Met en évidence tout de suite les CF disponibles. Il se prête bien à l’analyse, la prévision…Il a été remis en avant en 1999.
3 atouts :
– il informe sur la capacité de l’entreprise à générer la trésorerie
– il est bien adapté à la forme prévisionnelle
– il permet des comparaisons dans le temps car les disponibilités sont l’indicateur qui est le moins affecté par le retraitement.
Ce tableau est construit dans la même logique que le bilan fonctionnel (exploitation, investissement, financement). On va travailler sur la variation de ces postes entre le début et la fin de l’année, ce qui me permet de savoir de quoi est constituée ma trésorerie.
Le Conseil National de la Comptabilité a donné la possibilité de deux modèles :
Modèle 1 : comprendre l’exploitation à partir du résultat net, plus proche de ce que proposent les experts comptables
Modèle 2 : à partir du résultat d’exploitation, plus proche des concepts anglo-saxons.
Le référentiel IAS les appelle autrement :
Modèle 1 = « méthode indirecte »
Modèle 2 = « méthode directe »
Dans les comptes consolidés je vais tenir comptes :
– des dividendes
– des variations de devises
– des impôts différés
– du périmètre de consolidation
qu’est-ce que j’entends par trésorerie ?
ce sont les disponibilités et équivalent. C’est en fait :
– les comptes en caisse
– les comptes à vue
– les comptes à terme (< 3 mois)
– les VMP sans risque
– moins les soldes créditeurs en banque et les intérêts courus non échus
Pour ce qui est des concours bancaires, ils sont considérés comme des financements. C’est donc exactement la même logique que la norme IAS 7 et FAS 95.
Cours diagnostic financier (120,00 KO) (Cours DOC)