CHARGES COLLECTIVES ET ADMINISTRATIVES

CHARGES COLLECTIVES ET ADMINISTRATIVES.

Titulaire d’une maîtrise et d’un CAPES de mathématiques, j’ai enseigné cette matière en collège et en lycée pendant 10 ans de 1979 à 1989. Puis titulaire d’une maîtrise et d’un DEA d’Informatique (IARFAG, Paris 6) j’ai été recrutée comme ATER à l’Université du Maine pendant la préparation de ma thèse soutenue en Janvier 1992 sous la direction de Martial Vivet dans le domaine de l’Intelligence Artificielle et Éducation. Maître de Conférences (27°) depuis 1992, j’ai été en poste à l’Université du Mans jusqu’en 1999, puis à l’IUFM de Créteil (1999-2003) où j’ai rejoint l’équipe d’Éric Bruillard. Pendant cette période mes activités de recherche dans le domaine des Environnements Informatiques pour l’Apprentissage Humain (EIAH) se sont déroulées au Laboratoire d’Informatique de l’Université du Maine (LIUM), dirigé par Martial Vivet puis par Pierre Tchounikine. J’ai bénéficié d’un congé pour recherches et conversion thématique de septembre 2001 à septembre 2002 durant lequel j’ai été invitée à l’Université de Sydney et de La Trobe (Melbourne) et au LICEF à la télé-Université du Québec. En septembre 2003, j’ai obtenu une mutation à l’UFR de Mathématiques et Informatique de l’université Paris Descartes (Paris 5) où j’ai mené mes recherches toujours dans le même domaine au Centre de Recherche en Informatique de Paris 5 (CRIP 5) et au sein du PPF AIDA (Approche Pluridisciplinaire pour les Dispositifs informatisés d’Apprentissage) dirigé par Jean-Marc Labat. En septembre 2007, j’ai rejoint l’UPMC où j’occupe un poste de MC à LUTES et à l’UFR d’Ingénierie. Je souhaite donc vivement être membre du LIP6 dans l’équipe MOCAH. RECHERCHE Dans le domaine EIAH mes travaux portent sur : • La modélisation des explications pour favoriser des apprentissages en mathématiques (projet Élise 1989-1991). • La modélisation d’activités d’apprentissage et des interactions élève logiciel (projets Élise, Repères 1992-1995, Lingot 2002-2004, financement Cognitique, Projet Pépite-Micame 2004-2008). • La modélisation des compétences des élèves et de leur diagnostic (projet Pépite-1996-2004, projet européen DPULS 2005). • La génération automatique d’exercices de diagnostic (projet PépiGen 2003-2008, projet DPLA 2009-2010). • Les modèles de décision pour l’adaptation dynamique des parcours d’apprentissage. J’ai constitué et animé des équipes pluridisciplinaires sur différents projets pour définir des modélisations, construire et expérimenter des prototypes validant ces modélisations. Ces travaux ont donné lieu à des publications : 2 revues internationales, 6 revues francophones, 3 chapitres de livre, 8 conférences internationales, 5 workshops internationaux avec sélection et actes, 16 conférences nationales, 6 ateliers avec actes, 5 coordinations d’ouvrage, 5 rapports de recherche, 2 revues professionnelles et 14 communications dans des séminaires. J’ai encadré trois thèses soutenues en 1995, 2000 et 2008 (deux des doctorants sont maintenant maîtres de conférences). J’encadre actuellement une thèse. De plus j’ai encadré régulièrement des stages de master recherche ou de DEA (17 depuis 1996). VISIBILITE Outre mes publications, j’ai été responsable scientifique d’un projet du programme Cognitique (appel d’offres 2002), organisé un workshop attenant à la conférence internationale AIED 2003, été membre du comité d’organisation de la conférence internationale AIED99, participé à des projets européens (projet COMETT, projet DPULS où j’étais responsable d’un Workpackage). Enfin je suis membre de comités de programme et de lecture des conférences francophones (EIAH, TICE, RJC-EIAH) et internationales (ITS) dans mon domaine de recherche. Je vais co-présider la conférence