Détermination de besoin en eau et adéquation aux ressources

CARACTERISTIQUE PHYSIQUE

L’étude de la caractéristique physique de la zone d’étude facilite l’étude de l’exploitation de ressources en eau. Il s’agit du climat, du relief, de l’hydrographie, de la géologie, de l’hydrogéologie, de la végétation et sol, et de la pluviométrie.

Climat 

Le climat de la région est de type tropical caractérisé par l’alternance de deux saisons tel que : Saison sèche de Mai à Octobre, Saison Humide de mois de Novembre et Avril.

Relief 

On distingue les basses et moyennes collines (Altitude décroissante vers l’Est).Elles sont séparées par un réseau de vallées peu profondes et parfois marécageuses.

Sol et Végétation 

Les sols sont de couleur noirâtre, ils présentent des dépôts ferrugineux de couleur rouille à la surface de l’eau. Les matières organiques y sont mal décomposées.
Les sols sont de type ferralitique jaune et rouge suivant l’ancienneté de mise en culture et la durée de mise en jachère. La teneur en matière organique peut varier de 1 à 6,5%. La forêt est de type ombrophile et elle est encore peu défrichée car l’habitat y est clairsemé. Seul le pourtour des cases est débroussaillé et quelques cultures vivrières (riz, manioc,) apparaissent.
Les forêts secondaires ou Savoka prennent place à la suite de disparition de la forêt naturelle par la fabrication de charbon ou bois de chauffe. Cette formation s’installe après une jachère plus ou moins longue.

Occupation de sol et végétation 

Manjakandriana est une commune où l’on peut trouverplusieurs forêts de drageon d’Eucalyptus.
Les terrains sont subdivisés en 3 types de couvertures végétales : les savanes herbeuses, les rizières et les forêts de drageons d’Eucalyptus.

Hydrographique 

Les cours d’eau sont nombreux pour la plupart à courant rapide sur la partie moyenne de leur cours avec de lit sur seuils de rochers.
Le débit des eaux est fortement lié à la pluviométrie et les rivières réagissent vite à celle-ci. Les crues sont soudaines et violentes pendant la saison de pluies.

Géologie 

La région est caractérisée par 2 types de sols tels que les sols latéritiques et zones d’alluvions pour les zones basses.

Hydrogéologie 

Aux alentours de la zone d’étude, on peut trouver cinq types de nappes ; dont :
Nappe des argiles latéritiques des interfluves (ou collines latéritiques) ;
Nappe des arènes grenues des interfluves (ou collines latéritiques) ;
Nappes des argiles sableuses des bas-fonds ;
Nappes des sables lavés des bas-fonds ;
Nappe de la zone fissurée sous les interfluves ou les bas-fonds.
Pluviométrie :
La pluviométrie moyenne est de 1 208, 23 mm, Le tableau suivant indique la pluviométrie moyenne mensuelle de la localité à étudier.

MILIEU HUMAIN ET SOCIO-ECONOMIQUE

Après avoir décrit le milieu physique du site Manjakandriana englobant la localisation, le climat et relief ainsi que l’occupation du sol, il paraît plus évident de présenter le milieu socio-économique
parlant de la démographie, exploitation agricole, autres secteurs d’activités, eau potable. Caractéristique démographie :
Le nombre total de la population dans cette Communeest de 27 741 dont 13 729 hommes et 13 femmes qui se répartissent dans plusieurs Fokontany. Huit Fokontany sont plus touchés par notre projet d’où ils méritent plus d’attention. Ci-après un tableau qui résume la caractéristique démographique de la population dans cette Commune.

