Classification des oiseaux
La classification des oiseaux est actuellement à un stade de remaniements profonds. De nouvelles techniques et particulièrement celles qui permettent de comparer les A.D.N. des différentes familles et même des espèces indiquent qu’il est nécessaire d’apporter des modifications importantes à la classification traditionnelle.
Les oiseaux forment la classe Aves du phylum des chordés. Dans cette classe les oiseaux ont été divisés en deux sous-classes: les archaeornithes incluant Archaeopteryx et des oiseaux fossiles à dents comme Hesperonis et les neornithes qui comprennent tous les autres.
Ce dernier groupe à été divisé à son tour en deux superordres: les paléognanthes et les néognanthes. Les premiers comprennent les grands oiseaux incapables de voler comme l’Autruche, alors que les seconds comprennent tous les autres oiseaux actuels. Cette division repose essentiellement sur la structure du palais osseux.
Il existe un peu plus de 9000 espèces d’oiseaux actuels réparties entre 28 et 30 ordres. Au sein des néognanthes, l’ordre des passériformes en contient plus de la moitie à lui seul. On le désigne par le nom des passereaux et on trouve parmi eux des oiseaux comme les grives ou les mésanges. L’ensemble des autres ordres est souvent désigné sous le nom des non-passereaux. Superordre des Paléognathes : Comprend cinq ordres différents. On appelle souvent les quatre premiers ordres des ratites « radeau ». Struthioniformes : L’Autruche. Grands oiseaux africains incapables de voler. Rhéiformes : Nandous. Grands oiseaux sud-américain, incapable de voler. Casuariformes : Cet ordre comprend deux familles : les dromaiidés et les casuariidés, Grand oiseaux, incapables de voler.
Aptérygiformes : Kiwis. Oiseaux incapables de voler de taille moyenne. Tinamiformes : Tinamous. Oiseaux d’Amérique centrale et du Sud. Il s’agit peut être d’un groupes d’oiseaux primitif. Superordre des Neognathes : Comprend 28 ordres différents : Sphéniciformes : Manchots. Oiseaux marins hautement spécialisés de l’hémisphère sud, et dont les ailes sont modifiées en aillerons propres à la nage.
Gaviiformes : Plongeons. Oiseaux aquatiques, nichant aux hautes latitudes de l’hémisphère sud. Ils se reproduisent en générale en eau douce, mais passent l’hiver en mer.
Podicipédiformes : Grèbes. Oiseaux plongeurs de taille moyenne à petite. Tous nichent en eau douce, mais beaucoup hivernent en mer.
Procellariiformes : Procellariens. Grand groupe d’oiseaux marins, comprenant quatre familles. Ils possèdent un humérus long, et ce sont leurs grandes ailes qui confèrent aux albatros. Les quatre familles sont très semblables en ce qui concerne la reproduction.
Pélécaniformes : Autre grand groupe d’oiseaux marins, regroupant six familles. Ces familles sont trop petites, sauf celle des cormorons. Tous les oiseaux sont des piscivores, et la plupart sont des marins. Ciconiiformes : Ordre important comprenant de grands échassiers. Ansériformes : Grande famille regroupant les canards, les oies et les cygnes qui ensemble constituent la famille des anatidés, ainsi qu’une petite famille, les anhimidés.
Falconiformes : Très grand ordre comprenant cinq familles. Galliformes : Gallinacés. La plupart des espèces de cet ordre vaste sont des végétariennes vivant au sol. Gruiformes : Ordre complexe, ne comportant pas moins de douze familles. Charadriiformes : Cet ordre, vaste et largement répondu, se divise en trois sous- ordres.
Ptéroclidiformes : Gangas. Confinés dans les zones sèches de l’Ancien monde. Columbiformes : Pigeons et tourterelles. Les Columbiformes constituent un ordre vaste et à distribution mondiale. Psittaciformes : Perroquets, y compris les loris, les perruches, les cacatoès et les aras, habitant presque tous les tropiques.
