Pendant la période coloniale
La première phase de la période coloniale est caractérisée par une politique démographique visant à assurer la protection sanitaire et la croissance de la population, avec la préoccupation principale de fournir la main d’œuvre nécessaire aux grands travaux (chemins de fer) et à la mise en valeur des concessions coloniales. La forte prévalence du paludisme sur les Hautes Terres centrales au début du XXème siècle, puis de la grippe et de la peste ne facilitait pas la tâche de l’Administration coloniale, car ces épidémies décimaient les ressources humaines dont le système colonial avait pourtant fortement besoin. Les efforts de l’Administrationconcernaient donc aussi, dans une large mesure, et la santé de la population autochtone, et lecontrôle des dynamiques migratoires internes. La riziculture elle-même, limitée à une activité de subsistance, ne représentait pas d’intérêt majeur pour le pouvoir politique, qui privilégiait le développement des cultures de rente pour l’exportation . S’il est vrai que certaines années, Madagascar exportait du riz de luxe (vary lava) en France, les quantités exportées sont restées relativement faibles. En réalité, le fait que la production rizicole suffisait généralement à ravitailler à la fois la campagne et des villes en expansion modérée – bien que de temps à autre, Madagascar importait aussi du riz – semble davantage lié à la faible pression démographique qu’à une quelconque évolution technique.
Il a fallu attendre le « grand tournant démographique » des années 1940, marquées par une forte croissance de la population malgache résultant des progrès réalisés dans la lutte contre les épidémies, pour que se pose le problème des ressources vivrières. C’est alors que progressivement sont apparus de nouveaux systèmes d’encadrement visant l’amélioration de la production vivrière paysanne, essentiellement dans les zones de peuplement dense.
Les nouvelles techniques de production relayées par ces différentes structures, souvent basées sur une meilleure maîtrise d’eau (irrigation et drainage) et l’utilisation d’engrais chimiques, intéressaient finalement peu de paysans à cause d’une insuffisance de l’encadrement. Ainsi, l’augmentation attendue de la production vivrière n’a pas eu lieu. Comme le dit Raison (1984, p.202) à propos de cette période allant de l’après guerre à l’indépendance, « les efforts de l’Administration coloniale n’ont au mieux permis le maintien de l’équilibre antérieur entre population et ressources. »
Ainsi, la situation des ressources vivrières se dégrade progressivement vers la fin des années 1950 due à la forte croissance démographique de la population malgache et au développement des cultures de rentes destinées à approvisionner le marché métropolitain fort rémunérateur. Ce système économique extraverti conduit à un déficit vivrier croissant d’où le pays est obligé d’importer régulièrement du riz après l’indépendance.
L’étude de l’évolution de la production rizicole soulève principalement la statistique de la production depuis l’indépendance ainsi que les différentes politiques et techniques qui la définissent.
Analyse du volume de la production
Il est important de voir ensemble la production de riz qui est l’alimentation de base de la population malgache et l’effectif de cette dernière. En étant à la fois producteur et consommateur potentiel, on doit analyser ensemble le mouvement de la production et de la population afin d’avoir une idée sur l’effectif de la population par rapport à la quantité de production de paddy ou encore un aperçu sur l’évolution de la quantité de riz consommée par la population malgache.
Différentes stratégies relatives à la production rizicole
Les politiques et/ou Institutions ayant eu d’influence capitale sur la filière riz se sont succédées depuis l’indépendance jusqu’à l’heure actuelle.
La constatation de l’écart grandissant entre production et consommation de riz a amené le Gouvernement de l’époque, vers 1964-1965, à entreprendre la vaste action de vulgarisation baptisée Opération de Productivité Rizicole (OPR), centrée dans un premier temps sur les HautsPlateaux. L’OPR avait pour objectif de pallier le déficit vivrier grandissant dans les villes et les campagnes malgaches par la hausse des rendements rizicoles. La technique améliorée qui a été vulgarisée entraine une élévation du rendement de l’ordre de 20 à 30%. Malgré l’accroissement de l’autoconsommation familiale due à la croissance démographique interne, le supplément de production a été tel qu’en quelques années plusieurs dizaines de milliers de tonnes supplémentaires de paddy ont été mises sur le marché.
