Dispositifs techniques et ségrégations urbaines, le cas de l’éclairage urbain à Rio de Janeiro

Dispositifs techniques et ségrégations urbaines, le cas de l’éclairage urbain à Rio de Janeiro

Les transformations de la ville nocturne vers la ville carte postale

Dans la décennie 1920, l’éclairage de Rio de Janeiro a passé par une nouvelle transformation. Dans le programme de modernisation de l’éclairage public de l’Inspectorat Général de l’Éclairage, les lampes de 4.000 lumens des rues du trafic automobile intense ont été remplacées par de 6.000 lumens. Dans les banlieues les lampes de 1.000 lumens ont été remplacées par des 2.000 lumens. Light a substitué le système d’arc voltaïque de l’Avenue Rio Branco (ancienne Avenue Centrale), par 175 lampes incandescentes. Et ensuite, les autres rues du centre-ville ont bénéficié de l’échange des lampes, aussi les quartiers bourgeois comme Copacabana et ultérieurement les zones plus éloignées. En 1924, a été inauguré le nouvel éclairage de la plage de Copacabana. Des lampadaires de 6 mètres de hauteur et d’espacement de 30 mètres, ont fourni une augmentation de la luminance et une amélioration de la distribution lumineuse au long de la voie et du trottoir. Les trois lampes de 2.500 lumens qui composent les lampadaires anciens ont été remplacés par des 10.000 lumens. Pour éviter l’incidence directe de lumière dans les façades des immeubles, les lampadaires avaient des réfracteurs asymétriques et des déflecteurs d’aluminium à l’intérieur du globe. La forme courbe de la plage avec la luminosité intense des points lumineux, vue de loin, semblait un collier de pierres, digne d’une princesse. C’est à partir de cette époque que la plage de Copacabana a commencé à être surnommée « Princesinha do mar» (petite princesse de la mer).   L’embellissement de la ville avec l’éclairage s’est développé, les monuments ont commencé à être éclairés autant que les places et des voiries. À la fin de la décennie 1920, l’église catholique reprend l’idée de construire une statue du Christ Rédempteur sur le sommet d’un des monts de la ville. Le 12 octobre 1931, est inauguré la statue du Christ Rédempteur au sommet du Mont Corcovado, devenant monument symbole de la ville. Selon FERREIRA (2009), le système d’illumination du Christ consistait initialement en 16 projecteurs type Novalux (GE). À la fin de la décennie, c’était 28 projecteurs avec des lampes de 20.000 lumens, alimentées par un circuit en série de 20 ampères. Figure 26 : L’illumination du Christ Rédempteur. S/d. Source: MENDONÇA (2004). Dans ce temps la Société Anonyme du Gaz (SAG) avait encore un contrat avec l’État, mais à mesure que les becs de gaz étaient remplacés par des lampes électriques, Light a pris le service de l’éclairage public. En 1934, Light est rendue seule responsable du service d’éclairage de la ville et le gaz n’est utilisé que pour le chauffage et la cuisine. La ville déjà se trouvait fragmentée, la classe aise vivait dans les récents quartiers de la zone sud, comme Ipanema et Copacabana. Tant que la classe moyenne habitait dans les quartiers les plus anciens de la zone sud, comme Botafogo et Flamengo et aussi dans la zone nord. Les banlieues grandissaient et les favelas étaient présentes dans toutes les zones, principalement