Besoins nutritifs de la vache laitière

Pie rouge norvégienne (PRN)

Il s’agit d’une race d’origine norvégienne. Elle porte une robe pie rouge. Les cornes sont en lyre haute et les muqueuses sont rosées. C’est une race de grande taille.
La vache mesure 130 cm au garrot et pèse 575 kg. Letaureau mesure 140 cm pour 1000 kg. Elle est classée laitière. Elle donne en moyenne 5800 kg de lait. Elle doit sa grande diffusion à un programme de sélection intense qui a porté sur la résistance aux mammites, la bonne fertilité, et la facilité de vêlage [7,8].
A Madagascar, la production de lait en 10 mois et en bonne condition d’élevage atteint 6.500 litres à 8.000 litres. La race PRN survit difficilement au-dessous de 800 m d’altitude, mais peut être élevé sur les zones côtières à condition de les préserver de l’excès de chaleur (9).

Frisonne

La race bovine Frisonne est le nom courant de l’ancienne race bovine Française Frisonne Pie-Noir, (FFPN). La race Française Frisonne Pie-Noir, longtemps appelée race Hollandaise, Pie-Noir en France, ou Hollandaise tout court, a elle-même été créée par l’importation répétée de vaches et de taureaux pie-noir issus notamment des provinces de Hollande. C’est une race de grande taille, à peu près équivalente à la PRN.
A Madagascar, la production de lait en 10 mois et en bonne condition d’élevage atteint 6.500 litres à 8.000 litres. La race FFPN peut être élevée dans les zones d’altitude inférieure à 800 m, avec une légère baisse de la production [9].

Prim’Holstein

La prim’Holstein est une race bovine laitière française. Elle correspond aux populations françaises de la race Holstein. Elle est obtenue par le croisement FFPN et Holstein nord-américains. Sa robe est généralement Pie noire à taches blanches et noires bien délimitées et parfois Pie rouge (Red Holstein). Les muqueuses sont claires et les cornes en croissant court. Elle possède généralement de bons aplombs, et une bonne mamelle. C’est une vache de grande taille : la hauteur au sacrum est en moyenne de 1,45 m chez les femelles et 1,65 m chez les mâles et le poids moyen respectivement de 600-700 kg et 900-1 200 kg. Elle a été sélectionnée très tôt sur ses aptitudes laitières et a donné la race la plus efficace au monde. Elle atteint une production moyenne qui frôle les 10 000 kg avec ponctuellement des individus qui dépassent les 17 000 kg [7,8].La race Holstein est la plus exigeante en alimentation et entretien [9].

Normande

La normande est une race bovine française originaire de Normandie. C’est une vache de taille moyenne moins corpulente que la PRN et la FFPN. Elle a une robe caractéristique, c’est une vache à robe tricolore bringée noir, blond fauve et blanc caille, le ventre et la tête sont toujours blancs, avec surla tête des taches de couleur (lunettes et museau) blanche avec plus ou moins de taches brunesou bringées (presque noire). La répartition des couleurs, toujours en taches irrégulières, est très variable et on trouve trois types de robe : la robe « caille », blanche avec des petites taches colorées éparses, la robe « blonde », caractérisée par une grande tache rouge, qui ne recouvre pas le ventre, et la robe « bringée », avec une grande tache bringée recouvrant la plupart du corps, le ventre demeurant là encore blanc. C’est une race qui a d’excellentes aptitudes laitières, notamment vis-à-vis de la qualité. Les quantités de lait produites sont toutefois très bonnes également, avec une moyenne de 7 300 kgde lait par vache et par an [7,8].
A Madagascar, la production de lait en 10 mois et en bonne condition d’élevage est d’environ 4.200litres. C’est une race qui supporte mieux le climat à Madagascar [9].

Rana

Elle provient du croisement successif des vaches zébus malgaches avec des taureaux bordelais ou des taureaux de race gasconne importés par Jean Laborde en 1840. A l’époque de la colonisation, le troupeau laitier de Tananarive est constitué en majorité par des vaches Rana, dont l’origine est antérieure à 1895. C’est un bovin sans bosse, plus fin et moins ramassé que le zébu local.La couleur de la robe est variable : gris avec extrémités foncées, pie noir, froment-fauve [10].
Sa production maximale est de 2.500 litres. C’est une race adaptée à la majorité des élevages de type familial aux conditions modestes d’élevage [9].