Au cours des années 60, des sociétés parapubliques d’aménagement et de développement ont aussi opéré dans les régions rizicoles : le SAMANGOKY à Morombe, SOMASAK à Sakay, le SOAMA à Andapa, le SODEMO à Morondava, le SOMALAC à Ambatondrazaka, le FIFABE à Marovoay. Ces sociétés d’aménagement ont été dotées chacune d’un plan de travail pour dix ans. Le point essentiel de la politique gouvernementale a été l’obligation pour chaque société de rechercher dans le plus bref délai possible l’autofinancement par des prélèvements sur les revenus accrus des cultivateurs. Dans la période de démarrage toutefois, comme les prélèvements ne pouvaient pas atteindre le montant des charges réelles, une subvention de fonctionnement pouvait éventuellement être accordée, mais elle était temporaire e remboursable.
Puis vers les années 1970, les activités de développement rizicole ont été englobées dans le projet dénommé « rattrapage paddy ». L’Opération Rattrapage Paddy avait pour but de réaliser plus rapidement possible des réseaux d’irrigation de moyenne importance, puis de mettre en valeur par l’Etat lui-même des périmètres d’irrigation ou des Tanety où les paysans n’étaient pas en nombre suffisant dans un premier temps, ensuite d’utiliser dans cette action des machines agricoles qui parallèlement peuvent être louées aux exploitants agricoles et enfin d’organiser les paysans afin de prendre la relève de cette mise en valeur par l’Etat.
A partir de 1975, la situation économique s’est dégradée car le nouveau pouvoir socialiste a monopolisé la collecte et la commercialisation du riz en imposant un prix très bas au producteur. Cela a eu pour effet d’affaiblir encore la production déjà pénalisée par la raréfaction de l’engrais minéral due à la hausse brutale du prix mondial d’engrais. En fait, des opérations d’intensification ont été réalisées dans le secteur agricole à cette époque mais elles concernaient surtout l’aménagement de périmètres irrigués et la construction des grandes infrastructures sous la direction de ces sociétés parapubliques suscitées.
L’ODR (Opération de Développement Rizicole) fut créée en 1983 et financée par FIDA. On appliquait pour la première fois en milieu rural malgache, avec l’aide des assistants techniques expatriés, le fameux système « Training and visit ». Le projet ciblait les petits paysans. Les moyens de travail existaient et les agents étaient motivés. A ce moment, on commençait à parler d’une approche de groupe. On reprochait au projet ODR son coût trop élevé, si élevé qu’en absence du financement extérieur le budget local n’arrivait jamais à le supporter.
Parallèlement, le PNVA (Programme National de Vulgarisation Agricole) financé par laBanque Mondiale a été conçu pour -renforcer et améliorer le service d’assistance aux paysans -et expérimenter les stratégies de la vulgarisation de l’approche « Training and visit » dans le contexte malgache, l’accent était mis sur la reproductibilité (plus grande efficacité avec le minimum de coût).
Le monde des techniques rizicoles
Les techniques rizicoles touchent le mode de culture et les intrants. Leur diffusion nécessite des moyens considérables.
Les techniques
L’OPR, conçue par des experts français de la SATEC (Société d’Aide Technique et de Coopération) , a généralisé le repiquage en ligne sur les Hautes Terres malgaches. L’amélioration du rendement était due à l’introduction d’un certain nombre d’innovations techniques dans la riziculture à savoir la fertilisation d’une pépinière avec de l’engrais chimique, le raccourcissement de la durée de pépinière (limitée à 30-35 jours) et la maîtrise de l’irrigation et du drainage. Ce projet dont l’action de vulgarisation était surtout portée sur l’utilisation d’engrais chimiques aurait permis une augmentation de la production rizicole de près de 700 000 tonnes entre 1962 et 1970. Ainsi, un système de crédit rural a été établi exprès en vue de faciliter l’achat de fertilisants chimiques par les paysans. Ceci touche essentiellement les Hautes Terres d’Antananarivo et Fianarantsoa.
