1 – RECOMMANDATIONS
2 – ASSEMBLAGE D’UN PC MULTIMEDIA EN KIT
2.1 CONFIGURATION TYPE
2.2 LES DIFFERENTES ETAPES A REALISER
2.3 CONFIGURATION DE LA CARTE MERE
2.3.1 Exemple : carte mère 486 VLB
2.3.2 Mise en place des cavaliers de configuration
2.3.3 Ajout de barrettes mémoire
2.3.4 Installation du processeur
2.4 PREPARATION DU BOITIER
2.4.1 Réglage de l’afficheur
2.4.2 Installation des différents connecteurs
3 – GENERALITES SUR L’INSTALLATION D’UNE CARTE D’EXTENSION
3.1 INTRODUCTION
3.2 GENERALITES
3.2.1 Installation matérielle
3.2.2 Installation logicielle
4 – INSTALLATION D’UNE CARTE VIDEO
4.1 MISE EN ŒUVRE MATERIELLE
4.2 INSTALLATION LOGICIELLE
5 – INSTALLATION D’UNE CARTE MULTI I/O
5.1 MISE EN OEUVRE MATERIELLE
5.2 MISE EN ŒUVRE LOGICIEL
5.3 INFORMATION SUR LES DIFFERENTS MODE DE FONCTIONNEMENT DES PORTS // ACTUELS
6 – INSTALLATION D’UNE CARTE SON
6.1MISE EN OEUVRE MATERIELLE
6.1.1 Configuration de la carte
6.1.2 Connexion aux périphérique
6.3 MISE EN OEUVRE LOGICIELLE
7 – INSTALLATION D’UNE CARTE MODEM/FAX
7.1 CHOIX CONSEILLE
7.2 MISE EN OEUVRE MATERIELLE
7.3 MISE EN OEUVRE LOGICIELLE
8 – INSTALLATION D’UNE CARTE SCSI
8.1MISE EN OEUVRE MATERIELLE
8.2 MISE EN OEUVRE LOGICIELLE
9 – INSTALLATION D’UNE CARTE RESEAU
9.1MISE EN OEUVRE MATERIELLE
9.2 MISE EN OEUVRE LOGICIELLE
ANNEXES
FICHES DE CONFIGURATION
RECOMMANDATIONS
L’installation physique de périphériques requiert une haute technicité. L’observation et l’ordre sont à proscrire dans ce domaine. Voici la profession de foi d’un TMSI installateur qui rassemble les principes de base à respecter.
« Je ne lis ni ne parcours jamais la documentation fournie avant de démonter le capot de la machine.
Je considère suspecte toute documentation en anglais et je me méfie tellement des dictionnaires que j’égare régulièrement le mien.
Je commence d’ailleurs par jeter toute documentation technique fournie et je ne fais confiance qu’à mon intuition.
Je ne débranche pas les cordons d’alimentation (après tout, je sais où je mets mes doigts).
J’ai même un faible pour les blocs d’alimentation électrique ou les tubes cathodiques et leur très haute tension (THT).
Un bon couteau suisse vaut mieux qu’une collection de tournevis adaptés.
Je n’observe jamais rien, je démonte les pièces les yeux fermés (il faut dire que j’étais un as du Mécano).
J’éparpille consciencieusement les vis et autres rondelles : une vis en vaut bien une autre et on se débrouillera toujours pour remonter.
Je place les cavaliers (« jump » ou « jumper ») au petit bonheur la chance car elle est avec moi (d’ailleurs, en cas d’erreur, il est rare de griller le processeur ; seule la carte devient inutilisable et on peut toujours incriminer un défaut de fabrication).
Je n’agis pas de même avec les micro-interrupteurs (« dip-switch » ou « switch ») : je les ignore consciencieusement car ils sont toujours pré-réglés en usine. Si une carte refuse de s’insérer dans son connecteur (« slot »), je force un peu plus; ça passe ou ça casse mais il faut que ça dise pourquoi.
Je garde ma cigarette à la bouche pendant les opérations à coeur ouvert: il y a déjà tellement de poussières là-dedans que les cendres passent inaperçu.
Après insertion des cartes, je remonte au plus vite avant de tester.
D’ailleurs, si le temps presse, je ne teste pas car, je vous l’ai dit, la chance est avec moi.
C’est fou le nombre de vis et petites pièces qui me restent quand j’ai tout remonté; on ne croirait jamais qu’ils en mettent tant dans ces petites machines pleines de vide.
Si d’aventure, la machine remontée refuse de fonctionner correctement, je commence par la brutaliser un peu; il n’y a rien de tel contre les faux contacts.
Si par malheur le mal persiste, je re-démonte le capot et force un peu sur les différents éléments ; pourquoi perdre du temps à essayer d’isoler et reproduire le dysfonctionnement ?
Moi, j’installe le « hard » ; pour ce qui est des logiciels d’accompagnement, le client se débrouillera bien et s’il a besoin de reconfigurer son système, il verra ça au téléphone avec le commercial. »
……
Assemblage d’un PC (925 KO) (Cours PDF)