au centre-ville. L’occupation des banlieues et de la zone rurale a favorisé l’expansion des services d’éclairage public. Néanmoins, le Code d’Œuvres de 1937 interdisait   toute amélioration dans les favelas, inclusif d’infrastructure, que pendant longtemps est restée oubliée des préoccupations politiques. Jusqu’à la fin des années 1930, les rues étaient embellies par des lampadaires décoratifs. Ensuite, dans la décennie 1940, les lampadaires ornementaux en fonte ont donné place à un éclairage essentiellement utilitaire et dépourvu de valeur artistique, avec des lampadaires composés en mâts de béton ou ciment armé et des luminaires plus simples. Dans la décennie 1940, la croissance de la population jusqu’ à 2,2 millions d’habitants, a commencé à imposer des besoins concernant l’éclairage public. Avec le développement de la vie nocturne et l’augmentation des voitures sur les voiries, l’éclairage s’est rendu primordial pour la sécurité du trafic nocturne. Avec un éclairage approprié c’était possible de réduire le nombre d’accidents automobiles pendant la nuit. Mais ça été aussi une période d’obscurité. En 1942, en période de guerre, le gouvernement a imposé un blackout. Light devrait diminuer ou même supprimer intégralement l’éclairage public de la ville. Le 29 août le Christ Rédempteur, symbole de la ville, n’a pas été éclairé comme un message à la population sur la nécessité d’économie d’énergie. Le blackout général de tout ou presque la totalité de l’éclairage public a débuté le 1er septembre. L’éclairage public à Rio de Janeiro a été seulement rétabli le 17 mai 1944. En 1950, la ville était considérée la mieux éclairée du pays, avec 5.156 rues éclairées et 42.470 points lumineux. Les pionnières lampes d’arc voltaïque utilisées pour éclairer la ville, peu à peu ont été remplacées par des lampes fluorescentes. Dans les dernières années de la décennie, le gouvernement a déterminé que tout l’éclairage public de la ville devait utiliser des lampes fluorescentes. En 1953, l’expérimentation de l’Avenue Beira-Mar a fait la substitution des lampes incandescentes existantes par dix luminaires de fabrication nationale, équipés avec des lampes à vapeur de mercure de 400W. La croissance de la population dans les zones privilégiées (centre-ville et zone sud) et de son pouvoir économique, ont été accompagnés par des œuvres d’améliorations de l’infrastructure. En contrepartie, la périphérie, où vivait la population pauvre a dû affronter une sérieuse crise du logement, en causant l’augmentation des favelas. Les distances sociales entre les zones privilégiées et les banlieues et la zone nord, ont été évidentes avec les 60 nouveaux aménagements urbains. Les quartiers pauvres ont assisté à distance aux améliorations de l’infrastructure et des services de la zone sud. Le 1er octobre 1957, le Congrès National a approuvé la loi nº 3.273 qui fixait la date pour le transfert de la capitale, jusqu’alors à Rio de Janeiro, à Brasília le 21 avril 1960. L’idée de la construction de Brasília s’est basée sur la théorie que une nouvelle capitale localisée au centre du pays impulserait son développement et que Rio de Janeiro, après deux cents ans capitale du pays, maintenant n’avait plus la capacité d’exercer les fonctions d’une capitale.