Dans les années 50, l’Institut de Recherches Agronomiques s’est installé à Madagascar et a produit de nombreuses variétés de riz, puis lui a succédé le FOFIFA. Mis en place vers 1974 suite à lanationalisation de la recherche agricole, le Centre National de Recherche Appliquée au Développement Rural (FOFIFA) continue de coopérer avec les institutions de recherches internationales tout au long des années 1980. Conformément à la tendance mondiale, le centre privilégie les recherches semencières en s’occupant surtout de la recherche de nouvelles variétés de riz, de l’amélioration des variétés locales ainsi que de nouvelles variétés performantes et des nouvelles techniques de culture. Celles ci sont renforcées par l’opérationnalisation des Centres de Multiplication Semencière (CMS) et la mise en place d’un Service de Production de Semences et de Matériel Végétal.
L’influence des aides internationales
Les aides internationales jouent un rôle majeur dans la diffusion des nouvelles techniques. Des organismes de développement et de recherche de plus en plus dépendants de l’aide internationale se sont multipliés rapidement en ayant poursuivi leurs objectifs fort différents les uns aux autres. Cette dépendance suscite les conditions imposées par des bailleurs de fonds. Soumis à la baisse de financements publics, ils doivent réinventer de nouvelles technologies qui puissent financer leurs activités, soit par la vente de produits et de savoir-faire (consultance), soit par la conception de nouveaux projets de recherche-développement.
De ce fait, pour pouvoir développer leurs activités en bénéficiant des appuis financiers, les petites ONGs des années 1980 se sont associées à celles reconnues sur le plan international. Ces consortiums servent parfois d’ancrage institutionnel pour les organismes internationaux désireux d’opérer à Madagascar en leur évitant de lourdes procédures administratives.
Cas de l’engrais
Depuis le début de la Révolution Verte vers 1960, la consommation d’engrais minéraux dans le monde s’est considérablement accrue, notamment dans les pays asiatiques, nord- américains et européens. En conséquence, des grandes sociétés productrices d’engrais minéraux se sont apparues sur la scène internationale en imposant progressivement leurs lois au marché. L’engrais est devenu un produit stratégique pour l’agriculture mondiale, toute recherche de productivité ne peut se faire sans lui et que la productivité est même proportionnelle à la dose de cet engrais.
À Madagascar, les chercheurs et les ONGs en quête d’appuis financiers devraient orienter leurs recherches autour de ce contexte. Il devient alors plus facile d’introduire de nouvelles innovations avec l’utilisation de l’engrais minéral et des semences améliorées. Le repiquage en ligne, depuis l’OPR est toujours adopté et il faut faciliter l’achat des engrais et semences par les paysans ; voire même les en donner gratuitement dans un premier temps. Ceci est devenu la nouvelle mission des projets de développement agricoles dépendants de l’aide.
Cas de semence
Concernant la semence, la variété locale traditionnelle a été toujours caractérisée par les Établissements de recherche internationaux comme incapable de répondre efficacement aux pratiques d’intensification . Influencées?… Les politiques agricoles malgaches ont également désignés les variétés locales comme un des obstacles majeurs de la production de riz et de la sécurité alimentaire. La recherche de variétés génétiquement améliorées, comme le tableau ciaprès montre, se trouve alors au premier rang des activités qui mobilisent le plus de chercheurs à Madagascar.
Résultat de la révolution verte
L’augmentation substantielle de résultat et de la productivité devrait être le résultat des actions du Ministère de l’Agriculture. Pour assurer la sécurité alimentaire et contribuer à dégager des surplus exportables, la finalité de la révolution verte est d’obtenir une forte augmentation du rendement et de la production en un laps de temps relativement court. Il fallait parvenir à doubler la production alimentaire en 2009 puis la tripler en 2012, de manière à assurer la consommation nationale en denrée de base et de pouvoir exporter. Les résultats attendus sont notamment l’augmentation de la quantité de production et de l’exportation.
Les statistiques du volume de la production et celui de l’exportation peu avant et durant l’application de la révolution verte nous permet de déterminer l’aboutissement de cette nouvelle politique. La révolution verte a effectivement entrainé une hausse continue de la production rizicole d’après la statistique dans le tableau ci-dessous. En 2007, elle a même dépassé l’objectif de 3.500.000 t, cependant l’objectif n’est pas atteint dans les années qui suivent. Par rapport aux chiffres préconisés, un déficit de plus de 2 millions de tonnes a été enregistré en 2009 et on est largement loin de l’objectif du 2012. Par ailleurs, certain organisme a qualifié le chiffre officiel de production du 2010 de « surestimé ».
