ESTIMATION DE L’EMISSION DE CO2 D’HABITAT TYPIQUE

ESTIMATION DE L’EMISSION DE CO2
D’HABITAT TYPIQUE

ANALYSE DE CYCLE DE VIE DES MATERIAUX

Les matériaux de construction sont les constituants élémentaires d’un bâtiment. Ils sont fabriqués à partir de ressources naturelles que sont les minerais tels que le sable, le calcaire, l’argile, les minerais de fer bruts. Aussi les qualifions-nous de matériaux intermédiaires. L’ACV d’un matériau de construction donné s’appuie sur son procédé de fabrication. Cette partie de notre travail comporte deux volets : – le premier traite d’une part des procédés de fabrication spécifiques à Madagascar et, d’autre part, de l’utilisation des principaux matériaux de construction les plus usités selon les enquêtes de l’INSTAT. – le second volet est axé sur les facteurs d’émission associés à chaque matériau.

Présentation des matériaux et procédés de fabrication

Les produits de terre cuite, les briques, les granulats, la chaux, considérés dans cette étude sont exclusivement fabriqués à Madagascar. La majeure partie de matériaux de construction en bois provient des ressources et de plantations forestières usinées localement. Seul trois huitième du ciment utilisé est produit sur place. Les matériaux métalliques et les vitreries sont importés en totalité de divers pays. Si les procédés locaux de fabrication de ciment et de chaux sont conformes aux procédés universels, ceux des produits en argile cuite présentent des particularités. Aussi, nous les avons largement développés. Notre investigation a également porté sur les moyens mis en œuvre, en particulier les consommations énergétiques pour la fabrication des produits locaux. Les facteurs d’émission de certains produits auxiliaires nécessaires à la construction de bâtiment comme le revêtement d’étanchéité, l’huile de décoffrage, les carrelages, la moquette et les plaques de plâtre sont aussi présentés à la fin de ce chapitre.

