Etudes chimique et biologique des extraits de feuilles de Pittosporum Ochrosiaefolium ( Pittosporacées)

Les plantes ont toujours occupé une place importante dans la vie de l’Homme. Il a de tout temps cherché à exploiter leurs potentialités pour subvenir à ses besoins. Les vertus curatives et thérapeutiques des plantes comptent parmi les propriétés utiles les plus recherchées et les plus utilisées. Actuellement plusieurs milliers (80000) de plantes médicinales sont connues (Joy et al., 2001). A Madagascar, 6000 ont été inventoriées.

Les traitements à base de plantes occupent toujours une place importante dans les pays en voie de développement où l’accès aux médicaments n’est pas à la portée d’une frange importante de la population du fait de leur coût trop élevé. Même dans les pays développés, malgré les énormes progrès réalisés par la médecine moderne, la phytothérapie gagne de plus en plus du terrain. Face aux divers inconvénients des médicaments de synthèse comme l’émergence de germes multi résistants, l’utilisation des plantes médicinales est devenue une alternative. Les plantes médicinales présentent en effet des avantages que les médicaments n’ont pas.

Cependant, l’ingestion de ces plantes est parfois associée à des intoxications graves, voire mortelles. Ces accidents sont généralement dus à leur méconnaissance ou à leur confusion avec d’autres plantes, mais le plus souvent à la non-maîtrise des doses à absorber. Comme toutes subtsances à visée thérapeutique, les plantes médicinales doivent être employées avec précaution. En plus de leurs utilisations en thérapeutique, plusieurs plantes médicinales sont aussi employées à d’autres fins utiles tels les pesticides. Par exemple, Nicotiana tabacum (plante à nicotine), Chrysanthemum cinerariifolium, Tephrosia vogelii (plante à roténone) sont déjà connues comme agents de lutte contre les insectes (Crosby, 1966). Par ailleurs, les plantes médicinales sont de plus en plus présentes dans la politique de développement de plusieurs pays. Leur utilisation et leur préservation intéressent divers secteurs d’activité englobant, outre les soins de santé, la protection de la nature, la biodiversité, la lutte biologique.

LES PLANTES MEDICINALES

Utilisation des plantes médicinales 

Les plantes médicinales se distinguent par le fait que leurs organes (les feuilles, l’écorce, les fruits …) possèdent des vertus curatives et parfois toxiques. Environ 80 000 espèces de plantes sont employées de par le monde à des fins médicinales (Joy et al, 2001). À titre d’illustration, en voici quelques exemples parmi les plus connus (Iserin, 2001).
– Curcuma longa (Zingibéracées): ses rhizomes sont connus pour leurs propriétés anti-inflammatoires. Par son action antioxydante, elle est supposée avoir un effet protecteur cardio-vasculaire et hépatique.
– Azadirachta indica (Méliacées) : toutes les parties de la plante sont utilisées à des fins médicinales. L’écorce, amère et astringente, est employée en décoction pour soigner les hémorroïdes. Macérées, les feuilles sont utilisées pour soigner le paludisme, les ulcères et les vers intestinaux. En jus, en infusion ou en pommade, elles servent à traiter les ulcères, les blessures, les furoncles et l’eczéma. Le jus des feuilles est aussi appliqué sur les yeux pour améliorer la vision nocturne et soigner la conjonctivite.
– Allium sativum (Liliacées): ses gousses soignent les maladies de l’appareil digestif et débarrassent les parasites intestinaux de l’organisme. Elles améliorent la capacité de résistance des poumons et apaisent les troubles circulatoires.
– Digitalis purpurea (Scrofulariacées): les feuilles servent à traiter les maladies cardiaques en stimulant le cœur à régulariser la circulation sanguine. La plante stimule la diurèse, diminuant le volume sanguin et soulageant ainsi le cœur.
– Ricinus communis (Euphorbiacées) : son huile a la réputation d’être puissamment laxative (et à plus fortes doses, purgative), et de déclencher des spasmes intestinaux 3 à 5 h environ après l’ingestion. L’huile de ricin est utilisée dans les cas d’empoisonnement pour purifier l’appareil digestif.