Nouveau scénario

Rio de Janeiro perd le statut de capitale Tant que c’était le District Fédéral, le service d’éclairage public était surveillé par l’Inspectorat d’Éclairage – plus tard Département National d’Éclairage et Gaz (DNIG), liée au Ministère de la Voirie et des travaux publics. Après le transfert de la capitale à Brasília, ce service passe à l’État de la Guanabara. En 1961, a été créée la Coordination des Services d’Énergie Électrique en substitution à la DNIG. Mais, à cause de problèmes politiques, était évidente la confusion quant à la responsabilité de la prestation du service l’éclairage public. Comme solution aux problèmes, le gouvernement a créé la Commission de l’état d’Énergie (CEE) à travers la Loi nº 263, du 24 décembre 1962, attachée au secrétariat de Services Publics de l’État de la Guanabara. La CEE était responsable de projeter, d’exécuter et de moderniser le système d’éclairage public de l’État, en implantant le nouveau système de lampes à décharge et surveiller les services de Light, qui maintenait l’ancien système avec des lampes incandescentes. Le système d’éclairage public, avec 59.264 lampes, était divisé dans trois catégories. D’abord, les lampes incandescentes de capacité entre 1.000 et 3.000 lumens ; environ 5.000 lampes fluorescentes et les 88 lampes de vapeur de mercure de l’Avenue BeiraMar.  De 1970 à 1974, la CEE a augmenté de 477 à 1.344 les rues éclairées par des lampes de vapeur de mercure. Les 27.700 lampes de vapeur de mercure ont bénéficié aux quartiers les plus peuplés et de plus grand trafic automobile. Entre autre les quartiers privilégiés sont : Copacabana, Ipanema, Leblon et Urca (zone sud) ; Vila Isabel, Grajaú (zone nord) ; Jacarepaguá et Barra da Tijuca (zone ouest). En plus de l’échange des lampes, les quartiers d’Ipanema et Leblon ont eu un aménagement des avenues au bord de mer : Avenue Vieira Souto (Ipanema) et Avenue Delfim Moreira (Leblon). Figure 27 : Carte postale de la vue nocturne du quartier de Botafogo (zone sud) et le Christ Rédempteur au fond. Décennie 1960. Source : MENDONÇA (2004). Le gouvernement fédéral a promu la fusion de l’Etat de la Guanabara avec l’état de Rio de Janeiro. Le 15 mars 1975, quand le mandat du gouverneur Chagas Freitas est achevé, la Guanabara a cessé d’exister. Et Rio de Janeiro est devenu la capitale de l’État de Rio de Janeiro. A ce moment, la CEE a été transformée de par la loi nº123, le 21 mai 1975, en Commission Municipale d’Énergie (CME). La CME – attachée au Secrétariat Municipal des Travaux et des Services Publics, était responsable de la planification et de l’exécution de l’éclairage public et en cas d’urgence, des réparations dans le réseau électrique. Elle agissait aussi dans la surveillance et l’orientation de la distribution électrique. En juillet 1975, à Rio de Janeiro, la CME était responsable de l’installation et de la manutention de 33 000 points lumineux, tandis que Light encore maintenait le contrôle sur 90 000 lampes incandescentes éparpillées sur 11 000 rues de la ville. Dans ce temps a été le début de l’utilisation de la lampe à vapeur de sodium. La première utilisation a été au pont  Rio-Niterói. A mesure que la ville se développait était croissante le déficit de lampadaires, la ville était considérée mal éclairée, avec un éclairage public absent ou insuffisant dans certaines rues et zones. La ville affrontait les mêmes problèmes dans le début des années 1960, dû à l’interruption des investissements et à la fragmentation des services entre CME, Light et le Département des Routes et trafics (DER).

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 Gestion de l’éclairage : la création de Rioluz