 Matériaux de terre cuite

La fabrication industrielle de produits de terre cuite est inexistante à Madagascar. La plupart des matériaux en terre cuite sont produits artisanalement. Ce secteur est dominé par le secteur informel (petite entreprise familiale composée de 3 ou 4 artisans, pas de mécanisation, exploitation située dans les rizières). La fabrication semi-industrielle, moins répandue, se développe de plus en plus. Les matériaux de terre cuite regroupent les produits pleins tels les briques pleines, les tuiles et les produits perforés tel les hourdis. I.1.1. Fabrication artisanale de briques Ce type de fabrication produit essentiellement de briques pleines et de tuiles plates. Les données relatives aux techniques de production, aux quantités de matières premières et les sources d’énergie utilisées sont obtenues auprès des artisans (figure 12). Nous avons enquêté sur quatre sites de production de briques de terre cuite d’Antananarivo sis à Sabotsy Namehana, Vontovorona, Anosizato, et Ambohitrinimanjaka (annexe 5).  Figure 12 : Processus de fabrication artisanale de produits de terre cuite. Ce mode de la fabrication artisanale est caractérisé par la prédominance de l’énergie humaine (tableau 2).  Tableau 2 : Types et postes de consommation énergétique de la production artisanale locale de briques de terre cuite Type d’énergie Mécanique humaine Solaire (rayonnement direct) Biomasse (Balles de riz, bois et dérivées, tourbes) Postes de consommation – Extraction des matières premières – Transports des matières premières – Mise en œuvre – Séchage – Cuisson – Gîte La terre argileuse servant à fabriquer les briques ou tuiles artisanales est fréquemment extraite du sol de rizière, dont le propriétaire touche une redevance. – Extraction et préparation de la matière première L’extraction se fait manuellement, la terre étant ensuite foulée aux pieds et brassée avec une bêche en même temps qu’on lui ajoute de la quantité d’eau nécessaire, environ 30 % en masse, qui provient autant que possible d’une zone inondée se trouvant à proximité de la glaisière. L’argile est aussi mélangée avec du dégraissant, le plus couramment utilisé est le sable, de granulométrie comprise entre 0,3 à 1 mm, mais souvent, les artisans briquetiers utilisent aussi des argiles latéritiques se trouvant sur la couche superficielle des argiles ou d’argile cuite broyée dite chamotte. – Moulage Le mélange plastique suscité est laissé reposer jusqu’au lendemain pour que le pourrissage puisse se faire, après quoi, ceci est brassé de nouveau afin de le porter au meilleur. La méthode de moulage couramment utilisée est intermédiaire entre le moulage à la balle de riz et celui en sable, ce fait est pour que la pâte ne se colle pas. Un saupoudrage du fond du moule est effectué, qui est fixe et maintenu en oblique par un  piquet haut de 80 cm environ. En outre, les parois du moule sont trempées dans l’eau avant de le placer sur le fond. Une masse d’argile de volume légèrement supérieur à celui du moule est prise, puis jetée d’une hauteur d’environ 25 cm. Le but est d’avoir une bonne compacité de la pâte dans le moule. Ces opérations reposent arbitrairement sur l’expérience des artisans (figure 13). Figure 13: Moulage et des briques de terre avant cuisson. – Démoulage La matière moulée est enlevée en même temps que les parois du moule : elle est maintenue en place par une planchette pendant que les parois du moule sont retirées vers le haut. Le sable qui se trouve alors au-dessous de cette dernière permet d’enlever plus facilement la planchette qui servira au moulage de la brique suivante puis elle est transportée sur une aire de séchage. – Séchage Celui-ci se fait à l’air libre, il est à noter que la fabrication s’exécute essentiellement pendant la saison sèche (entre Mai et Septembre). Au bout de quelques jours, les briques séchées et endurcies sont empilées en formant de longs murs autour des aires de fabrication et de séchage. Elles restent là en attendant de passer à la cuisson. – Cuisson Combustibles Celles-ci sont essentiellement assurées par la balle de riz, de bois ou de la tourbe. Quelquefois, on utilise des mélanges de ces combustibles.  Four Le four en tas (modèle discontinu) a été utilisé pendant des siècles dans le monde entier. La température de cuisson est de l’ordre de 500 à 600°C. C’est le modèle de four utilisé à Madagascar qui est d’ailleurs le plus simple à construire et moins coûteux (figure 14). Il se compose d’une pile de 4 000 à 10 000 de briques soigneusement. Dans le socle de four, sont pratiqués des tunnels de chauffe d’une hauteur égale à celle de 8 briques. C’est dans ces galeries de chauffe qu’on brûle les combustibles. Les briques séchées étaient empilées sur une hauteur de 2,5m environ au-dessus du sol. Le four qui contenait les briques, était enduit en toute surface d’une couche de boue destinée à colmater les brèches pouvant laisser passer l’air. La durée de cuisson varie de 7 à 12 jours suivant le nombre de briques. Figure 14 : Four de cuisson pour les briques de terre. Les besoins en matériaux de terre cuite de la population malgache sont assurés principalement par le secteur artisanal et complétés par la fabrication semi-industrielle. A Antananarivo, il n’y a que quelques usines de production semi-industrielle. Les données utilisées dans ce travail concernant ce mode de production sont recueillies auprès de la briqueterie d’Ambohimena (Ambatolampy) située à 95km d’Antananarivo. Cette unité de production ne produit que des briques perforées de dimension 20cm x 20cm x 40cm. 