Trogoniformes : Cet ordre modeste ne comprenant que la seule famille des trogonidés. Coraciiformes : Ce grand ordre comprenant neuf ou dix familles.
Piciformes : Cet ordre contient une grande famille notamment celle des picidés, une famille moyenne (les bucconidés), ainsi que quatre autres petites familles. Passériformes : De loin le plus vaste ordre d’oiseaux, comprenant quelque 60 % des espèces connues .
Les Ciconiiformes
Ordre important comprenant de grands échassiers se nourrissant essentiellement de poissons, d’amphibiens et d’insectes comme des criquets comprend trois familles principales: ardéidés (hérons et butons), ciconiidés (cigognes) et threskiornithidés (ibis et spatules), ainsi que deux familles comprenant une espèce chacune, les scopidés (ombrette) et les balaenicipitidés (balaeniceps), et enfin une petite famille des phoenicoptéridés (flamants).
Les origines de cet ordre ont fait l’objet de bien de discussions, et il est possible que toutes les espèces que l’on y a placées ne soient pas étroitement apparentées. On a supposé des affinités avec les pélécaniformes et les gruiformes .
Les Flamants : Les flamants forment un groupe très particulier d’oiseaux qui se nourrissent par filtrage. Leurs relations avec les autres groupes ont fait l’objet de débats passionnés, et on les considère souvent comme constituant un chaînon entre les hérons et les ansériformes. Il semble maintenant que leur proche ancêtre fut l’oiseau fossile Presbyornis, un limicole primitif et qu’on doit les considérer comme un rameau détaché tôt du groupe d’oiseaux qui fut à l’origine des échassiers et des avocettes .
Les flamants sont des oiseaux aquatiques extrêmement grégaires, plutôt prudents, se laissant rarement approcher de prés qui pâturent dans les eaux peu profondes pour se nourrir. Ce sont de grands oiseaux qui fréquentent les eaux côtières et les lacs peu profonds, surtout ceux ayant de fortes concentrations de sels alcalins ou non parce que ce type de milieu contient suffisamment de plancton (insectes, crustacés minuscules et plantes). Ces oiseaux doivent leur couleur rose, plus ou moins marquée, à des petits crustacés qui sont à la base de leur alimentation. Ces oiseaux, très tributaires de cette alimentation très spécifique, ne nichent que lorsque cette ressource est suffisamment abondante .
Systématique : Il existe cinq espèces de flamants dans le monde: les deux premières habitent les lacs des hauts plateaux des Andes et de l’Amérique du Sud ; la troisième se trouve dans les régions chaudes comprises entre Madagascar, Ceylan et les îles Galápagos; la quatrième habite l’Europe méridionale et l’Afrique ; la cinquième est le petit flamant ou flamant nain.
Le Flamant des Andes: (Phoenicoparrus andinus) et le Flamant de James (Phoenicoparrus andinus jamesi) habitent exclusivement les lacs salés andins de haute altitude (souvent plus de 3000m, en Amérique du Sud). Les effectifs de ces espèces sont estimés à 100 000 et 50 000 individus respectivement.
Le Flamant du Chili: (Phoenicopterus chilensi) occupe la partie sud de l’Amérique du sud et fréquente aussi bien des lacs situés au niveau de la mer que ceux des hauts plateaux de la cordillère des Andes. Les effectifs de cette espèce sont estimés à 500 000 individus.
Le Flamant des Caraïbes: (Phoenicopterus ruber) est présent sur les îles de la mer des Caraïbes, au Mexique, sur la côte nord de l’Amérique du sud (Venezuela et Colombie) et sur les îles Galápagos. Les effectifs seraient de l’ordre de 90 000 individus.
Le Flamant nain: (Phoenicopterus minor) occupe l’Afrique de l’Ouest, l’Afrique australe et l’Asie mineure. Il serait le Flamant le plus abondant au monde avec près de 3 millions d’oiseaux. Le Flamant rose : (Phoenicopterus roseus) se trouve dans Le bassin méditerranéen, l’un des plus beaux et les plus prestigieux oiseaux du monde. Chez l’adulte le rose domine dans son plumage. D’instinct grégaire, il fréquente habituellement des lagunes d’eau saumâtre ou salée de faible profondeur, ils se nourrissent en marchant. Les deus sexes sont semblable, et ne peuvent être distingués l’un de l’autre que par la différence de taille.
Description du Flamant rose
A première vue, le Flamant rose ressemble à une cigogne avec ses longues pattes et son long cou. Mais la cigogne n’a pas de pattes palmées. En regardant mieux, le flamant rose s’apparenterait plutôt à une oie dont le cou et les pattes seraient exceptionnellement allongées.
Les taxonomistes qui classifient les espèces se sont heurtés à cette difficulté : comment classer le flamant rose dans l’un des 18 ordres qui englobe la totalité des espèces d’oiseaux du monde. Des recherches récentes effectuées sur la structure osseuse des flamants rose, montrent qu’ils ont un ancêtre commun avec les échassiers, et plus particulièrement avec les échasses d’Australie. Les flamants sont si singuliers par leurs mœurs et leur anatomie qu’ils méritent une classification propre. Le flamant possède des spécificités qui lui donnent une place à part. La forme de son bec et sa façon de se nourrir est tout à fait particulière. Il peut vivre dans des zones sur-salées grâce à une glande qui lui permet d’évacuer le sel par les narines .Par ailleurs, il est une des rares espèces à élever ses poussins en crèche.
Les flamants roses sont des oiseaux qui se nourrissent en filtrant l’eau, et leur régime alimentaire est composé de petits invertébrés, tels que des insectes et des crustacés qu’ils trouvent dans les lacs peu profonds d’eau salée ou saumâtre. Les espèces les plus consommées appartiennent au genre Artemia. Les flamants roses vivent longtemps, l’âge maximum enregistré étant de 40 ans à l’état sauvage et de 60 ans en captivité (Johnson 2000). Le dimorphisme sexuel est prononcé, et la taille et le poids des mâles sont en moyenne de 20 % plus grand que ceux des femelles.
Ce sont des monogames saisonniers, avec un fort taux de changement de partenaire (98,3%) d’une saison de reproduction à la suivante (Cézilly et al. 1995). La reproduction est bien souvent irrégulière, y compris sur les sites favoris (Johnson 1997b) – essentiellement du fait des fluctuations du niveau d’eau qui est une caractéristique des zones tropicales et subtropicales .
La reproduction se déroule au sein de colonies denses comportant habituellement plusieurs milliers de couples (Cézilly et al. 1994). Chaque couple reproducteur produit un seul oeuf, et les deux partenaires participent à l’incubation et à l’élevage du poussin (Cézilly 1993). Une dizaine de jours après l’éclosion, les poussins sont réunis en crèches (Cézilly et al. 1994), au sein desquelles ils demeurent parfois même après avoir acquis leur plumage, jusqu’à l’âge de 100 jours (Del Hoyo et al. 1992). Une fois capables de voler, les jeunes sont en mesure de couvrir des distances supérieures à 1000 km d’une seule traite .
Depuis 1977 en Camargue (sud de la France), depuis 1986 à Fuente de Piedra (Espagne) et depuis 1993 à Molentargius (Italie), les poussins sont marqués à la fin de chaque période de reproduction à l’aide de bagues portant un code alphanumérique individuel (Johnson 1986). Les observations à long terme de ces individus bagués le long des côtes ouest – méditerranéennes et ailleurs ont permis un premier aperçu des facteurs affectant la survie, la reproduction et les déplacements des flamants roses.
La survie du Flamant rose
Les informations disponibles sur les survies des juvéniles et immatures sont peu nombreuses. Les estimations produites par des travaux antérieurs sont peu fiables du fait de la méthodologie employée (Johnson et al. 1991) ou de la trop faible étendue du territoire géographique couvert, ce qui entraîne une sous-estimation des valeurs calculées (Lebreton etal. 1992).
Toutefois, d’après des études détaillées réalisées en Camargue, l’âge (Lebreton et al. 1992, Tavecchia et al. 2001a), les sites d’hivernage (Johnson et al. 1991), la sévérité des conditions météorologiques hivernales (Johnson et al. 1991, Lebreton et al. 1992, Cézilly et al. 1996, Tavecchia et al. 2001a) et le sexe (Tavecchia et al. 2001a) constituent des facteurs importants pesant sur la survie des adultes.
Au sein de la population adulte, les individus plus âgés survivent mieux que les plus jeunes (Johnson 1983, Lebreton et al. 1992, Tavecchia et al. 2001a) et les probabilités de survie diffèrent en fonction des localités d’hivernage (Johnson et al. 1991). Si les mâles et les femelles ont tous des taux de survie élevés (supérieurs à 90 % dans les deux cas), une différence de survie avérée existe néanmoins entre eux. Les femelles de plus de 7 ans ont une probabilité de survie supérieure à celle des mâles du même âge, 97 % pour les femelles contre 93 % pour les mâles (Tavecchia et al. 2001a), tandis que chez les individus de moins de 7 ans, les femelles ont des taux de survie inférieurs à ceux des mâles, un phénomène que Tavecchia et al. (2001a) considèrent lié au coût de la première reproduction.
D’après ces auteurs, la première reproduction agirait comme un filtre sélectionnant les meilleures femelles, d’où une survie moyenne des femelles supérieure à celle des mâles parmi les individus plus âgés.
Régime alimentaire du Flamant rose
Le flamant rose est inféodé aux lagunes d’eau saumâtre ou salée, de faible profondeur. Les invertébrés aquatiques constituent la nourriture de base du flamant, qui peut consommer aussi des graines de plantes aquatiques et des substances organiques contenues dans la vase.
Le flamant rose a un régime alimentaire très spécialisé qui le rend très vulnérable en cas de non disponibilité de la ressource (lors d’hivers rigoureux). Il filtre l’eau des lagunes et étangs saumâtres grâce à un bec spécialisé (système de « peignes ») . Il capture une espèce de crevette appelée « Artémia salina ». Cette dernière notamment est à l’origine de la couleur rose du Flamant rose mais aussi de la coloration des salins à une certaine période de l’année. l »Artémia » contient des pigments kéto-caroténoïdes.
Par une action conjuguée des pattes et du bec, le flamant se nourrit d’organisme en suspension dans l’eau ou enfouis dans la vase. Ces organismes sont aspirés dans le bec et filtrés par des lamelles. Le flamant rose sillonne avec son bec la surface de l’eau par une sorte de mouvement de godille. Seule la pointe du bec, jusqu’à la partie recourbée est immergée. Il peut marcher ou nager suivant la profondeur de l’eau. Par cette technique, le flamant capture plus particuliérment des œufs d’artémias.
Le flamant rose avance lentement dans une eau de profondeur variable, et utilise son bec pour saisir ses proies. Si l’eau est profonde, le flamant nage et fouille le fond en plongeant son cou et une partie de son corps, et se maintient dans cette position grâce au mouvement de ses pattes à la surface. Il remue la vase en piétinant sur place ou en reculant progressivement dans 5 à 60 cm d’eau. Il balance sa tête de gauche à droite en prélevant l’eau à peu de distance du sol et en filtrant les organismes mis en suspension par son piétinement. Le flamant, tout en marchant, filtre la vase, laissant des traces de 2 à 3 mètres et profondes de 1 à 2 cm.