En 1975, la ville a reçu le 45ème Congrès Mondial de l’American Society of Travel Agents (Asta). La CME a organisé un plan d’urgence d’éclairage public, néanmoins ce plan concernait seulement le parcours obligatoire des participants du congrès. Une semaine auparavant, une équipe de cinq ouvriers a utilisé un camion pour l’installation de luminaires plus puissants dans tout le parcours. Grâce au congrès, en plus de l’éclairage amélioré dans certains endroits, la ville a eu un renouvellement et un nettoyage de plusieurs points touristiques, tels que le Corcovado et le Pain de Sucre. Après une année, CME a informé que durant cette période ont été installés 160 kilomètres de réseaux électriques dans plus de 200 rues, avec un total de 7.231 lampes à vapeur de mercure. Malgré tous ces efforts, la ville a été considérée mal éclairée pendant toute la décennie de 1970. La CME était responsable de 7 000 rues, éclairées par des lampes à vapeur de mercure et Light de 5 000 rues éclairées avec des lampes incandescentes. En 1980, la CME a exécuté un programme d’élargissement du système d’éclairage public, en installant 9.608 lampes sur environ 2.140 lampadaires, dans diverses rues, en totalisant 267 km d’extension des réseaux d’éclairage. Bien que la CME a la responsabilité de l’implantation et de l’entretien de l’éclairage, ce travail était fait par des sociétés engagées par elle. En 1984, la mairie a décidé que tous les services devraient être faits de nouveau par la CME. Une année ensuite, la CME a inauguré l’éclairage de 51 rues de la ville, en initiant ainsi le plan d’expansion. Ce plan visait à remplacer tout le service de Light, avec la substitution des lampes incandescentes par des à vapeur de mercure. Les favelas aussi ont été incluses dans le programme d’éclairage public de la CME. Le service était déficient dans les favelas, puisque seulement 47 des 364 favelas cadastrées par la mairie disposaient d’éclairage public. Dans la décennie 90, les 40 000 lampes incandescentes ont été repassées par Light à la Société Municipale d’Énergie et d’Éclairage – Rioluz, créé en 1990. Rioluz a été organisée en six Gérances Régionales, de manière à servir mieux les quartiers et elle est responsable pour :  l’élaboration et l’exécution des projets d’installation de nouveaux points lumineux ;  l’entretien de l’éclairage public ;  les contrats avec les sociétés d’installation et de manutention d’ascenseurs, d’escaliers roulants, de systèmes de climatisation et de ventilation des bâtiments publics ;  l’élaboration et l’exécution des projets spéciaux d’éclairage du patrimoine ;  l’éclairage et l’approvisionnement d’énergie pour le Carnaval et autres événements à Rio. Malgré les problèmes avec l’éclairage public, principalement au centre-ville, zone nord et banlieues, la ville a été choisie pour accueillir la seconde Conférence Mondiale de l’Environnement et de Développement, l’ECO-92. Pour cet événement la ville reçoit des ressources publiques fédérales, qui ont été utilisées pour améliorer l’infrastructure. La mairie a réalisé des projets de mise en valeur de l’espace public dans les points de grandes visibilités et de fortes attractions touristiques. Un exemple de ces projets c’était le Rio Orla, qui a privilégié l’embellissement des avenues au bord de la mer avec des jardins paysagers, le revêtement des rues et trottoirs, de nouveaux mobiliers urbains et l’installation de nouvel éclairage. Le Rio Orla a été une concurrence publique nationale, pour le choix d’un projet urbain du littoral maritime de Rio de Janeiro, il a été divisée en deux parties : les plages entre les quartiers de São Conrado jusqu’au Leme (zone sud) et les plages du Recreio dos Bandeirantes jusqu’à Barra da Tijuca (zone ouest). La concurrence a été lancée le 8 juin 1990, par l’Iplanrio – agence municipale responsable du développement du projet. Elle a été promue à partir d’un partenariat entre la Mairie de Rio de Janeiro, à travers l’Iplanrio et IAB/RJ – Institut des Architectes du Brésil, 64 section Rio de Janeiro. La concurrence s’adressait aux professionnels des bureaux d’ingénierie et d’architecture. Le bureau gagnant a été l’équipe conduite par l’ingénieur Sergio Moreira Dias. Cette équipe était une équipe multidisciplinaire composée d’architectes, d’ingénieurs, de designers et de spécialistes. Sa conception est influencée par des projets européens, surtout de Barcelone – Espagne. La ville de Barcelone se préparait pour les jeux Olympiques, en réalisant la récupération du bord de la mer et de son image mondiale à travers des aménagements urbains. Le Rio Orla a été un projet d’action sectorisé, de valorisation d’image, de respect de la diversité des espaces des plages et l’intégration de l’environnement naturel typique du bord maritime de l’environnement urbain. L’éclairage public devient une préoccupation et un élément de prédominant, il fournit un environnement nocturne propice à la continuation de ces activités diurnes. Le projet a une grande signification pour la ville et pour la population. Il matérialise les désirs ardents des habitants par la récupération de leurs espaces urbains. Le bord maritime de Rio représente l’espace où le citoyen peut profiter depuis le lever du jour jusqu’au coucher du soleil. C’est un espace multiple et dynamique, d’utilisation sociale. Ce microcosme naturel est partie de l’histoire de la ville, son importance se conserve et se transforme au long du temps. La plage est occupée, de certaines façons, pendant toute l’année. 