EIAH’09. De plus, en 2001, j’ai signé un contrat avec l’université Paris 6 pour la diffusion du logiciel Elise issu de ma thèse, qui est toujours utilisé, dans le cadre de l’Université en Ligne, par les étudiants de licence de mathématiques. Je négocie un autre contrat avec le CNDP (Centre National de Diffusion Pédagogique) pour diffuser le logiciel Pépite issu de mes recherches et, ainsi, disséminer, dans le système éducatif, les résultats de mes travaux de recherche menés, depuis plus de 10 ans, en collaboration avec d’autres chercheurs, en particulier de l’équipe Didirem de Paris 7. J’ai développé des collaborations internationales suivies avec des enseignants-chercheurs étrangers des universités dans lesquelles j’ai été invitée, tant pour l’enseignement que pour la recherche. ENSEIGNEMENT Enseignante depuis 1979 dans des contextes et pour des publics variés, aujourd’hui j’enseigne principalement la programmation (niveau licence d’informatique) et l’IHM (DEA, master et maîtrise d’informatique). J’assure également des enseignements en lien avec mes activités de recherche (EIAH, méthodologie de la recherche) et des formations d’enseignants du secondaire à l’informatique ou aux TICE (dans des IUFM ou dans le cadre de DEA ou de master). En outre, depuis septembre à LUTES, je travaille avec les enseignants sur l’utilisation de la plateforme Sakai déployée par l’UPMC et son évolution. Parallèlement je participe à la mise en place du C2i et à la refonte du site Web de LUTES.

Enseignement.

Je suis très engagée dans la communauté de recherche en EIAH : CA de l’association savante ATIEF (association membre de l’ASTI), et, depuis 1992, secrétariat de rédaction des revues Génie Educatif, puis Sciences et Techniques éducatives (Hermès), et aujourd’hui Sciences et Technologies de l’Information pour l’Education et la Formation (revue en ligne). Par ailleurs je suis membre élue du CNU-27 (depuis 2005) et, régulièrement, de différentes commissions de spécialistes. CURRICULUM VITAE TITRES UNIVERSITAIRES • 1992 : Doctorat d’Informatique au LIUM (Laboratoire d’Informatique de l’Université du Maine), spécialité Intelligence Artificielle (mention très honorable) titre : Explications en EIAO : études à partir d’ELISE, un logiciel pour s’entraîner à une méthode de calcul de primitives, soutenue le 23 Janvier 1992 à l’Université du Maine devant le jury suivant : – M. Martial Vivet (Directeur), Professeur à l’Université du Maine, 27 °section cnu, – Mme Monique Grandbastien (Rapporteur, Présidente du jury), Professeur à l’Université de Nancy, 27 °section cnu, – Mme Brigitte De La Passardière (Rapporteur), HDR, Maître de Conférences à l’Université Paris VI, 27 °section cnu, – M. Marc Baudry, Professeur à l’Université du Maine, 27 °section cnu, – M. Marc Rogalski, Professeur à l’Université de Lille, 25 °section cnu, – Mme Monique Baron, Maître de Conférences à l’Université Paris VI, 27 °section cnu, – Mme Rose Dieng, Chargée de Recherches à l’INRIA (Sophia-Antipolis). • 1988 : DEA IARFAG (« Intelligence artificielle, reconnaissance des formes et algorithmique graphique ») d ‘Intelligence Artificielle à l’Université Paris VI (mention BIEN) • 1986 et 87 : Licence puis Maîtrise d’Informatique à l’Université Paris VI • 1979 : CAPES de Mathématiques • 1975 et 76 : Licence puis Maîtrise de Mathématiques à l’Université Paris Sud et à l’Université de Picardie EXPERIENCES PROFESSIONNELLES • Sept. 2007 Maître de Conférences en Informatique à LUTES et à l’UFR d’ingénierie de l’université Pierre et Marie Curie, membre du PPF AIDA (Approche Interdisciplinaire pour les Dispositifs Informatisés d’Apprentissage). • 2003-2007 Maître de Conférences en Informatique à l’UFR de Mathématiques et d’Informatique de l’université Paris Descartes (Paris 5), membre du CRIP5 (Laboratoire d’Informatique de l’Université Paris 5 et du PPF AIDA . • 1999-2003 Maître de Conférences en Informatique à l’IUFM de Créteil, membre du LIUM • 2001-2002 Congé pour recherches (invitée à l’Université de Sydney, l’Université La Trobe à Melbourne, la Télé-Université du Québec) • 1992-1999 Maître de Conférences en Informatique au département d’Informatique de l’Université du Maine • 1989-1992 ATER à l’Université du Maine • 1979- 1989 Professeur Certifié de Mathématiques dans des lycées à Amiens et à Albert (Somme) et au collège de Yerres (Essonne). RECHERCHE THEMES ET PROJETS DE RECHERCHE Mes recherches se situent dans le domaine des Environnements Informatiques pour l’Apprentissage Humain (EIAH), d’abord au sein Laboratoire d’Informatique de l’Université du Maine (LIUM) puis au sein du Centre de Recherche en Informatique de l’Université Paris 5 (CRIP5) et du PPF AIDA(Approche Interdisciplinaire pour les Dispositifs Informatisés d’Apprentissage). Je suis très engagée dans ce domaine (association, revue, conférences, réseau d’excellence européen etc.). De plus j’ai constitué et animé des équipes pluridisciplinaires sur différents projets pour définir des modélisations, construire des prototypes et les expérimenter sur le terrain pour valider ces modélisations. Les principaux travaux que j’ai menés portent sur : • La modélisation des explications pour favoriser des apprentissages mathématiques (projet Elise). • La modélisation d’activités d’apprentissage et des interactions élève logiciel (projets Elise, Repères, Lingot). • La modélisation des compétences des élèves et de leur diagnostic (projet Pépite 1996-2004 et SuperPépite (2004-2008). • La conception d’outils logiciels pour assister les tuteurs humains dans les activités de régulation et de personnalisation des apprentissages (projet Lingot 2002-2008). • La génération automatique d’exercices de diagnostic (projet PépiGen 2003-2007). • L’analyse des usages des EIAH (projet Cognitique Lingot 2002-2004 et projet européen DPULS 2005). • L’interaction entre un élève et un agent conversationnel pour établir un bilan de compétence (projet Pépite-Micame, 2005-2008). Projets passés Mes préoccupations de recherche m’ont amenée à monter différents projets de recherche, avec des chercheurs de plusieurs disciplines, plusieurs laboratoires et plusieurs pays, aussi des enseignants et des formateurs afin de mieux cerner les besoins des différents acteurs et d’assurer une meilleure articulation modélisation informatique et études de terrain. En particulier, j’ai mis sur pied depuis ma thèse une collaboration très étroite avec des chercheurs de l’équipe de didactique de mathématiques DIDIREM (Paris 7). Projet ELISE (1989-1992) Dans le cadre de ma thèse soutenue en 1992, j’ai travaillé avec M. Rogalski (Didirem), pour mettre au point le logiciel Elise, destiné aux étudiants de premier cycle dans le domaine du calcul de primitives. Il s’agissait d’inciter les étudiants à faire des calculs raisonnés et méthodiques en les guidant pour apprendre à classer les outils et les problèmes dans ce domaine. Ce logiciel est toujours utilisé dans le cadre de l’Université en Ligne de l’Université Paris 6 et est accessible à http://www.uel-pcsm.education.fr/consultation/reference/mathematiques/integration/index.htm J’avais proposé une méthode de conception participative (alors originale) fondée sur une modélisation de situation d’interaction pour faciliter la spécification du logiciel dans ce cadre pluridisciplinaire. Ce travail a donné lieu à une publication dans la revue RIA (7) chez Hermès et dans la revue RDM (6). Projet REPERES (1992-1995) Ensuite dans le cadre de la thèse de X. Dubourg (soutenue en 1995, financée par une bourse MRT) dont