet qui ressemblait à un serpent. Il l’a attaché à une ficelle et l’a posé au sol dans la rue. Au bout de quelques minutes, une femme est venue. Elle portait une ombrelle sous le bras et un sac à la main. Vite, Vincent est allé se cacher derrière le portillon et il a expérimenté le maniement du serpent. Celui-ci obéissait. La femme s’est rapprochée, il a alors tiré sur le fil. Le serpent a glissé lentement au milieu de la rue. La femme l’a vu, a poussé un grand cri, a jeté en l’air son sac et son ombrelle en hurlant : « Au secours ! Au secours ! Un serpent ! À moi ! À l’aide ! » Alors Vincent a tout lâché, il a bondi dans la maison, est entré dans la cuisine et s’est caché dans le panier de linge sale. Le cœur battant, il écoutait les cris de la malheureuse. […] Quel tohubohu pour un pauvre serpent de chiffon ! José Mauro de Vasconcelos, Mon bel oranger, Livre de poche, 2014. Texte transposé Une plaisanterie qui a mal tourné La semaine dernière, Vincent et Rémi ont fabriqué un objet qui ressemblait à un serpent. Ils l’ont attaché à une ficelle et l’ont posé au sol dans la rue. Au bout de quelques minutes, une femme est venue. Elle portait une ombrelle sous le bras et un sac à la main. Vite, Vincent et Rémi sont allés se cacher derrière le portillon et ils ont expérimenté le maniement du serpent. Celui-ci obéissait. La femme s’est rapprochée, ils ont alors tiré sur le fil. Le serpent a glissé lentement au milieu de la rue. La femme l’a vu, a poussé un grand cri, a jeté en l’air son sac et son ombrelle en hurlant : « Au secours ! Au secours ! Un serpent ! À moi ! À l’aide ! » Alors Vincent et Rémi ont tout lâché, ils ont bondi dans la maison, sont entrés dans la cuisine et se sont cachés dans le panier de linge sale. Le cœur battant, ils écoutaient les cris de la malheureuse. […] Quel tohubohu pour un pauvre serpent de chiffon.

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