BASES THEORIQUES DE L’ALIMENTATION DU BOVIN LAITIER

Dans la conduite de l’élevage des vaches laitières,tel que le choix de la race de vache, la vache la plus performante présente une mamelle volumineuse avec des trayons réguliers et gros, l’habitat correct protégeant la vache contre la chaleur, la pluie et le froid pendant l’hiver, l’alimentation prend une place importante. Les vaches doivent être alimenté avec du bon fourrage qui peut être conservé soit en foin ou en ensilage et une complémentation est nécessaire pendant la saison sèche avec des aliments concentrés.

Particularité de la digestion chez les ruminants

Les ruminants sont dotés d’un extraordinaire système digestif, capable de transformer les fourrages ne possédant aucune valeur nutritive pour les humains en aliments hautement digestibles, comme le lait et leviande [2].
Les vaches laitières se nourrissent exclusivement de fourrages. Si les ruminants peuvent consommer et utiliser autant de fourrages ligno-cellulosiques, c’est bien évidement en raison des caractéristiques de leur appareil digestif [11]. Le premier animal à nourrir est le rumen, ou plutôt la microflore du rumen. Cette dernière donc, est capable de digérer les parois végétales [12]. La digestion des parois végétales donnent également des produits terminaux de fermentation, les acides gras volatiles (AGV), qui vont fournir l’essentiel de l’énergie au ruminant [11].
Il est vrai qu’une alimentation équilibrée apporte des glucides, des lipides, des protéines, mais aussi il est important de veiller àla qualité de ces composants, car il est essentiel qu’ils apportent une quantité suffisante de certains éléments essentiels : les acides aminés indispensables, les acides gras essentiels, et des vitamines. Si le ruminant est confronté aux mêmes besoins que les autres animaux, il ne se nourrit pas directement de l’herbe qu’il consomme, mais des produits des microorganismes de son rumen. Or ces micro-organismes ont des capacités que n’ont pas les mammifères : ils synthétisent les acides aminés indispensables, les acides gras essentiels et certaines vitamines [13].
Ainsi, les ruminants sont moins exposés aux carences alimentaires que les autres espèces domestiques, car ils peuvent couvrir une partie de leurs besoins grâce aux synthèses microbiennes. Toutefois, cela n’affirme pas que les ruminants sont à l’abri des carences car les bactéries ne peuventpas compenser toutes les insuffisances de l’alimentation. Elles sont par exemple incapables de corriger les insuffisances de la ration en oligoéléments.
Pour obtenir une synthèse microbienne optimale et une digestibilité de la ration satisfaisante, la flore microbienne doit disposer en même temps d’une quantité minimale d’énergie fermentescible et de matière azotée dégradable dans le rumen [14]. Un déficit en azote dégradable limite l’efficacité de la digestion microbienne et entraine une diminution de la production laitière par diminutionde l’ingestion [15].
La symbiose microflore/ruminant représente un équilibre précaire, très sensible à toute erreur alimentaire, de telle sorte que le rationnement d’un ruminant est plus délicat, plus précis, plus rigoureux que pour toute autre espèce [12].

Eléments essentiels des besoins et apports de la vache laitière

Pour raisonner sur l’alimentation des vaches laitières, il est nécessaire de disposer d’outils et d’informations précis sur leurs besoins alimentaires d’une part et d’autre part sur la valeur nutritive et l’ingestibilité des aliments [2]. Les besoins et apports de la vache laitière doivent être établis en éléments digestibles et calculées ou traduits en valeur alimentaire.
La valeur alimentaire comprend deux grandes composantes :
– L’ingestibilité : C’est l’aptitude d’un aliment à être ingéré en plus ou moins en grande quantité [13].
– La valeur nutritive : C’est la valeur de l’aliment qui permet d’évaluer la contribution de cet aliment à la couverture des besoins nutritionnels de l’animal. Elle est fortement liée à la composition biochimique et à l’origine des constituants végétaux (cytoplasmiques et membranaires) constitutifs de l’aliment [13].

