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Comparaison des différentes méthodes d’accès multiple
Le site cellulaire gère le trafic des communications avec un grand nombre de mobiles opérant plus ou moins indépendamment les uns des autres. Deux grandes questions doivent être abordées à ce niveau :
1- La gestion du spectre c’est à dire la manière dont on gère l’allocation totale du spectre en circuits téléphoniques ;
2- L’accès c’est à dire comment ces circuits seront ensuite af fectés suivant les demandes des utilisateurs particuliers (les possibilités d’accès multiple et aléatoire).
Même si la première question est d’une importance vidente,é la seconde n’en est pas moindre. Ceci est induit du fait que les systèmes modernes seront désormais à accès multiple, ce qui signifie que chaque circuit téléphonique sera partagé entre plusieurs utilisateurs et n’importe quel utilisateur peut y accéder pour n’importe quel appel
téléphonique circuit( téléphonique banalisé). La banalisation complète est donc une nécessité pour les systèmes de téléphonie modernes.
. En général, il y a trois architectures possiblesbasées sur trois différents concepts d’accès multiple (par ordre d’apparition chronologique) :
¨ Le FDMA (Frequency Division Multiple Access) ou AMRF (Accès Multiple à Répartition Fréquentielle)
¨ Le TDMA (Time Division Multiple Access) ou AMRT (Accès Multiple à Répartition dans le Temps)
¨ Le CDMA (Code Division Multiple Access) ou AMRC (Accès Multiple à Répartition dans les Codes)
Pour mettre en œuvre une communication en « duplex », on peut aussi choisir entre plusieurs méthodes (appeléesméthodes de duplexage) dont les plus connus sont sans doute :
¨ le TDD (Time Division Duplex)
¨ le FDD (Frequency Division Duplex)
Ces méthodes sont utilisées conjointement avec lesméthodes d’accès multiples citées plus haut.
L’accès multiple à répartition fréquentielle
Dans une architecture FDMA, chaque utilisateur se voit attribué une bande de fréquence donnée pour toute la durée de la communication. Les canaux (fréquences) disponibles sont assignés à la demande, sur la base du premier arrivé, premier servi, à des utilisateurs demandeurs pour écouler un appel, ou à ceux pour qui un appel arrivant a été reçu. Chaque fréquence ne transmet qu’une seule communication à un moment donné.
Dans les systèmes FDMA modernes, un ou plusieurs des canaux disponibles est utilisé comme canal de contrôle . Dans le cas d’un appel lancé par un mobile, la demande d’appel comprenant la transmission des bits de numérotation et quelquefois d’autres opérations d’initialisation, est transmise sur ce canal du mobile vers la base.
La base transmet ensuite sur ce canal des instructions au mobile pour le commuter vers une fréquence de conversation pour transmettre. L’assignation de fréquence est menée à bonne fin rapidement et automatiquement ; elle est transparente pour l’utilisation mobile.
Les caractéristiques les plus importantes du FDMA
– Un seul circuit par porteuse : chaque canal FDMA est conçu pour ne transporter qu’un seul circuit téléphonique.
– Transmission continue : une fois que le canal de conversation a été attribué, l’unité mobile et la base transmettent toutes les deux continûment et simultanément.
– Largeur de bande étroite: car les canaux FDMA ne transmettent qu’un circuit par porteuse
– Nécessité d’un espace de garde entre les canaux:car il est impossible de concevoir un émetteur qui n’émet strictement que dans la bande de fréquence allouée
– C’est une technique entièrement analogique.
Avantages du FDMA
– Une certaine immunité face à l’étalement de délai :car généralement le débit est faible, d’où la durée des symboles est assez importante, ce qui procure une certaine immunité face à l’étalement de délai.
– Complexité moindre de l’unité mobile: à priori les unités en question n’ont pas besoin de dispositifs d’égalisations, de synchronisations et des formatages complexes. Les bits supplémentaires nécessaires pour assurer la synchronisation est très faible car la transmission du ou vers le mobile est continue (l’usage du canal n’est pas multiplexé).