Financement et ONG/Organisme
Dans le monde de la diffusion de nouvelle technique rizicole, l’influence des bailleurs de fonds joue un rôle stratégique indéniable. Dans le cadre de cette recherche, on se demande quel critère de technique pourrait bien être vulgarisé à Madagascar ? En effet, on a pu remarquer que seules les techniques qui ont bénéficié du financement extérieur pourraient être vulgarisées sans contrainte auprès des paysans. Et bien sûr, ces techniques coïncident avec celles qui ne sont pas découvertes localement. Les exemples suivants illustrent ces propos.
Le Semis direct sur Couverture Végétale permanente (SCV )
Cette technologie consiste à installer des plantes productrices de biomasse qui fabriquent une couverture végétale permanente, vivante ou morte, dans laquelle sont semées les cultures principales ; une de ses principales caractéristiques est l’absence de labour. Mis au point au Brésil, le SCV est introduit à Madagascar vers 1991-1992 par les chercheurs du Cirad. En 1994, un groupe de scientifiques et de techniciens anciennement réunis sous le projet Blé de la KOBAMA, dont des chercheurs du FOFIFA et du Cirad, décident de créer l’ONG malgache TAFA en vue de développer le SCV à Madagascar. Cette dernière peut maintenir ses activités de recherche jusqu’en 1998 grâce aux financements de la Coopération Française, du Cirad, ainsi que d’autres bailleurs de fonds. De 1991 à 2004, la recherche sur les systèmes SCV et la mise au point des stratégies de diffusion représentent en tout une somme de 2,5 millions d’euros.
– L’approche APRA-GIR (Apprentissage Participatif et Recherche Action – Gestion Intégrée duRiz) C’est une approche que la Fondation Aga Khan propose, depuis 2005, pour accroître le rendement rizicole. Elle inclut un éventail de méthodes dont une meilleure utilisation des semences et le recours à des semences améliorées. Elle est particulièrement adaptée à l’écologie de la riziculture pluviale dans les bas-fonds qui représentent actuellement 35 à 40% de la riziculture en Afrique sub-saharienne. AKF a maintenant touché environs un million de personnes dans les zones rizicoles d’Asie et d’Afrique. Depuis le démarrage du programme dans la région Sofia, elle a sensibilisé plus de 17.000 riziculteurs propriétaires de petits terrains aux techniques APRA-GIR d’agriculture améliorée du riz. Ces techniques sont l’utilisation rationnelle des semences et la plantation en ligne selon un espacement approprié.
– PAPRIZ (Projet d’Amélioration de la Productivité Rizicole sur les Hautes Terres Centrales à Madagascar) C’est un projet de coopération technique entre le Gouvernement malgache et le Gouvernement du Japon par l’intermédiaire de l’Agence Japonaise de Coopération International
(JICA). Le projet va s’étaler sur cinq ans (2009-2014) et le démarrage a eu lieu au mois de janvier 2009. Ses activités consistent à -i) développer les paquets de techniques intégrés en riziculture en faisant des expérimentations sur des techniques culturales basées sur la recherche (FOFIFA) –ii) améliorer le système de production, d’inspection et d’utilisation des semences améliorées en renforçant les capacités des producteurs de semence et en promouvant l’utilisation des semences améliorées –iii) à vulgariser les paquets de techniques et –iv) à développer les petits matériels agricoles qui vont avec.
La question utile à la définition des obstacles à la diffusion des technologies locales, qu’on doit se poser est : si ces technologies suscitées avaient été des découvertes locales, auraient-ils bénéficié d’autant d’implication de la part des partenaires et des bailleurs de fonds ?
En effet, les organismes de recherche à Madagascar agissent en fonction des exigences du marché de l’aide. D’ailleurs, les techniques diffusées ne constituent pas la seule cause du problème de vulgarisation mais c’est surtout l’implication des bailleurs de fonds d’une manière sérieuse qui détermine la réussite ou non de la diffusion des nouvelles techniques. Ainsi, ceux qui ne veulent pas faire partie dans la course aux technologies marchandes sont vite négligés.
