Les équipements sur les véhicules ne cessent de se développer et d’évoluer et d’intégrer une bonne partie de leur conception et de leurs constructions. Ces équipements contribuent d’une part à la sécurité du véhicule et des passagers et d’autre part améliorent et aident le conducteur lors de la navigation et des manœuvres de véhicules.
En effet, on voit bien que la plupart des constructeurs automobiles attachent une grande importance à la sécurité du conducteur et des passagers ainsi que celle du piéton, et ceci en intégrant dans les véhicules une multitude de capteurs qui permettent de contrôler, de mesurer, d’afficher, de calculer, d’avertir, de réguler, voire même d’assister le conducteur lors d’une manœuvre dangereuse. Les exemples sont nombreux mais on peut citer simplement l’assistance au freinage ou au dérapage. L’exemple le plus connu en terme de sécurité était la ceinture de sécurité, et puis l’arrivée des airbags…etc. Par contre une autre partie est consacrée aux équipements qui contribuent ou qui aident le conducteur lors de la navigation à un tel point que actuellement les véhicules sont bien garnis de capteurs permettant de détecter des obstacles ou encore équipés de caméra qui aident au stationnement permettant de couvrir des angles critiques et difficiles à évaluer avec un rétroviseur.
La Résistance
Une résistance ou ‘’’resistor’’’ est un composant électronique ou électrique dont la principale caractéristique est d’opposer une plus ou moins grande résistance (mesurée en ohms) à la circulation du courant électrique. C’est par métonymie que le mot « résistance », qui désigne avant tout une propriété physique, en est venu à désigner aussi un type de composant que certains préfèrent appeler un « dipôle résistant ». On utilise également, pour l’enseignement de la physique, le terme « résisteur » ou l’anglicisme « résistor » (du mot resistor qui, en anglais, désigne ce type de composant), ou encore l’expression « conducteur ohmique », de façon à éviter d’utiliser le même terme pour l’objet et sa caractéristique.
Les nombreuses formes et couleurs des résistances
La valeur des résistances à couche standard est habituellement indiquée sur le composant sous forme d’anneaux de couleurs. Le code en est défini par la norme CEI 60757. Afin de standardiser les valeurs possibles des résistances, il existe des séries de valeurs normales pour résistances. Ces valeurs normalisées sont définies par la norme CEI 60063.
Le troisième anneau n’est utilisé que lorsque la tolérance de la résistance est inférieure ou égale à 2 %.
Un moyen mnémotechnique pour se souvenir de l’ordre des couleurs dans le code couleur des résistances est de connaitre la phrase suivante : « Ne Manger Rien Ou Jeûner Voilà Bien Votre Grande Bêtise » ou encore « Ne Mangez Rien Ou Je Vous Brûle Votre Grande Barbe », et une dernière phrase « Ne Mangez Rien Ou Je Vous Bats Violemment Gros Bêta » est intéressante car elle permet de repérer la position du violet à travers le mot « Violemment ». Chaque initiale correspond à la première lettre de chaque couleur.
La résistance variable
Une résistance variable est une résistance dont la valeur est variable. En fait, toutes les résistances sont variables, mais seules celles ayant une plage de variation significative sont désignées comme telles. De nombreux facteurs peuvent induire une variation de R en fonction de sa constitution. Les plus courants sont les facteurs suivants :
• Mécanique : Généralement une variation de la longueur du corps résistant. Il s’agit de jauges de déformation, potentiomètres ou rhéostats.
• Thermique : La température à laquelle est soumise la résistance (on parle alors de thermistance).
On distingue les résistances Coefficient de Température Positif (la résistance croit quand la Température augmente) et les C T Négatif ou (la résistance diminue pour une augmentation de T).
• Rayonnement : Le rayonnement auquel est soumise la résistance. (De nombreux modèles existent chacun est sensible à une gamme de rayonnement spécifique).
• Chimique : Une substance (gaz, liquide, solide) mis en contact de la résistance.
• Fréquence : La fréquence du courant électrique qui traverse la résistance, on parle d’impédance et non plus de résistance.
• Électrique : la varistance est une résistance dont la valeur chute à partir d’une tension de seuil.
La diode électroluminescente
Une diode électroluminescente (abrégé en DEL en français, ou LED, de l’anglais : light-emitting diode), est un dispositif optoélectronique capable d’émettre de la lumière lorsqu’il est parcouru par un courant électrique. Une diode électroluminescente ne laisse passer le courant électrique que dans un seul sens (le sens passant, comme une diode classique, l’inverse étant le sens bloquant) et produit un rayonnement mono chromatique ou poly chromatique non cohérent à partir de la conversion d’énergie électrique lorsqu’un courant la traverse.
Elle compte plusieurs dérivées, principalement, l’OLED, l’AMOLED ou le FOLED (pour flexible oled). En raison de leur rendement lumineux, les LED pourraient représenter 75 % du marché de l’éclairage domestique et automobile avant 2020. Elles sont aussi utilisées dans la construction des écrans plats de télévision : pour le rétroéclairage des écrans à cristaux liquides ou comme source d’illumination principale dans les télévisions à OLED.
Les premières LED commercialisées ont produit de la lumière infrarouge, rouge, verte puis jaune. L’arrivée de la LED bleue, associée aux progrès techniques et d’assemblage permet de couvrir « la bande des longueurs d’ondes d’émission s’étendant de l’ultraviolet (350 nm) à l’infrarouge (2 000 nm), ce qui répond à de nombreux besoins. ». De nombreux appareils sont munis de LED composites (trois LED réunies en un composant : rouge, vert et bleu) permettant d’afficher de très nombreuses couleurs.
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