Inconvénients du FDMA
– Nécessité d’un grand nombre d’équipement pour desservir un nombre donné d’abonné: un émetteur, un récepteur, deux codecs, et deux odems pour chaque circuit.
– Le coût partagé par abonné est élevé
– La nécessité d’un duplexeur: par le fait que l’émetteur et le récepteur doivent opérer en même temps.
– Complexité du transfert automatique de cellule: Du fait que la transmission FDMA est continue, la réalisation du transfert versun autre canal dans une autre cellule est plus difficile que dans le système TDMA, où l’on puisse profiter d’un intervalle de temps libre pour réaliser le transfer.
L’accès multiple à répartition dans le temps
Dans un système TDMA, chaque canal radio transporte un certain nombre de circuits banalisés qui sont multiplexés dans le temps. Chaque canal est ainsi divisé en plusieurs intervalles de temps. La réalisation de l’accès multiple en TDMA se fait par une correspondance « temps – fréquence ». L’attribution des circuits aux utilisateurs se fait appel par appel, sous le contrôle de la station de base. L’émission d’un appel est réalisée sur un intervalle de temps de contrôle séparé.
Figure 1.2 : partage des ressources dans le cas du TDMA
Avantages du TDMA
– Transmission par paquets : ceci influe sur l’effet des interférences, car à un moment donné il n’y a qu’une partie des mobiles en opération qui sont réellement en émission.
– Coût de système partagé plus bas :car chaque canal radio est effectivement partagé par un grand nombre d’abonné.
– Non nécessité d’un duplexeur: il devient possible d’émettre et de recevoir sur des intervalles de temps différents, ce qui permet de remplacer les circuits duplexeurs par des circuits de commutation rapide, et qui de ce fait permet de réduire le coût de l’unité mobile.
– Facilité de transfert automatique de cellule: par le fait que l’émetteur TDMA est inactif pendant des intervalles de temps libres, ce qui permet de mettre une procédure de transfert automatique de cellule plusefficace.
Inconvénients du TDMA
– Une grande sensibilité aux «délais d’étalement» : Le fait de multiplexer un certain nombre de circuits sur un même canal, provoque inévitablement l’accroissement du débit de ce dernier. Ceci entraîne la diminution de la durée d’un symbole jusqu’à frôler l’étalement moyen des d onnées, d’où la nécessité d’une égalisation plus poussée.
– Une plus grande complexité du mobile: Le traitement numérique nécessaire augmente notablement la complexité du mobile qui devient un dispositif de communication complexe et non plus un simple émetteur – récepteur.
– Une plus grande quantité de bits supplémentaires: Le récepteur doit récupérer la synchronisation à chaque paquet. Des bandes de g arde sont nécessaires pour séparer les intervalles de temps les uns des autres au cas où des délais de propagation non égalisés feraient qu’un utilisateur lointain se glisse dans l’intervalle de temps adjacent de celui d’un utilis ateur proche. On a besoin pour cela dans un système TDMA, de plus de bits supplémentaires pour implémenter ces temps de garde. Ces bits peuvent atteindre la proportion de 20 à 30 % du total des bits transmis, ce qui est vraiment très pénalisant.
– Une limitation de la zone de couverture : Le temps de garde entre les différentes communications multiplexées sur un seul canal ne peut pas dépasser une valeur donnée. Si l’émetteur est très éloigné du récepteur, le temps de garde peut dépasser la valeur limite et il y aura chevauchement entre deux communications adjacentes. Ceci va se traduire par la perte de la liaison : la communication ne pourra pas aboutir.
L’accès multiple à répartition dans les codes
Chez les deux systèmes précédemment cités, chaque tilisateur émet durant son intervalle de temps (TDMA) ou à travers la fréquence allouée par le système (FDMA). Ceci a pour principal avantage de supprimer théoriquemen les interférences entre les différents usagers du système. Cependant cette allocation statique de la ressource fréquentielle ne fait pas une utilisation efficace du canal lorsque la transmission effectuée par chaque utilisateur n’est pas fréquente ou se fait en rafale. Par exemple en téléphonie mobile, les études menées ont permis de déterminer que les usagers de ces téléphones parlent moins de 50% du temps durant lequel dure la conversation, laissant donc leur canal oisif pendant les 50% restant. On voit donc aisément que pour de tels cas, une technique de multiplexage plus efficace est souhaitable, qui sera capable d’allouer dynamiquement les ressources en canal en fonction des besoins des utilisateurs actifs en un moment donné.