À Madagascar, d’après la banque de données informatisées de l’IMRA, plus de 6000 plantes font actuellement l’objet d’utilisations médicales. À titre d’exemples :

– Cataranthus roseus (Apocynacées) ou pervenche de Madagascar, est utilisée par les Malagasy comme vermifuge, antipaludique et diurétique en infusion, et aussi pour soigner les piqûres de guêpe ou pour désinfecter les plaies (Nicolas, 2012).
– Cinnamosma fragrans (Canellacées) ou Mandravasarotra, une plante médicinale endémique de Madagascar, a le pouvoir de servir d’antidote aux poisons, de défendre l’organisme et de purifier le sang. Elle est également utilisée pour soigner la grippe, la toux, la fièvre, les bronchites et les infections du foie (Nicolas, 2012).
– Panax ginseng (Araliacées) : la plante est utilisée traditionnellement dans les asthénies fonctionnelles. C’est un stimulant intellectuel principalement utilisé pour améliorer la résistance au stress et les performances cérébrales, et pour réduire la fatigue passagère. Il a une action tonique générale sur l’organisme (Iserin, 2001).
– Jatropha curcas (Euphorbiacées) : la décoction des feuilles, parfois additionnée de latex, et en mélange avec d’autres plantes, est utilisée en cas de diarrhée et de dysenterie (Nicolas, 2012).
– Adansonia suarezensis (Malvacées) ou Baobab : l’écorce bouillie a la réputation de guérir le cancer (Nicolas, 2012).
– Harungana madagascarienesis (Hypericacées): la gomme est appliquée sur les dermatoses et la gale (Nicolas, 2012).

Les effets secondaires des plantes médicinales 

Certaines plantes médicinales ont malheureusement des effets secondaires allant des simples nuisances ou des allergies à des pathologies graves voire mortelles. Quelques exemples sont cités à titre d’illustration :
– Administrée oralement, même à faible quantité, la gomme colorée de Harungana madagascariensis (Hypericacées) provoque une surexcitation psychique, accompagnée d’insomnie et de sensation de froid (Nicolas, 2012).
– Panax ginseng (Araliacées) est une plante à effet thérapeutique. Pourtant, des cas d’insomnie, de diarrhées et d’hémorragies gynécologiques ont été déclarés (Kiefer et Pantuso, 2003) (Izzo, 2005).
– La réglisse Glycyrrhiza glabra (racines) de la famille des Fabacées est traditionnellement utilisée pour soulager les sensations de brûlures digestives, et pour traiter la toux (expectorant). Une utilisation prolongée et excessive de cette réglisse peut être à l’origine de rétention hydrosodée, de poussée hypertensive, d’hypokaliémie et de troubles du rythme cardiaque (Panduranga et Al-Rawahi, 2013). Les effets indésirables induits par la réglisse sont réversibles mais une consommation régulière peut être à l’origine d’une hypertension prolongée.
– Par la présence de nombreux composés dangereux dont les toxalbumines, Jatropha curcas (Euphorbiacées) est toxique. La plante inhibe l’activité ribosomique et empêche les synthèses protéiques par la destruction des ARNm, bloquant l’activité cellulaire et conduisant à une mort rapide (Nicolas, 2012).

Autres propriétés des plantes médicinales

Les plantes médicinales, en plus de leurs utilisations en thérapeutique, connaissent aussi d’autres emplois :
– insecticides
Les graines de Neem ou Azadirachta indica sont actives contre plus de 200 insectes. Ses principes actifs (azadirachtine, etc) agissent en produisant des troubles dans l’alimentation de l’insecte et intervenant sur son cycle hormonal, provoquant des malformations dans le processus de mue, empêchant son développement normal et sa croissance (Vallet, 2006) :
engrais : La pulpe d’Azadirachta indica (Vallet, 2006) et les feuilles de Crotalaria (Subramaniam et al., 2013) sont utilisées comme fertilisants des sols ;
produits cosmétiques : Aloe vera utilisée comme lotion pour la peau (Iserin, 2001).
savons : L’huile de la plante Azadirachta indica est utilisée comme savon (Vallet, 2006).
huile de cuisine : Les graines concassées de Linum usitatissimum fournissent des huiles oméga-3 et des minéraux (Iserin, 2001).
colorant alimentaire : La curcumine, une des molécules actives de rhizomes de Curcuma longa est utilisée comme colorant alimentaire (Iserin, 2001).

DONNEES SUR LE GENRE Pittosporum

Données botaniques

Pittosporum est l’un des 9 genres de la famille des Pittosporacées. Pittosporum vient de deux mots grecs : pitta (résine) et sporos (graine) par allusion aux semences enrobées dans une pulpe visqueuse, résinifère qui les réunit étroitement. Le genre Pittosporum regroupe environ 160 espèces d’arbres et d’arbustes (Cufodontis, 1955). Ces plantes sont tropicales ou subtropicales, originaires d’Afrique, d’Asie ou d’Australie. Il est le seul genre de la famille des Pittosporacées retrouvé à Madagascar où il est représenté par 11 espèces dont 9 sont endémiques. La description botanique détaillée de Pittosporum ochrosiaefolium est présentée dans le chapitre Etude chimique, § 2.1 Matériels et méthodes (p. 19).

Utilisations des espèces de Pittosporum 

Ces plantes ont diverses utilisations empiriques.

À Java et au Tiji, les espèces de Pittosporum servent de poisons de pêche bien qu’elles soient aussi utilisées en médecine traditionnelle.

En Australie, l’infusion de feuilles, fruits, pulpes ou d’écorce de P. phillyraeoides sert à traiter les bleus, les maladies des muscles, l’entorse ainsi que les crampes. Elle sert également à soigner la toux et le rhume. La décoction de fruits, en usage externe ou par ingestion, est utilisée contre l’eczéma et le prurit. Les feuilles sont également utilisées pour traiter les inflammations chroniques et aigues, les infections ainsi que le désordre circulatoire provoquant le cancer (Lassak et al, 2006 ; Latz et al., 1995 ; Barr et al., 1993 ; Goddard et al., 1988 ; Webb et al., 1969).

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En Chine, l’écorce de P. glabratum est utilisée contre l’insomnie et l’hypertension. Cette espèce est aussi employée comme analgésique et antidote (Anon, 1993).

En Afrique, P. manii est un remède contre le paludisme et la fièvre, l’inflammation et la morsure des insectes (Clarkson et al., 2004 ; Muthaura et al., 2007).

En Inde, P. tetraspermum est utilisé contre la bronchite chronique et les feuilles servent d’antidote contre les morsures de serpent. Les feuilles sont utilisées pour soigner les infections microbiennes. L’écorce de sa racine présente une propriété narcotique et traite le rhumatisme (Yoganarasimhan, 1996 ; Agarwal, 1997). P. floribundum est utilisé contre les maladies de la peau, l’hémorroïde et la démangeaison. La poudre d’écorce (0,5 à 1 mg) est prise trois fois par jour en cas d’asthme (Savithramma et al., 2007). L’écorce est aromatique, elle est utilisée pour traiter la bronchite chronique et sert d’expectorant. A une dose élevée, elle est utilisée pour traiter la fatigue et employée comme antidote contre les poisons de serpent (Malleswari et al., 2014). L’huile essentielle de P. floribundum est un remède contre le rhumatisme, la lèpre et plusieurs autres maladies. Par leurs actions dépurative et fébrifuge, les feuilles de P. senacia sont utilisées contre les troubles cardiaques et les diabètes, la fièvre, le «tambave » (gastro-entérite des enfants). La décoction de feuilles ou de fruits de P. angustifolium est utilisée pour traiter la maladie des muscles, l’eczéma et le prurit (Lassak et McCarthy, 1983). Les fruits sont aphrodisiaques (McKemey et White, 2011).

Au Japon, les feuilles de P. tobira additionnées de sel sont utilisées pour traiter les maladies de l’espèce bovine. Son bois est employé dans la confection de petits meubles. Les propriétés astringentes de l’écorce de P. undulatum sont exploitées pour le tannage des peaux. L’huile essentielle de ses fleurs fournit un parfum de valeur importante (Grisard, 1890). L’infusion de feuilles de cette plante dans l’alcool ou le vinaigre a une propriété antiinflammatoire (Botelho, 2007).

Dans les Iles Mascareignes, la décoction de rameaux fleuris de P. senacia est employée comme dépuratif et fébrifuge. Elle est aussi administrée en cas de fièvres et de crises nerveuses. La tisane des fleurs est donnée aux femmes allaitantes et aux jeunes enfants atteints de malnutritions protéiniques. Le fruit frais écrasé passe pour être le remède le plus spécifique contre les piqures d’araignées venimeuses. On l’applique aussi sur la morsure des sangsues arboricoles afin d’éviter qu’elle ne s’infecte (Lavergne, 1990).

