Contribution à l’étude de la céramique islamique
Les travaux des céramologues à l’époque des fouilles
L’étude de la céramique avait été effectuée, lors des missions de fouilles, par Dorothée Kazimi (de 1977 à 1981) et Dominique Orssaud (de 1979 à 1980). Dès 1977, Dorothée Kazimi, pratiquant elle-même la poterie, avait mis en place un premier système de classification « avec une grande patience et une méthode rigoureuse 1». Les dessins effectués cette année-là portent une mention en chiffre romain allant de I à XL, parfois accompagnée d’une minuscule, de a à f. Ces chiffres font référence à une collection d’échantillons qui nous est en partie parvenue. En 1978, la céramique a été « nettoyée, triée et marquée mais pas encore étudiée 2». Le premier classement a été complété à partir de 1979 par l’établissement d’une « typologie des pâtes en se fondant sur une observation à la loupe binoculaire 3». Les renseignements obtenus étaient notés selon un code qui se composait d’une succession de lettres ou chiffres, dont la signification était la suivante : premier caractère – NE : non émaillée – E : émaillée – EL : émaillée lustrée – EL/CRI : pâte Samarra gris-bleu second caractère – A : non tourné – B : tourné – C : moulé troisième caractère – I : pâte argileuse – Ih : polychrome – Ia-p : glaçure verte – Im : oxyde de fer – Ik : oxyde de fer – Ig : sgraffiato – Io : uni monochrome – II : pâte composée – IIc : type « Raqqa » (décor peint sous couverte) – II/s3 : pâte sableuse à grain très fin Ce code était reporté sur les dessins effectués à partir de cette année-là par Dominique Orssaud ainsi que sur des étiquettes à l’intérieur des sacs et des caisses de stockage. Ce code présentait l’avantage d’une description précise mais avait l’inconvénient de désigner de façon différentes deux tessons appartenant à un même vase ou à une même catégorie céramique. Par exemple, les céramiques moulées ont des éléments, rajoutés après moulage et qui sont tournés, comme le pied et le col. Deux éléments d’un même vase peuvent donc être notés : NE/B/… ou NE/C/… En ce qui concerne les couleurs de glaçures, tout dépend de la taille du fragment et de sa représentativité par rapport au vase. Un fragment uni n’appartient pas forcément à une céramique monochrome. Enfin, pour les couleurs de pâtes, il est reconnu que cette notion est à manier avec précaution, d’autres facteurs que la composition de la pâte entrant en jeu dans son élaboration, notamment la technique de fabrication utilisée, la cuisson et les conditions de conservation dans le sol 4. La fonction joue aussi un rôle non négligeable ; une céramique utilisée pour la cuisson a fréquemment le fond noir et les bords d’une autre couleur. D’après le rapport, cette même année, D. Kazimi « a commencé à reporter sur des fiches stratigraphiques, établies dans ce but, le nombre des tessons de chaque type trouvés dans chaque couche. Ces renseignements, une fois regroupés avec la typologie des formes qu’établit Melle Orssaud, devraient permettre une typologie complète des céramiques et une datation relative des tessons 5». Dominique Orssaud, dessinatrice sur le chantier à partir de 1979, avait établi des planches détaillées présentant les variations morphologiques des céramiques à pâte siliceuse 6. Pour les autres catégories, des planches préparatoires présentaient d’une part les formes complètes ou dont une grande partie était préservée, classées par taille, et d’autre par des séries de bords représentatifs des diverses variantes de profil. Les travaux effectués par mes prédécesseurs ont été largement exploités. La qualité des dessins de Dominique Orssaud est indiscutable, ses publications en témoignent . Les observations macroscopiques faites en 1979 par Dorothée Kazimi m’ont permis de