Eau potable 

Au niveau de la commune Urbaine de Manjakandriana, l’AEPP de chaque Fokontany pourrait être assurée par un réseau d’adduction d’eau à gérer par le projet JIRAMA Ce réseau est composé d’une source de captage à Andranofotsy Ambony, un réservoir rectangle en béton armé, 49 BF. La non maîtrise de construction de branchements illicites est parmi les soucis principaux de cause de l’insuffisance de l’eau. La totalité de longueur des tuyaux d’amené est de 502 m et de distribution est de 10,325 kilomètres. Les caractéristiques desinfrastructures de ce réseau d’adduction d’eau potable sont reparties comme suit :
Capacité de réservoir 174 m3
Longueur : 8,70 m, Largeur : 6,45 m et Hauteur 3,10m.
Ce chapitre a mis en évidence la situation dans les Fokontany. Il se trouve dans la Commune Urbaine Manjakandriana, District Manjakandriana, Région d’Analamanga. Les activités principales de sa population sont l’Agriculture et l’Elevage. Les autres fokontany (Antsakambahiny, Fiadanana, Anosiarivo et Marinjara) n’ont pas d’accès à l’eau potable, mais ils existent des sources potentielles, et le reste (Ampiadianombalahy, Manakasikely, Manjakandriana et Volavy ont accès à l’eau potable par la compagnie JIRAMA. Le chapitre suivant évoque les études techniques de l’AEPP.

DETERMINATION DE BESOIN EN EAU ET ADEQUATION AUX RESSOURCES

La détermination de besoin en eau est estimée à partir des études démographiques de la population, la projection de la population avec un horizon du projet dont 15 ans. On calcule le besoin en eau de la population par chaque fokontany.

ANALYSE DE BESOIN EN EAU

Pour vérifier la quantité d’eau disponible de la ressource en eau du lac d’Andranofotsy Ambony face à la demande de la population, le calcul du besoin en eau est indispensable. Les besoins en eau de la population correspondent à la somme des consommations résidentielles, commerciales, ainsi que des pertes. Ces calculs de besoins en eau servent à déterminer les volumes prélevés pour chaque tranche d’heure, ainsi que le débit de pointe utilisé pour le dimensionnement du réservoir.

ETUDE DES RESEAUX D’AEP

L’étude des réseaux est nécessaire pour réaliser un projet d’Adduction en eau. L’altitude du captage est inférieure à celle du point du réservoir de stockage, alors l’eau se déplace grâce à la force de pompe dans les tuyaux en fonte.

CAPTAGE ET STATION DE POMPAGE

Le captage permet de recueillir l’eau brute de la source, à partir du système de puits captant. Dans cette étude, la construction du puits captant est la seule à effectuer pour la rétention de l’eau.
L’ouvrage est confectionné en voile béton armé avecune semelle et une dalle en béton armé.

Type de captage 

Il existe deux types de captage : le captage en sous-écoulement et le captage par prise directe. Le choix pour le projet d’AEPP de Manjakandriana est le captage par prise directe. Un puits captant a été installé sur le bord du Lac Andranofotsy pour pouvoir pomper l’eau de la ressource.
Dimensionnement du captage :
A partir du débit de pompage qui est de 13,98 L.s -1 . D’où la capacité de la chambre de captage doit être équivalente à 25 m 3 .h -1 .La conception du captage résulte d’un puits captant de diamètre 1 m et de profondeur de 1,60 m permettant de la décantation et la hauteur d’eau suffisante par le pompage.
Le volume du puits captant peut se calculer par :

Traitement de l’eau 

L’eau destinée à la consommation humaine doit être potable selon le code de l’eau (art .36). Pour garantir la qualité de l’eau, des analyses physico-chimiques et bactériologiques devront être effectuées avant la mise en œuvre des travaux.

Prélèvement d’eau brute 

Pour la réalisation des différentes analyses de l’eau, un prélèvement de deux échantillons a été fait le 14 Avril 2016. La prise d’échantillonnage s’est faite sur deux points différents du Lac Andranofotsy : sur le bord, partie Sud de la ressource et au niveau de l’ancien barrage de dérivationd’eau pour l’agriculture.