Valeur énergétique

Les besoins et les apports énergétiques sont mesurés en unité fourragère (UF). Dans le système français, l’Unité Fourragère (UF)représente la valeur énergétique nette d’un kilogramme d’orge, qui correspond environ à une quantité d’énergie de 1700 kcal. Comme tous les animaux n’utilisent pas l’énergie de la même façon, des UF pour chaque production sont définis : les UFL (unités fourragères Lait), les UFV (unités fourragères Viande), les UFM (unités fourragères Mouton) et les UFC (unités fourragères Chevaux). Dans tous les cas, 1UF est laquantité d’énergie nette apportée par un kilo d’orge standard. L’utilisation des UFV est réservée aux bovins en croissance rapide, c’est-à-dire ceux dont le Gain Moyen Quotidien (GMQ) est supérieur à 1 kg. Pour les vaches allaitantes et les bovins dont le GMQ est inférieur à 1 kg, les UFL sont utilisés [16,17].

Facteur lié à l’animal

Appétit et besoins physiologiques

La consommation volontaire d’aliment suit les besoins énergétiques de l’animal mais avec des décalages et des anomalies à certaines périodes, notamment pendant la période sèche et le début de lactation [22]. La capacité d’ingestion d’une vache en début de lactation augmente régulièrement pour atteindre son maximum vers le 2 ème mois, se stabilise puis diminue en fin de lactation [23]. Ainsi l’appétit de la vache tarie en sens contraire des besoins qui augmentent d’une manière exponentielle en fin de gestation, d’une part, avec le développement rapide du fœtus [22] et d’autre part, au début de lactation d’où la nécessité d’une matière sèche dont la valeur nutritive soit la plus élevée.

Poids de la vache

L’augmentation de la consommation après le vêlage est plus réduite et moins rapide chez les vaches grasses que chez les maigres, ainsi la capacité d’ingestion diminue lorsque la note d’état corporelle augmente. Une augmentation de 100 kg de poids vifs (format de l’animal) d’une vache permet une ingestion supplémentaire de 2,5 kg de matière sèche [14,22].

Age

La capacité d’ingestion est modulée par l’âge de la vache. Avec un même poids vif et un même niveau de production, les primipares consomment moins que les vaches adultes avec une différence de 0,5 kg de MS, ceci est d’autant plus important que l’âge au premier vêlage est précoce [14].

Potentiel de production

La capacité d’ingestion s’accroît avec la production du lait potentiel qui correspond à la quantité de lait synthétisé par la mamelle lorsque la disponibilité en nutriment n’est pas limitée et pour une lactation sans problème sanitaire [14]. Les vaches à haut niveau de production ont des besoins en nutriments plus élevés, ce qui se traduit au pâturage par un accroissement des quantités d’herbe ingérées [25].

Facteur lié à l’aliment

Composition de la ration

L’ingestibilité des fourrages se trouve modifié par l’addition d’aliments concentrés. L’amélioration de la nutrition protéique (plus de 14 g PDIE/UFL en moyenne) des vaches laitières entraine une augmentation significative des quantités ingérées (en moyenne 1 kg de MS par jour) lorsqu’iln’y a pas simultanément une baisse importante de la quantité d’azote dégradable dans le rumen [26,27].
La réponse de l’ingestion à des suppléments protéiques ne dépend que de la nutrition protéique de la vache. Elle dépend aussi dans une large mesure des autres caractéristiques de la ration. Le fait d’offrir à volonté le fourrage et les aliments concentrés mélangés permettent aux vaches d’accroitre plus facilement leur ingestion qu’avec le fourrage seul à volonté et la réponse peut augmenter en relation avec la proportion d’aliments concentrés dans la ration [26].