Fabrication semi-industrielle de briques

La production (figure 15) comprend plusieurs étapes dont les principales sont : – l’extraction des matières premières, – la préparation de la pâte,  le façonnage, – le séchage et – la cuisson.  Figure 15 : Processus élémentaires de la fabrication semi- industrielle de briques en terre cuite.  Les différents types et les postes de consommation d’énergie sont présentés dans le tableau 3. Tableau 3 : Type et postes de consommation énergétique de la production semiindustrielle locale de briques en terre cuite Type d’énergie Combustibles fossiles Electricité Biomasse (Balles de riz, bois et dérivées, tourbes) Postes de consommation – Extraction et transport de l’argile – Préparation de la pâte – Séchage – Cuisson – Extraction des matières premières et préparation de la pâte L’argile constitue la matière première de base des produits en terre cuite. Les dégraissants, des matières inertes qui facilitent l’évacuation de l’eau pendant le séchage et le dégagement gazeux pendant la cuisson, sont mélangés à l’argile dans de faibles proportions. L’argile subit une préparation spéciale comme le concassage, le broyage et le tamisage afin d’obtenir une faible granulométrie. L’argile et les dégraissants sont extraits du sol de rizière situant aux alentours de l’usine de production de briques. Le transport se fait par des camions fonctionnant au gas-oil. – Matériels utilisés On utilise des matériels et électriques tels les broyeurs mécaniques, malaxeurs électriques, étireuses, presses hydrauliques. Quelques usines se sont équipées de presses automatiques à hautes performances utilisant. – Façonnage Le pressage est complété par l’étirage. Certaines briques pleines sont directement formées par pressage d’une terre relativement maigre dans un moule métallique.  Séchage Les briques sont séchées par des bois comme le pin et l’eucalyptus pendant 36 heures pour éliminer l’eau avant la cuisson. – La cuisson La température de cuisson peut atteindre de 800°C à 1000°C. Les combustibles utilisés pour les fours (figure 16) sont le bois, plus précisément l’eucalyptus (figure 17). Figure 16: Four semi-industriel (briqueterie d’Ambohimena). Figure 17 : Bois de feu utilisés pour source d’énergie pour la cuisson et le séchage (briqueterie d’Ambohimena). A part les briques de terres cuites, actuellement, on constate un développement de la fabrication de briques de terre stabilisées.

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Briques stabilisées

Les principales matières premières sont la latérite et les liants qui peuvent être du ciment ou de la chaux. Les briques stabilisées sont utilisées dans la construction pour la mise en œuvre des murs et cloisons des bâtiments.

Le bois

Le bois est un matériau que les industries de première transformation modifient et amènent sous de multiples formes: bois sciés, lamellés collés, panneaux, pièces aboutées, … (figure 18). 