préciser certains aspects des pâtes, en particulier la présence ou non d’engobe lorsque « l’oeil ne peut … le distinguer avec certitude ». Aucune analyse chimique n’a été effectuée sur les tessons de RaΩba – May®d¬n. Ces analyses sont en général peu utilisées par les archéologues car coûteuses et pas toujours fondées 9. Un lot d’échantillons avait été cependant confié au laboratoire de céramologie de Lyon pour des analyses sur la composition des pâtes, afin de vérifier si certains tessons appartenaient au même groupe ou non. Ces analyses n’ont pas été effectuées car non justifiées. En effet, « Dans la plupart des cas, les argiles présentent des compositions assez banales, peu différentes d’un atelier à un autre… 10» et l’analyse chimique des pâtes n’est alors d’aucune utilité. Les travaux sur la détermination de l’origine des céramiques menés par Maurice Picon ont montré que les arguments de composition doivent être considérés non pas comme une preuve mais comme une donnée parmi d’autres (« géologiques, minéralogiques, pétrographiques, mais également typologiques, stylistiques, technologiques et plus généralement archéologiques, voire historiques ou ethnographiques… 11») et que la première étape nécessaire à ce type d’études est l’établissement d’une « bonne » typologie
L’étude pratique récente d’indications plus subjectives comme la couleur, la texture ou la dureté de l’argile cuite ». 9 Elles permettent cependant d’effectuer certaines vérifications : les travaux de Jacques Boissier à La·kari Bazar par exemple, ont permi de déterminer la nature des colorants utilisés dans les glaçures ; il s’agit des oxydes métalliques courament utilisés dans le monde islamique médiéval. Afin de reprendre l’étude des céramiques, plusieurs missions ont été effectuées à la maison de fouilles de RaΩba (où sont stockés les tessons), ainsi qu’au musée de Dayr al-Z‚r où sont conservées les pièces entières 13. Le travail sur le terrain a été le suivant : Tout d’abord, le contenu d’une dizaine de caisses n’avait pas été marqué, ce que nous avons fait en reprenant la numérotation adoptée lors des fouilles (mention du chantier, M ou R, suivi des deux derniers chiffres de l’année, du numéro de carré, du numéro de couche, éventuellement du locus, et du numéro de tesson, pour les années 1977 à 1979 et année uniquement suivie du numéro de sac pour 1980). Nous avons ensuite procédé au tri de l’ensemble des céramiques (environ 150 caisses) car le système de classification adopté ne faisait pas apparaître de groupes homogènes, et il fallait intégrer les tessons non étudiés à ce jour. Par conséquent, plusieurs tris successifs des tessons ont eu lieu. Ils ont été répartis en catégories les plus fines possibles, d’après l’observation à l’oeil nu ou à la loupe de la composition des pâtes et de l’aspect des revêtements. Le classement déjà existant pour une partie du matériel, lorsqu’il était conservé (les sacs plastiques utilisés pour le stockage soit s’étaient décomposés, soit avaient été mangés par les rats) s’est révélé fort utile. Ces catégories ont été désignées, pour les besoins de l’étude, par une numérotation continue (de 1 à 110 ). Ces numéros renvoient aux fiches descriptives, aux échantillons de référence et aux mentions sur les caisses de stockage 14. Au fur et à mesure du tri, les pièces qui le nécessitaient ont été recollées, et les numéros des tessons de couches différentes qui collaient ensemble systématiquement relevés, afin de vérifier la stratigraphie établie. A l’intérieur de chaque catégorie déterminée, les différentes formes et leurs variantes ont été définies. Pour chaque forme, nous avons noté les numéros des couches dans lesquelles elle avait été trouvée afin de déterminer sa fréquence dans les niveaux Une liste en annexe reflète les correspondances entre les divers systèmes de numérotation : Annexe n° 6. 134 stratigraphiques et d’établir une chronologie relative générale des céramiques. Chaque forme a ensuite été décrite et les dessins et photographies, vérifiés ou faits. Par la suite, durant l’analyse, nous avons procédé à des rapprochements parmi les catégories, par exemple dans le cas de céramiques de même composition avec des revêtements de couleurs différentes, afin de faire ressortir des groupes
Le système de classement adopté pour la présentation des céramiques
Dès les premiers contacts avec la céramique, une question s’est rapidement posée : comment présenter de façon claire et cohérente une telle quantité de matériel ? Les différentes publications consultées font apparaître plusieurs méthodes de classification, en général basées sur les critères de pâte (matériau) 16, de technique de fabrication 17, de fonction et de forme 18, combinés de différentes manières. Pour prétendre à une certaine uniformisation des données et pour être efficace, un système de classement doit réunir plusieurs conditions. Il doit être clair afin de 15 Les variations chronologiques de la céramique portent à la fois sur des changement de composition des pâtes et des formes. Cependant, le critère de la pâte est à manipuler avec précaution car des fragments d’une même forme (au sens général, pas un même pot) existe souvent dans plusieurs pâtes différentes. Par exemple, il s’est avéré que les fonds de « gaddous », qui existent en 27 (int rose ext beige), 29 (pâte de couleur verdâtre), 16 (sableuse rouge lourde), 23 (sableuse légère), 12 (très cuite), 18 (peu cuite), proviennent tous d’un même niveau. Ceci peut être dû, comme nous l’avons expliqué plus haut, à plusieurs variables : l’épuration de la pâte, la cuisson etc. Cette même sorte de fond, mais avec une petite différence morphologique, à savoir une assise plate ou légèrement concave, existe également dans un niveau postérieur. Il semblerait par conséquent plus pratique, lors de l’étude de terrain, de ne déterminer tout d’abord que de grandes catégories de pâte, évidentes à l’oeil nu (pâtes glaçurées – à répartir ensuite selon le type de glaçure -, pâtes pour pots de cuisson, pâtes communes fines, pâtes communes épaisses) puis de procéder à un tri morphologique afin de déterminer les groupes et leurs chronologie relative. permettre une lecture aisée. Il doit être souple afin, s’il est réutilisé sur le même site ou s’il est adopté par d’autres chercheurs sur des sites différents, de pouvoir inclure des catégories céramiques non connues dans le modèle de départ. Enfin, il doit s’appuyer sur des critères de classification déterminés de façon sûre et non subjective. Parmi les voies de recherche possibles en céramologie islamique, il y a celle de la détermination des ateliers producteurs. Pour pouvoir localiser ces ateliers, il est nécessaire, tout d’abord, de définir leurs productions. Dans ce but, toute nouvelle présentation de matériel devrait, dans la mesure du possible, faire apparaître des types de céramiques définis puis affiner la connaissance des différents types connus. L’idéal serait, par conséquent, de présenter les céramiques par groupes homogènes du point de vue de la pâte, de la technique de fabrication et des formes, les différences de composition des pâtes étant conditionnées le plus souvent par la taille et / ou la fonction du récipient. Le principe de classement retenu porte en premier lieu sur une distinction chronologique, l’analyse ayant fait apparaître des changements nets au cours des différentes périodes. Chaque groupe est ensuite présenté selon l’ordre suivant : 1°) description de la catégorie (pâte, technique de fabrication et revêtement), 2°) description des formes.
La répartition stratigraphique
La répartition stratigraphique des céramiques a été déterminée par des comptages effectués lors de l’étude pratique, grâce aux numéros de couches ou de sac, portés sur les tessons 19. Pour chacune des catégories, les éléments comptés varient en fonction de la quantité de fragments. Par exemple, dans le cas des pâtes communes, seuls les fragments de bords, de fonds ou de décor ont été pris en considération, alors que pour les types peu représentés, l’ensemble des fragments a été compté. Cette méthode a été adoptée afin d’obtenir le maximum de renseignements, dans le deuxième cas. Il n’était pas possible d’établir de pourcentages, plus parlants, aucun moyen ne permettant de savoir quel était le nombre de fragments de départ. Par conséquent, les chiffres obtenus ne sont pas des statistiques mais correspondent à un nombre de tessons et sont donnés à titre indicatif. Il ne sont comparables qu’à l’intérieur d’une même catégorie. Les résultats sont présentés dans un tableau en annexe. Dans un premier temps, les numéros de couches des tessons ont été convertis en numéros de phases stratigraphiques, selon les diagrammes établis pour chacun des deux chantiers, puis comptabilisés. Dans le cas des phases II et III, pour lesquelles les correspondances d’un secteur à l’autre n’avaient pas été établies avec certitude, les calculs ont été effectués par secteurs. Ceci avait également pour but de limiter les risques d’erreur dans les cas de sondages pour lesquels la stratigraphie n’était pas sûre. Les chiffres obtenus sont relativiser en fonction des facteurs suivants : – Certains fragments ont été jetés après la première étude, d’autres ont été perdus depuis. – Peu de tessons proviennent de niveaux scellés. Le secteur aux risques les plus limités est celui de l’unité IVd, pour laquelle les fosses ont été fouillées isolément. Dans le reste de la zone principale, les interférences stratigraphiques sont de plusieurs ordres : fosses simples, fosses de prélèvement des matériaux de construction des murs (par 19 Les comptages effectués par mes prédecesseurs n’ont pas pu être utilisés, car ils étaient basés sur des distinctions différentes de celles qui ont été finalement adoptées. 137 exemple mur [43] ou [71]) ou des puits (puits [515]), et tranchée de fondation de murs ou de puits (puits [104]). – Dans certains carrés, l’ensemble des couches n’a pu être pris en considération, comme en XIbXVIc, où une descente rapide n’a pas permis d’isoler le matériel des différents niveaux stratigraphiques. En Ib XIIIa, les unités de fouille dans les épaisses couches recouvrant le dallage ‘abb®sside ont été désignées suivant l’altitude et ne correspondent peut-être pas exactement aux différentes phases stratigraphiques. – Les carrés fouillés pendant plusieurs années consécutives et / ou à plusieurs locii présentent parfois des incertitudes au niveau de la numérotation (carrés Ib et Ic). – Enfin, certains numéros de sac, attribués lors des fouilles de 1980, n’ont pu être identifiés, pour le carré XIIIa et les couches correspondantes n’ont pu être inclues dans les comptages. Les secteurs pris en considération sont les suivants pour May®d¬n : – phase I : les secteurs ayant atteint les niveaux les plus profonds : IbXIIIa et XIbXVIc. – phase II : les mêmes secteurs IbXIIIa et XIbXVIc ainsi que l’unité IVd. – phase III : le secteur sud-est, l’unité IVd et l’unité IVcVd. – phases IV et V : l’ensemble des secteurs Pour le chantier de RaΩba, l’ensemble des sondages du grand batiment a été utilisé. Par conséquent, les chiffres donnés ne sont éventuellement comparables qu’horizontalement. Ces comptages ont cependant permis de mettre en évidence une répartition des catégories céramiques variable selon les différentes phases chronologiques. La présentation des groupes céramiques suit cet ordre.
Les catégories
Les catégories sont déterminées en grande partie en fonction de la pâte. Elles permettent d’individualiser certains types de céramique connus par ailleurs. Elle sont notées par un numéro, attribué arbitrairement lors de l’étude pratique, accompagné par une courte définition. Le terme de « pâte » est employé pour désigner la matière cuite qui compose la céramique. La description est organisée dans l’ordre suivant : – nature de la pâte : dureté, texture de la surface, – le dégraissant (éléments rajoutés à l’argile de base pour obtenir une pâte moins plastique et ainsi diminuer les risques de fissures au cours du séchage et de la cuisson), taille fin : grains < 0,25 mm, moyen : 0,25 mm < grains < 0,50 mm gros : grains > 0,50 mm quantité – technique de fabrication : modelée, tournée, moulée, – traitement de la surface : lissée, polie, peinte, recouverte d’un engobe (revêtement de nature terreuse, argile très fine et très diluée en général d’une couleur claire, pour unifier l’aspect de la surface ou lui donner une coloration différente de celle de la pâte et servir de base à certains décors), recouverte d’une glaçure (revêtement de nature vitreuse, plombifère, alcaline ou stannifère) – décor incisé, gravé, moulé, estampé, appliqué, peint sous la glaçure, peint sur la glaçure (lustré) 139 – cuisson – couleur : la Munsell Soil Color Chart qui devrait donner si possible la couleur de l’intérieur et des surfaces internes et externes du tesson n’a pas été utilisée car les renseignements obtenus dépendent de la cuisson du pot, de son utilisation (pots à cuire), et des conditions de conservation dans le sol. Les données qualitatives sont sommaires et peuvent être parfois subjectives car il n’y a pas eu d’analyse en laboratoire donc il n’y a pas ou peu d’indications sur la composition de l’argile ou la nature des enduits. L’ordre de description des pâtes est le suivant : – pâtes à glaçure : opaque transparente transparente (turquoise) sur pâte argileuse sur pâte siliceuse – pâtes grossières (ou « brittle ware ») – pâtes communes fines et moulées – pâtes communes plus épaisses.
Le classement morphologique
Pour le classement et les définitions des formes, le classement des récipients mis au point par Hélène Balfet a été adopté. A partir de formes de base, subdivisées en formes dérivées, il a été établi dans un but d’uniformisation des descriptions 20. Cette nomenclature présente l’avantage de classer toutes les formes selon un ordre logique (déterminé d’après les étapes de la fabrication, c’est à dire du plus ouvert au plus fermé et en général du plus petit au plus grand) et d’après des rapports de dimensions simples. 20 Balfet, H., Fauvet-Berthelot, M.-F. et Monzon, S. 1983, p. 7 : « Pour être de portée générale et utilisable en archéologie, une nomenclature doit reposer principalement sur des critères de forme et non de fonction. » 140 Les fragments sont inclus lorsque leur appartenance à la forme générale est reconnue sans doute possible. Les références des pièces semblables déjà publiées sont données dans le texte. L’ordre de classement est le suivant : – Assiette : Assiette Petite assiette Plat Définition : « Récipient ouvert à parois fortement évasées dont le diamètre à l’ouverture (inférieur ou égal à 23/24 cm environ) est égal ou supérieur à cinq fois la hauteur 21». – Ecuelle : Ecuelle Coupelle Plat creux Définition : « Récipient ouvert à parois fortement évasées dont le diamètre à l’ouverture (compris entre 12 et 22/23 cm) est compris entre deux fois et demie et cinq fois la hauteur 22». – Bol : Bol Jatte (diamètre compris entre 20 et 30 cm) Bassin (diamètre entre 30 et 65 cm) Mortier Définition : « Récipient ouvert à parois faiblement évasées dont le diamètre à l’ouverture (inférieur ou égal à 18 cm) est compris entre une fois et demie et deux fois et demie la hauteur 23». – Gobelet : Gobelet Coupe 21 Balfet, H., et autres 1983, p. 10. 22 Balfet, H., et autres 1983, p. 11. 23 Balfet, H., et autres 1983, p. 13. 141 Définition : « Récipient ouvert à parois verticales ou faiblement évasées dont le diamètre à l’ouverture (compris entre 6 et 12cm environ) est égal ou inférieur à une fois et demie la hauteur 24». – Pot : Pichet Pot de cuisson à col Marmite Creuset Définition : « Récipient fermé, muni ou non d’un col, et dont le diamètre minimal est supérieur ou égal à un tiers du diamètre maximal 25». – Jarre : Jarre à eau Autre jarre Définition : le terme de « jarre » est préférable à celui d' »amphore », réservé au monde grec, pour désigner les récipients de forme fermée de grande dimension (hauteur supérieure à 20 cm) . – Bouteille : Cruche Gargoulette Gourde Flacon Définition : « Récipient fermé généralement muni d’un goulot dont le diamètre minimal est inférieur ou égal au tiers du diamètre maximal ».
Remerciements Conclusion.8 |