Charbon de bois

Selon les critères d’évaluation

Nous pouvons choisir les quatre critères suivants compte tenu de la rentabilité de notre projet : – La pertinence ;
– L’efficacité ;
– La durée de vie ;
– L’impact.

La pertinence

Compte tenu de la forte rentabilité, notre projet contribuera au développement de la commune d’Antananarivo.
Ceci étant indiscutable par un accroissement successif de notre valeur ajoutée pendant cinq ans : d’où le projet est pertinent.

L’efficacité

Rappelons que 1Ariary investi génère 0,57Ariary de bénéfice, d’où le projet est rentable. En résumé, le projet est rentable, fiable puis efficace parce qu’on pourra atteindre tous les objectifs.

La durabilité

Ce que nous voulons indiquer ici, c’est la possibilité de continuer l’exploitation du projet. Dans notre cas, elle est possible en cinq ans car nous pensons qu’après ce délai, les besoins ne changent pas.

L’impact

Il est certain que la technique d’approvisionnement appliquée servira d’exemple aux autres opérateurs pratiquant la même activité dans la ville d’Antananarivo.

Evaluation sociale

Le but de l’évaluation financière est de veiller à la rentabilité du capital social par la société, tandis que l’évaluation sociale présente la contribution apportée par le projet au niveau social. les critères d’évaluation

Création d’emploi

L’importance de ce projet est sa capacité à créer des emplois. Malgré l’effectif minime de 6 personnes au début, une partie du chômage pourrait être réduite surtout pour les jeunes sortants de l’université.
Ainsi, le projet s’associe à la lutte contre le chômage par la création d’emploi dans la commune d’Antananarivo.

Source de revenu

L’implantation du projet dans la ville d’Antananarivo alimente l’économie locale par l’intermédiaire des salaires qu’il rémunère au personnel d’exécution qui est la population locale.
Enfin, nous pouvons constater qu’après une longue analyse que non seulement le promoteur tire des bénéfices par la mise en place du projet mais aussi la ville d’Antananarivo et son entourage. Par conséquent, un développement national est envisageable.
Ce dernier chapitre nous a permis d’évaluer le projet sur le plan économique, financier et social. Il détermine le degré de rentabilité de notre projet.
Les calculs que nous venons d’effectuer répondent exactement aux critères que nous avons vu dans la théorie sur les outils d’évaluation. En effet, nous avons trouvé une VAN positif, un TRI dégageant une marge de sécurité supérieure au taux d’emprunt, un IP largement supérieur à 1. Ces observations nous permettent de confirmer la rentabilité de notre projet.
Enfin, selon les critères d’évaluation, nous pouvons dire que notre projet est efficace puisque nous avons atteint les objectifs prévus. Sur le plan social, le projet contribue à l’amélioration des revenus de la commune d’Antananarivo et à la réduction du chômage.
De tout ce qui précède, nous pouvons conclure que notre Projet est réaliste et pourra être réalisé. La commercialisation du produit ne devrait poser aucun problème, car il s’agit d’un produit de première nécessite présentant deux avantages certains pour les consommateurs, le prix (prix de gros) et le service rendu (livraison à domicile). L’étude financière nous a permis d’apprécier que la rentabilité est certaine et que la structure financière évolue favorablement, tel que le Plan de Financement le montre. Sur le Plan économique, notre Projet apportera sa part de rémunération des différents facteurs relatifs à l’activité : part de l’Etat, part du Personnel, des prêteur de l’Entreprise. En effet, la valeur ajoutée représente la richesse générée par L’Entreprise par les ressources techniques, humaines et permet de mesurer le poids économique de l’Entreprise.
L’évaluation financière a permis d’apprécier que les différents taux calculés se trouvent à peu près tous dans les normes acceptées par les professionnels du monde des affaires.
Mais des problèmes existent dans notre secteur d’activité, à savoir les problèmes d’environnement. En effet, une des préoccupations des dirigeants actuels est orientée vers la valorisation des ressources naturelles pour le bien être du monde rural. Ils ont mis en œuvre le PEII (Projet environnemental II) dont la principale composante est la loi GELOSE(1) et ses décrets d’application (N°2000-280 du 13/1/2000 relatifs aux médiateurs environnementaux et 2000-27 relatif aux communautés de base, chargées de la gestion locale des ressources naturelles renouvelables.
Notre activité risque donc d’être limitée. Mais nous envisageons de prendre une part active dans le reboisement.
Mais à part, la commercialisation du charbon, nous sommes entrain d’étudier les possibilités de mise en place d’un autre Projet qui, actuellement est au stade expérimental.
En effet, notre préoccupation actuelle est axée sir la recherche d’une nouvelle source d’énergie à base de sciures de bois mélangées avec du liant, pour remplacer le charbon de bois. Nous ne pouvons pas dire plus de notre futur Projet mais en tout cas sa réalisation n’est pas coûteuse et ne devrait pas poser des problèmes, puisque les matières premières existent.

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