Mode opératoire des analyses 

L’équipement utilisé pour tester la qualité de l’eau est le «KIT DELAGUA » et des fiches d’investigations sanitaires seront remplies en se basant principalement sur les taux des coliformes totaux, des nitrates, des fluores L’eau est traitée pour éliminer les particules de bactérie, de microbe, et la matière solide ; suivant les paramètres d’aspect physiques, chimiques etmicrobiologiques ci-dessous.

L’analyse bactériologique s’effectue à l’Institut Pasteur de Madagascar

Selon les normes, une eau potable doit être exempte de germes pathogènes (bactéries, virus) et d’organismes parasites, car les risques sanitaires liés à ces micro-organismes sont grands. Elle ne doit contenir certaines substances chimiques qu’en quantité limitée : il s’agit en particulier de substances qualifiées d’indésirables ou de toxiques, comme les nitrates et les phosphates, les métaux lourds, ou encore les hydrocarbures et les pesticides, pour lesquelles des  » concentrations maximales admissibles  » ont été définies. À l’inverse, la présence de certaines substances peut être jugée nécessaire comme les oligo-éléments indispensables à l’organisme.
Une eau potable doit aussi être une eau agréable à boire : elle doit être claire, avoir une bonne odeur et un bon goût. Pour avoir bon goût, il lui faut contenir un minimum de sels minéraux dissous (de 0,1 à 0,5 gramme par litre), lesquels sont par ailleurs indispensables à l’organisme. Enfin, elle nedoit pas corroder les canalisations afin d’arriver « propre » à la sortie des robinets.

Station de traitement 

La station de traitement est une station qui sépare les substances indésirables, la station de traitement que nous avons réalisée est le décanteur/ filtre.
Les ouvrages de traitement de l’eau utilisés sont des différents éléments comme le gravillon, le sable.

Type de traitement adopté : décantation-filtration –stérilisation 

Le type de traitement adopté de cette étude du réseau d’AEP est la décantation-filtrationstérilisation ; La décantation –filtration est un traitement qui consiste en l’élimination ou le prélèvement des Matières En Suspension présentes dans l’eau. Le décanteur est un ouvrage permettant de retenir les MES dans une boite afin de les évacuer hors du réseau d’adduction. La chambre de filtration est en complément de la décantation. Une installation de massifs filtrant est nécessaire dans le filtre pour assurer la bonne qualité de l’eau à distribuer.
La stérilisationconcerne les éléments organiques susceptibles de contaminer la qualité de l’eau.
C’est une méthode qui permet l’inactivation des bactéries pathogènes dans l’eau pour une désinfection réussie.

Dispositif de Lavage de Main Scolaire 

Les DLM sont des ouvrages de puisage d’eau pour les établissements scolaires. Elles permettent aux élèves de pratiquer l’hygiène et l’assainissement en lavant leurs mains. Un DLM est composé d’une rampe, d’un guide canne, d’une guide roue, d’une maçonnerie de briques composée d’un espace de rotation, de quatre robinets dont trois se trouvent sur l’évier et un robinet libre, d’un puisard d’évacuation d’eau, et d’une chambre de vanne. Les DLM sont aussi accessibles à tous les élèves même les handicapés. Cinq DLM seront implantés dans le Commune Manjakandriana. Le plan de ces DLM est identique.
Il est présenté dans l’Annexe 06 de ce document.
Un projet d’Adduction d’Eau Potable est nécessaire pour améliorer les modes de vie de la population, et avoir de l’Eau potable, affaiblir les agents entrainant les maladies diarrhéiques et hydriques. Pour les habitants soient en bonne santé, un projet d’assainissement et hygiène est indispensable. Le chapitre qui suit abordera ce projet avec l’étude de gestion et entretien duréseau.

Système de gestion du projet 

Cette sous partie présente permet de savoir le système de gestion du projet d’AEP des Fokontany Il est divisé en trois parties afin de le développer :tout d’abord le type de gestion adopté pour le site, ensuite la mise en place des différentes structures au service de l’eau, et enfin la formation des techniciens locaux.

