Cours pdf base de données relationnelles, tutoriel & guide de travaux pratiques en pdf.
SGBD (2)
Il permet à des utilisateurs de créer et maintenir une base de données. Les activités supportées sont la définition d’une base de données (spécification des types de données à stocker), la construction d’une base de données (stockage des données proprement dites) et la manipulation des données (principalement ajouter, supprimer, retrouver des données).
Base de données = Fichiers ? (1)
Travailler directement sur un fichier présente plusieurs inconvénients :
Manipulation de données lourde et compliquée. Il faut être expert en programmation
Le programmeur doit connaître la localisation physique des fichiers, la structure physique des enregistrements, le mode d’accès à ces fichiers
Toute modification de la structure des enregistrements (ajout d’un champ par exemple) entraîne la réécriture de tous les programmes qui manipulent ces fichiers
Base de données = Fichiers ? (2)
Un SGBD est un intermédiaire entre les utilisateurs et les fichiers physiques
Un SGBD facilite
la gestion de données, avec une représentation intuitive simple sous forme de tables.
la manipulation de données. On peut insérer, modifier les données et les structures sans modifier les programmes qui manipulent la base de données.
Objectifs des SGBD (1)
Faciliter la représentation et la description de données.
Plus besoin de travailler directement sur les fichiers physiques (tels qu’ils sont enregistrés sur disque). Un SGBD nous permet de décrire les données et les liens entre elles d’une façon logique sans se soucier du comment cela va se faire physiquement dans les fichiers. On parle alors d’ image logique de la base de données, (ou aussi description logique ou conceptuelle ou encore de schéma logique). Ce schéma est décrit dans un modèle de données par exemple le modèle de tables, appelé le modèle relationnel.
Faciliter la manipulation en travaillant directement sur le schéma logique. On peut insérer, supprimer , modifier des données directement sur l’image logique. Le SGBD va s’occuper de faire le travail sur les fichiers physiques
Permettre l’ajout des contraintes permettant d’avoir à tout instant des données cohérentes par exemple l’âge d’une personne supérieur à zéro, salaire supérieur à zéro, etc. Dès que l’on essaie de saisir une valeur qui ne respecte pas cette contrainte, le SGBD le refuse
Efficacité des Accès (Temps de réponse & débit global).
Trois Fonctions d ’un SGBD
Description des données :codification structuration, grâce Langage de Description de Données (LDD)
Manipulation et restitution des données (insertion, mise à jour, interrogation)
mise en œuvre à l ’aide d ’un Langage de Manipulation de Données (LMD)
S.Q.L (Structured Query Language) : Langage standard
Contrôle (partage, intégrité, confidentialité, sécurité
Définition et description des données :
niveau logique (conceptuel)
Permet la description
• des objets : exemple OUVRAGES, ETUDIANTS
• des propriétés des objets (attributs) : exemple cote de OUVRAGES, Titre de OUVRAGES, nombre d’exemplaires etc.
• des liens entre les objets : un OUVRAGE peut être emprunté par un ETUDIANT
• des Contraintes : le nombre d’exemplaires d’un OUVRAGE est supérieur à zéro
Cette description est faite selon un modèle de données.
Un modèle de données est un ensemble de concepts permettant de décrire la structure d’une base de données. La plupart des modèles de données incluent des opérations permettant de mettre à jour et questionner la base. Le modèle de données le plus utilisé est le modèle relationnel,
Cette description va donner lieu à un schéma de base de données. Un schéma de base de données se compose d’une description des données et de leurs relations ainsi que d’un ensemble de contraintes d’intégrité.
Définition et description des données :
Niveau physique
Description informatique des données et de leur organisation : en terme de fichiers, d ’index, de méthodes d’accès, …
Passage du modèle logique au modèle physique tend à être assisté par le SGBD : transparent et/ou semi-automatique.
1. Notions de base
2. Modèle relationnel
3. SQL