Les techniques d’étalement du spectre sont à l’origine de l’architecture CDMA. Dans ce type d’accès multiple, une bande de fréquence très large est allouée pour tous les utilisateurs et la distinction entre les diverses communications se fait au moyen de techniques de codage appropriées. Ici on affecte à un mobile un code particulier qui possède une certaine orthogonalité (voir Chapitre IV) vis à vis des autres codes utilisés par les autres usagers. Cependant en pratique, (et comme nous le verrons plus tard) l’attribution de codes parfaitement orthogonaux à tous les utilisateurs pe uvent introduire une limitation sensible de la capacité du système. La plupart du temps on doit se contenter d’utiliser des codes « presque orthogonales », ce qui va se traduire par une augmentation progressive de la probabilité de « collision » de 2 communications utilisant 2 codes se « chevauchant » partiellement, avec le nombre de communications en cours.
A la différence des systèmes FDMA et TDMA, la surcharge du système ne se traduit plus par l’impossibilité de communiquer, ou par une attente longue, mais par une qualité de transmissions de plus en plus dégradée.
Mais CDMA possède plusieurs avantages, qui peuvent faire pencher la balance de son côté lors du choix pour un nouveau système (surtout pour les mobiles):
– plus grande capacité en terme de nombre d’utilisateur par cellule à cause d’une meilleure efficacité spectrale et une meilleure utilisation de la ressource « fréquence »
– meilleure confidentialité des transmissions
– meilleure résistance contre les brouillages et les interférences
– une bonne protection contre les « fadings » dus aux propagations par trajets multiples
– une meilleure répartition de la gestion du système
– une meilleure flexibilité en vue d’une maintenance dans le futur
– une bonne adaptation à la transmission de données numériques par « rafales » puisqu’il est facile de créer un circuit virtuel permanent qui n’est utilisé que lorsque les données sont à transmettre.
Le mode de duplexage TDD
Dans cette méthode, un canal est utilisé mais à un instant particulier, seule une transmission dans un sens est effectuée. Une station émet tandis que l’autre reçoit. C’est seulement après que les rôles s’inversent, permetta nt d’effectuer des transferts de données dans les deux sens («duplex ») en n’utilisant qu’un seul canal.
Le mode de duplexage FDD
Cette méthode consiste à allouer deux chemins différents pour les communications. La station émettrice se voit attribuer une fréquence lorsa que la station réceptrice se voit en affecter une autre. Les deux stations peuvent émettre et recevoir en même temps. Par contre, ceci a pour inconvénient de réduire le nombre de canaux disponibles dans le système. C’est un système sous – optimal car les stations peuvent ne pas avoir besoin d’un flux ininterrompu de données. Sur la figure suivante montre la communication entre deux stations utilisant deux bandes de fréquence.
Cas particuliers:
Dans le cadre de la norme UMTS (Universal Mobile Telecommunications System), des combinaisons particulières ont été retenues :
¨ le WCDMA (Wideband CDMA) qui utilise conjointement le FDD et CDMA
¨ le TD-CDMA (Time Division CDMA) qui utilise conjointement le TDD et le CDMA.
HISTORIQUE DE DEVELOPPEMENT DES TECHNIQUES D’ ETALEMENT DE SPECTRE
Historique
Les techniques d’étalement de spectre ont leurs origines dans les applications militaires. Les recherches ont été accélérées par les besoins militaires de la deuxième guerre mondiale. Cependant, des idées ont déjà fait leurs chemins bien avant le commencement de cette guerre.
En 1935, des ingénieurs allemands travaillant chez Telefunken, Paul Kotowski et Kurt Dannehl ont postulé un brevet sur un dispositif employé pour masquer des signaux vocaux en les combinant avec un bruit à lar ge bande produit par un générateur rotatif. Le récepteur dispose aussi d’unautre générateur qui est synchronisé et qui est utilisé dans le but de récupérer le signal vocal bruité. Cette invention fut le point de départ du développement esd systèmes d’étalement du spectre à Séquence Directe (DS-SS : Direct Sequence – Spread Spectrum).