Couverture des besoins de reconstitution des réserves corporelles

Les réserves corporelles (tissu adipeux) sont mobilisées en début de lactation au démarrage de lactation jusqu’au 2 mois. Cette mobilisation des réserves corporelles après le vêlage est à cause de la diminution de la capacité d’ingestion de la vache qui ne permet pas de couvrir les besoins énergétiques de l’animal. Après le pic de lactation, les réserves corporelles nécessite d’être reconstitué pour la préparation de la lactation suivante. Les apports par la mobilisationdes réserves corporelles en début de lactation sont principalement des apports énergétiques [29,30].
Le calcul de besoin de reconstitution des réserves corporelles est basé sur une estimation de [29,30] : « 1 point de NEC ≈40 kg de gain de PV sur minimum 70 j (il nécessite environ 4,5 UFL / kg de gain) »
Selon le point de NEC perdue, le besoin énergétiquejournalier et les temps nécessaires pour la pour la reconstitution des réserves corporelles sont représentés dans le tableau ci-dessous.

Principes d’alimentation rationnelle

L’alimentation rationnelle conditionne la rentabilité et la réussite d’un élevage [28]. L’alimentation rationnelle de la vache laitière suppose d’abord de bien prendre en compte les particularités digestives du ruminant [12].Un bon programme d’alimentation pour vaches laitières doit indiquer les aliments qui sont appropriés, les quantités nécessaires ainsi que les manières et le moment de les servir [2].
La première qualité est le sens de l’observation qui lui permet de juger le comportement de chaque animal et de contrôler aussi bien sa production que son état de santé [39,40].
Après avoir déterminé le poids puis la production réelle ou souhaitée de l’animal, estimer quels sont ses besoins [40,41].
Les besoins connus, il faut en fonction de tous les aliments dont on dispose, établir la ration de façon qu’elle puisse, si possible et sans gaspillage, répondre à ces besoins ; dans le contraire, savoir exactement en quoi et dans quelle mesure elle est complétée et équilibrée. La ration de base suffit aux besoins d’entretient ; si possible, à une partie au moins des besoins de production. Elle est composée par priorité d’aliments grossiers bon marché, puis s’il y a lieu équilibrée et complétée avec des aliments concentrés et des minéraux. La ration de production répond aux seuls besoins d’une production supérieure à celle qui est autorisée par la ration de base. La ration de base étant supposé équilibrée, elle sera établie uniquement en fonction de cette production [40,41].
Ceci suppose la connaissance de la valeur des apports alimentaires en éléments digestibles.

Période de tarissement

Cette période est obligatoire pour une relance hormonale et une régénération des tissus mammaires et non pas pour une remise en état intervenant antérieurement, en seconde partie de la lactation (Figure 1). Cette période se distingue par des besoins quantitatifs relativement faibles, mais par des exigences qualitatives particulières liées à a gestation [12].A cet effet, ni engraissement ni amaigrissement de la vache ne sont recommandés si elle est en bonne état de chair avant le tarissement. Cependant, la capacité d’ingestion dépasse 10 à 12 kg de MS, ce qui implique d’apporter un régime fibreux comportant plus de 30% de ligno-cellulose tel qu’un pâturage moyen, du foin à volonté, du foin en complément d’ensilage d’herbe (rationné à 5 kg de MS) ou d’ensilage de maïs (rationné à 3 kg de MS) pour couvrir ainsi les besoins d’entretien et de gestation [22] et favoriser une forte rumination[41]. Ce type de régime évite le surengraissement et permet le développement de la panse [12]. Concernant les vaches maigres, l’utilisation de manière plus libérale des fourrages plus énergétiques comme l’ensilage de mais est recommandé [22].
La période qui se situe autour du vêlage correspond à deux moments physiologiques différents : la fin de la période de tarissement, caractérisée par des besoins alimentaires modérés, et le début de lactation, caractérisé par des besoins qui deviennent rapidement importants [15] et une capacité d’ingestion qui reste faible et évolue moins vite que les besoins [42].
Comme toutes les transitions, elle s’effectue de façon progressive et permettre à la microflore de s’adapter. En effet, c’est à ce moment que surviennent la plupart des maladies métaboliques (acidose, cétose, hypocalcémie puerpérale), dues en grande parties à des erreurs de rationnement [15]. La phase d’adaptation au régime alimentaire correspond à la préparation de lactation [41]. Elle est estimée à 3 semaines avant le vêlage et préconisé à ce que les fourrages comme les concentrés qui sont introduits en cette période soient de même nature avant et après vêlage pour constituer un même « fond de cuve » pour la microflore [12].

Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE: RAPPELS
1.LES DIFFERENTES RACES LAITIERES A MADAGASCAR
1.1. Pie rouge norvégienne (PRN)
1.2. Frisonne
1.3. Prim’Holstein
1.4. Normande
1.5. Manjan’i Boina
1.6. Rana
2.BASES THEORIQUES DE L’ALIMENTATION DU BOVIN LAITIER
2.1. Particularité de la digestion chez les ruminants
2.2. Eléments essentiels des besoins et apports de la vache laitière
2.2.1.Valeur énergétique
2.2.2.Valeur azotée
2.2.3.Valeur minérale
2.3.Valeur de la capacité d’ingestion
2.3.1.Facteur lié à l’animal
2.3.2.Facteur lié à l’aliment
2.4. Besoins nutritifs de la vache laitière
2.4.1.Couverture des besoins d’entretien et de déplacement
2.4.2.Couverture des besoins de lactation
2.4.3.Couverture des besoins de gestation
2.4.4.Couverture des besoins de reconstitution des réserves corporelles
2.4.5.Couverture des besoins de croissance des primipares
2.4.6.Couverture des besoins hydriques
2.5. Principes d’alimentation rationnelle
2.5.1.Période de tarissement
2.5.2.Période de lactation
2.6. Aliments de la vache laitière
2.6.1.Aliments grossiers
2.6.2.Aliments simples concentrés
2.6.3.Aliments composés
2.6.4.Minéraux et Vitamines
DEUXIEME PARTIE : METHODES ET RESULTATS
1.METHODES 
1.1. Milieu d’étude
1.2. Type d’étude
1.3. Période de l’étude
1.4. Durée de l’étude
1.5. Population de l’étude
1.6. Mode d’échantillonnage
1.7. Taille de l’échantillon
1.8. Les variables étudiées
1.9. Mode de collecte des données
1.9.1.Description de la fiche d’enquête
1.9.2.Choix du questionnaire et du mode d’administration
1.9.3.Pré-test du questionnaire
1.9.4.Pesée des aliments
1.9.5.Mensuration des vaches
1.9.6.Note d’état corporel des vaches
1.9.7.Estimation de la composition des aliments distribués
1.10.Analyse statistique des données
1.11.Paramètres calculés
1.11.1. Calcul de la surface en culture fourragère disponible  par bovin (SFDB)
1.11.2. Calcul du poids vif
1.11.3. Calcul de la production laitière réelle et potentielle
1.11.4. Calcul de la quantité de lait permise par la ration
1.12. Limite de l’étude
1.13. Considération éthique
2.RESULTATS 
2.1. Description des élevages
2.1.1.Répartition des élevages dans les deux communes étudiées
2.1.2.Caractéristiques générales des élevages
2.2. Profil des vaches étudiées
2.2.1.Niveaux génétiques des vaches
2.2.2.Age et rang de lactation
2.2.3.Poids vif et NEC des vaches
2.2.4.Reproduction des vaches
2.3. Pratiques alimentaires
2.3.1.Caractéristiques générales
2.3.2.Système d’alimentation
2.3.3.Résultats quantitatifs liés au système d’alimentation
TROISIEME PARTIE : DISCUSSION 
1.METHODOLOGIE
1.1. Choix du milieu étudié
1.2. Choix de la population étudiée
1.3. Nombre d’animaux
1.4. Validité du questionnaire
1.5. Pesée des aliments
1.6. Estimation des compositions des aliments distribués
1.7. Pertinence de l’étude
2.RESULTATS DES DESCRIPTIONS DES ELEVAGES ETUDIES 
3.RESULTATS DES PROFILS DES VACHES ETUDIEES 
4.RESULTATS DE LA PRATIQUE ALIMENTAIRE 
4.1. Caractéristiques générales
4.2. Système d’alimentation
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
ANNEXES

projet fin d'etude

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