Table des matières

INTRODUCTION GÉNÉRALE
PARTIE I : ANALYSES BIBLIOGRAPHIQUES
CHAPITRE 1 : ANALYSES BIBLIOGRAPHIQUES  HABITAT HAUTE QUALITE ENVIRONNEMENTALE (HQE) ET ANALYSE DE CYCLE DE VIE (ACV)
I. HABITAT HQE
I.1. L’ASSOCIATION HQE
I.2. LA DEMARCHE HQE
I.2.1. Définition
I.2.2. Les quatorze  » cibles  » de la HQE
I.2.3. Techniques et procédés pour une démarche HQE
II. L’ANALYSE DE CYCLE DE VIE (ACV)
II.1. INTRODUCTION
II.2. DEFINITION
II.3. OBJET DE L’ACV
II.4. DEFINITION DE L’OBJECTIF ET DU CHAMP D’ETUDE
II.4.1. Unité Fonctionnelle
II.4.2. Frontières des systèmes
II.5. INVENTAIRE D’ANALYSE DU CYCLE DE VIE
II.5.1. Définition du flux
II.5.2. Modes opératoires de collecte
II 6. L’EVALUATION DES IMPACTS
II.6.1. Notion d’impact
II.6.2. Classes d’impact
II.6.3. Effet de serre
II.6.4. Interprétation des résultats
I. LES METHODOLOGIES ADOPTEES EN JAPON ET EN INDE
I.1. EN JAPON
I.1.1. Les différents types d’habitation
I.1.2. Produits considérés
I.1.3. METHODES DE CALCUL
I.1.4. Résultats
I.2. EN INDE
I.2.1. Modèle d’habitation
I.2.2. Méthode de calcul
I.2.3. Résultats
II. LES OUTILS
II.1. BEES
II.1.4. Conclusion
II.2. EQUER
ESTIMATION DE L’EMISSION DE CO2 D’HABITAT TYPIQUE A MADAGASCAR PAR L’ANALYSE DE CYCLE DE VIE
II.2.1. Méthode de calcul
II.2.3. Résultats proposés
II.2. 4. Conclusion
A partir de la version démos, nous avons constaté que EQUER est très facile à utiliser avec son interface très
conviviale et très souple en terme d’insertion de données, quelque soit les valeurs préétablies, l’utilisateur pourra à tout moment saisir ses données personnelles
PARTIE II : ANALYSE DE CYCLE DE VIE DE L’HABITAT
CHAPITRE 1 : METHODOLOGIE ADOPTEE POUR NOTRE ETUDE
I. ACV DES MATERIAUX DE CONSTRUCTION
I.1. ACQUISITION DES MATIERES PREMIERES
I.2. TRANSPORT DES MATIERES PREMIERES
I.3. PRODUCTION DES MATERIAUX DE CONSTRUCTION
II. L’ANALYSE DE CYCLE DE VIE DE L’ENVELOPPE DU BATIMENT
II.1. TRANSPORT DES MATERIAUX
II.2. MISE EN ŒUVRE
II.3. ENTRETIEN ET MAINTENANCE
II.4. FIN DE VIE
III. FONCTIONNEMENT DE L’HABITAT
III.1. EMISSIONS DE CO2 ENGENDREES PAR LE FONCTIONNEMENT DE L’HABITAT
III.2. METHODE DE CALCUL
CHAPITRE 2 : ANALYSE DE CYCLE DE VIE DES MATERIAUX
I. PRESENTATION DES MATERIAUX ET PROCEDES DE FABRICATION
I.1. MATERIAUX DE TERRE CUITE
I.1.1. Fabrication artisanale de briques
I.1.2. Fabrication semi-industrielle de briques
I.2. BRIQUES STABILISEES
I.3. LE BOIS
I.4. CHAUX
I.5. CIMENT ET PRODUITS A BASE DE CIMENT
I.6. ACIER
I.7. VERRE
II. LES FACTEURS D’EMISSION
II.1. LES PARAMETRES
II.2. LES VALEURS DES FACTEURS D’EMISSION
II.2.1. Ciment
II.2.2. Granulats
II.2.3. Produits à base de ciment : parpaings
II.2.4. Matériaux de terre cuite
II.2.5. Briques stabilisées
II.2.6. Acier
II.2.7. Emission en gaz carbonique de la chaux
II.2.8. Emission en gaz carbonique du verre
II.2.9. Emission de gaz carbonique causée par le travail du bois
II.2.10. Les valeurs des facteurs d’émission des matériaux retenues dans cette étude
CHAPITRE 3 : ANALYSE DE CYCLE DE VIE DE L’ENVELOPPE DU BATIMENT
I. MODE DE CALCUL
I.1. PHASE DE PRODUCTION DES MATERIAUX
I.2. TRANSPORT DES ELEMENTS I, DES USINES DE PRODUCTION VERS LE CHANTIER OU LE TYPE D’OUVRAGE FONCTIONNEL J SERA MIS EN
ŒUVRE
I.2.1. Transport maritime
Hypothèses et sources de données concernant le transport maritime
ESTIMATION DE L’EMISSION DE CO2 D’HABITAT TYPIQUE A MADAGASCAR PAR L’ANALYSE DE CYCLE DE VIE
I.2.2.Transport terrestre