En 1949, John Pierce a écrit un mémorandum où il décrivait un système de multiplexage dans lequel un support commun transporte des signaux codés n’ayant pas besoin d’être synchronisés. Claude Shannon et obertR Pierce ont introduit, toujours en 1949 les idées de base de l’accès multiple à répartition dans les codes (AMRC) en décrivant les effets de l’interférence moyenne et la dégradation qui peut s’ensuivre dans un système AMRC.
En 1950, De Rosa-Rogoff a proposé un système à étalement de spectre par séquence directe (DS-CDMA) et introduit la notion de Gain de Traitement (Processing Gain) ainsi que les équations correspondantes.
En 1956, Price et Green déposent un brevet sur le premier récepteur RAKE qui a la particularité de pouvoir combiner les signaux issus des propagations par trajets multiples.
En 1961, l’effet de masquage des autres utilisateurs par un utilisateur puissant dans un système AMRC a été identifié par Magnuski souse noml de l’effet Near-Far.
En 1978, l’utilisation de l’étalement de spectre dans un réseau de téléphonie cellulaire a été suggérée par Cooper et Nettleton.
Dans les années 80, les recherches effectuées par Qualcomm dans le domaine des techniques d’étalement de spectre par séquence directe (DS-SS), ont abouti à la finalisation du standard IS-95 en 1993.
En 1985, commencement de l’étude du projet IMT-2000
En 1986, le concept de la détection multi-utilisateur optimale a été formulé par Verdu.
En 1987, commencement de l’étude de la déclinaisoneuropéenne de l’IMT-2000 : l’UMTS
En Février 1992, les bandes de fréquences pour les ystèmes de téléphonie mobile de la troisième génération satisfaisant la recommandation de l’IMT-2000 ont été définies.
En 1995, les déclinaisons régionales de l’IMT-2000ont été définies et retenues:
• UMTS en Europe
• Cdma2000 aux Etats-Unis
• ARIB au Japon
• TTA I et TTA II en Corée du Sud.
En 1996, le système IS-95 est maintenant opérationnel et les opérations commerciales ont pu démarrer.
En Septembre 1998, le premier appel effectué avec un terminal mobile WCDMA a été couronné de succès sur un réseau expérimentalNokiad à Tokyo, Japon
En Mars 1999, l’UIT a approuvé les interfaces radioutilisées par les systèmes de la troisième génération.
En Juillet 2000, la responsabilité de la norme GSM a été transférée de l’ETSI au 3GPP
En Décembre 2001, lancement commercial du premier système commercial UMTS en Norvège par l’opérateur Telenor.
LES PRINCIPES DE BASE DE L’ETALEMENT DE SPECTRE
Les notions de base
L’approche traditionnelle dans les communications numériques consiste à transmettre le plus d’information possible dans une bande de fréquence la plus étroite possible. Par contre, au sein du concept de l’étalement de spectre (SS : Spread Spectrum), l’information à transmettre est étalé à travers une bande de fréquence beaucoup plus large que celle nécessaire avec l’approche traditionnelle.
Les séquences d’étalement
Une séquence d’étalement est une suite d’éléments inaire,b cadencé à un rythme largement supérieur au débit des données d’information à traiter. La multiplication de ces dernières avec une séquence d’étalement fait que les données obtenues après cette opération sont étalées à travers une large bande largement supérieure à celle requise pour la transmission des données d’information.
Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE FONDEMENTS THEORIQUES DU DS-CDMA
CHAPITRE I GENERALITES SUR L’ACCES MULTIPLE
I.1 INTRODUCTION
I.2 COMPARAISON DES DIFFERENTES METHODES D’ACCES MULTIPLE
I.2.1 L’accès multiple à répartition fréquentielle
I.2.1.1 Les caractéristiques les plus importantes du FDMA
I.2.1.2 Avantages du FDMA
I.2.1.3 Inconvénients du FDMA
I.2.2 L’accès multiple à répartition dans le temps
I.2.2.1 Avantages du TDMA
I.2.2.2 Inconvénients du TDMA
I.2.3 L’accès multiple à répartition dans les codes
I.2.4 Le mode de duplexage TDD
I.2.5 Le mode de duplexage FDD
I.3 CAS PARTICULIERS
CHAPITRE II HISTORIQUE DE DEVELOPPEMENT DES TECHNIQUES D’ETALEMENT DE SPECTRE
II.1 HISTORIQUE
CHAPITRE III LES PRINCIPES DE BASE DE L’ETALEMENT DE SPECTRE
III.1 LES NOTIONS DE BASE
III.1.1 Les notions de base
III.1.2 Le chip
III.1.3 La longueur d’une séquence
III.1.4 Le Gain de traitement (Processing Gain)
III.2 LES DIFFERENTES TECHNIQUES D’ETALEMENT DE SPECTRE
III.2.1 L’étalement de spectre par séquence directe (DS-SS)
III.2.2 L’étalement de spectre par saut de fréquence(FH-SS)
III.3 COMPARAISON ENTRE L’ETALEMENT PAR SEQUENCE DIRECTE ET CELUI PAR SAUT DE FREQUENCE
III.4 DETAIL DE FONCTIONNEMENT D’UN SYSTEME A ETALEMENT DE SPECTRE PAR SEQUENCE DIRECTE
III.4.1 Introduction
III.4.2 Suppositions
III.4.3 Système de base
CHAPITRE IV LES CODES D’ETALEMENT UTILISES DANS UN SYSTEME DSCDMA
IV.1 RAPPEL SUR LE BRUIT BLANC GAUSSIEN
IV.2 METHODES DE SEPARATION DES UTILISATEURS DANS UN SYSTEME DS-CDMA
IV.2.1 Notion d’orthogonalité des codes
IV.2.2 Propriétés d’auto-corrélation
IV.2.3 Propriétés d’inter-corrélation
IV.3 LES CODES UTILISES POUR L’ACCES MULTIPLE ORTHOGONAL
IV.3.1 Les codes de Walsh-Hadamard
IV.3.1.1 Méthodes de génération des codes de Walsh-Hadamard
IV.3.1.2 Propriétés d’auto-corrélation d’un code de Walsh-Hadamard
IV.3.1.3 Propriétés d’inter-corrélation d’un code de Walsh-Hadamard
IV.3.1.4 La notion de facteur d’étalement variable
IV.4 LES CODES UTILISES POUR L’ACCES MULTIPLE NON ORTHOGONAL
IV.4.1 Principes de génération des séquences PN
IV.4.2 Notion de longueur d’un code PN
IV.4.3 Propriétés communes des codes PN
IV.4.4 Les types de codes PN
IV.4.4.1 Les M-séquences
IV.4.4.1.1 Principe de génération des M-séquences
IV.4.4.1.2 Propriétés des M-séquences
IV.4.4.1.3 Conclusion
IV.4.4.2 Les codes de Gold
IV.4.4.2.1 Principe de génération des codes de Gold
IV.4.4.2.2 Propriétés des codes de Gold
IV.4.4.2.3 Conclusion
IV.4.4.3 Les codes de Kasami
IV.4.4.3.1 Principe de génération des codes de Kasami
IV.4.4.3.2 Propriétés des codes de Kasami
IV.4.4.3.3 Conclusion
IV.5 L’ENCHAINEMENT DES CODES ORTHOGONAUX AVEC DES CODES PN
IV.5.1 Propriétés des codes enchaînés
IV.5.1.1 Propriétés d’inter-corrélation
IV.5.1.2 Propriétés d’auto-corrélation
IV.5.1.3 Résumé des résultats précédents
IV.5.2 Conséquences de l’utilisation des codes enchaînés sur la capacité d’un système