j’ai assuré l’encadrement scientifique sous la direction de M. Vivet (Le Mans) et A. Adam-Nicolle (Caen), X. Dubourg et moi avons mis au point avec la collaboration de B. Grugeon et M. Artigue, chercheures à DIDREM, le logiciel Repères dont l’objectif était de faire travailler les élèves de collèges sur les changements de représentation graphique/ algébrique. Nous avons en particulier approfondi le modèle des situations d’interaction et proposé la notion d’événement logiciel pour réifier les interactions pertinentes pour le guidage de l’apprenant. Ces travaux ont donné lieu à une thèse, à un article de revue (STE 3(4)443-464, 1995, Hermes), une conférence internationale (16) et une conférence nationale (32).

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Projet PEPITE (1995-2002) En 1995, M. Artigue et B. Grugeon de DIDIREM, P. Jacoboni du LIUM et moi-même, nous avons créé le projet Pépite dont l’objectif était de construire un système automatique de diagnostic de compétences des élèves en algèbre. Ce logiciel a été réalisé par S. Jean dans le cadre de sa thèse (soutenue en 2000, financée par une bourse MRT), thèse que j’ai encadrée sous la direction de M. Vivet. Outre cette thèse, ce travail a donné lieu à une publication dans une revue internationale de l’IFIP [3], une revue francophone Hermes (STE 9(1-2) 171-200, 2002), une conférence internationale sélective (14) et d’autres communications nationales. Une version de ce logiciel complétée par D. Prévit dans le cadre de son DEA (2002) est téléchargeable gratuitement (http://pepite.univ-lemans.fr). Il est utilisé par des enseignants, des formateurs et aussi des chercheurs. Il a donné lieu à un certain nombre d’expérimentations décrites dans [21, 28, 51]. Un partenariat avec le CNDP (Centre National de la Documentation Pédagogique) est en cours pour le déploiement et la diffusion de ce logiciel dans les lycées et collèges. L’originalité de ce système de diagnostic est qu’il ne se contente pas de détecter les erreurs des élèves, mais met en évidence des cohérences dans leur fonctionnement en algèbre. Certaines de ces cohérences sont inadaptées et il faudra les déstabiliser pour construire des connaissances nouvelles, alors que d’autres sont à développer. Le diagnostic de Pépite sert donc de fondement à un enseignement différencié. Projets actuels Projet LINGOT Le projet Lingot dont j’assure la responsabilité scientifique est un projet pluridisciplinaire. Il a été financé dans le cadre du programme Cognitique du MRT (école et sciences cognitives, les apprentissages et leurs dysfonctionnements, 2002-2004). Il regroupe six équipes de trois disciplines différentes : informatique, didactique des mathématiques et ergonomie cognitive (http://pepite.univ-lemans.fr). Dans ce projet, l’enjeu social est d’une part, de permettre aux enseignants de prendre en compte la diversité cognitive des élèves pour réguler les apprentissages en classe et, d’autre part, de fournir aux chercheurs des outils d’observation systématique permettant d’étudier, sur le long terme, les effets sur l’apprentissage des enseignements dispensés. Nous nous intéressons principalement au domaine de l’algèbre qui constitue un passage obligé pour l’accès aux études scientifiques et, malheureusement, un verrou pour une grande majorité des élèves de l’enseignement secondaire. Notre travail de recherche en informatique au sein de ce projet, consiste à produire des modélisations computationnelles pour rendre opérationnels des résultats récents de recherches en didactique des mathématiques (en particulier de l’équipe DIDIREM). En retour, les modélisations que nous proposons font évoluer les travaux initiaux et mettent en évidence de nouveaux problèmes pour les didacticiens et pour nous