Hypothèses et sources de données concernant le transport terrestre
I.3. PHASE DE MISE EN ŒUVRE DU TYPE D’OUVRAGE FONCTIONNEL J
I.4. PHASE DE MAINTENANCE OU D’ENTRETIEN
Hypothèses et sources de données concernant la distance entre le chantier et le lieu de traitement ou valorisation des déchets
I.5. PHASE DE DEPOSE OU DEMOLITION
1.6. EMISSION TOTALE EN CO2 RELATIVE A CHAQUE TYPE D’OUVRAGE FONCTIONNEL PENDANT SON CYCLE DE VIE
II. LES OUVRAGES FONCTIONNELS
II.1. LA TOITURE
II.1.1. FONCTION ET ELEMENTS CONSTITUTIFS DE LA TOITURE
II.1.2. Les différents types de toiture
II.1.4. Les éléments de départ et produits finaux de l’OF toiture
II.2. LE MUR
II.2.1. Fonction et éléments constitutifs du mur
II.2.3. Revêtements muraux
II.2.4. Quantités des matériaux
II.2.6. Les éléments de départ et produits finaux de l’OF mur
II.3. LA FONDATION
II.3.1. Fonction .
II.3.2. Les différents types de fondation 108
II.3.3. Quantités de matériaux
II.3.4. Les éléments de départ et produits finaux de l’OF fondation
II.4. PLANCHERS HAUTS ET PLANCHERS BAS
II.4.1. Fonction et éléments constitutifs du plancher
II.4.2. Les différents types de plancher
II.4.3. Quantités des matériaux
II.4.4. Les éléments de départ et produits finaux de l’OF plancher
II.4.5. Revêtement supérieur du plancher
II.4.7.Revêtement inférieur ou faux-plafond
II.5. OUVRAGES D’OUVERTURE ET DE FERMETUR
II.5.1. Fonction et éléments constitutifs
CHAPITRE 4 : FONCTIONNEMENT
I. LES DIFFERENTS TYPES D’ENERGIE
I.1. L’ELECTRICITE
I.2. BOIS DE CHAUFFE ET CHARBON DE BOIS
I.3. COMBUSTIBLES FOSSILES
II. LES DIFFERENTES ACTIVITES RSIDENTIELLES NECESSITANT DE L’ENERGIE
II.1. CUISSON
II.2. ECLAIRAGE
II.3. TRANSPORT
II.4. ALIMENTATION DES APPAREILS ELECTROMENAGERS ET INFORMATIQUES
III. CONSOMMATION EN EAU
IV. LES DECHETS
IV.1. PRODUCTION DE DECHETS A MADAGASCA
IV.2. LES FILIERES D’ELIMINATION ET DE TRAITEMENTS POSSIBLES DES DECHETS MENAGERS
V. METHODE DE CALCUL
V.1. CONSOMMATION EN EAU DOMESTIQUE
V.2. PRODUCTION DE DECHETS MENAGERS
V.3. EMISSION EN GAZ CARBONIQUE LIEE A LA CUISSON
V.4. EMISSION DE GAZ CARBONIQUE LIEE A L’ECLAIRAGE
V.5. EMISSION DE GAZ CARBONIQUE LIEE AU TRANSPORT
V.6. EMISSION LIEE A L’ALIMENTATION DES APPAREILS ELECTROMENAGERS ET INFORMATIQUES
PARTIE III : PRESENTATION DES RESULTATS ET OUTIL
CHAPITRE 1 : RESULTATS RELATIFS A L’ENVELOPPE DU BATIMENT ET AU FONCTIONNEMENT
I. ENVELOPPE DU BATIMENT
I.1. TOITURE
I.1.1. Résultats
I.2. MUR
I.2.1. Résultats
I.2.2. Interprétation
I.3. FONDATION
I.3.1. Résultats
I.4. PLANCHER
I.4.1. Résultats
I.4.2. Interprétation
I.5. REVETEMENT SUPERIEUR DU PLANCHER
I.5.1. Résultats
I.6. REVETEMENT DU FAUX PLAFOND
I.6.1. Résultats
I.6.2. Interprétation
I.7. LES OUVERTURES
I.7.1. Résultats
I.7.2. Interprétation
II. FONCTIONNEMENT
II.1. CUISSON
II.1.1. Résultats
II.1.2. Interprétation
II.2. ECLAIRAGE
II.2.1. Résultats
II.2.2. Interprétation
II.3. TRANSPORT
II.3.1. Résultats
II.3.2. Interprétation
II.4. CONSOMMATION EN EAU ET PRODUCTION DE DECHET 163
II.4.1. Résultats
CHAPITRE 3 : ECO2H
I. PRESENTATION DE ECO2H
II. REALISATION D’ECO2H
II.1. DEMARCHE
II.2. MODELISATION DE ECO2H
III. RESULTATS OBTENUS
III.1. POINTS FAIBLES
III.2. POINTS FORTS
ANNEXE 1: LES AUTRES IMPACTS (AUTRES QUE LE CO2) DE L’ACV . 179
II. Changement climatique
II.1. Effet de serre 1
III. Toxicité et écotoxicité
IV. Altérations physiques des écosystèmes

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