A Tahiti, P. undulatum entre, avec l’huile de coco, dans la préparation du Monoï, un cosmétique très estimé des indigènes. Il est utilisé comme arbre d’ornement par la beauté de son feuillage en toutes saisons. Il est le type d’arbre le plus recherché pour greffer des espèces fruitières (porte-greffes) (Grisard, 1890).

A Madagascar, plusieurs espèces sont utilisées en médecine traditionnelle. Nombreuses sont celles connues comme anti-inflammatoires, antimicrobiennes et antispasmodiques. (Boiteau, 1986 ; Rabesa, 1986 ; Pernet, 1957). D’autres espèces sont employées comme antidotes des piqûres, P. ambrense, P. verticillatum et P. ochrosiaefolium.

L’infusion des feuilles de P. ochrosiaefolium sert à soigner la blennorragie, le décocté d’écorces est un vermifuge à dose modérée, l’infusion de tiges et de feuilles sert à calmer les maux de ventre et les feuilles mâchées sont des antidotes des piqûres des araignées venimeuses (Boiteau, 1986 ; Rabesa, 1986 ; Pernet, 1957). Elle est également utilisée contre la toux et les éruptions cutanées. Au Nord est de Madagascar, la décoction d’écorce est préconisée pour lutter contre la fatigue, les maux de dos et les difficultés à uriner. Les feuilles sèches brûlées ont la propriété de faire taire les enfants la nuit (Nicolas, 2012).

