Zonages de la forêt de Tampolo
Selon la Loi n°2015-005/Article 50, une Aire Protégée est constituée d’un noyau dur et d’une zone tampon comme limites intérieurs et peut être entourée d’une zone de protection et d’une zone périphérique ou exclusivement d’une zone périphérique (Loi n°2015-005/Article 53, 2015). Mais, selon DIDIER (2015), la forêt de Tampolo se subdivise en plusieurs zonages, comme établis par l’ESSA-Forêts lors du classement de la forêt en aire protégée en 2006.
La zone de conservation
La plus importante en termes de superficie et où toute exploitation est illégale. Cette zone, découpée en 103 parcelles rectangulaires, a « pour première vocation de préserver les richesses de la flore et de la faune » (RATSIRARSON et al., 2006). Dans cette zone de la forêt de Tampolo, seul le CIREEF (Circonscription InterRégionale de l’Environnement et des Eaux et Forêts) peut délivrer des autorisations permettant aux villageois, voire aux habitants du district de prélever du bois dans la forêt, notamment en cas de tsaboraha ou de funérailles. « Deux règles s’appliquent à toutes les situations : les quantités prélevées doivent être raisonnables et non destinées à la vente » (Le Bigot, 2011).
La zone d’aménagement sylvicole
Cette zone se trouve à l’intérieur de la zone de conservation. Dans les années 1950, des plants d’okoumé ont été implanté pour compenser les exploitations des entreprises locales. Aujourd’hui, cette espèce constitue « une menace sérieuse en tant qu’espèce envahissante potentielle contre laquelle l’ESSA-Forêts entreprendra des activités de contrôle par des aménagements sylvicoles » (RATSIRARSON et al., 2006).
La zone de restauration écologique
Cette zone se trouve aussi dans la zone de conservation. Les principales essences ont été détruites par le feu en 1996, sur une superficie de quatre hectares. Dans le document de 2006 expliquant le schéma d’aménagement simplifié de la forêt, il est écrit que « la zone endommagée doit faire l’objet de travaux de restauration, afin d’y restituer dans le long terme les espèces endémiques locales qui s’y trouvaient » (RATSIRARSON et al., 2006 : 8).
La zone écotouristique
Cette zone est établie sur une bande de 100 mètres environ suivant le long du sentier qui relie le site pédagogique à l’Océan Indien en traversant la forêt dans le sens de sa largeur. C’est dans cette zone que se développent « les activités et les aménagements en faveur de la promotion de l’écotourisme (RATSIRARSON et al., 2006).
La zone de droit d’usage ou ZUC
Cette zone se trouve de part et d’autre de la zone écotouristique. Elle correspond aux parcelles dans lesquelles les villageois alentour sont traditionnellement habitués à collecter leurs produits (RATSIRARSON et al., 2006). Cette zone comprend les parcelles dans lesquelles sont autorisées, sous réserve d’approbation formelle des gestionnaires et de l’Administration forestière, les prélèvements par les communautés riveraines, de produits naturels à usage exclusivement domestiques et non commercial (RATSIRARSON et al., 2006). Les villageois habitant aux alentours
de la forêt ne sont donc autorisés qu’à s’approvisionner seulement sur cette zone.
Choix des espèces à étudier
Les espèces : Dypsis arenarum, Ravenea sambiranensis, Dypsis poivreana, Dypsis lutea, Dupsis hiarakae et Dypsis tsaravoasira sont toutes endémiques de Madagascar. Sur ce, le choix des espèces à étudier s’est reposé sur différents critères :
o le statut de conservation dans la liste rouge de l’UICN ;
o l’importance des espèces dans l’utilisation domestique de la population locale.