Infrastructure – Équipement et type d’intrants
Outre la politique et le problème de financement, d’autres facteurs nuisent directement le succès de l’exploitation rizicole.
Infrastructure
La plupart des zones rizicoles sont enclavées. Le prix du riz élevé est essentiellement causé par le mauvais réseau routier qui a une incidence sur le coût de transport. Les marchandises en milieu rural peuvent être transportées de plusieurs manières : à dos d’homme, en charrette, en véhicule motorisé. Le coût de transport du kilo de riz (et d’ailleurs de tout autre produit agricole) en véhicule motorisé varie de 2Ar à 86,76Ar /kg /km selon les régions et l’état de la route.
Les moyens de rangement approprié du riz sont inexistants, les paysans sont alors forcés de vendre une partie de leur production immédiatement après la récolte au moment où les prix du riz sont au plus bas. Cette défaillance du dispositif de stockage est la raison d’être du GCV (Grenier Communautaire Villageois). Ce sont des mini-silos ruraux appartenant à des groupements de paysans destinés à étaler la consommation pour subvenir aux besoins de la période de soudure. L’absence d’aménagement hydro-agricole et l’état défectueux des infrastructures existantes touchent la plupart des rizicultures malagasy. Ceux-ci entrainent la sécheresse aigüe de certaines rizières au début de la période culturale (cf. Annexe 2) lorsque la pluviométrie tarde à s’installer ou encore provoquent des difficultés sur le drainage et les rizières restent en permanence sous une hauteur d’eau importante tout au long du cycle.
Équipement
Le niveau d’équipement des riziculteurs malgaches dont le tableau ci-après inventorie est très limité. Les tracteurs et motoculteurs ne sont utilisés que dans la région du Lac Alaotra et du Nord-Ouest et ne concernent dans ces zones qu’une infime minorité de riziculteurs (respectivement 2,5% et 0,6%). Dans tout Madagascar, on compte actuellement 698 motoculteurs et 550 tracteurs. La bêche constitue le principal instrument de labour devant la charrue. Les reliefs très variés de Madagascar se prêtent plus facilement à la culture attelée qu’à la mécanisation (terrains pentus, petites superficies) qui ne concerne qu’une minorité d’exploitants (0,1 à 0,2% dans l’ensemble du pays). Les 613.596 houes rotatives, sont utilisées par moins de 15% des riziculteurs dont 38% se trouvent sur les Hauts Plateaux et 17% au Lac Alaotra.
Table des matières
LISTE DES ABRÉVIATIONS
LISTE DES TABLEAUX
LISTE DES FIGURES
LISTE DES ANNEXES
INTRODUCTION
1ère Partie : L’ÉTUDE DE LA PRODUCTION DE RIZ DANS LE TEMPS
Chapitre 1 : Histoire de l’organisation de la production de riz
Section 1 : Concept et définition
Section 2 : Avant la période coloniale
Section 3 : Après la période coloniale
Chapitre 2 : La production rizicole depuis l’indépendance
Section 1 : Analyse du volume de la production
Section 2 : Différentes stratégies relatives à la production rizicole
Section 3 : Le monde des techniques rizicoles
Chapitre 3 : Analyse de la défaillance de l’exploitation rizicole
Section 1 : Révolution verte à Madagascar
Section 2 : Défaillance de la politique du riz
Section 3 : Infrastructure – Équipement et type d’intrants
CONLUSION DE LA PREMIÈRE PARTIE
2è Partie : L’ADOPTION DE NOUVELLE TECHNIQUE RIZICOLE
Chapitre 1 : Nécessité de l’adoption de nouvelle technique rizicole
Section 1 : Surface et rendement de la production rizicole
Section 2 : Commercialisation et problème de prix
Section 3 : Problème d’autosuffisance alimentaire
Chapitre 2 : Technique rizicole améliorée : le SRI
Section 1 : Contexte favorable au SRI
Section 2 : Présentation du Système de Riziculture Intensive (SRI)
Section 3 : Analyse SWOT du SRI
Chapitre 3 : Suggestions et recommandations
Section 1 : Suggestions assignées aux paysans
Section 2 : Recommandations aux autorités respectives
CONCLUSION DE LA DEUXIÈME PARTIE
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES