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CONNAISSANCE DU MILIEU D’APPROVISIONNEMENT EN MAÏS DES FABRICANTS D’ALIMENTS COMPOSES
État des lieux de destination de la production de maïs
Selon les enquêtes effectuées auprès des acteurs, plus particulièrement les utilisateurs de maïs, comme les unités de fabrication des aliments composés pour les éleveurs surtout, la demande augmente de temps en temps, cependant, l’approvisionnent ne couvre pas les besoins ressentis. Au sein des grossistes, outre les unités de fabrication d’aliments composés, il existe d’autres utilisateurs potentiels de maïs comme les projets de développement promouvant la sécurisation alimentaire de la population, puis le Projet de Surveillance et Education des Ecoles et des Communautés en matière d’Alimentation et de Nutrition Elargie ou SEECALINE [20]. Ce qui fait que la quantité qui arrive dans la ville se trouve souvent limitée.
Saisonnalité
La fluctuation de prix du maïs dans le marché de la capitale ainsi que la disponibilité en quantité varient en fonction de la saison. En général, la rareté des produits est rencontrée au mois d’octobre jusqu’en décembre, période pendant laquelle le prix de gros peut atteindre jusqu’à 2 000 Fmg le kilo dans la ville d’Antananarivo.
Les quantités provenant des différentes régions et provinces productrices de maïs se relayent entre elles. Pourtant, le débit, les charges subies par les différentes étapes traversées sont variables, à savoir les coûts de production, les frais de transport pour l’acheminement, selon l’origine voire l’éloignement qui sont à noter. Une affirmation pourrait être avancée [4] :« La formation de prix pour l’approvisionnement des unités de fabrication d’aliments composés en maïs pour animaux varie dans le temps le long de l’année ».
La quantité de maïs approvisionnant la capitale au cours de l’année 2001 est présentée dans la figure n°02 de la page suivante.
Géographie des flux
Trois régions occupent le ravitaillement de la ville d’Antananarivo en maïs [3]. Ce sont :
la province de Toliary au Sud, en particulier le Fivondronana de Morombe, Ampanihy, Tsihombe et Ambovombe,
le Nord-Ouest de la province de Mahajanga dans la région de Sofia,
le Moyen-Ouest de la province d’Antananarivo, à savoir la région d’Itasy, en particulier Tsiroanomandidy et Soavinandriana.
Les grossistes de la ville dans les quartiers réputés s’occupent de l’organisation de l’arrivée et de la distribution aux utilisateurs : le marché d’Andravoahangy, d’Anosibe, d’Ambodivona et les grossistes aux alentours de 67 Ha.
Selon les études menées, le flux de la production de maïs depuis la zone productrice de maïs jusqu’aux utilisateurs, qui sont les fabricants d’aliments composés de la ville d’Antananarivo, se présente alors comme suit :
Points de la situation de l’offre dans les principales zones fournisseurs en maïs de la ville d’Antananarivo
Les zones de production sont principalement l’axe Sud, la région de Sofia et celle du Moyen-Ouest [3] :
Dans l’axe Sud, des organisations locales stockent les produits, pour assurer la sécurité alimentaire de la population de la région aride du Sud menacée par la famine pendant la sécheresse. Ainsi, les maïs du Sud, surtout ceux d’Antsirabe, de Toliara, et de Betafo demeurent principalement destinés à l’entreprise TIKO. Ce qui explique la faible quantité pour l’approvisionnement de la ville d’Antananarivo.
Pour la région de Sofia-Mahajanga, il existe d’une part des opérateurs économiques locaux, œuvrant dans l’exportation de maïs et d’autre part la société PROBO productrice de farine et de semoule de maïs sise à Mahajanga, qui accapare une grande partie de la production. Ce qui diminue une fois de plus l’approvisionnement de la capitale.
Il est à noter que l’éloignement de la zone de production et le mauvais état des routes influent sur le prix des produits et sur la volonté des opérateurs économiques.
Seule la région du Moyen-Ouest dispose d’un potentiel d’approvisionnement de la ville d’Antananarivo. Toutefois, certaines contraintes limitent ce ravitaillement, à savoir la non maîtrise des techniques culturales, l’insuffisance en pluviométrie, l’utilisation des semences non performantes, le manque d’organisation lors de l’écoulement des produits, etc.
Tout ceci a permis d’affirmer que l’offre ne compense pas la demande. On a remarqué aussi que les unités de fabrication d’aliments composés pour l’élevage préfèrent utiliser le maïs jaune par rapport à d’autres variétés, dans un souci d’apport en éléments nutritifs.
Caractéristiques du circuit habituel dans la zone choisie [12]
La région du Moyen-Ouest, plus particulièrement la Sous-préfecture de Tsiroanomandidy, dispose d’une certaine potentialité sur le plan socio-économique. Elle se trouve peuplée d’une majorité de migrants des Hautes-Terres très entreprenant dans l’activité agricole. Le sol est de type ferralitique brun-rouge avec un pH variant de 5 à 6 et une pente inférieure à 12%. Son climat présente des caractères intermédiaires entre le climat tropical sec de l’Ouest et le climat humide des Hautes-Terres avec une température de 30 à 32°C aux mois d’octobre et de novembre, c’est-à-dire, en saison sèche. De plus, sa pluviométrie varie de 1500 mm à 1650 mm dont près de 90% se concentrent sur six mois. D’autre part, son relief s’élevant à 1 000-1 500 m s’étale sur une superficie totale en « tanety » de 295 000 Ha. Ces différents paramètres favorisent la pratique de la maïsiculture.
Des recherches agronomiques sur le maïs ont été approfondies depuis plusieurs décennies par le F OFIFA. A travers le CMS-Imehy/Sakay pour la production de sem ences et le programme gouvernemental qui a été déjà appliqué sur la facilitation d’accès des matériels aux matériels agricoles, le dév eloppement de la production de maïs est favorisé sur tanety.
Conjointem ent, suite à l’épizootie de la Peste Porcine Africaine (PPA) dans la zone, la quantité de maïs commercialisée vers la capitale va connaître une augmentation. Les destinations locales des productions de maïs connaissent alors une variation face à l’existence de cette épizootie. Ceci entraîne le fait que le volume de maïs utilisé par les fabricants d’aliments composés de la capitale suit le cours de cette variation. Le pourcentage de la destination du maïs sec provenant de la zone de Tsiroanomandidy, résumé dans la figure n°04, m ontre que 54% de la production s ont orientés vers la commercialisation [4].
Les rende ments agricoles diminuent avec l’éloignement, c’est entre autre la conséquence de la baisse du niveau d’intrants fertilisants utilisés [2]. En effet, le rendement avec une telle variété est de 1,7tonne à l’hectare, dans les zones proches du Chef Lieu de Sous-Préfecture et de la route nationale, tandis que dans une autre zone plus reculée avec la même variété de semences et les mêmes charges que sont la main d’œuvre, les techniques culturales et les inputs, le rendement diminue de moitié, c’est-à-dire, 0,8t à l’hectare. Concernant l’évacuation de m aïs d’une zone isolée vers une zone où les collecteurs itinérants pouvaient pénétrer, une charge significative a été constatée. C e qui fait que le prix du maïs aux collecteurs résidants oscille entre 600 Fmg à 1 500 Fmg le kilo durant la campagne 2002-2003.
DESCRIPTION ET TYPOLOGIE DES ACTEURS
L’activité sur la filière maïs devient une spéculation très développée pour les acteurs, tant en ville qu’en milieu rural. Selon les résultats obtenus, de nombreux acteurs se mobilisent dans le cadre de cette filière.
Il est à noter que cette filière est très segmentée. Chaque étape demeure pratiquement caractérisée par des acteurs, des stratégies appropriées et des caractéristiques réelles de marchés respectifs.
Une étude a été faite en 2001 par le Ministère de L’Agriculture, en collaboration avec l’Entreprise DINIKA International, sur l’étude de la filière maïs [3]. Les résultats de cette étude, comparés avec ceux des réalités observées, ont permis de décrire et d’établir la typologie des acteurs. D’une manière générale, la filière maïs dans la région d’Itasy est donnée dans la figure placée en annexe n°02.
En fait, cette étude s’intéresse plus particulièrement à la stratégie d’approvisionnement en maïs des unités de fabrication d’aliments composés de la ville d’Antananarivo. Le nombre des acteurs concernés se trouve, en quelque sorte, plus réduit et plus spécifique. Sept acteurs sont ainsi identifiés.
Les vendeurs d’aliments composés
Dans la capitale, les vendeurs peuvent être catégorisés selon la taille de leur exploitation :
en vendeurs à l’échelle pilote, en vendeurs à l’échelle industrielle.
Vendeurs à l’échelle pilote
Chez ce type de vendeurs, la taille de l’exploitation a été la même que celle des détaillants, c’est-à-dire, allant de 4 à 10 tonnes par semaine selon la demande des clients. Ils pourraient être des vendeurs de produits préparés et/ou des vendeurs d’aliments simples constituant des aliments composés.
Vendeurs de produits préparés
Ce sont des commerçants détaillants, qui ne sont pas spécifiés uniquement à la vente d’aliments composés. Ils vendent aussi d’autres produits locaux et même des PPN.
Vendeurs d’aliments simples
Sur ce type, il y a des commerçants qui ne vendent que des aliments simples composants les provendes, c’est-à-dire la farine de maïs, la farine d’os et de poisson et autres.
Le mélange sera réalisé par les clients dont la composition a été calculée en fonction du type d’élevage pratiqué.
Vendeurs à l’échelle industrielle
En général, ils concernent les grandes sociétés, qui œuvrent dans le domaine de l’élevage à grande échelle, et qui s’occupent de la production d’aliments composés. Leurs surplus de production sont mis en vente. Toutefois, leurs clients sont fixes, détaillants ou éleveurs directs. Les caractéristiques techniques des aliments composés vendues sont catégorisées selon le type d’élevage, à savoir l’élevage porcin, poulet de chair, poule pondeuse et autre. La taille de leur exploitation peut aller jusqu’à 100 tonnes par semaine.
Les broyeurs d’aliments simples et unités de fabrication d’aliments composés
La fabrication d’aliments composés occupe la principale destination de la production de maïs à Madagascar, outre l’alimentation humaine. Elle peut être classée en :
broyeur d’aliments simples à l’échelle pilote, et unités industrielles de fabrication d’aliments composés.
Broyeurs d’aliments simples à l’échelle pilote
Cette catégorie dispose d’une machine broyeuse et d’un mélangeur d’aliments simples. La taille de sa spéculation varie de 3 à 8 tonnes par jour suivant la demande des clients et la disponibilité en matière première.
Outre cette fabrication, ils font aussi le broyage d’autres produits locaux tel que farine de riz ou de maïs tout simplement.
Il est à noter que les produits à préparer proviennent directement soit de l’unité elle-même soit des clients.
Unités industrielles de fabrication d’aliments composés
Ce sont les unités industrielles citées auparavant dans le paragraphe 2.2.1.2 sur les vendeurs industriels.
Les grossistes de maïs
Les grossistes accumulent les maïs provenant des zones de production. Les marchandises sont acheminées vers les utilisateurs selon leurs demandes : produits à destination de l’alimentation ménagère ou fermière. On remarque que les grossistes ne se spécialisent pas tout simplement dans le maïs. Ils vendent aussi d’autres produits locaux et leurs activités varient suivant la saison. Les classes d’acteurs peuvent être distinguées par leur mode d’approvisionnement :
grossistes spéculateurs, grossistes collecteurs,
grossistes transporteurs collecteurs.
Grossistes spéculateurs
Ces acteurs travaillent tout simplement en ville, ils sont approvisionnés par d’autres grossistes, collecteurs ou transporteurs. Ces types d’acteurs sont souvent à la fois grossistes et détaillants.
Grossistes collecteurs
Ils interviennent, d’une part en ville, pour l’écoulement de leurs marchandises dans un point de vente, et d’autre part, en milieu rural pour la collecte du maïs des agriculteurs. Ils travaillent avec des collecteurs locaux, afin de faciliter l’obtention d’un maximum de produit. Pour cela, ils ne se localisent pas dans un lieu déterminé, mais dans de nombreuses zones productrices des régions du Moyen-Ouest d’ Antananarivo et d’Antsirabe, des régions de Toliara et de Mahajanga en ce qui concerne le maïs. Le transport est assuré suivant un contrat de location des camions.
Grossistes transporteurs collecteurs
Ce sont généralement des opérateurs ayant les mêmes caractéristiques que les grossistes collecteurs. Mais en plus, ils assurent eux-mêmes le transport de leurs produits et en même temps, ils prêtent service aux autres grossistes, en louant leurs camions pour transporter les produits locaux.
Les collecteurs
Tout en ramassant les produits auprès des paysans, pour assurer l’approvisionnement des acteurs citadins, ils occupent un rôle d’interface entre les acteurs localisés en ville, qui sont les grossistes, et ceux du milieu rural, notamment les agriculteurs. Selon leur méthode de travail, ils peuvent être classés en :
Collecteurs résidants
Ils résident à la campagne. Leur activité dans la filière maïs est de collecter directement les maïs des paysans producteurs. Ils pratiquent toutefois d’autres activités comme épiciers ou simples cultivateurs. De plus, ils ravitaillent d’autres acteurs tels que les autres collecteurs ou transporteurs.
Collecteurs itinérants
Ils s’approvisionnent auprès des collecteurs résidants, et acheminent les produits collectés vers la capitale, en louant des camions pour le transport. Leurs repreneurs sont les grossistes résidant à Antananarivo. Les collecteurs itinérants pourraient être des grossistes de produits locaux à Antananarivo.
Collecteurs transporteurs
Ils pratiquent un mode de travail identique à celui des collecteurs itinérants. Mais en plus, ils assurent eux-mêmes le transport des produits : maïs et/ou autres. Le transport est une autre activité à part, par rapport à la collecte.
Les transporteurs
Ces acteurs acheminent les produits vers les utilisateurs : des zones de production vers les sites des grossistes, ou des grossistes vers les fabricants d’aliments composés. Ils sont composés de :
Transporteurs sous-contrat
Ils sont engagés sous-contrat par les autres acteurs dans l’acheminement des produits. Toutefois, ils peuvent être à la fois grossistes, transporteurs et collecteurs, et ne se spécialisent pas dans un seul produit, mais souvent dans tous produits locaux, dont la saison et/ou la région varient.
Transporteurs occasionnels
Ils sont souvent qualifiés d’opportunistes par le fait que, ils transportent des produits qu’ils rencontrent occasionnellement et ceci pour ne pas rentrer vide à Antananarivo, après livraison de marchandises dans la zone de production de maïs par exemple.
Les intermédiaires
Ils sont connus sous l’appellation usuelle « Mpanera ». Ce sont des acteurs qui jouent un rôle non négligeable dans la filière maïs. Ils constituent les catalyseurs de l’écoulement des produits entre deux étapes de la filière, tel que l’acheminement des produits des grossistes vers les unités de fabrication de provendes, ainsi que celui des collecteurs vers les grossistes, ou des fois même entre deux grossistes.
Les producteurs de maïs
En général, les producteurs de maïs sont, soit des organisations paysannes soit des agriculteurs individuels. Pourtant, le critère de distinction qu’on va choisir est l’éloignement de leur exploitation par rapport à la route nationale et les routes communales, c’est-à-dire, par rapport à l’axe principal et ce malgré le rendement et la formation de prix qui en résultent.
Les producteurs proches de l’axe principal
Ils résident surtout dans les hameaux où passe l’axe principal. Dans ces mêmes hameaux, un ou plusieurs collecteurs résidants, qui connaissent le cours habituel et sa fluctuation, peuvent fixer le prix courant du maïs des autres producteurs. Il est à noter que leur technique culturale est plus intensive grâce à la facilité d’accès aux inputs nécessaires.
Les producteurs éloignés de l’axe principal
Ils sont souvent loin de l’axe routier. Ce qui explique la baisse de moitié du rendement maïsicole, dû surtout à la pratique de technique traditionnelle. Les collecteurs itinérants passent pourtant sur cet axe et les collecteurs résidants s’y habituent.
STRATEGIES DES ACTEURS
Comme toutes activités génératrices de revenus, les objectifs communs des agents actifs dans la filière sont d’obtenir le maximum de bénéfices sur un minimum de charges, selon leurs capacités et leurs moyens disponibles. Afin de pouvoir analyser la clé de l’approvisionnement de maïs aux fabricants d’aliments composés, il est nécessaire d’identifier les stratégies mises en œuvre par les différents acteurs concernés.
Stratégies des vendeurs d’aliments composés
Comme les vendeurs assurent l’écoulement des produits aux consommateurs, chacun de ces types possède ses propres stratégies, pour satisfaire les demandes des consommateurs.
Chaque catégorie de vendeur adopte ses propres stratégies selon la figure n°05 de la page suivante.
Table des matières
INTRODUCTION
I- MÉTHODOLOGIE
1.1- LES DIFFERENTES ETAPES METHODOLOGIQUES
1.1.1- Etude préliminaire
1.1.1.1- La revue bibliographique
1.1.1.2- La reconnaissance
1.1.1.3- Identification des acteurs et typologie
1.1.2- Elaboration des questionnaires
1.1.3- Enquêtes formelles
1.2- LES DIFFERENTS ACTEURS
1.3- CHRONOGRAMME DES ACTIVITES
II- RESULTATS
2.1- CONNAISSANCE DU MILIEU D’APPROVISIONNEMENT EN MAÏS DES FABRICANTS D’ALIMENTS COMPOSES
2.1.1- État des lieux de destination de la production de maïs
2.1.2- Saisonnalité
2.1.3- Géographie des flux
2.1.4- Points de la situation de l’offre dans les principales zones fournisseurs en maïs de la ville d’Antananarivo
2.1.5- Caractéristiques du circuit habituel dans la zone choisie [12]
2.2- DESCRIPTION ET TYPOLOGIE DES ACTEURS
2.2.1- Les vendeurs d’aliments composés
2.2.1.1- Vendeurs à l’échelle pilote
2.2.1.2- Vendeurs à l’échelle industrielle
2.2.2- Les broyeurs d’aliments simples et unités de fabrication d’aliments composés
2.2.2.1- Broyeurs d’aliments simples à l’échelle pilote
2.2.2.2- Unités industrielles de fabrication d’aliments composés
2.2.3- Les grossistes de maïs
2.2.3.1- Grossistes spéculateurs
2.2.3.2- Grossistes collecteurs
2.2.3.3- Grossistes transporteurs collecteurs
2.2.4- Les collecteurs
2.2.4.1- Collecteurs résidants
2.2.4.2- Collecteurs itinérants
2.2.4.3- Collecteurs transporteurs
2.2.5- Les transporteurs
2.2.5.1- Transporteurs sous-contrat
2.2.5.2- Transporteurs occasionnels
2.2.6- Les intermédiaires
2.2.7- Les producteurs de maïs
2.2.7.1- Les producteurs proches de l’axe principal
2.2.7.2- Les producteurs éloignés de l’axe principal
2.3- STRATEGIES DES ACTEURS
2.3.1- Stratégies des vendeurs d’aliments composés
2.3.1.1- Vendeurs d’aliments simples
2.3.1.2- Vendeurs d’aliments composés préparés à l’échelle pilote
2.3.1.3- Vendeurs d’aliments composés à grande échelle
2.3.2- Stratégies des unités de fabrication d’aliments composés
2.3.2.1- Stratégies des broyeurs- mélangeurs à l’échelle pilote
2.3.2.2- Stratégies des fabricants industriels d’aliments composés
2.3.3- Stratégies des grossistes
2.3.3.1- Grossistes spéculateurs
2.3.3.2- Grossistes collecteurs
2.3.4- Stratégies des collecteurs
2.3.4.1- Collecteurs itinérants
2.3.4.2- Collecteurs résidants
2.3.5- Stratégies des transporteurs
2.3.5.1- Transporteurs sous-contrat
2.3.5.2- Transporteurs occasionnels
2.3.6- Stratégies des producteurs
2.3.6.1- Stratégies des producteurs proches de l’axe principal
2.3.6.2- Stratégies des producteurs loin de l’axe principal
2.4- FORMATION DE PRIX LE LONG DE LA FILIERE
2.4.1- Marge et profit au niveau de la production dans les conditions actuelles
2.4.2- Charge, prix et marge au niveau des collecteurs résidants
2.4.3- Charge, prix et marge au niveau des collecteurs itinérants
2.4.4- Charge, prix et marges au niveau des grossistes
2.4.5- Charge et marge au niveau des transporteurs
III- DISCUSSIONS
3.1- ETAT DES LIEUX DE LA DESTINATION DE LA PRODUCTION DE MAÏS
3.2- DISCUSSION SUR LA SAISONNALITE
3.3- AU NIVEAU DE L’APPROVISIONNEMENT EN MAÏS DANS LA FABRICATION D’ALIMENTS COMPOSES
3.4- AU NIVEAU DE LA PRODUCTION DE MAÏS A TSIROANOMANDIDY
3.5- PERSPECTIVES D’AVENIR DE L’APPROVISIONNEMENT EN MAÏS DES UNITES DE FABRICATION D’ALIMENTS COMPOSES D’ANTANANARIVO
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
ANNEXES
LISTE DES ANNEXES
ANNEXE N°01 : Données chiffrées dans la CIRAGRI de Tsiroanomandidy durant la saison culturale 2000- 2001
ANNEXE N°02 : Carte filière maïs dans la région de Tsiroanomandidy
ANNEXE N°03 : Détails des charges pour les différents acteurs
ANNEXE N°04 : Guides d’entretien avec les différents acteurs
ANNEXE N°05 : Variations des prix des matières premières et provendes au sein des marches de la capitale durant les trois derniers mois