Structure de gestion proposée à la JIRAMA 

La mise en place de structure simplifiée mais étudiée de manière professionnelle permet d’avoir une efficacité sur le plan de pérennisation du système et sur sa viabilité. Cette structure de gestionest composée d’équipe de salariés en charge de la gestion du système.
Les salaires sont estimés comme suivant pour chaquepersonnel constituant la structure:
Gérant et gestionnaire : 600 000 Ar / mois
Responsable d’agence/caissier : 400 000 Ar / mois
Technicien réparateur/releveur : 200 000 Ar / mois
Aide technicien : 150 000 Ar / mois
Mise en place Comité de l’eau ou comité de point d’eau :
La mise en place d’un Comité de l’Eau (CE) permet de gérer les kiosques à eau. Le Comité de l’Eau est une association à but non lucratif c’est-à-direqui ne cherche pas de profit. Il doit être formel et légal envers l’Etat. Les membres de cette association ne travaillent pas pour le salaire. Ils travaillent pour assurer le bon fonctionnement du système. Les membres de la CE sont élus par lesbénéficiaires en eau. La figure suivante représente la composition d’une CE.

Formation du technicien 

Le Comité de l’Eau (CE) est besoin des techniciens locaux pour la gestion et l’entretien des ouvrages. Le concessionnaire n’intervient plus dansl’entretien du réseau. Les infrastructures seront sous la responsabilité de la communauté après la réception. Il est donc important de former des techniciens locaux pour assurer le fonctionnement du réseau et pour la gestion et l’entretien des ouvrages.

ORGANISATION DES ENTRETIENS

La négligence des différents entretiens pour l’Adduction d’Eau Potable (AEP) provoque de reconstruction et de mise en état de l’ouvrage trèscouteux, et aussi une influence défavorable sur le développement des Fokontany. D’une manière générale, on distingue l’entretien courant et l’entretien périodique.

ENTRETIEN COURANT

Les entretiens courants sont les entretiens simples, mais très dispersés qui exigent une main d’œuvre qualifiée. L’opération pour l’entretien courant doit être réalisée au moins une fois par an.
Le maintien en bonne état de tout ce qui est à l’extérieur de l’ouvrage est ce qu’il faut faire en entretien courant.

ENTRETIEN PERIODIQUE

C’est l’opération qui est réalisée sur une section de l’ouvrage, suivant une période d’un certain nombre d’années exemple entretien périodiques pour chaque 5ans. Il s’agit généralement de travaux de plus grande ampleur exigeant un équipement spécialisé et une main-d’œuvre qualifié.
L’entretien périodique concerne les travaux de conservation des matériaux constituant l’ouvrage en effectuant des visites périodiques dont les points a examiné sont les propretés de l’ouvrage, état de toute maçonnerie et béton, armatures apparentes ou corrasion des armatures. Ces opérations sont coûteuses d’où la nécessité de soin et de planification.

Entretien des ouvrages 

Tôt ou tard, le système serait endommagé. Ce qui explique la nécessité de l’entretien des ouvrages pour que le réseau soit toujours fonctionnel et que les bénéficiaires puissent bénéficier de l’eau potable pour satisfaire leurs besoins.
En réalité, il y a trois types d’entretien : l’entretien préventif, l’entretien correctif, et l’entretien d’urgence. La détermination du type d’entretien est en fonction du temps et les caractéristiques des ouvrages. Par exemple, l’entretien préventif est toujours réalisé suivant une date déterminée (par semaine ou par mois). Il s’agit d’un entretien correctif si les parties ou les enduits des ouvrages sont endommagés. Si le réseau est en panne et que l’eau n’arrive pas dans les points d’eau, il s’agit d’un entretien d’urgence.
Il est à rappeler que les techniciens locaux sont les responsables de l’entretien du réseau. Ils n’arrivent pas tous seuls à assumer ces responsabilités sans l’aide des bénéficiaires. Donc, l’entretien des ouvrages nécessite une collaboration et une coopération entre les bénéficiaires et les techniciens locaux.
Les techniciens locaux doivent avoir un planning de travail pour la vérification et l’entretien des ouvrages.