Table des matières

INTRODUCTION GENERALE
Chapitre 1: SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE
1. Les plantes médicinales
1.1. Utilisation des plantes médicinales
1.2. Les effets secondaires des plantes médicinales
1.3. Autres propriétés des plantes médicinales
2. Données sur le genre Pittosporum
2.1. Données botaniques
2.2. Utilisations des espèces de Pittosporum
2.3. Travaux phytochimiques antérieurs sur le genre Pittosporum
2.3.1. Généralités sur les saponosides
2.3.1.1. Saponosides stéroïdiques
2.3.1.2. Saponosides triterpéniques
2.3.1.3. Les sucres
2.3.1.4. Les acides organiques
2.3.2. Les saponosides du genre Pittosporum
2.4. Propriétés pharmacologiques des espèces de Pittosporum
2.4.1. Propriétés antimicrobiennes
2.4.2. Activité cytotoxique
2.4.3. Activité toxique sur rongeurs
2.4.4. Activité antiparasitaire
2.4.5. Activité antioxydante
2.4.6. Activité anti-inflammatoire
2.4.7. Activité hépatoprotective
3. Les organismes nuisibles
3.1. Les différents organismes nuisibles
3.2. Les dégâts causés par les organismes nuisibles
3.3. Les moyens de lutte contre les organismes nuisibles
3.3.1. Pesticides de synthèse
3.3.2. Biopesticides
Chapitre 2 : ETUDE CHIMIQUE
1. Introduction
2. Matériels et méthodes
2.1. Le matériel d’étude
2.1.1. Description botanique
2.1.2. Classification
2.1.3. Répartition géographique
2.1.4. Lieu de récolte
2.2. Les produits chimiques
2.3. Procédés d’obtention des extraits et produits purifies
2.3.1. Préparation du matériel d’étude
2.3.2. Préparation de l’extrait brut
2.3.3. Extraction des saponosides totaux
2.3.4. Purification des saponosides
2.3.4.1. Partition par le n-butanol
2.3.4.2. Fractionnement par chromatographie d’exclusion sur gel de Sephadex LH-20
2.3.4.3. Chromatographie sur flash colonne
2.4. Méthodes analytiques
2.4.1. Chromatographie sur couche mince (CCM)
2.4.2. Détermination des familles chimiques
2.4.2.1. Préparation des extraits
2.4.2.1.1. Extrait acide
2.4.2.1.2. Extrait hydroalcoolique
2.4.2.1.3. Extrait aqueux
2.4.2.1.4. Extrait chloroformique
2.4.2.2. Détection des alcaloïdes
2.4.2.3. Détection des flavonoïdes (Test de WILLSTÄTTER)
2.4.2.4. Détection des leucoanthocyanes (Test de BATE-SMITH)
2.4.2.5. Détection des saponosides (Test de mousse)
2.4.2.6. Détection des tanins et polyphénols
2.4.2.7. Détection des désoxyoses (test de KELLER-KILIANI)
2.4.2.8. Détection des iridoïdes
2.4.2.9. Détection des anthraquinones (test de BORNTRAGER)
2.4.2.10. Détection des quinones libres
2.4.2.11. Détection des stéroïdes et triterpènes
2.4.2.12. Détection des hétérosides cardiotoniques
2.4.2.13. Détection des hétérosides cyanogénétiques
2.4.2.14. Détection des coumarines
3. Résultats
3.1. L’extrait brut méthanolique
3.2. Les saponosides totaux
3.3. Les extraits purifiés
3.3.1. Les extraits obtenus par fractionnement par le butanol
3.3.2. Les extraits obtenus par chromatographie
3.4. Les familles chimiques présentes dans les différents extraits
3.5. Degré d’homogénéité des extraits
4. Discussion et conclusion
Chapitre 3 : ETUDE DES EFFETS SUR LES ANIMAUX
1. Introduction
2. Matériels et méthodes
2.1. Matériels
2.1.1. Les souris
2.1.2. Les cochons d’Inde
2.1.3. Les poussins
2.1.4. Les têtards de grenouille et les alevins de poisson
2.1.5. Les larves de moustique
2.1.6. Les puces
2.2. Méthodes
2.2.1. Méthodes utilisées dans l’étude de la toxicité aiguë chez la souris
2.2.1.1. Voies d’administration des extraits à la souris
2.2.1.1.1. Voie intrapéritonéale
2.2.1.1.2 Voie orale
2.2.1.1.3 Voie sous-cutanée
2.2.1.2. Détermination de la DL50 chez la souris
2.2.1.3. Etude des effets des saponosides et des non saponosides chez la souris
2.2.1.4. Etude des effets des fractions obtenues par chromatographie
2.2.2. Etude anatomo-pathologique chez la souris
2.2.3. Méthode d’étude des effets des extraits sur la fonction cardiaque
2.2.4. Méthode d’étude des effets des extraits sur les fonctions hépatique et rénale
2.2.5. Méthode d’étude des propriétés hémolytiques de l’EMF
2.2.5.1. Préparation de la suspension d’hématies
2.2.5.2. Test hémolytique
2.2.5.3. Détermination de la dose hémolytique 50 %
2.2.6. Méthode d’étude des effets sur les poussins
2.2.7. Méthode d’étude des effets sur les animaux à sang froid
2.2.7.1. Test sur les têtards de grenouille (Ptychadena mascareniensis) et les alevins de poissons (Cyprinus carpio)
2.2.7.2. Test sur les larves de moustique (Aedes albopictus et Culex quinquefasciatus)
2.2.7.3. Test sur les puces (Xenopsylla cheopis)
2.2.7.4. Détermination de la concentration létale 50 % ou CL50 (24 h)
3. Résultats
3.1. Effets des extraits sur la souris
3.1.1. Influence des voies d’administration
3.1.1.1. Voie intrapéritonéale
3.1.1.2. Voie orale
3.1.1.3. Voie sous-cutanée
3.1.2. Détermination de la DL50 (24 h)
3.1.3. Effets des saponosides (SAP) et des non saponosides
3.1.4. Effets des fractions obtenues par chromatographie sur LH-20
3.1.5. Effets des fractions obtenues par chromatographie « flash »
3.1.6. Evolution de l’activité des extraits
3.2. Etude des lésions anatomo-pathologiques
3.2.1. Lésions macroscopiques
3.2.2. Lésions microscopiques
3.3. Effets des extraits sur la fonction cardiaque
3.4. Effets de l’EMF sur les fonctions rénale et hépatique
3.4.1. Effet sur le poids des souris
3.4.2. Taux sanguins d’ALAT, d’ASAT et de créatinine en présence de l’EMF
3.5. Effets de l’EMF sur les hématies de mouton
3.5.1. Test hémolytique
3.5.2. Dosage de l’activité hémolytique
3.6. Effets de l’EMF sur les poussins
3.7. Effets de l’EMF sur les animaux à sang froid
3.7.1. Effets sur les têtards de grenouille
3.7.2. Effets de l’EMF sur les alevins de poisson
3.7.3. Effets des extraits sur les larves de moustique
3.7.4. Effets des extraits sur les puces
3.7.5. CL50 (24 h)
4. Discussion
5. Conclusion et perspectives
Chapitre 4 : ETUDE DES EFFETS SUR LES VEGETAUX
CONCLUSION GENERALE

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