informaticiens. L’objectif du projet Lingot est de concevoir des logiciels qui s’appuient sur les profils cognitifs construits par Pépite pour proposer aux élèves des situations d’apprentissage, paramétrée par les compétences. La métaphore est d’aller trouver dans le fonctionnement des élèves les granules de connaissances (les pépites) sur lesquels s’appuyer pour leur permettre de construire des connaissances nouvelles (les lingots). Le projet comporte ainsi trois axes : (i) un axe diagnostic des compétences, (ii) un axe apprentissage et (iii) un axe instrumentation de l’activité des enseignants de mathématiques. En ce qui concerne le diagnostic, en nous appuyant sur le logiciel Pépite qui établit automatiquement un profil de compétences d’élèves en algèbre, nous avons : • identifié des « stéréotypes » ou des classes de profils d’élèves en nous appuyant sur une indexation des exercices par les compétences et sur une analyse qualitative et quantitative des protocoles recueillis auprès de 400 élèves avec le logiciel de test Pepite ; ces stéréotypes permettent d’organiser les décisions de régulation des apprentissages autour de niveau de compétence sur des trois dimensions principales de la compétence algébrique (calcul algébrique, utilisation de l’algèbre pour résoudre des problèmes, traduction d’une représentation en une autre). • réalisé un logiciel, PépiStéréo dont l’objectif est de faciliter l’articulation entre le diagnostic individuel et la gestion de la classe. En ce qui concerne le diagnostic individuel, PépiStéréo situe un élève dans un stéréotype en fonction de ses réponses au test et ainsi conseille des objectifs de travail. PépiStéréo propose à l’enseignant une géographie cognitive de sa classe en regroupant ses élèves par stéréotypes et en lui donnant la possibilité d’accéder si besoin à un diagnostic plus fin. • Ce travail a donné lieu à une publication dans une conférence internationale [11] et nationale [23] et un rapport de recherche [51]. Nous travaillons actuellement à généraliser notre approche diagnostic • Pour construire à partir du test diagnostique, des modèles paramétrables d’exercices, permettant la génération et l’analyse automatique d’activités de diagnostic par le système informatique, PepiGen (thèse en cours de D. Prévit); en particulier, en lien avec les travaux de O. Auzende, F. Le Calvez et H. Giroire, nous étudions dans quelle mesure nos propositions peuvent s’appuyer sur les spécifications IMS-QTI pour assurer l’interopérabilité des logiciels de tests et quelles extensions seraient nécessaires pour gérer la complexité de l’analyse des réponses de Pépite (stage de master recherche de J. Leblanc 2007) • Pour concevoir plusieurs modèles de diagnostic (diagnostic adaptatif ou statique) pour s’adapter à différents types d’utilisateurs (élèves, enseignants, chercheur) et à différents contextes d’usage (stage de master recherche d’E. Waymel, 2005) • Pour fiabiliser le diagnostic sur les réponses aux questions ouvertes, en particulier nous avons travaillé avec une linguiste (S. Normand) et une didacticienne (L. Coulange) pour étudier les réponses des élèves en langue naturelle que le logiciel Pépite actuel étudie de façon très sommaire. Cette étude a donné lieu à une publication dans une conférence internationale [12], dans une conférence nationale [25] et cette publication a été ensuite sélectionnée pour être publié dans une revue francophone [5]. Un projet commun avec Jean-Marc Labat (LIP6), Jean-Louis Desalles (ENST) est en cours en vue d’une part d’automatiser cette analyse (ce qui pose d’intéressants challenges de traitement du langage naturel) et, d’autre part, de construire avec les élèves un dialogue argumentatif.

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