Bibliographie
Cette méthode consistait à recenser tous les types de documents (ouvrage, revues, cartes, herbiers, fichiers électroniques,…) qui ont pu être utiles pour la conduite de l’étude. En effet, c’est une étape primordiale de la conception du plan de recherche (RAKOTOMALALA, 2005). De nombreuses données sur le milieu d’étude et sur les espèces à étudier ont été recueillies par des investigations bibliographiques. Cette recherche de documents s’effectuait auprès de divers centres de documentation à savoir la bibliothèque de l’ESSA, le centre d’information et de communication du département des Eaux et Forêts de l’ESSA sans oublier la consultation des sites scientifiques sur l’internet.
Méthode d’enquête ethnobotanique
Objectifs
Des enquêtes ethnobotaniques ont été effectués dans le fokontany Takobôla, Rantolava, Tanambao – Tampolo et Andapa II en vue de quantifier les usages de palmiers par la population riveraine. En effet, l’ethnobotanique est la science qui étudie les rapports d’usages entre le monde végétal et l’homme. Elle est basée sur des enquêtes, qualitatives ou quantitatives, qui permettent de répertorier le savoir lié à une espèce dans un cadre sociologique, géographique et historique donné (ROGUET, 2014).
Démarche et collecte des données
La courte durée de l’investigation a nécessité une méthode d’échantillonnage afin de pouvoir obtenir des données exploitables. De ce fait, la collecte des données a été effectuée suivant un type d’échantillonnage aléatoire stratifiée dans les quatre fokontany périphériques de la NAP Tampolo. Outre les interviews, des observations directes ont été aussi effectuée lors de la descente sur terrain afin de catégoriser les cases suivant leur taille. De ce fait, 10 ménages par fokontany ont été choisis aléatoirement, ce qui fait le total de 40 ménages en tout pendant le long del’investigation.
Inventaires
Objectifs
Les objectifs de l’inventaire sont de quantifier la potentialité des espèces de palmiers étudiées dans la forêt de Tampolo. De plus, l’inventaire est effectué pour acquérir les données nécessaires à l’évaluation de l’état des ressources en palmiers de la forêt par rapport aux besoins de la population locale.
Démarche
Vu la courte durée de l’investigation, la méthode adoptée était la méthode d’échantillonnage. Aussi, des mensurations et des observations ont été faites pour une partie de surface et les résultats ainsi obtenus étaient ensuite extrapolés suivant certaines règles à l’ensemble de la superficie (RABENILALANA, 2005).
Collecte des données
Type d’échantillonnage
Pour effectuer l’échantillonnage, une répartition classique (systématique ou aléatoire) des unités d’échantillonnage n’est pas très appropriée (RABENILALANA, 2004). En effet, une répartition aléatoire des unités d’échantillonnage peut par exemple aboutir à des unités qui ne contiennent aucun individu des espèces étudiées. L’échantillonnage est forcément un échantillonnage dit « raisonné ». Une placette d’inventaire contient donc au moins un individu de l’une des espèces étudiées (RAKOTO RATSIMBA, 2005). De plus, la rareté de certaines espèces étudiées, l’accès difficile dans la forêt et le temps disponible à cette activité favorisent ce type d’échantillonnage (RAKOTOMALALA, 2005).
Unité d’échantillonnage
La collecte des données s’est fait en placette de type quadrat de 20m x 20m dans les layons déjà établie dans le site et suivant les types de forêt. Chaque placette était subdivisée en quatre (4) blocs de 10m x 10m où le bloc n°1 était toujours défini comme le bloc des régénérations naturelles.
Lors des inventaires, seize (16) placettes de 20 m x 20 m ont été établies soit une surface totale de 6.400 m2 avec quatre (4) placettes pour chaque type de forêt. Par ailleurs, il est primordial de se munir d’une fiche d’observation et de comptage des espèces présentes dans la placette.
Il faut rappeler que l’objectif de l’inventaire n’est pas d’analyser la phytosociologie des palmiers dans la forêt de Tampolo mais de quantifier la potentialité des espèces.
Donc, il est logique de ne prendre en compte que les espèces concernées lors des études des paramètres relevés.