Table des matières
Introduction
Chapitre 1 : Biologie du Flamant rose (Phoenicopterus roseus)
1-1- Classification des oiseaux
1-2- Les Ciconiiformes
1-2-1-Les Flamants
1.2.2. Systématique
1-2-3-Le Flamant rose (Phoenicopterus roseus)
1-2-3-1-Description du Flamant rose (Phoenicopterus roseus
1-2-3-2-Dispersion du flamant rose
1-2-3-3- Distribution détaillée du flamant rose dans L’Ouest paléarctique : Méditerranée occidentale
1-2-3-4-La survie du Flamant rose
1-2-3-5-Habitat du Flamant rose
1-2-3-6- Comportements du Flamant rose
1-2-3-7-Vol du Flamant rose
1-2-3-8- Régime alimentaire du Flamant rose
1-2-3-9-La couleur rose du Flamant rose et son origine
1-2-3-10-La longévité du Flamant rose
1-2-3-11- Reproduction du flamant rose
1-2-3-12- La mue chez le flamant rose
1-2-3-13-Le baguage des flamants rose
Chapitre 2 : Description des sites d’étude
2-1-Les Zones humides
2-1-1-Définition des Zones humides
2-1-2-Intérêt écologique, économique et sociologique des zones humides
2-1-3-Les fonctions climatiques des zones humides
2-1-4- La production de ressources biologiques
2-1-5-Les valeurs culturelles et touristiques
2-1-6-Les valeurs éducatives, scientifiques et patrimoniales
2-2-Description des sites d’étude
2-2-1- Généralités sur les hautes plaines de l’Est Algérien
2-2-1-1 – Garaet Tarf
2-2-1-2 – Garaet Guelif
2-2-1-3 – Garaet Ank Djmel
2-2-1-4 – Garaet El Maghsel
2-2-1-5 – Garaet Boucif (Ogla Touila)
2-2-1-6 – Chott El Maleh
2-2-1-7 – Sebkhat Jémot
2-2-1-8 – Garaet Timerguanine
2-2-1-9 – Chott Tinsilte
2-2-1-10 – Sebkhet Ezzemoul
2-2-1-11 – Sebkhet Djendli
2-2-1-12 – Sebkhet Tazougart
2-2-1-13 – La plaine de Remila
2-3 -Géographie et hydrologie du complexe
2-4 –Climatologie
Chapitre 3 : Matériels et Méthodes
3-1-Matériels
3-2-Méthodes
3-2-1-Dénnombrement
3-2-2-Etude des rythmes d’activités du Flamant rose
3-3- Méthodes d’échantillonnage
3-3-1-Méthode FOCUS
3-3-2-Méthode SCAN
3-2-3-Etude de la reproduction du Flamant rose
Chapitre 4 : Résultats
4-1- Evolution des effectifs du Flamant rose
4-1-1-Evolution des effectifs globaux du flamant rose au niveau du complexe des zones humides des hautes plaines du Constantinois
4-1-2-Evolution des effectifs du Flamant rose (Phoenicopterus roseus), dans les zones humides des hautes plaines de l’Est Algérien
4-2-Etude de bilan du rythme d’activité diurne du Flamant rose
4-2-1-Taux annuel des différentes activités diurnes chez le Flamant rose
4-2-2- : Evolution saisonnière des différentes activités diurnes chez le Flamant rose
4-2-3-Variation saisonnière des différentes activités du Flamant rose
4-2-4-Variation journalière des différentes activités du Flamant rose durant
la période entre le mois de Septembre 2004 et le mois d’Août 2005
4-3-Ecologie de la reproduction du Flamant rose
4-3-1-Année2003
4-3-2-Année 2004
4-3-3-Année 2005
4-3-3-1-Evolution des effectifs du flamant rose durant la période de reproduction : mars – juin durant l’année 2005 à Ezzemoul
4-3-3-2-Rythme d’activité diurne du Flamant rose au cours de la période de reproduction durant l’année 2005 à Ezzemoul
4-3-3-3-Variation mensuelle des différentes activités du flamant rose, pendant la période Avril-Juin durant l’année 2005, à Ezzemoul
4-3-4- Année 2006
4-3-5- Année 2007
4-3-6- Année 2008
4-3-7- Année 2009
Chapitre 5 : Discussion
5-1-Dénnombrement du Flamant rose
5-2-Budget temps diurne du Flamant rose
5-3-Ecologie de la reproduction du Flamant rose
6-CONCLUSION
Références bibliographiques
Résumé