Contribution de l’agriculture au développement

Agriculture et théorie sur la contribution de l’agriculture au développement économique d’un pays 

L’activité de l’homme commence par l’exploitation des ressources naturelles pour survivre. La sache et la cueillette se transforme en agriculture par domestication des animaux et des plantes sauvages. La terre est donc le principal moyen en cultivant et aussi pour l’élevage.

Définition, approche historique et type des agricultures

Définition de l’agriculture 

« L’agriculture est l’activité économique ayant pour objet la transformation et la mise en valeur du milieu naturel afin d’obtenir les produits végétaux et animaux utiles à l’homme, en particulier, ceux destinés à son alimentation. »  L’agriculture est la première activité de l’homme ; elle consiste à cultiver la terre pour avoir des aliments ; des nourritures ou encore des matières premières. L’agriculture est un processus par lequel les êtres humains aménagent leurs écosystèmes et contrôlent le cycle biologique d’espèces domestiquées dans le but de produire des aliments et d’autres ressources utiles à la société. Elle désigne l’ensemble des savoirs faire et activités ayant pour objet la culture des sols, et, plus généralement, l’ensemble des travaux sur le milieu naturel permettant de cultiver et prélever des êtres vivants utiles à être humain.

Histoire des agricultures du monde  origine et expansion de l’agriculture 

Depuis 10000 ans avant jésus christ dans quelques rare des pays d’Asie et d’Amérique de communauté de chasseur de pêcheur et de cueillette se transforme d’elle-même en société d’agriculteur. Ils disposaient des outils comme la hache ; des herminettes à pierre poli ; des faucilles à moissonner et des pierres à moudre. pour obtenir des nourritures suffisants en diminuant le temps nécessaire pour les avoir ; les êtres humains essayaient la domestication des animaux et de culture des plantes. la société prédateurs en société d’agriculteurs . c’est l’origine de société agricole. L’activité des êtres humains s’entend progressivement partout la planète en pratiquant la culture sur abatis-qui brulis. Ce mode de culture règne dans des zones boisés durant des millénaires ; et aussi sur la plupart des régions tropicales et tempérées de la planète. Le foyer de cette mode de culture est commencé en Moyen- orient, en chine et au Mexique. Le premier bouleversement écologique de l’histoire s’apparait alors sur les zones boisées et cultivées au paravent dû à la culture sur abatis-brulis.  différenciation de l’agriculture du monde à la suite de la déforestation Des nouveaux outils et des pratiques agricoles ont résolu ce problème ecologique.et ce mode d’agriculture est différent selon les régions Les agricultures hydrauliques des régions arides les nappes souterraines et les fleuves approvisionnent l’eau pour la culture irriguée en utilisant la méthode d’adduction d’eau ou des culture de décrue en utilisant l’eau accumulé durant l’accrue de fleuve .cette phénomène permet la grande hydro-agricole de la Mésopotamie, dans les vallées de l’Indus et du Nil. Les rizicultures hydrauliques des régions tropicales humides sont marquées par le développement de civilisation hydro-rizicole qui permet l’aménagement à des casiers contigus échelonnés de la courbe de niveau; des terrasses en escalier courant le long de versant et des collines approvisionnées en eau par des systèmes d’irrigation complexe. En fin il‘y a les cultures à la houe des savanes intertropicales où les agriculteurs appliquent le système à la houe pour défricher et cultiver la terre après brulage des herbes. Pour fertiliser le sol, pour les zones à bétails plus nombreux (Afrique de grand lac et soudan) la conduite du troupeau pâturant sur les savanes, puis déposant leur déjection sur les terres de cultures admet la concentration de fertilité du sol.  les grands traits de l’agriculture de l’Europe

 1° Culture avec jachère et élevage associés à l’antiquité

 La fertilité des sols dans la culture avec jachère dépend par les pâturants des animaux qui déposent leurs déjections. Mais dans les régions tempérées froide la fumure était fortement limitée par le faible nombre d’animaux pouvant passer l’hiver. Les paysans ne peuvent pas réserver des foins pour alimenter les bétails durant la mauvaise saison car ils ne disposent que des faucilles de coupe l’herbe. Alors la terre est mal défrichée et mal fumée faute de fumure ; les rendements devenaient donc faibles. La production céréalière n’arrive pas soutenir l’autoconsommation. La famine existait tout au long de l’antiquité. 

 2° La révolution agricole du moyen – âge 

À partir de l’an 1000 avec l’essor des industries du fer et de l’acier (sidérurgie) et des nouveaux outils agricoles en moitié nord de l’Europe, les pratiques agricoles (culture et élevage) ont connus un grand changement. Les animaux peuvent passer à l’étable même si durant la période d’hiver. Les fumiers sont augmenter et grâce à la présence des charrettes qui permet de transporter les fumiers de l’étables vers les jachères. Durant la période de moyen âge les agriculteurs utilisent des matériels agricoles ; la traction animale légère qui étend la terre cultivable. On rappelle que la période de l’antiquité est marque par l’esclavage mais le cout de main d’œuvre augmente suite à la guerre esclavagiste. L’investissement en matière agricole et la traction animale devient plus rentable ce qui différencie la période de moyen âge celle de l’antiquité. Grâce à la charrue ; des zones froides ont devenu exploitable et les foins permettaient l’abondance de fumier pour la fertilité de sol. La production augmente et les disettes et la famine deviennent rare de l’an 1000 à 1300 dans la moitié nord de l’Europe. La population a pu nourrit presque triplé et elle élargit leurs activités vers le secteur non agricole comme l’architecture ; l’artisanat et culturel. Au XIVème siècle les êtres humains sont très accroit et la production n’arrive plus à suivre cette croissance d’ où la famine et la maladie atteignent la population.