Collecte des données
Type d’échantillonnage
Pour effectuer l’échantillonnage, une répartition classique (systématique ou aléatoire) des unités d’échantillonnage n’est pas très appropriée (RABENILALANA, 2004). En effet, une répartition aléatoire des unités d’échantillonnage peut par exemple aboutir à des unités qui ne contiennent aucun individu des espèces étudiées. L’échantillonnage est forcément un échantillonnage dit « raisonné ». Une placette d’inventaire contient donc au moins un individu de l’une des espèces étudiées (RAKOTO RATSIMBA, 2005). De plus, la rareté de certaines espèces étudiées, l’accès difficile dans la forêt et le temps disponible à cette activité favorisent ce type d’échantillonnage (RAKOTOMALALA, 2005).
Unité d’échantillonnage
La collecte des données s’est fait en placette de type quadrat de 20m x 20m dans les layons déjà établie dans le site et suivant les types de forêt. Chaque placette était subdivisée en quatre (4) blocs de 10m x 10m où le bloc n°1 était toujours défini comme le bloc des régénérations naturelles.
Lors des inventaires, seize (16) placettes de 20 m x 20 m ont été établies soit une surface totale de 6.400 m2 avec quatre (4) placettes pour chaque type de forêt. Par ailleurs, il est primordial de se munir d’une fiche d’observation et de comptage des espèces présentes dans la placette.
Il faut rappeler que l’objectif de l’inventaire n’est pas d’analyser la phytosociologie des palmiers dans la forêt de Tampolo mais de quantifier la potentialité des espèces.
Donc, il est logique de ne prendre en compte que les espèces concernées lors des études des paramètres relevés.
Présentation des usages de palmiers dans les zones périphériques de Tampolo
Pour le cas de la population riveraine de Tampolo, l’utilisation la plus courante des espèces de palmiers concerne la construction des cases traditionnelles ainsi que pour l’ornementation lors de grand évènement tel que le « tsaboraha », les mariages, etc… Pour faire office de matériaux de construction, les espèces de palmiers les plus utilisées sont Dypsis arenarum et Ravenea sambiranensis et rarement Dypsis lutea due à difficulté d’accès pour son collecte. Dypsis arenarum et Dypsis lutea sont utilisées généralement comme support de toit de maison appelé « fitôroko » tandis que Ravenea sambiranensis est utilisée comme plancher appelé localement « rapaka ». Les autres espèces de palmiers ne sont pas très utilisées du fait de la rareté du nombre des individus exploitables (individus adultes ou matures) dans la forêt ou de la distributionrestreinte de l’espèce. Pour les ornementations, Dypsis lutescens est l’espèce la plus commune.
Dimensionnement des cases traditionnelles
Etant donné que les palmiers, principalement Dypsis arenarum et Ravenea sambiranensis, servent pour la construction des cases, l’étude du dimensionnement des cases traditionnelles est indispensable afin de quantifier la dema nde en palmier nécessaire à la population riveraine.
Les cases traditionnelles sont classifiées selon leur dimension. Les cases traditionnelles ont une dimension qui varie de 2 m à 4 m de largeur et de 3 m à 7 m de longueur. Au-delà de ces valeurs, les cases ne sont plus des cases traditionnelles mais des cases modernes avec des murs en bois, des planchers en ciment et des toits en tôle. La différenciation des cases est présentée par le tableau 7.
Collecte et exploitation des palmiers dans la NAP Tampolo
Les palmiers sont coupés à l’aide d’une manchette et transportés à dos d’homme. Pour les Dypsis arenarum, elles sont testées avec la machette pour savoir leur densité. Si le métal de la manchette raisonne, le stipe du palmier est dense et de bonne qualité. Après la coupe, les individus sont laissés sur place pour sécher afin d’évacuer toute humidité ou tout de suite transporter. La coupe de ces individus concerne tant bien les hommes que les femmes. Dans le cas de Ravenea sambiranensis, leur coupe est assurée seulement par les hommes due à sa dureté. Puis, ils sont transformés en planche sur place avant de sécher ou d’être transporter ailleurs. Pour la coupe de Dypsis lutea, elle est assurée par les femmes.