Table des matières

RÉSUMÉ
ABSTRACT
INTRODUCTION
Problématique
L’hypothèse et objectif de la thèse
Terrain d’étude
La méthodologie
Les obstacles rencontrés
Première partie
Développement urbain et éclairage public de Rio de Janeiro
Chapitre 01 – La ville de Rio avant l’éclairage électrique
1.1 La pénombre des rues de la ville coloniale
1.2 Discipliner la ville par la lumière
1.3 L’esprit charmant des rues : la ville éclairée au gaz
1.4 La fin d’ère de l’éclairage à gaz
Chapitre 2 – Urbanisation et modernité : l’éclairage électrique change la vie nocturne
2.1 Premières expériences d’éclairage électrique
2.2 Les transformations urbaines : de la ville coloniale à une ville moderne
2.3 Paris : le miroir des transformations urbaines à Rio
2.4 La séduction de la lumière
2.5 Lumières des exclus
Chapitre 03 – Ville lumière : la mise en scène de l’espace public
3.1 Les transformations de la ville nocturne vers la ville carte postale
3.2 Nouveau scénario : Rio de Janeiro perd le statut de capitale
3.3 Gestion de l’éclairage : la création de Rioluz
3.4 Projet Rio Cidade : enjeux pour les actions d’éclairage
3.5 Projet Favela Bairro : réhabilitation des favela
3.6 Les projets d’aménagement et les conséquences sur la ville nocturne
Conclusion de la première partie
Deuxième partie
Dynamiques urbaines: les aspects des inégalités et des contrastes à la fois sociaux et lumineux à Rio de Janeiro
Chapitre 04 – La nuit urbaine au Brésil
4.1 Cartographie de l’éclairage public au Brésil
4.2 Politiques d’éclairage public au Brésil
4.3 Maintenance du parc d’éclairage public
4.4 L’espace public nocturne : mettre la ville en lumière ou la lumière dans la ville ?
Chapitre 05 – Production et régulation de la ville nocturne de Rio de Janeiro :rencontres et ruptures entre les territoires de la ville
5.1 Le tissu urbain de Rio de Janeiro
5.2 Les projets d’aménagement des favelas
5.3 Les acteurs et l’organisation du service de l’éclairage public
5.4 Gestion du service d’éclairage public
5.5 La lumière et l’enjeu politique
5.6 La mise en scène de la ville carte postale0
5.7 La lumière sacrée
5.8 Paysage naturel et loisirs nocturnes
Conclusion de la deuxième partie
Troisième partie Investigation sur l’environnement nocturne urbain de Rio, à partir de l’étude de cas
Chapitre 06 – Panorama socio-spatial du terrain d’étude
6.1 La Zone Sud dans la dynamique urbaine de Rio
6.2 Caractéristiques de Botafogo, Copacabana et Ipanema
6.3 Le territoire de la lumière et d’ombre : les enjeux de l’éclairage
6.4 Les particularités des favelas étudiées
6.5 Processus d’urbanisation de Santa Marta
6.6 Le projet pilote d’éclairage public à Santa Mart
6.7 Acceptabilité et problèmes d’éclairage public à Santa Mart
6.8 Le complexe de favelas
6.9 La nuit dans le complexe Pavão-Pavãozinho/Cantagalo
6.10 Pavão-Pavãozinho : des maisons bourgeoises à la favela
6. L’environnement lumineux de Pavão-Pavãozinho
6. Cantagalo : où chante le coq
6. L’environnement lumineux de Cantagalo
Chapitre 07 – Scénographie lumineuse et sociale
7.1 Éclairage public et aspects sociaux
7.2 Lumière et surveillance
7.3 Maintenance et fiabilité
7.4 Lumière sociale versus projet d’éclairage
7.5 Le défi de la mise en lumière des favelas
7.6 Loisirs nocturnes et mixité sociale
Conclusion de la troisième partie
CONCLUSION
Lumière et exclusion sociale
Pluralité des représentations de l’espace éclairé
Lien social de la lumière
Perspective
BIBLIOGRAPHIE
LISTE DE FIGURES
ANNEXE

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