IV.5.2.1 Commentaires et interprétation de ces résultats
CHAPITRE V EMISSION, RECEPTION et SYNCHRONISATION
V.1 ARCHITECTURE GENERALE D’UN EMETTEUR DS-SS
V.2 ARCHITECTURE GENERALE D’UN RECEPTEUR DS-SS
V.3 L’OPERATION DE DE-ETALEMENT
V.3.1 Le « Matched Filter »
V.3.2 Le corrélateur actif
V.4 L’OPERATION DE SYNCHRONISATION
V.4.1 Phase d’acquisition (Coarse Synchronisation)
V.4.1.1 L’approche entièrement parallèle
V.4.1.2 L’approche entièrement sérielle
V.4.1.3 L’approche hybride
V.4.1.4 La phase d’acquisition dans la pratique
V.4.2 Phase de poursuite (Tracking Phase)
V.4.2.1 La boucle de verrouillage de délai DLL (Delay Locked Loop)
CHAPITRE VI LES PERFORMANCES D’UN SYSTEME DS-CDMA
VI.1 DEFINITION D’UN SYSTEME DS-CDMA
VI.2 CARACTERISTIQUES GLOBALES D’UN SYSTEME DS-CDMA
VI.3 PERFORMANCES D’UN SYSTEME DS-CDMA
VI.3.1 Les puissances mises en jeu
VI.3.2 Résistance aux effets des propagations par trajets multiples et des interférences
VI.3.2.1 Introduction
VI.3.2.2 Résistance aux interférences
VI.3.2.3 Les propagations par trajets multiples
VI.3.3 Capacité d’un système DS-CDMA
VI.3.3.1 Les avantages inhérents à un système DS-CDMA
VI.3.3.1.1 La prise en compte de l’activité vocale
VI.3.3.1.2 Limite floue de la capacité (soft limit capacity)
VI.3.3.1.3 Effet de sectorisation
VI.3.3.1.4 La réutilisation des fréquences
VI.3.3.2 Capacité d’un système DS-CDMA à cellule unique
VI.3.3.2.1 La sectorisation
VI.3.3.2.2 La prise en compte de l’activité vocale
VI.3.3.3 Capacité de la liaison montante d’un système DS-CDMA dans une configuration pluricellulaire
VI.3.3.4 Capacité de la liaison descendante d’un système DS-CDMA dans une configuration
pluricellulaire
VI.3.3.5 Exemples et comparaisons
VI.3.3.5.1 Paramètres
VI.3.3.5.2 Calculs
VI.3.3.5.3 Comparaisons
VI.4 PROBLEMES INHERENTS A UN SYSTEME DS-CDMA
VI.4.1 L’interférence causée par l’accès multiple (MAI : Multiple Access Interference)
VI.4.2 L’effet proche-lointain (near- far effect)
DEUXIEME PARTIE APPLICATIONS DU DS-CDMA A UN SYSTEME DE TELEPHONIE MOBILE TEL QUE L’UMTS
CHAPITRE VII UTILISATION DU DS-CDMA DANS UN RESEAU TELEPHONIQUE MOBILE
VII.1 INTRODUCTION
VII.2 LES PARAMETRES D’OPTIMISATION
VII.2.1 La puissance d’émission du mobile
VII.2.2 La puissance d’émission de la station de base
VII.2.3 La sectorisation
VII.2.4 La mise en place de plusieurs couches de cellules
VII.3 LES NOUVELLES NOTIONS INTRODUITES PAR LE DS-CDMA
VII.3.1 Les récepteurs RAKE
VII.3.2 Le Soft Handover
VII.3.3 Le Softer Handover
VII.3.4 L’Interfrequency Handover
VII.3.5 Les récepteurs à détecteur Multi-Utilisateurs
CHAPITRE VIII LE WCDMA : INTERFACE RADIO DE L’UMTS
VIII.1 INTRODUCTION
VIII.2 LES SYSTEMES DE COMMUNICATIONS MOBILES DE LA TROISIEME GENERATION (3G)
VIII.3 LES BANDES DE FREQUENCE UTILISEES PAR L’UMTS
VIII.4 LES SERVICES FOURNIS PAR L’UMTS
VIII.5 L’ARCHITECTURE D’UN SYSTEME UMTS
VIII.6 LA TECHNOLOGIE WCDMA