Les coupes et les collectes des palmiers dans la forêt de Tampolo se font majoritairement de façon illicite par des jeunes personnes dans le but d’autoconsommation ou de commerce locale. A Tampolo, il existe une sorte de marché de palmier qui ne concerne que la population locale. Eneffet, les personnes âgées ne pouvant plus aller collecté leur propre bois emploient les jeunes hommes du village. Par ailleurs, le prix d’une tige de Dypsis arenarum varie de 700 à 1 000ar tandis que pour la tige de Ravenea sambiranensis, son prix varie de 2 000 à 3 000ar.
Usages des palmiers par la population riveraine
Dypsis arenarum est utilisée comme matériaux de construction de cases traditionnelles mais également de barrières aux poissons appelé « vitrana » et sert d’ombrière pour les pépinières tandis que Ravenea sambiranensis sert de plancher (LAURET, 2001). En effet, la nécessité de ces espèces pour matériaux de constructions varie de 5 m 3 minimum à 90 m 3 maximum tandis que l’abondance de ces espèces dans la forêt est très faible. Par ailleurs, le volume de bois de palmier exploitable dans la forêt est estimé à 1,9 m 3 actuellement.
Cependant, l’utilisation de ces espèces ne sont plus actuellement très fréquente due à sa rareté. Les barrières aux poissons et les ombrières sont désormais faites à partir des bambous ou « volobe ».De plus, l’utilisation des palmiers, autres que pour matériaux de construction et plantes d’ornementation, est encore mal connue de la population locale telle que l’usage en tant que mobilier, article agricole, bijoux, habillement, etc … (FAO, 2010).
En outre, la population riveraine a pris conscience de la rareté de ces produits forestiers. De ce fait, la majeure partie de la population se tourne vers l’utilisation de produits ligneux pour matériaux de construction. De plus, la construction de cases modernes avec des planchers en ciment et des toitures en tôle ou des toitures mixtes (case en tôle + véranda en ravenala ou vice versa) se vulgarise.
Recommandations
Compte tenu des résultats obtenus lors de cette étude, des recommandations suivant des axes stratégiques sont apportées en vue d’assurer la pérennité de la ressource en palmiers de la NAP Tampolo.
Axe 1 : Enrichissement de la forêt en Dypsis arenarum et Ravenea sambiranensis
Dypsis arenarum et Ravenea sambiranensis sont les espèces de palmiers les plus exploitées dans la région de Tampolo. En effet, la perception paysanne de ces espèces n’a pas encore changée. Ces espèces sont très appréciées par la population locale due à leur dureté et leur longévité. De ce fait, il serait préférable de collecter des plantules sauvages dans la forêt et de les implanter dans les parcelles pauvres en ces espèces ou à proximité des voies d’accès pour éviter l’intrusion fréquent des préleveurs dans la forêt. Ainsi, les individus dans la forêt pourraient se régénérer et se développer pour atteindre un certain état de développement plus ou moins adulte.
Axe 2 : Conservation in-situ des espèces les plus vulnérables
La conservation in-situ consiste à conserver les espèces dans son habitat naturel. De plus, chaque espèce se régénère plutôt bien à travers les différents types de forêt. De ce fait, la conservation de l’habitat est primordiale. Il faut alors renforcer les contrôles et essayer de sensibiliser la population locale concernant la raréfaction des espèces au sein de la forêt. En effet, l’éducation environnementale de la population locale contribuerait à la protection et à la conservation des espèces concernées d’où sa pérennité. Pour des résultats optimums, l’insertion de l’éducation environnementale dans les programmes scolaires serait un début pour que toute la population adulte tant bien que jeune se sente concernée par la protection de la forêt.
