ETUDES D’IMPACTS SOCIO–ENVIRONNEMENTAUX

ETUDES D’IMPACTS SOCIO – ENVIRONNEMENTAUX

Les coûts des matériaux, des matériels, de la location de véhicule, des personnelles et autres dépenses qui déterminent les prix unitaires de chaque opération comprise dans la réalisation de la tâche.Le coût au kilomètre des travaux topographiques pour la réalisation du canal principale P2 – Extension du Périmètre Bas Mangoky est de : Ar 3 069 982,00 indispensable pour le projet d’irrigation. Une telle étude se soucie, non seulement de l’environnement, mais aussi du développement durable des êtres vivants présent sur le lieu, bénéficiaires ou non du projet. L’impact est la dérivation d’une situation de base connue après modification d’un état. Il peut être négatif mais aussi positif. – Faible intensité : l’impact n’entraîne pas de modification importante ou modifie de façon limité un élément du milieu. spatial du changement ou au nombre d’individus susceptibles de percevoir un changement dans la zone d’étude. La mesure de la portée est rangée comme suit : – Moyenne : l’intégrité de la nature d’un élément et son utilisation sont modifiées de façon partielle, l’impact ne met pas en danger la vie d’individus ou le suivi d’une espèce animale ou végétale ;

Résultats de l’identification des impacts :

Impacts causés par l’installation de la base vie du chantier Les impacts négatifs les plus significatifs causés par l’installation du chantier pourraient être L’abattage d’arbres (pour la cuisson) et l’exploitation des ressources naturelles (gibier de chasse) par le personnel de l’entreprise ;Les risques des pollutions des sols et des lieux en cas de déversement d’huiles usagées, Les risques de maladies encourues par le personnel de l’entreprise par manque d’hygiène ;Les risques de transmission et de propagation des MST. végétation affectent directement, ou indirectement ces animaux. Les principales sources d’impacts lors de la construction de la route sont : – Les travaux amèneront beaucoup d’ouvriers. Les éventuels déboisements des forêts alentours par les ouvriers pourraient détruire les habitats spécifiques des animaux et réduire leurs ressources alimentaires, entrainant parfois la disparition de ces animaux. Ceux-ci entraînent des changements écologiques par émissions de poussières, de bruits de moteurs, d’odeurs (hydrocarbures et lubrifiants) provoquant des perturbations chez les animaux en modifiant leurs comportements.

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Impacts sur les sols et les paysages :

Les impacts négatifs potentiels des travaux de terrassements proviendraient des déblais, remblais,à effet de serre émis par les engins et les véhicules ; lors du terrassement, des transports, de la mise en œuvre des ouvrages. au cours des travaux) pourrait non seulement tarir la source mais aussi diminuer le débit en aval des rivières. Toute la population des villages en aval qui boit l’eau de la rivière pourrait avoir des problèmes d’eau. Par ailleurs, l’entreprise confiera certains types de travaux aux Petites Entreprise locales qui à leur tour, embaucheront des agents locaux. En outre, on sait que les village riverains et bénéficiaires du projet sont des villages où l’eau est très déficitaire, le projet se donnera l’opportunité de satisfaire leurs besoins. Le contremaître ou le superviseur chargé des aspects environnementaux de l’Entrepreneur doivent pouvoir suspendre les travaux si ces derniers nuisent clairement et d’une façon importante à l’environnement.

Critères concernant les effluents liquides :

Tous les effluents liquides éliminés par écoulement de surface, ainsi que tout autre écoulement de surfaceprovenant du Site de Travail, doivent satisfaire les normes des effluents de la Banque Mondiale pour les eaux d’égout. Toutes les évacuations d’effluents traités dans les plans d’eau de surface permanents doivent atteindre un taux de dilution de l’effluent d’au moins 100 pour 1. Le traitement des eaux doit inclure tous les procédés nécessaires pour satisfaire ces normes. Les effluents contenant des déchets humains doivent également être traités avec du chlore de 2-5 mg/L pendant un minimum de trente minutes avant l’évacuation. Les critères majeurs d’effluent de la Banque Mondiale sont indiqués sur le tableau ci-dessous. dépassent pas les normes de concentration de la Banque Mondiale concernant la qualité de l’air ambiant, indiquées sur le tableau suivant, en-dehors des limites du Site de Travail. construction. Les normes et les mesures de compensation minimum sont incluses dans la section « Erosion du Sol » ci-dessous. Cette spécification s’applique à toutes les zones du Site de Travail, y compris les fosses/zones d’emprunt, les carrières, les zones de stockage et de dépôt, les camps et les routes d’accès.

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