VIII.7 LES CANAUX DE TRANSPORT
VIII.8 LES CANAUX PHYSIQUES
VIII.8.1 La liaison montante
VIII.8.2 La liaison descendante
VIII.9 ETALEMENT DE SPECTRE ET MODULATION SUR LES CANAUX DEDIES
VIII.10 ETALEMENT DE SPECTRE SUR LES CANAUX COMMUNS
VIII.10.1 Les CCPCH primaires et secondaires
VIII.10.2 Le SCH
VIII.10.3 Le PRACH
VIII.11 LES COUCHES DE CELLULES UTILISEES DANS L’UMTS
VIII.12 LA REALISATION DU SOFT HANDOVER DANS UN RESEAU UMTS
VIII.13 LA REALISATION DE L’INTERFREQUENCY HANDOVER DANS UN RESEAU UMTS
TROISIEME PARTIE SIMULATIONS
CHAPITRE IX SIMULATIONS SOUS MATLAB
IX.1 INTRODUCTION
IX.2 SIMULATION DU COMPORTEMENT D’UN SYSTEME DS-CDMA
IX.2.1 Présentation et interprétation des résultats
IX.2.1.1 Les données émises et les codes utilisés par les utilisateurs
IX.2.1.2 Cas du canal idéal, 3 utilisateurs, le récepteur connaît le code utilisé à l’émission
IX.2.1.3 Cas du canal idéal, 3 utilisateurs, le récepteur ne connaît pas le code utilisé à l’émission
IX.2.1.4 Cas du canal idéal, 3+20 utilisateurs, Gold(8,2)
IX.2.1.5 Cas du canal idéal, 3+20 utilisateurs, Gold(11,2)
IX.2.1.6 Cas du canal bruité (SNR=10dB), 3 utilisateurs, Gold(8,2)
IX.2.1.7 Cas du canal bruité (SNR=0dB), 3 utilisateurs, Gold(8,2)
IX.2.1.8 Cas du canal bruité (SNR=-4dB), 3 utilisateurs, Gold(8,2)
IX.2.1.9 Cas du canal bruité (SNR=-4dB), 3 utilisateurs, Gold(11,2)
IX.2.1.10 Cas du canal avec interférence à bande étroite (SIR=10db), 3 utilisateurs, Gold(8,2)
IX.2.1.11 Cas du canal avec interférence à bande étroite (SIR=0db), 3 utilisateurs, Gold(8,2)
IX.2.1.12 Cas du canal avec interférence à bande étroite (SIR=0db), 3 utilisateurs, Gold(11,2)
IX.2.1.13 Cas du canal avec trajets multiples, 3 utilisateurs, Gold(11,2)
IX.2.2 Conclusion
IX.3 UN EXEMPLE DE PROGRAMME D’AIDE A L’OPTIMISATION DE LA CAPACITE D’UN
RESEAU DS-CDMA PLURICELLULAIRE CHARGE
IX.3.1 Définition des capacités égales
IX.3.2 Définition de la capacité optimale d’un réseau DS-CDMA
IX.3.3 Le facteur de compensation de puissance (PCF: Power Compensation Factor)
IX.3.4 Les paramètres utilisés par le programme de simulation
IX.3.5 Calculs
IX.3.5.1 Capacités égales, distribution uniforme des utilisateurs
IX.3.5.2 Répartition optimale, distribution uniforme des utilisateurs
IX.3.5.3 Capacités égales, distribution non uniforme des utilisateurs
IX.3.5.4 Répartition optimale, distribution non uniforme des utilisateurs
IX.3.5.5 Répartition optimale, distribution non uniforme des utilisateurs, avec une contrainte de 8
utilisateurs par cellule au minimum
IX.3.5.6 Répartition optimale, distribution non uniforme des utilisateurs, utilisation de la compensation de puissance
IX.3.5.7 Répartition optimale, distribution non uniforme des utilisateurs, utilisation de la compensation de puissance, avec une contrainte de 8 utilisateurs par cellule au minimum
IX.3.6 Conclusion
CONCLUSION
ANNEXE 1
ANNEXE 2
ANNEXE 3
ANNEXE 4
ANNEXE 5
BIBLIOGRAPHIE