Axe 3 : Vulgarisation de la plantation de palmiers dans des surfaces en dehors de la NAP
Les villages aux alentours de la NAP présente encore une densité faible par rapport aux surfaces non exploitées. Par ailleurs, pour les usages domestiques, la plantation des espèces de palmiers nécessaires à chaque ménage telle que Dypsis arenarum et Ravenea sambiranensis sur des terrains privées ou juste en dehors de la NAP est vivement conseillé. Ceci a pour objectif de rendre indépendante la population riveraine en ressource de palmier. De plus, cette alternative as surerait la proximité de collecte des produits et la pérennité de la ressource en palmiers dans la NAP.
Au terme de cette étude, la récapitulation des concepts évoqués dans les résultats et les discussions est indispensable. La forêt littorale sur sable de Tampolo renferme encore une grande diversité de palmier malgré les multiples pressions anthropiques qui menacent leur extinction. Les résultats des études antérieures ont montrés que la forêt de Tampolo recèle 11 espèces de palmiers appartenant aux genres Dypsis et Ravenea dont 5 espèces du genre Dypsis nécessitent une attentionparticulière vu leur statut UICN.
L’inventaire entrepris a permis de savoir la distribution des palmiers ainsi que de leur abondance suivant les quatre types de formation de forêt. En effet, Dypsis arenarum était l’espèce la plus abondante de la forêt de Tampolo selon d’autres études antérieures. Or, l’abondance de cette espèce a diminuée de façon importante actuellement avec seulement 111 tiges à l’hectare. En outre, la quantité de Ravenea sambiranensis inventorié est également très faible. Par ailleurs, Dypsis lutea est l’espèce la plus abondante mais seulement présente en forêt des marécages.
Les enquêtes ethnobotaniques ont révélés l’utilisation des palmiers par la population riveraine comme matériaux de construction de case traditionnelle et comme plante ornementale.
Table des matières
INTRODUCTION
PARTIE 1 : ETAT DE L’ART
1.1- Présentation du milieu d’étude
1.1.1 -Cadre physique
1.1.2- Milieu humain
1.2- Description des palmiers de Madagascar
1.3- Taxonomie des espèces de palmiers autochtones de la NAP Tampolo
1.4- Caractéristiques des genres Dypsis et Ravenae
1.5- Catégorisation des espèces de palmiers
PARTIE 2 : METHODOLOGIE
2.1- Rappel de la problématique et des objectifs
2.2- Matériels et méthode
2.2.1- Choix des espèces à étudier
2.2.2- Bibliographie
2.2.3- Méthode d’enquête ethnobotanique
2.2.4- Inventaires
2.2.5- Traitements des données
2.2.6- Evaluation des risques d’extinction des espèces
2.2.7- Critère d’évaluation
PARTIE 3 : RESULTATS
3.1- Richesse spécifique en palmier de la NAP Tampolo
3.1.1- Caractéristiques morphologiques des essences de palmier inventoriées de Tampolo
3.1.2- Abondance en palmier suivant les types de forêt de Tampolo
3.1.3- Abondance moyenne des espèces de palmiers étudiées
3.1.4- Abondance de chaque espèce étudiée suivant le type d’habitat naturel
3.1.5- Abondance de chaque espèce par classe de hauteur suivant le type d’habitat
3.2- Présentation des usages de palmiers dans les zones périphériques de Tampolo
3.2.1- Dimensionnement des cases traditionnelles
3.2.2- Quantification de l’usage des palmiers
3.3- Collecte et exploitation des palmiers dans la NAP Tampolo
PARTIE 4 : DISCUSSIONS ET RECOMMANDATIONS
4.1- Discussions sur la méthodologie
4.2 – Comparaison des stocks en palmiers de la NAP Tampolo par rapport aux études antérieures
4.3 – Usages des palmiers par la population riveraine
4.4 – Evaluation des risques d’extinction des espèces de palmiers
4.5 – Vérification des hypothèses
4.6 – Recommandations
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIES
ANNEXES