PERENNISATIONS DE RESEAU

Pour pérenniser un réseau d’Adduction d’Eau Potable(AEP), il faut se contenter sur les travaux de réalisation. Il faut trouver des méthodes adoptées à la pérennisation du réseau pour que son fonctionnement soit parfait.

TEXTE REGLEMENTAIRE SUR LA DELIMITATION DE PERIMETRE DE PROTECTION

Dans l’article n° 01, le texte réglementaire sur la délimitation de périmètre de protection est pour la protection des points de prélèvements des eaux destinées à la consommation humaine et autour des points de captage d’eau tels que sources, ainsi qu’ouvrages de prise, d’adduction et de distribution d’eau à usage alimentaire.

MISE EN PLACE DU PERIMETRE DE PROTECTION

La mise en place de périmètre de protection est institué deux périmètres et le troisième périmètre.
Le périmètre de protection immédiate a pour fonctions de protéger les ressources en eau, d’empêcher la détérioration des ouvrages de prélèvement et de l’environnement, et d’éviter que des déversements ou des infiltrations de substances polluantes se produisent à l’intérieur ou à proximité immédiate du captage. Le périmètre de protection immédiate doit se faire en même temps que l’installation du point d’eau, et chaque périmètre doit avoir sa propre réglementation.
Le périmètre de protection rapprochée a pour fonction de protéger efficacement le captage vis à vis de la migration souterraine des substances polluantes.
Le périmètre de protection éloignée prolonge éventuellement le précédent pour renforcer la protection contre les pollutions permanentes ou diffuses. Il sera créé si l’on considère que l’application de la réglementation générale, même renforcée, n’est pas suffisante, en particulier s’il existe un risque potentiel de pollution que la nature des terrains traversés ne permet pas de réduire en toute sécurité, malgré l’éloignement du point deprélèvement.
Le dernier chapitre est très important car il présent l’étude de gestion et entretien du réseau. Finalement, le projet d’AEP des fokontany s’avère utile, une bonne gestion est indispensable pour la pérennité de tous les ouvrages, et la mise en place du périmètre de protection, la mise en place du comité de point d’eau.

Table des matières

Introduction
Chapitre I. GENERALITES
I.1 FORMALITE DE STAGE
I.1.1 Liste
I.1.2 Bureau d’études SEHATRA
I.2 DESCRIPTION DE LA ZONE D’ETUDE
I.2.1 Localisation de site
I.2.2 Caractéristique physique
I.2.3 Milieu humain et socio-économique
Chapitre II. ETUDE TECHNIQUE DE L’AEPP 
II.1 RECONNAISSANCE DU TERRAIN ET ENQUETES
II.1.1 Enquêtes
II.1.2 Etude topographique
II.1.3 Etude des ressources en eau
II.2 DETERMINATION DE BESOIN EN EAU ET ADEQUATION AUX RESSOURCES
II.2.1 analyse de Besoin en eau
II.2.2 Adéquation des ressources-besoins
II.3 ETUDE DES RESEAUX D’AEP
II.3.1 Captage et station de pompage
II.3.2 Réseaux d’Amenée et de distribution
II.3.3 Etude des ouvrages
Chapitre III. ETUDE DE GESTION ET D’ENTRETIEN DU RESEAU
III.1 ETUDE DE TARIFICATION
III.1.1 Structure des coûts
III.1.2 Type de délégation de gestion
III.2 ORGANISATION DES ENTRETIENS
III.2.1 Entretien courant
III.2.2 Entretien périodique
III.3 PERENNISATIONS DE RESEAU
III.3.1 Texte réglementaire sur la délimitation de périmètre de protection
III.3.2 Mise en place du périmètre de protection
Conclusion 
Annexe
Bibliographie et Webographie 

projet fin d'etude

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